[RISITAS] Un célestin à Istanbul
Il est énorme ton Risitas, j’aime bien fritz, le bg richou qui ne se prend pas trop la tête
Le 27 août 2022 à 16:39:02 :
Je viens de boucler les 108 en pages en 1journee.
Il est énorme ton Risitas, j’aime bien fritz, le bg richou qui ne se prend pas trop la tête
le m'en-foutiste en chef, Jo était un peu pareil avec le côté foufou en plus
Sweet khey, on sent que la fin approche perso j ai hâte de savoir où tu en est
J'avais oublié ton topic, khey je m'étais arrêté quand t'était à Samsun Je vais reprendre du coup.
Je suis à Istanbul 1 semaine en septembre, ca va me faire replongé dans l'ambiance.
CHAPITRE 138 : Au bord du gouffre
-Eh bien, tu ne m’avais pas prévenu que tu voulais dormir ici ce soir
-Je voulais voir ta tête en voyant la tête de Furkan
-Je peux t’assurer qu’il est déjà en train d’envoyer des messages à Jo, à Fritz, à sa mère, à son cousin…
-A Ali ?
-Euh, alors là j’espère pas, faut pas abuser quand même…
-Il est en voyage de noces avec Reyhan, enfin je crois, enfin je ne sais pas, ils sont tellement discrets, on devrait le revoir bientôt
Evidemment, les discussions ce soir furent courtes et laconiques : dès que l’un de nous deux lancait un sujet, l’autre le tuait en trois répliques, vous connaissez ce genre de conversations, les kheys. Evidemment, évidemment… voilà… hein… nous avions tous les deux autre chose en tête, enfin surtout moi. Quant à elle, je n’avais en réalité aucune idée de ce à quoi elle pensait. Il faut savoir que Damla n’était pas du genre à agir sur un coup de tête ou une impulsion, fût-elle s*xuelle, bien au contraire, elle était très réfléchie et très calculatrice, donc j’en venais, pendant qu’elle se démaquillait, à penser : elle avait prévu depuis plusieurs heures, voire plusieurs jours, donc elle cherchait quelque chose… une réaction, quelque chose b*rdel je réfléchis trop, j’ai l’impression, j’étais couché sur le lit et j’ai failli m’endormir quand elle est enfin sortie de ma micro salle de bain, ce qui l’a fait sourire.
-Bah alors, c’est tout l’effet que je te fais ?
-C’est mon cerveau qui travaille trop
-Tu aurais pu dire « mon cœur », vu les émotions que tu as ressenties aujourd’hui, avec les gars…
-Oh et d’ailleurs, merci d’avoir tenu Melis à distance
-Elle est gentille, mais je la sens très protectrice vis-à-vis de Fritz, elle est persuadée que vous avez une mauvaise influence sur lui…
-Ce qui n’est peut-être pas entièrement faux…
-Enfin…
-Voilà…
-Bon…
-On va tourner autour du pot longtemps ?
-Je sens que quelque chose te travaille
-Certes, alors disons-le : jamais tes parents ne t’auraient laissé dormir chez moi comme ça sur un coup de tête, non ? Et tu n’es pas du genre à leur mentir « euuuh je vais chez une copine », donc tu as prévu le coup…
-Ca se pourrait…
-Pourquoi m’as-tu prévenu à la dernière seconde ?
-J’avoue que je ne sais pas trop, honnêtement, d’une certaine manière, je voulais te faire une surprise, voir ta réaction…
-Si c’est un test, je n’aime pas trop le procédé
-Non, il ne faut pas le voir comme ça, je voulais mesurer ta longueur d’ondes, voir si on est au même niveau, c’est un peu une de mes craintes, qui explique pourquoi je voulais dormir avec toi ce soir
-Comment ça ?
-Tu sais… ça ne se fait pas forcément, ici, de dormir comme ça chez son copain avec qui on est depuis seulement quelques semaines, donc c’est un gros effort, et toi… je sais que tu as déjà eu des aventures de ce type-là, que tu as déjà amené des filles, sûrement dans ce lit
-…
-Alors j’avais un peu peur que ça n’aille pas assez vite pour toi, que tu crois que je ne veux rien, que je ne veux pas trop faire d’efforts, et c’est faux, et je voulais te le prouver en… dormant avec toi une nuit, ce soir, tout simplement. Pour te prouver que… c’est sérieux.
Rien à redire. Sa réponse avait été parfaite : elle ne voulait pas apparaître comme la petite coincée, et je me demandais où elle avait entendu toutes ces histoires sur mon propre passé amoureux et s/*xuelle je ne voyais pas Ali lui raconter toutes ces choses. Probablement s’était-elle renseignée et avait-elle seulement ensuite accepté de devenir ma chérie : elle avait patiemment attendu que je fasse mes expériences, que je m’en lasse et ait ensuite envie -et besoin- d’une relation posée et sérieuse. Le calcul était imparable. Et une fois de plus, je réfléchissais un peu trop, mais cette fois-ci, heureusement, avec un sourire béat et amoureux sur le visage
Puis les choses sérieuses commencèrent.
-Vu que tu préfères rester couché, je vais enlever ça toute seule
-Euh, je…
-Ne bouge pas.
Jamais entendu un « ne bouge pas » plus se/xy que celui-ci. la séance d’hypnose commença. Tout était rendu mignon et innocent par le simple fait que Damla rougissait à chaque mouvement qu’elle faisait, j’avais compris à ses premiers gestes qu’elle n’avait pas l’habitude de faire cela, elle était rougissante comme jamais, elle gloussait, certains de ses mouvements étaient maladroits. Mais b*rdel, quelle sensualité, naïve et innocente, la plus belle de toute, et moi j’étais couché sur le lit, ne faisant rien qu’attendre
Elle commença par retirer son haut, afin que je ne vois plus que son so/utif ; comme je l’ai sûrement déjà précisé, elle avait une poitrine relativement petite, franchement rien d’exubérant, mais c’était ce que j’aimais, cela correspondait parfaitement à sa personnalité et ajoutait à la naïveté de ce qu’elle faisait.
Puis elle se tourna. Pas à 180°. Seulement à 90°, afin que je puisse voir, dans la lumière et les jeux d’ombre, la beauté de ses courbes voluptueuses, bombées et rebondies comme jamais. Elle enleva le reste de ses vêtements. Elle était en sous-vêtement. Ses cheveux ondulés cachaient la moitié de son visage, et sur l’autre moitié, son sourire timide illuminait la chambre. Elle se tourna vers l’interrupteur ; j’avais son p/tn de c*l en plein sous le visage, je ne voyais que ça, b*rdel mais c’était indécent d’en avoir un pareil et c’était la première fois que je le voyais nu… enfin presque, disons que la cu/lotte qu’elle portait n’était pas extrêmement large et opaque
On venait de franchir un pas de plus, sérieusement.
Et là…
Elle ne savait plus quoi faire. Son mini stri/p-t/ease avait été une réussite pour moi, il m’en fallait peu tant sa sensualité m’envoûtait, mais je voyais bien qu’aller plus loin était terra incognita pour elle. Alors je me suis levé, j’ai senti que le reste du chemin devait se faire à deux. Je l’ai plaquée contre un mur, délicatement mais fermement, et l’ai embrassée comme jamais je n’avais embrassé de toute ma vie. Tous les baisers que j’avais connus étaient éclipsés en une minute par celui-ci : la délicate surprise des lèvres d’Ophélie, la douceur d’une Tutku, la fougue débridée d’une Aminata… rien n’équivalait ce qu’il y avait dans celui-là : l’amour. évidemment, mes mains agrippaient la peau fine et douce de ses f/esses avec une force que je redoublais à chaque coup de lèvres. Bah oui, quand même.
D’un simple claquement de doigts dans son dos, je fis tomber son s/outif. Elle fut un peu surprise, mais je ralentis le rythme, le temps qu’elle reprenne son souffle et se rende compte de ce qui se passait. Je sentais sa bouche devenir sèche et sa respiration devenir un peu plus haletante. Elle prenait conscience, petit à petit, de la montée en force de nos désirs mutuels. Je la couchais sur le lit.
Nous avons poursuivi notre affaire avec beaucoup de sérieux et de tendresse, il n’y eut aucune exagération, nos lèvres ne se décollaient presque plus, à peine pour respirer, et nos langues commençaient à courir partout sur nos corps, dans un mélange d’excitation et d’é/rotis/me que j’aimais terriblement.
Puis j’eus une idée.
J’y allais, ou pas ?
…
Je tente ?
Aller. Elle saura me dire non s’il le faut.
Je l’ai embrassé partout sur son corps -presque- nu, j’ai descendu mes lèvres et j’embrassais ses hanches, son ventre doux comme de la soie, je commençais à mordiller ses petites rondeurs rebondies, tandis que mes mains caressaient ses jambes. Je remontais mes lèvres vers sa poitrine et commençait à pincer ses ni/chons avec mes lèvres, alors que ses gémissements de plaisir continuaient de pleuvoir dans mon oreille, provoquant de terribles frissons dans ma nuque et dans mon dos. Y a bien un truc qui est vrai : il y a plus de plaisir à donner qu’à recevoir sentir une femme prendre son pied avec vous, c’est la plus belle des récompenses, la sentir s’abandonner à votre confiance et vous ouvrir sa boîte à gémissement. Voilà la vraie victoire.
Alors ma main a commencé à glisser entre ses jambes. Et à passer de bas en haut, de haut en bas. Je sentais l’humidité croître sur sa c/ulotte, tandis que ses gémissements devenaient de plus en plus aiguës et moi de plus en plus dur
-Attends
-Oui ?
-Peut-être… pas plus loin ? Pas maintenant
-Aucun soucis. Moi aussi je voulais te montrer que c’était sérieux…
Elle m’a souri et nous avons continué notre affaire quelques instants. Frustré ? Oui, un peu. Mais rien d’insurmontable, franchement. C’est passé en deux minutes. C’était terriblement « facile » à surmonter, peut-être, me disais-je en la regardant s’endormir à mes côtés, était-ce une nouvelle puissance de l’amour que je découvrais : la capacité à poncer les petits défauts, les mini-couacs, les désaccords, pour un temps. Et là, avec Damla, ma turquette, ma beauté au c/ul merveilleux, aux cheveux lourds et noirs, ma callipyge d’Orient, je me moquais éperdument du moindre défaut et dégustais un paradis de délices et de saveurs.
Et sinon ton histoire (enfin tes histoires ) sont superbes, ça fait revenir ma nostalgie des six mois que j'avais passé en Thailande..
Données du topic
- Auteur
- Turkissou9
- Date de création
- 11 juillet 2021 à 20:23:23
- Nb. messages archivés
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