[RISITAS] Un célestin à Istanbul

Le 23 juillet 2021 à 21:12:44 :
ça fait plaisir les kheys

par contre, je commence à avoir du mal à suivre en termes d'écriture avec 2 épisodes par jour... je crois qu'il va falloir que vous vous contentiez d'un seul chapitre certains jours à venir

Prend ton temps mon pote ton histoire est géniale !

Le 23 juillet 2021 à 21:12:44 :
ça fait plaisir les kheys

par contre, je commence à avoir du mal à suivre en termes d'écriture avec 2 épisodes par jour... je crois qu'il va falloir que vous vous contentiez d'un seul chapitre certains jours à venir

Pas de soucis khey prend ton temps le Risitas est au top

Le 23 juillet 2021 à 21:12:44 :
ça fait plaisir les kheys

par contre, je commence à avoir du mal à suivre en termes d'écriture avec 2 épisodes par jour... je crois qu'il va falloir que vous vous contentiez d'un seul chapitre certains jours à venir

C'est compréhensible khey, avance comme il te convient

Ton rythme est le notre

Le 24 juillet 2021 à 04:04:04 :
Bonsoir,
Etant ancien amateur de risitas et d'interpalsent je demande la suite

Le 23 juillet 2021 à 21:12:44 :
ça fait plaisir les kheys

par contre, je commence à avoir du mal à suivre en termes d'écriture avec 2 épisodes par jour... je crois qu'il va falloir que vous vous contentiez d'un seul chapitre certains jours à venir

Tqt khey, prends ton temps.. N'abandonne juste pas, ça serait trop frustrant de pas arriver au bout de l'histoire

CHAPITRE 26 : Basket Round 1

Au-delà de mes incroyables capacités de célestin littéralement transcendées par l’amour à la turc ( ), je voulais me surpasser à côté, je me disais qu’au cas où ma vie sentimentale se cassait lamentablement la figure ici, je devais avoir gagné autre chose pour ne pas déprimer, et je m’étais fixé deux objectifs : réussir à la fac/avoir un excellent niveau de turc + améliorer mes compétences sportives, en l’occurrence basket, et je partais en campagne pour réussir ces deux objectifs c’est évidemment volontairement que j’avais mis les filles au second plan
Pour le 2nd objectif, l’aide de Furkan a été extraordinaire, il n’était motivé qu’à une chose : remporter le petit championnat underground de basket qui avait visiblement une grande importance pour lui, et il mettait les bouchées doubles 2 à 3 entraînements par semaine + des séances de muscu/gym à réaliser chacun de son côté pour atteindre un haut niveau, tout cela permis par des emplois du temps universitaires assez souples Fritz et moi nous motivions mutuellement en faisant souvent nos séances de sport ensemble chez lui (flemme de payer pour une salle pour se ridiculiser devant des go muscus qui feraient deux fois notre poids ) jusqu’à ce qu’un beau jour…

-Premier match la semaine pro les gars
-La compétition commence ?
-Non, c’est un match amical contre l’équipe de mon cousin, il a aussi monté sa petite équipe
-Ils sont bons ?
-Ils ont suivi des entraînements assez identiques aux nôtres, ouais, ça va être un bon échauffement

Si j’avais su… enfin bref, je n’ai jamais ressenti le stress des compétitions sportives et je m’en moquais un peu ! J’ai passé la semaine à voir Tutku presque tous les jours ; elle avait été un peu froide les premiers jours mais au final, elle s’était faite à ce que je lui avais dit l’autre soir et recommençait à accepter mes lèvres et mes mains quand j’étais avec elle, j’avais vraiment l’impression d’être en couple, mais elle n’avait toujours pas l’air d’être dans la même optique quant à Betül, disparue de la circulation
je n’avais pas osé l’inviter à venir voir mon premier match de basket au cas où je ferais n’importe quoi mais Fritz avait réussi à chauffer Jo, qui avait dit qu’il passerait avec Aminata. Le jour J, les deux là étaient effectivement derrière les barrières du city à nous encourager.
Et ils n’étaient pas seuls
Clairement pas

« Une petite compétition entre quartiers »
« Un match amical »
Il y avait au moins une centaine de personnes qui s’étaient amoncelés autour des barrières et qui avaient même ramené des bancs pour pouvoir faire des mini-tribunes et des tables, b*rdel il y avait même un gars qui vendait des kébabs et des sucreries qui était poser sa charrette à côté du city

Furkan se prenait pour un demi-dieu et saluait la foule comme s’il était Michael Jordan, et le coach de l’équipe adverse, son cousin (dont j’ai oublié le nom) faisait de même, et en voyant son équipe, j’ai pu voir qu’elle ressemblait à la nôtre : il y avait aussi un ou deux joueurs qui n’étaient pas turcs et ils ne paraissaient pas particulièrement déter, tout cela me paraissait louche
Bref, le match a commencé…
Et ça a joué…
Comme si nos vies en dépendaient…
Furkan donnait tout comme je l’avais jamais vu
En face, les autres se gueulaient dessus en turc
On marquait deux points, ils en mettaient trois, on en mettait trois, ils en mettaient deux, Fritz et moi étions complètement à plat mais les encouragements de Jo et Aminata faisaient sérieusement plaisir dans un cas comme ça ! c’est alors que juste avant un temps mort, le capitaine adverse me bouscule si violemment que je suis projeté sur une barrière et m’égratigne l’arcade jusqu’au sang, en comptant la fatigue et tout, j’étais vraiment dans un sale état

-Tu veux que j’ensorcèle le capitaine adverse ? Il est violent
-Ca ira, Jo, ça ira

On finira par remporter le match avec une douzaine de points d’avance, à la grande joie de Furkan, qui n’en pouvait plus de sauter dans tous les sens en chambrant violemment son cousin (ça n’existe pas en Turquie, de gagner avec classe ) mais le gars jubilait comme jamais

-Les gars, toute l’équipe chez moi ce soir ! C’est moi qui régale !

[14:58:41] <picdem_del_pic>

Le 24 juillet 2021 à 04:04:04 :
Bonsoir,
Etant ancien amateur de risitas et d'interpalsent je demande la suite

Ayaooo t'es toujours en vie toi

Le khey Turkissou qui va gagner le championnat underground et devenir une légende locale du basket turc

Suite

Le 25 juillet 2021 à 14:46:02 :
Le khey Turkissou qui va gagner le championnat underground et devenir une légende locale du basket turc

Suite

Si vous allez en Turquie en jour les kheys, sachez jouer au basket, c'est un atout non négligeable