[BORDEL] PLUS PERSONNE n'a D'AMBITION ni D'ENVIE DE TRAVAILLER :triste:
Le 19 mai 2022 Ă 21:08:57 :
Le travail a de moins en moins de sens aussi. Un data analyst, un process engineer, un onboard manager... auront toujours moins d'utilité que les métiers traditionnels.
Il nous faudrait un happyness manager pour remonter le mood de la company
Le 19 mai 2022 Ă 23:07:43 :
D'un côté ce topic me fait super plaisir. Je suis content de pas être le seul à ressentir un vrai malaise vis-à -vis du monde du travail. Mais de l'autre je trouve le topic hyper déprimant aussi, plein de gens sont dégoûtés de tout ça mais on peut rien y faire.
C est surtout que tout le délire corporate du monde du travail est allé trop loin.
Il y a trop de conccurence, trop peu de possibilité d evolution, on se démarque plus, on est remplaçable.
Tout ça, ça donne juste envie de s en battre les couilles.
Apres, je déplore quand même l absence de rêve des jeunes, on dirait que les jeunes d aujourd hui ils ont plus le grain de folie de tenter des aventures, de porter leurs couilles professionnellement
Ce qui fait l'aversion du travail aussi à mon sens, c'est le manque d'optimisme général. Avant, il y avait l'idée que le progrès technique nous permettrait à terme de moins travailler et de vivre mieux. Depuis quelques années, malgré l'accélération technologiques, je pense que beaucoup de gens ont compris la douille. Comment tu veux motiver quelqu'un à bosser pour un job mal payé et / ou inutile quand tu sais que ton action va, au mieux, ne pas améliorer le monde, et au pire l'empirer ? Le tout avec ce pseudo enthousiasme à vomir, ces délires de culture d'entreprise ou d'happiness manager pour dire "regardez le travail c'est cool"...
L'Occident est en pleine crise spirituelle
Le 19 mai 2022 Ă 23:07:43 :
D'un côté ce topic me fait super plaisir. Je suis content de pas être le seul à ressentir un vrai malaise vis-à -vis du monde du travail. Mais de l'autre je trouve le topic hyper déprimant aussi, plein de gens sont dégoûtés de tout ça mais on peut rien y faire.
Nous sommes emprisonnés. Notre esprit est emprisonné alors que le NWO nous vend de la "liberté" spatiale certes... mais pas mentale/spirituelle (donc un avatar de liberté... un mensonge)
Nous avons déjà perdu.
Nous réalisons notre insignifiance quelque soit notre métier notre diplôme...
Puis nous souffrons chaque jour...
Bienvenue dans le monde satanique du travail qui aspire l'énergie physique,mentale,sexuelle et spirituelle + l'âme à la fin.
Faut se lever encore plus tôt pour avoir le temps de manger et se doucher,ensuite hop hop hop embouteillages,arrivé en Enfer,t'as le droit qu'à une minable pause,tu finis ta journée,chemin du retour,embouteillages encore une fois,t'arrives chez toi encore plus tard,t'as à peine le temps de te redoucher et te faire à manger(de la merde vu que t'es fatigué et donc la flemme de te faire à manger pour de vrai),et hop hop hop au lit.
Il faut te coucher tôt pour pouvoir te lever tôt le lendemain,chose que tu ne seras pas vu que des mois ou années en Enfer t'ont détruit et que même avec une bonne hygiène de vie,t'as du mal à faire remonter ton énergie à tout les niveaux.
Tu es aspiré dans la Matrice,tu n'es qu'un fusible,qu'un code-barre,qu'un esclave,qu'une main d’œuvre,mais jamais ô jamais un être humain,si t'es pas content,on te remplace par quelqu'un qui en fera plus que toi,en étant payé moins que toi,qui se fera manquer de respect plus que toi,un esclave plus docile,parfait pour le patron aigri qui pourra lui faire faire le sale boulot que t'as pas/peu voulu faire.
Un petit thé ou café le matin à boire en écoutant les secrétaires débiles et leurs discussions stériles,pour pouvoir affronter cette journée jeune homme dynamique?
Le 19 mai 2022 Ă 23:11:18 :
Le 19 mai 2022 Ă 23:07:43 :
D'un côté ce topic me fait super plaisir. Je suis content de pas être le seul à ressentir un vrai malaise vis-à -vis du monde du travail. Mais de l'autre je trouve le topic hyper déprimant aussi, plein de gens sont dégoûtés de tout ça mais on peut rien y faire.C est surtout que tout le délire corporate du monde du travail est allé trop loin.
Il y a trop de conccurence, trop peu de possibilité d evolution, on se démarque plus, on est remplaçable.Tout ça, ça donne juste envie de s en battre les couilles.
Apres, je déplore quand même l absence de rêve des jeunes, on dirait que les jeunes d aujourd hui ils ont plus le grain de folie de tenter des aventures, de porter leurs couilles professionnellement
Ouais, fin on parle de quoi comme aventure là ? Fonder sa propre entreprise pour faire découvrir à l'humanité les bienfaits des nouvelles super brosses à dents éco-responsables ? On n'est plus à l'époque des grandes découvertes, les "success story" moderne à quelques exceptions près ça fait pas rêver, on parle plus de types qui sont allés dans des territoires vierges pour y découvrir du pétrole et bâtir des empires à la sueur de leur front, qui ont fait des innovations technologiques incroyables qui révolutionnent le quotidien. À plus petite échelle, on n'entend plus parler d'aventuriers, ou de chercheurs ou d'artistes au parcours de vie spectaculaire.
Les success stories d'aujourd'hui, c'est des types qui inventent des algorithmes étiqueteuses pour associer des titres de propriété à des "biens" virtuels pour pouvoir les vendre et spéculer sur du vide, des types qui se sont mis à se filmer en jouant à des jeux vidéos et sont devenus millionnaires parce que d'autres types les regardaient, des meufs qui font la manche sur internet en maillot de bain dans des piscines gonflables dans leur salon, des "sociologues" qui inventent des raisonnements circulaires induisant l'idée que tout le monde est raciste et font des millions en vendant des livres dessus à des gens qui luttent vainement contre la vacuité de leur vie en s'investissant dans des causes jusqu'au fanatisme, des "artistes" qui se sont faits connaître en montrant leurs seins lors de représentations et en présentant ça comme un acte de libération de la femme et font de la musique de merde qui transmet des valeurs de merde auprès d'un public jeune et aliéné, des bobos riches qui deviennent encore plus riche en affichant leur vie de rêve sur les réseaux et en se faisant payer par des marques pour caler leurs produits dedans parce que tous les prolos scrutent leur vie la bave aux lèvres pendant la pause café en songeant à leurs prochaines vacances budget dans le tiers monde. Ça fait rêver ? T'as l'impression que tout ça c'est l'aventure toi ?
Même ceux qui pourraient passer pour plus que ça, au hasard elon musk et ses projets de conquête spatiale, c'est des exemples que personne ici ne pourraient suivre parce que personne ici n'est né dans le bon contexte pour y parvenir.
Franchement, c'est engageant ?
Le 19 mai 2022 Ă 23:53:16 :
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D'un côté ce topic me fait super plaisir. Je suis content de pas être le seul à ressentir un vrai malaise vis-à -vis du monde du travail. Mais de l'autre je trouve le topic hyper déprimant aussi, plein de gens sont dégoûtés de tout ça mais on peut rien y faire.C est surtout que tout le délire corporate du monde du travail est allé trop loin.
Il y a trop de conccurence, trop peu de possibilité d evolution, on se démarque plus, on est remplaçable.Tout ça, ça donne juste envie de s en battre les couilles.
Apres, je déplore quand même l absence de rêve des jeunes, on dirait que les jeunes d aujourd hui ils ont plus le grain de folie de tenter des aventures, de porter leurs couilles professionnellement
Ouais, fin on parle de quoi comme aventure là ? Fonder sa propre entreprise pour faire découvrir à l'humanité les bienfaits des nouvelles super brosses à dents éco-responsables ? On n'est plus à l'époque des grandes découvertes, les "success story" moderne à quelques exceptions près ça fait pas rêver, on parle plus de types qui sont allés dans des territoires vierges pour y découvrir du pétrole et bâtir des empires à la sueur de leur front, qui ont fait des innovations technologiques incroyables qui révolutionnent le quotidien. À plus petite échelle, on n'entend plus parler d'aventuriers, ou de chercheurs ou d'artistes au parcours de vie spectaculaire.
Les success stories d'aujourd'hui, c'est des types qui inventent des algorithmes étiqueteuses pour associer des titres de propriété à des "biens" virtuels pour pouvoir les vendre et spéculer sur du vide, des types qui se sont mis à se filmer en jouant à des jeux vidéos et sont devenus millionnaires parce que d'autres types les regardaient, des meufs qui font la manche sur internet en maillot de bain dans des piscines gonflables dans leur salon, des "sociologues" qui inventent des raisonnements circulaires induisant l'idée que tout le monde est raciste et font des millions en vendant des livres dessus à des gens qui luttent vainement contre la vacuité de leur vie en s'investissant dans des causes jusqu'au fanatisme, des "artistes" qui se sont faits connaître en montrant leurs seins lors de représentations et en présentant ça comme un acte de libération de la femme et font de la musique de merde qui transmet des valeurs de merde auprès d'un public jeune et aliéné, des bobos riches qui deviennent encore plus riche en affichant leur vie de rêve sur les réseaux et en se faisant payer par des marques pour caler leurs produits dedans parce que tous les prolos scrutent leur vie la bave aux lèvres pendant la pause café en songeant à leurs prochaines vacances budget dans le tiers monde. Ça fait rêver ? T'as l'impression que tout ça c'est l'aventure toi ?
Même ceux qui pourraient passer pour plus que ça, au hasard elon musk et ses projets de conquête spatiale, c'est des exemples que personne ici ne pourraient suivre parce que personne ici n'est né dans le bon contexte pour y parvenir.
Franchement, c'est engageant ?
Brutale mais vrai.
Le 19 mai 2022 Ă 23:53:16 :
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Le 19 mai 2022 Ă 23:07:43 :
D'un côté ce topic me fait super plaisir. Je suis content de pas être le seul à ressentir un vrai malaise vis-à -vis du monde du travail. Mais de l'autre je trouve le topic hyper déprimant aussi, plein de gens sont dégoûtés de tout ça mais on peut rien y faire.C est surtout que tout le délire corporate du monde du travail est allé trop loin.
Il y a trop de conccurence, trop peu de possibilité d evolution, on se démarque plus, on est remplaçable.Tout ça, ça donne juste envie de s en battre les couilles.
Apres, je déplore quand même l absence de rêve des jeunes, on dirait que les jeunes d aujourd hui ils ont plus le grain de folie de tenter des aventures, de porter leurs couilles professionnellement
Ouais, fin on parle de quoi comme aventure là ? Fonder sa propre entreprise pour faire découvrir à l'humanité les bienfaits des nouvelles super brosses à dents éco-responsables ? On n'est plus à l'époque des grandes découvertes, les "success story" moderne à quelques exceptions près ça fait pas rêver, on parle plus de types qui sont allés dans des territoires vierges pour y découvrir du pétrole et bâtir des empires à la sueur de leur front, qui ont fait des innovations technologiques incroyables qui révolutionnent le quotidien. À plus petite échelle, on n'entend plus parler d'aventuriers, ou de chercheurs ou d'artistes au parcours de vie spectaculaire.
Les success stories d'aujourd'hui, c'est des types qui inventent des algorithmes étiqueteuses pour associer des titres de propriété à des "biens" virtuels pour pouvoir les vendre et spéculer sur du vide, des types qui se sont mis à se filmer en jouant à des jeux vidéos et sont devenus millionnaires parce que d'autres types les regardaient, des meufs qui font la manche sur internet en maillot de bain dans des piscines gonflables dans leur salon, des "sociologues" qui inventent des raisonnements circulaires induisant l'idée que tout le monde est raciste et font des millions en vendant des livres dessus à des gens qui luttent vainement contre la vacuité de leur vie en s'investissant dans des causes jusqu'au fanatisme, des "artistes" qui se sont faits connaître en montrant leurs seins lors de représentations et en présentant ça comme un acte de libération de la femme et font de la musique de merde qui transmet des valeurs de merde auprès d'un public jeune et aliéné, des bobos riches qui deviennent encore plus riche en affichant leur vie de rêve sur les réseaux et en se faisant payer par des marques pour caler leurs produits dedans parce que tous les prolos scrutent leur vie la bave aux lèvres pendant la pause café en songeant à leurs prochaines vacances budget dans le tiers monde. Ça fait rêver ? T'as l'impression que tout ça c'est l'aventure toi ?
Même ceux qui pourraient passer pour plus que ça, au hasard elon musk et ses projets de conquête spatiale, c'est des exemples que personne ici ne pourraient suivre parce que personne ici n'est né dans le bon contexte pour y parvenir.
Franchement, c'est engageant ?
Clef j'ai essayé de développer une entreprise technologique (autre que de l'informatique/ app ou de la biologie)... et si c'est vraiment palpitant au début tu dechantes vite en apprenant qu'aucun organisme en France ne va te faire confiance. Personne ne voudra t'aider et tu vas perdre ton temps + ton argent + te fait embobiner sur des contrats en "à côté " (eh oui car en France des RH rester au chômage faire sa boîte = mal vu)... qui t absorbent et risquent de te donner envie de faire un CDI..
C'est déprimant, tout comme la recherche scientifique.
Tout est déprimant quand on réalise notre insignifiance....
Le 19 mai 2022 Ă 08:28:15 :
Le 19 mai 2022 Ă 08:23:18 CREATIONDIVIN40 a Ă©crit :
Je repost car 410 sans motif de la part des modos, pourtant ce topic respecte la charte.J'ai remarqué depuis le début de la pandémie une montée de l'aversion pour le travail et l'ambition chez les gens, les jeunes en particulier.
Auparavant, le travail était un cadre normatif, une norme de vie qu’on n’interrogeait pas. Il était naturel d’entrer dans le monde du travail, comme il était naturel de se marier et d’avoir des enfants. Tout le monde faisait ses études, rentrait dans une entreprise dans laquelle ils allaient rester toute leur vie, et basta.
« On constate des démissions, des abandons de poste, des délocalisations en province. La crise fait que les gens se sont questionnés sur le sens au travail », remarque Audrey Richard, la présidente de l’Association nationale des DRH. « Les entreprises ont le sentiment que les priorités chez les jeunes se sont inversées, avec la vie personnelle qui passe désormais avant le travail », observe Solène de Margerie, directrice du développement chez Entreprise et personnel.
Il suffit de regarder les jeunes, en études ou en début de carrière. Tu regardes les lycéens, tous sont angoissés par rapport à leur futur incertain. Les étudiants c'est pire, les profs de facs ont tous constaté un relâchement général et un manque de motivation. Dans les grandes écoles, c'est la crise existentielle, les métiers d'élite à forte rémunération mais fortes heures n'attirent plus personne. Des jeunes cadres qui abandonnent leur poste sans chômage pour aller se reposer et chercher ailleurs car ils en ont marre.
Personne n'a plus envie de rien faire. Tout le monde est devenu une loque sans ambition, sans énergie. Les gens en ont marre du travail et se contentent de s'amuser. La pandémie, la guerre, la crise économique, le climat, on a l'impression que notre système va s'effondrer sur nous-mêmes, et que tout ce qu'on fait n'a aucun sens.
Vous constatez ça aussi ? Vous avez des anecdotes ? C'est un sujet inquiétant.
J'ai l'impression que le 410, c'est parce que le sujet dit un peu trop certaines réalités sociales en pointant du doigt la responsabilité d'un certain groupe de personne auquel appartient webedia. (le monde des affaires). Deux topic le matin, les deux 410, les deux parlaient de salaire bas, responsabilité du gouv + riche qui prennent tout, decouragement des français + travail pour rien avoir + forcer les gens à accepter des dispositif médicaux etc...
Et d un autre côté la charte veut qu on fasse des sujets sérieux car on n est pas sur le 15-18 alors qu ils se font toujours 410 ...
Le 19 mai 2022 Ă 11:59:03 > pour concentrer un maximum les richesses.
Tu réalises que c'est l'idée principale du capitalisme, la concentration des CAPITAUX.
Le libre marché n'existe plus avec les GAFAM ... Avant millions d'artisans = marché concurrentiel (biens, services, emploi,...) aujourd'hui de plus en plus du marché global est détenu par un nombre restreint de société.
Le 19 mai 2022 Ă 23:53:16 :
Le 19 mai 2022 Ă 23:11:18 :
Le 19 mai 2022 Ă 23:07:43 :
D'un côté ce topic me fait super plaisir. Je suis content de pas être le seul à ressentir un vrai malaise vis-à -vis du monde du travail. Mais de l'autre je trouve le topic hyper déprimant aussi, plein de gens sont dégoûtés de tout ça mais on peut rien y faire.C est surtout que tout le délire corporate du monde du travail est allé trop loin.
Il y a trop de conccurence, trop peu de possibilité d evolution, on se démarque plus, on est remplaçable.Tout ça, ça donne juste envie de s en battre les couilles.
Apres, je déplore quand même l absence de rêve des jeunes, on dirait que les jeunes d aujourd hui ils ont plus le grain de folie de tenter des aventures, de porter leurs couilles professionnellement
Ouais, fin on parle de quoi comme aventure là ? Fonder sa propre entreprise pour faire découvrir à l'humanité les bienfaits des nouvelles super brosses à dents éco-responsables ? On n'est plus à l'époque des grandes découvertes, les "success story" moderne à quelques exceptions près ça fait pas rêver, on parle plus de types qui sont allés dans des territoires vierges pour y découvrir du pétrole et bâtir des empires à la sueur de leur front, qui ont fait des innovations technologiques incroyables qui révolutionnent le quotidien. À plus petite échelle, on n'entend plus parler d'aventuriers, ou de chercheurs ou d'artistes au parcours de vie spectaculaire.
Les success stories d'aujourd'hui, c'est des types qui inventent des algorithmes étiqueteuses pour associer des titres de propriété à des "biens" virtuels pour pouvoir les vendre et spéculer sur du vide, des types qui se sont mis à se filmer en jouant à des jeux vidéos et sont devenus millionnaires parce que d'autres types les regardaient, des meufs qui font la manche sur internet en maillot de bain dans des piscines gonflables dans leur salon, des "sociologues" qui inventent des raisonnements circulaires induisant l'idée que tout le monde est raciste et font des millions en vendant des livres dessus à des gens qui luttent vainement contre la vacuité de leur vie en s'investissant dans des causes jusqu'au fanatisme, des "artistes" qui se sont faits connaître en montrant leurs seins lors de représentations et en présentant ça comme un acte de libération de la femme et font de la musique de merde qui transmet des valeurs de merde auprès d'un public jeune et aliéné, des bobos riches qui deviennent encore plus riche en affichant leur vie de rêve sur les réseaux et en se faisant payer par des marques pour caler leurs produits dedans parce que tous les prolos scrutent leur vie la bave aux lèvres pendant la pause café en songeant à leurs prochaines vacances budget dans le tiers monde. Ça fait rêver ? T'as l'impression que tout ça c'est l'aventure toi ?
Même ceux qui pourraient passer pour plus que ça, au hasard elon musk et ses projets de conquête spatiale, c'est des exemples que personne ici ne pourraient suivre parce que personne ici n'est né dans le bon contexte pour y parvenir.
Franchement, c'est engageant ?
Bien résumé
Perso télétravail => gaming toute la journée
Et pourtant je reste plus efficace que mes collègues qui ne sont pas là que pour faire du présentéisme
Après c'est aussi une histoire de cycles. Le modèle qu'on connaît aujourd'hui est apparu dans les années 20, mais avant on était encore sur un autre modèle économique. Nous on est à un tournant de notre histoire, un moment sûrement décisif, est-ce qu'on va rester dans ce modèle que nous pensons obsolète, ou alors il va y avoir un mouvement général pour se diriger vers une nouvelle façon de faire ?
On parle quand même de politiciens et de grosses têtes qui ont réussis à faire croire qu'il n'y avait pas d'autre alternative... tout en sachant pertinemment que ce mode de vie est tout à fait jeune mais a réussi à faire des ravages indélébiles en un rien de temps...
Données du topic
- Auteur
- Creationdivin40
- Date de création
- 19 mai 2022 Ă 08:23:18
- Nb. messages archivés
- 1002
- Nb. messages JVC
- 956