[CELESTIN] Maman vous envoie à l'aventure.

A) rentrer sur le territoire du pétrophage.

- Même si ça peut vous paraître dangereux, on n’a pas vraiment ailleurs où aller. Je suis de l’avis de Darius, à un moment faut arrêter de fuir devant le danger.

- Paaaarfait ! En avant !

Cäalix reprit la tête du groupe, restant sur ses gardes.

- Si on peut pas le voir avec les lunettes de vision nocturne, on devrait pouvoir le voir avec une lumière normale, non ?

- Possible. À voir.

Vous passez au milieu d’une géode géante, aux cristaux rouges, dévorés, des morceaux gisant au sol. Vous en prenez quelques uns pour votre collection personnelle.

- J’ai envie de te dire qu’on devrai faire analyser cette pierre avant de la toucher, des fois qu’elle ait des capacités étranges, mais on ne sait absolument rien là-dessus, donc bon …

- Oui, au point ou on en est.

- Et on est même pas arrivés à la moitié de la quête. Pour l’instant on a même pas passé la faille. Imaginez ce que ce sera dans la faille.

- Non, j’ai pas trop envie.

- On n’est que dans les cavernes sombres, il reste les cavernes du désespoir après. Et là, personne ne sais ce qui nous attends.

- Une plante qui nous torture à mort pendant une longue et lente agonie pour commencer.

- Attendez, regardez !

Cäalix ramassa une dent au sol. Elle était brisée.

- C’est une des défenses de Zollin.

- Et où est le reste ?

- Je me souviens avoir vu la tête se détacher avant qu’il bouffe tout. J’imagine qu’il a du revenir sur ses pas, et la manger aussi.

- Aha, parfait. Et du coup, vous avez continués ou après ?

- Le pétrophage nous a attaqué par derrière, alors -

Cäalix s’arrêta net, reniflant l’air.

- Il est là. Je sens son odeur.

Vous entendez alors, venant de derrière vous, lointain, un cri guttural, sec, et profond, manifestant l’appétit du monstre.

- COUREZ !!

- MAIS C’ETAIT SUR !!

Vous prenez vos jambes à votre cou. Curieux, vous décidez de lancer un regard en arrière, avec les lunettes de vision nocturne. Au fond, tout au fond de la galerie, vous voyez une masse sombre bouger, se rapprocher. Vous décidez d’enlever vos lunettes, et pour mieux voir la chose, lancez une boule de feu. Ça n’a pour effet que de l’énerver encore plus, mais vous distinguez quelques choses. Vous voyez alors des pierres bouger. Comme si la caverne, la roche formait une mâchoire, des pattes, un corps entier, pour venir vous dévorer.

- bon, j’ai l’impression qu’il a du mal à tourner ton machin là. Déclara Darius placide. J’ai regardé les galeries qu’il creuse, et il m’a pas l’air de faire d’angles perpendiculaires, et que sa tête est pas très mobiles, à en juger par les croisement avec d’autres galeries. On devrait pouvoir s’en débarrasser au premier croisement.

- Encore faut-il trouver un croisement.

- On y arrive ! On s’en étais justement débarrassé ici …

Vous arrivez dans une petite caverne, au sol mouillé, plein de stalagmites, pointant sous leurs stalactites, des cristaux divers se développant à leur pieds.

- Là, on a pris cette galerie, celle à droite.

- Il y en a aussi une a gauche, et une plus petite devant.

- Attends, celle que vous avez pris, y’a de la bave dessus ! Y’a un multipla dedans !

- Alors, il nous reste plus que celle de gauche, ou celle d’en face !

De la galerie de gauche, vous voyez alors sortir une créature des plus étrange.

- C’est… c’est la tête de Zollin …

La tête vous regardait depuis le seuil de la galerie. Ses yeux avaient été remplacé par des mains qui sortaient des orbites, et de la base du coup étaient sorti de petites jambes. Il souriait en se frottant les mains.

- Bon les enfants, moi je suis immortel, mais vous non. Sans vouloir vous mettre la pression il faudrait peut-être choisir à un moment, quelle galerie vous voulez prendre, ou si vous voulez affronter le bouzin.

A) La petite galerie, peut-être que le pétrophage pourra pas passer
B) la galerie de droite, Mais vous entrez sur le territoire d’un mutiplat
C) la Galerie de gauche, derrière les stalactites, mais vous rejoignez l’espèce de tête sur pattes
D) vous affrontez le pétrophage.

A ) la petite galerie en face

- On part, en face, il pourra pas nous suivre, il sera bloqué ! C’est trop petit pour lui !

Vous vous élancez, les uns après les autres dans le goulot, vous faufilant entre les deux murs de pierre, arrachant vos vêtement. Vous arrivez dans une pièce carrée, aux murs de briques.

- Qu’est-ce que …

- Une impasse ! Ah bah bravo Célestin !

- On est bloqués avec le pétrophage à nos trousses. C’est qu’une question de temps avant qu’il nous bouffe. S’écroula Cäalix.

- D-d-désolé, je, c-c’est ma faute. Je, j’ai pris la décision p-pour nous tous, c-c’est ma faute …

- Tu peux rien faire pour nous, Darius ?

- Je peux sortir, essayer de le divertir, mais d’une je suis même pas sûr d’y arriver, il bloque le passage en entier presque hermétiquement, et je sais pas s’il se détournera de vous pour autant.

- Tu peux au moins essayer, tu es notre dernier recours.

- D’accord.

Le guerrier se laissa couler en plusieurs morceaux à travers la faille par laquelle vous veniez de rentrer. Vous entendez alors des râles, des cris, des chocs,

- On n’a pas besoin de le tuer, juste de s’enfuir !

Le silence tombe sur les galeries. Le pétrophage reprends son travail de sape, dévorant petit à petit les mètre le séparant de vous.

- D-darius ? Qu’est-ce qu’il lui est arrivé ?

- Et voilà. C’est fini. On est foutus. Morts.

- Allons, ne nous laissons pas aller. Cette pièce doit mener quelque part, ou bien doit être l’extérieur d’un bâtiment quelconque. Inspectons la salle.

Vous vous relevez, et commencez à manipuler les briques, unes par unes. Très vite, vous vous apercevez que certaines tombent facilement, le mortier endommagé par le temps. Vous vous dégagez une fenêtre de quelques briques, et observez ce qu’il s’y trouve de l’autre côté. Une grande salle, aux lumières feutrées, vertes. Vous tentez de dégager plus de briques, mais malheureusement seules les premières pouvaient être dégagées. Les autres étaient solidement ancrées.

Cette fois, ce n’était plus seulement Cäalix, mais aussi Falwe, qui se mirent à broyer du noir.

- On nous donne une voie de secours, pour qu’elle soit bloquée ! Les dieux nous on maudits ! Maudits !

- Ouais. C’est la fin. Si vous avez des confessions à faire, c’est maintenant ou jamais. Après, il sera trop tard.

Vous hésitez. Même si elle doit bien s’en douter, Vous aimeriez bien avouer votre amour à l’elfe. Mais, il y a trop de monde, c’est pas en privé …

- On pourrait casser le mur. Avec la force du truc.

- Quoi ?

Gormeno s’expliqua.

- Le bestiaux lô. On pourrait s’en servir pour casser le mur. Il doit être bien fort.

Falwe et Cälix se relèvent, et jette à nouveau un œil dans l’interstice entre les briques.

- Je vois pas le sol. Le salle doit être extrêmement haute, on risquerais d’y passer.

- C’est toujours mieux que de mourir bouffés par une pierre vivante. Je vote pour.

Un flot de sang se formais à vos pieds, se reconstituant lentement en une figure humaine. Darius.

- Bon sang, mais ou t’étais passé ? Il t’es arrivé quoi ?

- Plus tard ! Je peux malheureusement pas vous sortir de là. Le pétrophage bloque complètement la galerie, et n’a pas l’air de vouloir faire demi-tour.

- On a peut-être une solution.

Vous lui montrez la salle. Il y jette littéralement un œil, afin de mieux discerner l’intérieur, pendant que vous lui expliquez le plan.

- Vous vous en sortirez pas vivant. Il doit y avoir bien trente mètres, on est dans l’arcade d’une genre de crypte antique, ou autre.

- Célestin peut faire de la magie et moi aussi. Je vous rappelle que j’ai amorti votre chute quand on se battait contre la folle des cavernes mouvantes.

- Effectivement. Alors pourquoi pas. On a plus qu’à l’attendre alors.

Le pétrophage avançait, lentement mais sûrement. Vous décidez alors, de prendre un repas, en attendant que la créature arrive vers vous. Il était à la moitié du chemin. Une petite partie de dé pendant qu’on l’attend ? Après que vous ayez perdu plusieurs fois face à Falwe et Gormeno, étonnement bon au jeu, le pétrophage était aux trois quart du sentier. Lentement, le groupe range les affaires traînant ici et là, pendant que vous jetez un dernier coup d’oeil au livre de sort. Vous en apprenez un nouveau, « Necrodeus ». un sort de néromancien accessible à tous, invoquant un mort, qui sera à vos ordres. Vous ne le testez pas, du moins, pour l’instant. Le pétrophage était sur le point d’entrer dans la pièce.

- Célestin, pour le faire charger, je te propose de lui lancer une petite boule de feu.

- Mais bien entendu.

- Falwe, prépare ton sort d’amorti.

- C’est comme si c’était fait.

- VOULIDAAAA !!

Le pétrphage recula, brûlé. Il s’énerva, et chargea, brisant les derniers restes du goulot, et brisant le mur dans son élan. Vous vous retrouvez devant la gueule de l’animal, et parez de toutes vos forces avec votre épée, évitant les coups de dents acérées.

Darius avait raison. Vous vous retrouvez dans une sorte de cathédrale souterraine, aux arcades soutenues par d’immenses colonnes carrées, éclairée par la lueur blafarde de champignons phosphorescents, variant du bleu au vert. Vous vous dégagez du pétrophage, maintenant hors de sa galerie, vous envoyant hors du champ d’action de Falwe. Vous parvenez à planter votre épée dans le bois ancien d’une colonne, et vous y accrochez.

En bas, vous voyez vos compagnons atterrir en douceur, grâce à Falwe. Et bien sûr, le pétrophage. C’est une créature étrange, maintenant qu’il est dans un environnement inconnu, il n’est plus du tout camouflé. C’est une sorte de mastodonte, sans réelle forme, sans yeux, avec simplement une bouche, et quatre courtes pattes.

Vous inspectez la salle plus en profondeur. D’un côté un trône géant, dardé de pics acérés, montés sur des sortes de machoîres, des bras squelettiques tenant à bout portant une couronne d’or. À l’opposé, près de la porte, des tonneaux. Vous devinez que certains contiennent d’énormes quantités de poudre explosive.

- Célestin, toi qui est si bien perché là-haut, pourrait-tu nous indiquer un endroit plus propice à affronter cette chose ?

A ) les tonneaux d’explosifs
B) le trône, pour y piéger le pétrophage.
C ) ni l’un ni l’autre, c’est plus prudent de toucher à rien
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Le 05 décembre 2022 à 12:16:05 :
B

aya, antivax, ton rythme de ban est effréné
après, je riole, mais j'en suis à mon 11ème pseudo

Le 19 décembre 2022 à 16:35:01 :

Le 05 décembre 2022 à 12:16:05 :
B

aya, antivax, ton rythme de ban est effréné

les admin me ban très souvent pour rien en plus

après, je riole, mais j'en suis à mon 11ème pseudo

j'ai déjà créé antivax 19 en fait antivax 11 a déjà été ban et ne l'est plus

B) Piéger le pétrophage dans le trône

- là-bas, au bout, il y a un trône, on dirait une sorte de piège !

Darius tourna le regard, et considéra le siège.

- On va voir ce qu’on peut en tirer, ça m’a l’air vieux et rouillé !

Le guerrier monte sur le trône et s’accroche au dossier, de manière à être au-dessusz de l’assise. Il provoque ensuite le pétrophage.

- Par ici gros tas ! Viens voir papa !!

-Pendant que vos compagnon tentent désespérément de percer la carapace du pétrophage, vous décidez de redescendre, en laissant votre épée ralentir votre chute.

Le pétrophage répondit enfin aux provocation de Darius. Il arrêta de se débattre, prit son élan, et s’enfonça droit dans le trône. Des bras sortirent du trôine. Des bras en métal blanc, incasable, le métal des rois et des dieux ; le mithril. Un foret sortit de la tête du trône. Darius s’écarta juste à temps. Dans un tourbillon de folie, l’immense foret de mithril aux pointes de diamant perça profondément la carapce de l’animal, dans les cris de douleur de celui-ci. Un sang noir, aux reflets violets s’étalait sur les dalles de la salle.

Enfin, une statuette en or fut introduite dans le trou, directement dans le corps du pétrophage, puis le bras appliquèrent une plaque de métal sur le trou, refermant la plaie.

- I-il s’est fait insérer une pierre ?

- Tu te rappelle des pierres d’humeurs qu’utilisait la sorcière des cavernes mouvantes ?

- Encore elle ?

- Non, cette fois, c’est autre chose. C’était en or. L’or est le seul matériau capable de fixer dans l’éternité la personnalité d’autrui.

- Et on vas affronter qui ?

- Enfin, c’est pas vraiment la personnalité, c’est plus un moyen d’accès des morts sur les vivant, permettant au défunt de contrôler le porteur du joyau.

- Oui, mais c’est qui ?

- J’imagine qu’il va se présenter.

Du pétrophage, sorti une silhouette humaine, décharnée, au yeux vides, portant une couronne à l’insigne du cristal. C’était comme si vous voyiez une âme, comme la dernière fois que vous avez vu Darius se faire toucher par Zollin, aux cavernes créatrices.

La projection s’étira, dans un grondement de tonnerre, renversant quelques amphores çà et là. Il semblait pouvoir maîtriser le pétrophage.

- Raaaaaaah, enfin, me revoilà ! Quels sont les fidèles serviteurs qui ont réussi à me libérer, que je les remercie ?

Il scruta la salle. Son regard se posa sur vous.

- Je ne te connaît point. Parle ! Qui es-tu donc, combien de temps ai-je passé endormi ? 20 ans ? 50 ans ? Un siècle, un millénaire ?

- J-je m’appelle Célestin. Je, je sais pas combien de temps vous avez dormi. J-je sais même pas qui vous êtes.

- Quelle indignité ! On ne leur apprends plus rien aux jeunes.

«
" ok boomer, Miaule "

- Je suis, reprit le spectre, Khézil, Roi, sous la montagne. Premier Empereur du Thonleux, Ici est mon trône.

- Ah, jamais entendu parler. Bon, c’est pas comme si je connaissait toute l’histoire d’Argjon. Enfin, ça doit faire une ou deux petits millénaires, parce qu’on en est quand même au 563ème roi d’Argjon.

- Comment ? Mais alors, qu’est-il advenu du Thonleux, mon empire ?

- Ah, mais le Thonleux est un continent, divisé en plein de pays indépendant, dont parmi eux, Argjon, le principal pays minier du monde.

- Le Thonleux n’existe plus … il s’est divisé ? Mais, vous alors, qui êtes vous ? Que venez vous faire ici ? Pourquoi m’avoir offert cette bête immonde comme enveloppe corporelle ?

- Ah, mais nous on n’a rein à voir avec tout ça, on cherche juste à s’en débarrasser, et le roi actuel nous a missionnés pour trouver un trésor -

- COMMENT  ? Vous vous en débarrassez en me réincarnant dedans ? Je ne vaut pas plus que cette bestiole ? Suis-je devenu le dépotoir de ce royaume ?

- Oui, bon après, faut nous comprendre, on ne sais pas qui vous êtes, …

- Et j’apprends qu’en plus de ne plus rien apprendre aux jeunes, le roi actuel vous encourage au pillage de tombe ? C’en, est assez, je vais passer ma colère su vous, puis je tuerais ce roi impie.

Le Pétrophage se retourna vers le groupe, chargeant à toute allure. Il renversa Caälix, qui valsa au fond de la pièce, parmi les explosifs, inconsciente. Vous parez le coup de justesse, non sans mal.

- Ton épée ne lui fera rien, Célestin !

- Alors laisse-moi tenter quelque chose !

Vous vous remémorez vos formules magiques. Voulida pour boule de feu, Nucléis pour explosif, et lups, pour invoquer un chien. Les sorts peuvent se combiner, en fonction de votre puissance. Plus qu’à prier pour que ça marche. Vous évitez un gros poing de la projection spectrale de Khéliz, et lancez votre sort :

- Lupus voulida nucléis !

Dans un aboiement venu des enfers, un chien, enflammée surgit, attaquant le pétrophage. Au moment du contact, Il explosa, heureusement loin des tonneaux. Il était toujours vivant, prêt à repartir à l’assaut. La carapace du pétrophage était fendue.

- C’est bien, attaque, encore !

Le chein s’exécuta encore, une demi-douzaine de fois, avant de disparaître. Vous ne pouviez plus maintenir l’invocation plus longtemps, et vous vous sentez un peu fatigué. Le pétrophage était maintenant ouvert, laissant une zone à peine assez grande pour y glisser une épée. Vous dégainez, et plantez profondément votre lame, la tournant, en tranchant le plus de chair possible. Vous vous recouvriez de sang noir et poisseux, sous les cris de supplice de la créature. D’un mouvement de bassin, elle vous dégagea, et vous laissiez votre épée dans la plaie sanguinolente.

- Belle touche Célestin !

Vous vous relevez, et malgré votre fatigue, lancez une dernière attaque au pétrophage :

- LUPUS !

Un nouveau loup apparaît, qui attaque immédiatement le pétrophage, mordant dans la plaie, retirant l’épée, puis enragé, déchiquette les chairs. À la fin de votre invocation, le pétrophage s’affaisse. Il perd trop de sang. Mais Khéliz, lui, n’est pas encore vaincu.

- Vous n’avez pas compris le principe de cette sorte de magie. Je peux contrôler le monstre, qu’il soit mort ou vif !

Le Pétrophage se relève. Sans cris, sans douleur, sans rien. Il ne peut plus souffrir, de toute façon, il est mort. Mais il peut faire souffrir. Très, très fort. À nouveau, il charge, mais différemment, plus lentement. Comme s’il anticipais les esquives.

- Bon maintenant ça suffit.

Darius se décomposa, et sortit son âme de son corps.

- Qui es-tu, pour oser me défier dans le royaume des morts ?

- Je suis l’envoyé maudit des dieux !

D’un crochet droit, l’âme de Darius fit reculer celle de Khézil.

- N-Non, c’est impossible ! Tu ne peux pas toucher une âme !

- Je suis une âme désincorporée,couine autant que tu veux, mais maintenant bat-toi.

C’&était un combat de titans, difficilement réalisable. Deux âmes de mortels, ressucités, se livrant un combat afin de renvoyer l’autre dans l’au-delà. Et au fur et à mesure des coups, vous voyiez les âmes perdre en consictence, devenir de plus en plus fades. Et Darius avait l’ascendant.

Jusqu’à ce que Khézil sorte une lance d’un portail vers les enfers.. Une lance rouge, au manche noir, qui transperça l’âme de Darius de part en part. Celui-ci parti lentemnt en particules lumineuses.

- Je t’ai eu ! Rein ne peut m’égaler !

Dans un élan desespéré, le guerrier envoya un dernier coup de poing, un dernier crochet, une dernière frappe, à son opposant. Il y concentra toute sa force, toute son âme.

La tête de l’âme de Khézil s’enfonça dans le mur, partant à son tour en particules de lumières. Il étaient tout les deux définitivement morts.

Le pétrophage retomba au sol. Le corps de Darius se recomposa. Mais il était vide. Vide de vie.

- D-Da.. Darius ?

Vous le secouiez. Aucune réponse.

- Je.. je crois qu’il est bel et bien mort.

Le deuil tu la petit groupe. L’un des meilleurs élément venait de partir. La protection du groupe, la sécurité de la compagnie. Désormais, la mort vous attendais à chaqsue recoin, à chaque croisement.

Vous réveillez Caälix, Et vous concertez, avec les aventuriers restants.

- Je… je sais pas ce qu’on va faire.

- il faudrait lui faire un sépulture. Quelque chose.

- Oui… sûrement.

- On pourrait aussi piller la tombe, voir si on trouve des trucs intéressants.

- Non, quand même, on est pas des pilleurs de tombe, si ?

- Sinon, on laisse tout en plan, et on se tire ?

- Sans lui faire une sépulture ?

- Avec quoi ? Tu veux l’enterrer où ? C’est que de la roche.

- Heu … ouais, c’est vrai ça.

- Bon alors, on fait quoi ?

A) Une sépulture à Darius, avec ce qu’on a.
B) pillage de tombe sans vergogne.
C) Rien, on continue, vaille que vaille.

Le 26 décembre 2022 à 19:44:33 :
obligé de spam des fractions du texte puis de les supprimer, puis de recommencer, jusquà avoir tout le texte en fractions, tout supprimer, et enfin je peux tout poster d'un coup. si je fait pas cet espèce de riotuel, il veut pas poster l'intégralité dès la première fois.
Ce site est PT

j'ai les mêmes problèmes + B

Le 29 décembre 2022 à 17:39:34 :
sinon Darius est définitivement mort n'y a-t-il aucun espoir de le revoir et Morlyor il devient quoi

il est toujours maudit, donc il va revenir sur le monde en tant que décomposé, mais il y a peu de chance qu'il parvienne à vous rejoindre. ayant lui-même conscience de ce problème, il y a peu de chance qu'il se lance dans les cavernes pour vous rejoindre. Il va plutôt continuer sa mission d'"astreinte" de surveillance du monde et aller zyeuter chez le seigneur des terres acides.

Morlyor s'est barré dans les cavernes créatrices, quand l vous a abandonné au seuil des cavernes sombres. Il a sûrement raconté au roi qu'il était le dernier survivant de la quête et que celle-ci avait échoué. Puis, il est retounré à sa vie de nain des mines. Après, si vous vouliez continuer l'aventure avec lui, il fallait le poursuivre quand vous en aviez encore l'occasion.

Mais c'est pas grave, hein, ça pimente la fic

Et de toute façon, sur cette partie, j'avais décidé de tuer un perso. la A ç'aurait été Gormeno, qui se serait fait exploser , la B, Darius, et la C Falwe, qui aurait été écrasée par le pétrophage.

B) pillage de la tombe sans vergogne.

- On va fouiller la tombe, voir ce qu’on trouve. Au diable la morale.

- Bon ben, c’est parti. On cherche quoi, précisément ?

- Si on trouve de l’argent en petite monnaie prenez-le, on pourrait en avoir besoin. Tout ce qui est précieux et qui ne sera pas un poids inutile.

Vous vous mettez à fouiller le premier objet venu, la tombe de Khezil. Le vieux squelette décharné vous dégoûte au premier abord, puis, vous vous y faîtes. Vous remarquez tout d’abord que ses vêtements sont intacts, malgré les âges. Sur le crâne est posé une couronne en or, sertie de cristaux de vie. Et dans ses mains, se trouve un sabre, qui ne semble pas avoir subit la rouille du temps.

Bon, la couronne ne me servira à rien,mais je la prends quand même, des fois qu’on ressorte d’ici vivants, ça m’achètera une belle baraque à scheizügel. Et le reste,je le jouerais contre Jean.

- Célestin, regarde ce que j’ai trouvé.

- C’est quoi ?

- Un livre de magie, comme le tien, mais en beaucoup plus poussé. On a des sorts de base, des invocations, mais aussi des sorts de nécromancie, d’appels aux morts, et autres. Sûrement un des livres du vieux Roi.

- Aha, j’ai justement trouvé son épée, je pense que je vais la lui prendre.

- Mais tu en a déjà une.

- Tout comme le livre.

- Reste prudent, une nouvelle épée, c’est comme une nouvelle main, ou un nouveau bras, tu dois apprendre à la manier.

- T’inquiète pas, je sais manier ma main à la perfection.

- ça je n’en doute pas. Changes soit l’épée, soit le livre, mais pas les deux. Tiens, d’ailleurs, j’ai l’impression que cette épée est enchantée. Passe-la moi ?

Vous passez l’épée, à l’elfette. D’un revers, elle fait geler le sol de la tombe.

- C’est bien ce que je pensais. C’est de l’elfe ancien, mais j’arrive quand même à lire ce qui est inscrit dessus. C’est une invocation du froid de la mort, en gros.

- Hmmm. Intéressant. J’hésite du coup, j’hésite. Les deux sont bons.

- Bah, t’as le temps de te décider.

Falwe s’en va continuer à fouiller. Vous cherchez Gormeno et Cälix, leur demander leur avis.

- T’sais q’t’a un beau cul, toi ?

- C’est vrai ? Personne me l’avait jamais dit.

- J’tap’rais bien dedans.

- Tu vas un peu vite en besogne, non ?

- C’est pas toi qui était prête à me bouffer tout cru il y a quelques jours ?

- C’est vrai que dit comme ça, tu m’as l’air d’un beau bout de viande.

- aheum.

Les deux tourtereaux se retournèrent vers vous, gênés.

- Vous avez trouvé quelque chose d’intéressant ?

- Des potions, sans étiquettes, ni mode d’emploi, et des lances.

- Une armure, et un gourdin fléau de guerre.

- Et ben parfait ça, emmenez tout.

Vous retournez vers Falwe, tendant une oreille vers les deux que vous venez de quitter. Vous les entendez à nouveaux se séduire. Brodel, vous êtes toujours puceau. Même Gormeno, l’orc jamais sorti de sa caverne arrive à se mettre la louve dans la poche ! Et y’a même plus la concurrence de Darius et de Morlyor ! Bon c’est pas comme si Morlyor avait représenté une quelconque concurrence, mais tout de même. Comme les deux autres sont occupés, vous pourriez en profiter pour lui avouer vos sentiments.

- Alors Célestin, tu as choisi ?

A) L’épée
B) Le livre
C) Ton p’tit cul, l’elfette