Topic du Glauque
je rappelle qu'il y'a un discord si jamais : https://discord.gg/tkj7Z4
Le 24 janvier 2019 Ă 14:59:38 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 14:54:00 NWA51 a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 14:49:14 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 14:40:41 Seibba a Ă©crit :
Les vidéos des maniaques de Dnipropetovsk je les ait regardées a l'époque, certainement les pires que j'ai jamais vues, maintenant je pourrai plus3guys1hammer, cette vidéo de l enfer qui a violé l innocence de temps d'entre nous quand on a débarqué sur Internet il y a 10 ans de ça.
Elle était régulièrement posté sur "les topics du gore" du 15-18 pour ceux qui se souviennent.
dans cette vidéo ils torturent des animaux ou bien c'est les meurtres donc celui du mec qui avait le cancer ?
C est le meurtre du type qui a le cancer. La vidéo, tout comme l agonie du gars, est assez longue. Il ne crie pas vraiment mais ses râles sont particulièrement éprouvant. Vu une seule fois y a bien 10 ans de ça, c était bien avant toute la surenchère des vidéos postées par les cartels.
horrible putain, autant quand c'est des vidéos du fusillades tout ça c'est supportable mais ce genre de truc je peux pas. (même si je regarde pour la curiosité malsaine qui nous habite tous mais je regrette dans le seconde)
La dernière que j'ai vu et qui été particulièrement horrible c'est le meurtre de la suédoise.
Le 24 janvier 2019 Ă 15:14:53 NWA51 a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 14:59:38 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 14:54:00 NWA51 a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 14:49:14 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 14:40:41 Seibba a Ă©crit :
Les vidéos des maniaques de Dnipropetovsk je les ait regardées a l'époque, certainement les pires que j'ai jamais vues, maintenant je pourrai plus3guys1hammer, cette vidéo de l enfer qui a violé l innocence de temps d'entre nous quand on a débarqué sur Internet il y a 10 ans de ça.
Elle était régulièrement posté sur "les topics du gore" du 15-18 pour ceux qui se souviennent.
dans cette vidéo ils torturent des animaux ou bien c'est les meurtres donc celui du mec qui avait le cancer ?
C est le meurtre du type qui a le cancer. La vidéo, tout comme l agonie du gars, est assez longue. Il ne crie pas vraiment mais ses râles sont particulièrement éprouvant. Vu une seule fois y a bien 10 ans de ça, c était bien avant toute la surenchère des vidéos postées par les cartels.
horrible putain, autant quand c'est des vidéos du fusillades tout ça c'est supportable mais ce genre de truc je peux pas. (même si je regarde pour la curiosité malsaine qui nous habite tous mais je regrette dans le seconde)
La dernière que j'ai vu et qui été particulièrement horrible c'est le meurtre de la suédoise.
le cri qu'elle pousse quand il essaye de l'égorger avec la machette et qu'elle tente tant bien que mal de le repousser avec son bras puis qu'elle agonise, putain j'en ai pas dormi, j'avais son cri toute la journée dans le tête
Ça m a mis dans une rage tellement folle cette vidéo. Les putains de bouchers qui ont fait ça mérite la même chose, ni plus, ni moins.
Le 24 janvier 2019 Ă 07:48:05 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 23 janvier 2019 Ă 21:52:35 Boiteapunaise a Ă©crit :
L’affaire Léa BoltinLéa Boltin était une jeune femme à peine âgée de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 ème régiment du train, à Auxonne. Entrée dans l’institution le premier décembre 2014, elle fut portée disparue le 16 juillet de la même année alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.
Biographie :
Léa Boltin est née à Paris le 9 août 1996. Son père Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite à une blessure et sa mère Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misère, mais la mère possédant par chance un don pour le poker, réussit à maintenir la famille à flot. De plus, vers les années 2000 les activités du père s’arrangèrent beaucoup lorsqu’il s’associe à un mécanicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha très bien. Léa connut donc malgré quelques périodes creuses, une enfance normale malgré quelques soucis de poids. Après un baccalauréat littéraire et une déception amoureuse qu’elle vécu très mal aux alentours de 2013, Léa décide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armée, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problèmes de poids entre autre.
Appréciée par ses supérieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline à une belle carrière dans l’armée de terre française.Fait :
C’est après être rentrée chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que Léa disparaît soudainement. Après avoir passé la fin de semaine en compagnie de sa famille, Léa prend le train pour rentrer à son régiment où il est prévu qu’elle passe la nuit de dimanche à lundi. Malheureusement, Léa n’arrivera jamais dans sa chambre au régiment.
Débarrassée de sa timidité au fil des mois qu’elle a passé à l’armée, Léa put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grâce à cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits même si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant à 19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prévu qu’elle arrive de nuit et qu’un collègue passerait la chercher à la gare pour l’emmener au régiment. Stéphane Felautako, son camarade, l’attendit à la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne réponde. Excepté une fois. En effet, lorsque Stéphane appela pour la deuxième fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, Léa ou quelqu’un d’autre décrocha pendant deux secondes. Stéphane décrivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » Après cela Stéphane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiète les officiers et sous-officiers. Il était fréquent que les jeunes engagés aient du mal à arriver à l’heure à la fin d’un week-end même si cela ne ressemblait pas à Léa. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas réapparue que le lieutenant Pourcole téléphona aux parents de Léa pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin répondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle était censé arriver au régiment vers les 22 h au plus tard. C’est à ce moment-là que le lieutenant appelle la police.
L’enquête permit de confirmer que Léa avait bien prit le bon train à la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivée à Auxonne. Quelque chose s’était produit.Quelques personnes avec qui Léa avait rapidement fait connaissance à la gare avant d’embarquer témoignèrent et affirmaient qu’elle était bien descendue à la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amènerait à Auxonne. Brigitte B. précise même que la jeune femme stressait de ne pas réussir à arriver à temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme écoutant la conversation se serait alors proposé de l’aider à porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant été présent, Léa avait gentiment refusée l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiée par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». Après plusieurs jours d’investigation, la police parvint à retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutôt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avéra que ne possédant pas de véhicules ni aucun antécédents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des caméras de surveillance révélèrent que Léa avait quittée la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la théorie suivante : craignant de rater son train, Léa avait donc opté pour un voyage en taxi, plus onéreux mais plus sûr. La police réussit donc à retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son véhicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvée un homme qu’elle connaissait alors même qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allée vers une voiture blanche avec à son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de même le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitôt cette piste et contactèrent le 511 ème régiment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de Léa. La police s’oriente donc vers les autres militaires du régiment, nombreux étant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec Léa, qui était devenue une jeune femme plutôt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succès.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-être mal compris, que peut-être était-ce un homme qui avait entendu où est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville à Auxonne se révélant chère, il est possible que Léa ait sautée sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu après 21h 15, il emmenait déjà une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
Malgré des semaines d’enquête, la police ne trouva aucun autre éléments et l’affaire fut rangée dans le dossiers non-résolus à ce jour encore.Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.
Y a absolument rien sur google la concernant, j aimerais bien une source please
Si vous voulez vraiment des disparues célèbres sans le moindre indice ni piste, il y a Marion Wagon et Estelle Mouzin les kheys. Très glauque aussi, ces gens qui disparaissent sans laisser la moindre trace.
Oui aucune source, pas de Léa boltin ou de disparition liée au régiment en question sur goole... un beau fake cette histoire
Le 24 janvier 2019 Ă 16:19:15 ankoum a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 07:48:05 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 23 janvier 2019 Ă 21:52:35 Boiteapunaise a Ă©crit :
L’affaire Léa BoltinLéa Boltin était une jeune femme à peine âgée de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 ème régiment du train, à Auxonne. Entrée dans l’institution le premier décembre 2014, elle fut portée disparue le 16 juillet de la même année alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.
Biographie :
Léa Boltin est née à Paris le 9 août 1996. Son père Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite à une blessure et sa mère Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misère, mais la mère possédant par chance un don pour le poker, réussit à maintenir la famille à flot. De plus, vers les années 2000 les activités du père s’arrangèrent beaucoup lorsqu’il s’associe à un mécanicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha très bien. Léa connut donc malgré quelques périodes creuses, une enfance normale malgré quelques soucis de poids. Après un baccalauréat littéraire et une déception amoureuse qu’elle vécu très mal aux alentours de 2013, Léa décide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armée, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problèmes de poids entre autre.
Appréciée par ses supérieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline à une belle carrière dans l’armée de terre française.Fait :
C’est après être rentrée chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que Léa disparaît soudainement. Après avoir passé la fin de semaine en compagnie de sa famille, Léa prend le train pour rentrer à son régiment où il est prévu qu’elle passe la nuit de dimanche à lundi. Malheureusement, Léa n’arrivera jamais dans sa chambre au régiment.
Débarrassée de sa timidité au fil des mois qu’elle a passé à l’armée, Léa put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grâce à cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits même si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant à 19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prévu qu’elle arrive de nuit et qu’un collègue passerait la chercher à la gare pour l’emmener au régiment. Stéphane Felautako, son camarade, l’attendit à la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne réponde. Excepté une fois. En effet, lorsque Stéphane appela pour la deuxième fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, Léa ou quelqu’un d’autre décrocha pendant deux secondes. Stéphane décrivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » Après cela Stéphane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiète les officiers et sous-officiers. Il était fréquent que les jeunes engagés aient du mal à arriver à l’heure à la fin d’un week-end même si cela ne ressemblait pas à Léa. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas réapparue que le lieutenant Pourcole téléphona aux parents de Léa pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin répondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle était censé arriver au régiment vers les 22 h au plus tard. C’est à ce moment-là que le lieutenant appelle la police.
L’enquête permit de confirmer que Léa avait bien prit le bon train à la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivée à Auxonne. Quelque chose s’était produit.Quelques personnes avec qui Léa avait rapidement fait connaissance à la gare avant d’embarquer témoignèrent et affirmaient qu’elle était bien descendue à la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amènerait à Auxonne. Brigitte B. précise même que la jeune femme stressait de ne pas réussir à arriver à temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme écoutant la conversation se serait alors proposé de l’aider à porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant été présent, Léa avait gentiment refusée l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiée par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». Après plusieurs jours d’investigation, la police parvint à retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutôt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avéra que ne possédant pas de véhicules ni aucun antécédents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des caméras de surveillance révélèrent que Léa avait quittée la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la théorie suivante : craignant de rater son train, Léa avait donc opté pour un voyage en taxi, plus onéreux mais plus sûr. La police réussit donc à retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son véhicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvée un homme qu’elle connaissait alors même qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allée vers une voiture blanche avec à son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de même le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitôt cette piste et contactèrent le 511 ème régiment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de Léa. La police s’oriente donc vers les autres militaires du régiment, nombreux étant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec Léa, qui était devenue une jeune femme plutôt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succès.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-être mal compris, que peut-être était-ce un homme qui avait entendu où est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville à Auxonne se révélant chère, il est possible que Léa ait sautée sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu après 21h 15, il emmenait déjà une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
Malgré des semaines d’enquête, la police ne trouva aucun autre éléments et l’affaire fut rangée dans le dossiers non-résolus à ce jour encore.Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.
Y a absolument rien sur google la concernant, j aimerais bien une source please
Si vous voulez vraiment des disparues célèbres sans le moindre indice ni piste, il y a Marion Wagon et Estelle Mouzin les kheys. Très glauque aussi, ces gens qui disparaissent sans laisser la moindre trace.
Oui aucune source, pas de Léa boltin ou de disparition liée au régiment en question sur goole... un beau fake cette histoire
Je sais pas si c'est fake ou pas mais des tas d'histoire réel ne sont pas sur internet et sont complètement inconnu
Le 24 janvier 2019 Ă 16:29:03 cessna51 a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 16:19:15 ankoum a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 07:48:05 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 23 janvier 2019 Ă 21:52:35 Boiteapunaise a Ă©crit :
L’affaire Léa BoltinLéa Boltin était une jeune femme à peine âgée de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 ème régiment du train, à Auxonne. Entrée dans l’institution le premier décembre 2014, elle fut portée disparue le 16 juillet de la même année alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.
Biographie :
Léa Boltin est née à Paris le 9 août 1996. Son père Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite à une blessure et sa mère Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misère, mais la mère possédant par chance un don pour le poker, réussit à maintenir la famille à flot. De plus, vers les années 2000 les activités du père s’arrangèrent beaucoup lorsqu’il s’associe à un mécanicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha très bien. Léa connut donc malgré quelques périodes creuses, une enfance normale malgré quelques soucis de poids. Après un baccalauréat littéraire et une déception amoureuse qu’elle vécu très mal aux alentours de 2013, Léa décide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armée, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problèmes de poids entre autre.
Appréciée par ses supérieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline à une belle carrière dans l’armée de terre française.Fait :
C’est après être rentrée chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que Léa disparaît soudainement. Après avoir passé la fin de semaine en compagnie de sa famille, Léa prend le train pour rentrer à son régiment où il est prévu qu’elle passe la nuit de dimanche à lundi. Malheureusement, Léa n’arrivera jamais dans sa chambre au régiment.
Débarrassée de sa timidité au fil des mois qu’elle a passé à l’armée, Léa put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grâce à cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits même si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant à 19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prévu qu’elle arrive de nuit et qu’un collègue passerait la chercher à la gare pour l’emmener au régiment. Stéphane Felautako, son camarade, l’attendit à la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne réponde. Excepté une fois. En effet, lorsque Stéphane appela pour la deuxième fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, Léa ou quelqu’un d’autre décrocha pendant deux secondes. Stéphane décrivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » Après cela Stéphane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiète les officiers et sous-officiers. Il était fréquent que les jeunes engagés aient du mal à arriver à l’heure à la fin d’un week-end même si cela ne ressemblait pas à Léa. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas réapparue que le lieutenant Pourcole téléphona aux parents de Léa pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin répondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle était censé arriver au régiment vers les 22 h au plus tard. C’est à ce moment-là que le lieutenant appelle la police.
L’enquête permit de confirmer que Léa avait bien prit le bon train à la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivée à Auxonne. Quelque chose s’était produit.Quelques personnes avec qui Léa avait rapidement fait connaissance à la gare avant d’embarquer témoignèrent et affirmaient qu’elle était bien descendue à la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amènerait à Auxonne. Brigitte B. précise même que la jeune femme stressait de ne pas réussir à arriver à temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme écoutant la conversation se serait alors proposé de l’aider à porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant été présent, Léa avait gentiment refusée l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiée par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». Après plusieurs jours d’investigation, la police parvint à retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutôt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avéra que ne possédant pas de véhicules ni aucun antécédents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des caméras de surveillance révélèrent que Léa avait quittée la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la théorie suivante : craignant de rater son train, Léa avait donc opté pour un voyage en taxi, plus onéreux mais plus sûr. La police réussit donc à retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son véhicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvée un homme qu’elle connaissait alors même qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allée vers une voiture blanche avec à son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de même le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitôt cette piste et contactèrent le 511 ème régiment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de Léa. La police s’oriente donc vers les autres militaires du régiment, nombreux étant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec Léa, qui était devenue une jeune femme plutôt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succès.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-être mal compris, que peut-être était-ce un homme qui avait entendu où est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville à Auxonne se révélant chère, il est possible que Léa ait sautée sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu après 21h 15, il emmenait déjà une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
Malgré des semaines d’enquête, la police ne trouva aucun autre éléments et l’affaire fut rangée dans le dossiers non-résolus à ce jour encore.Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.
Y a absolument rien sur google la concernant, j aimerais bien une source please
Si vous voulez vraiment des disparues célèbres sans le moindre indice ni piste, il y a Marion Wagon et Estelle Mouzin les kheys. Très glauque aussi, ces gens qui disparaissent sans laisser la moindre trace.
Oui aucune source, pas de Léa boltin ou de disparition liée au régiment en question sur goole... un beau fake cette histoire
Je sais pas si c'est fake ou pas mais des tas d'histoire réel ne sont pas sur internet et sont complètement inconnu
Je suis d'accord pour les vieilles histoires ou des histoires peu détaillées mais 2014 - 2015 comme disparition étrange en france, avec autant de détails comme un article de presse, il devrait y avoir des traces je pense.
Le 24 janvier 2019 Ă 17:05:48 ankoum a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 16:29:03 cessna51 a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 16:19:15 ankoum a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 07:48:05 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 23 janvier 2019 Ă 21:52:35 Boiteapunaise a Ă©crit :
L’affaire Léa BoltinLéa Boltin était une jeune femme à peine âgée de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 ème régiment du train, à Auxonne. Entrée dans l’institution le premier décembre 2014, elle fut portée disparue le 16 juillet de la même année alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.
Biographie :
Léa Boltin est née à Paris le 9 août 1996. Son père Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite à une blessure et sa mère Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misère, mais la mère possédant par chance un don pour le poker, réussit à maintenir la famille à flot. De plus, vers les années 2000 les activités du père s’arrangèrent beaucoup lorsqu’il s’associe à un mécanicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha très bien. Léa connut donc malgré quelques périodes creuses, une enfance normale malgré quelques soucis de poids. Après un baccalauréat littéraire et une déception amoureuse qu’elle vécu très mal aux alentours de 2013, Léa décide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armée, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problèmes de poids entre autre.
Appréciée par ses supérieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline à une belle carrière dans l’armée de terre française.Fait :
C’est après être rentrée chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que Léa disparaît soudainement. Après avoir passé la fin de semaine en compagnie de sa famille, Léa prend le train pour rentrer à son régiment où il est prévu qu’elle passe la nuit de dimanche à lundi. Malheureusement, Léa n’arrivera jamais dans sa chambre au régiment.
Débarrassée de sa timidité au fil des mois qu’elle a passé à l’armée, Léa put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grâce à cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits même si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant à 19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prévu qu’elle arrive de nuit et qu’un collègue passerait la chercher à la gare pour l’emmener au régiment. Stéphane Felautako, son camarade, l’attendit à la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne réponde. Excepté une fois. En effet, lorsque Stéphane appela pour la deuxième fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, Léa ou quelqu’un d’autre décrocha pendant deux secondes. Stéphane décrivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » Après cela Stéphane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiète les officiers et sous-officiers. Il était fréquent que les jeunes engagés aient du mal à arriver à l’heure à la fin d’un week-end même si cela ne ressemblait pas à Léa. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas réapparue que le lieutenant Pourcole téléphona aux parents de Léa pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin répondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle était censé arriver au régiment vers les 22 h au plus tard. C’est à ce moment-là que le lieutenant appelle la police.
L’enquête permit de confirmer que Léa avait bien prit le bon train à la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivée à Auxonne. Quelque chose s’était produit.Quelques personnes avec qui Léa avait rapidement fait connaissance à la gare avant d’embarquer témoignèrent et affirmaient qu’elle était bien descendue à la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amènerait à Auxonne. Brigitte B. précise même que la jeune femme stressait de ne pas réussir à arriver à temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme écoutant la conversation se serait alors proposé de l’aider à porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant été présent, Léa avait gentiment refusée l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiée par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». Après plusieurs jours d’investigation, la police parvint à retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutôt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avéra que ne possédant pas de véhicules ni aucun antécédents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des caméras de surveillance révélèrent que Léa avait quittée la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la théorie suivante : craignant de rater son train, Léa avait donc opté pour un voyage en taxi, plus onéreux mais plus sûr. La police réussit donc à retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son véhicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvée un homme qu’elle connaissait alors même qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allée vers une voiture blanche avec à son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de même le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitôt cette piste et contactèrent le 511 ème régiment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de Léa. La police s’oriente donc vers les autres militaires du régiment, nombreux étant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec Léa, qui était devenue une jeune femme plutôt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succès.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-être mal compris, que peut-être était-ce un homme qui avait entendu où est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville à Auxonne se révélant chère, il est possible que Léa ait sautée sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu après 21h 15, il emmenait déjà une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
Malgré des semaines d’enquête, la police ne trouva aucun autre éléments et l’affaire fut rangée dans le dossiers non-résolus à ce jour encore.Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.
Y a absolument rien sur google la concernant, j aimerais bien une source please
Si vous voulez vraiment des disparues célèbres sans le moindre indice ni piste, il y a Marion Wagon et Estelle Mouzin les kheys. Très glauque aussi, ces gens qui disparaissent sans laisser la moindre trace.
Oui aucune source, pas de Léa boltin ou de disparition liée au régiment en question sur goole... un beau fake cette histoire
Je sais pas si c'est fake ou pas mais des tas d'histoire réel ne sont pas sur internet et sont complètement inconnu
Je suis d'accord pour les vieilles histoires ou des histoires peu détaillées mais 2014 - 2015 comme disparition étrange en france, avec autant de détails comme un article de presse, il devrait y avoir des traces je pense.
C est sur Ă 100% mĂŞme. Quand on tape son nom sur google on arrive sur ce topic.
Pour des jeunes militaires qui ont vraiment disparus en France, une célèbre affaire :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_disparus_de_Mourmelon
Le 24 janvier 2019 Ă 17:05:48 ankoum a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 16:29:03 cessna51 a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 16:19:15 ankoum a Ă©crit :
Le 24 janvier 2019 Ă 07:48:05 EliteNocturne a Ă©crit :
Le 23 janvier 2019 Ă 21:52:35 Boiteapunaise a Ă©crit :
L’affaire Léa BoltinLéa Boltin était une jeune femme à peine âgée de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 ème régiment du train, à Auxonne. Entrée dans l’institution le premier décembre 2014, elle fut portée disparue le 16 juillet de la même année alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.
Biographie :
Léa Boltin est née à Paris le 9 août 1996. Son père Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite à une blessure et sa mère Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misère, mais la mère possédant par chance un don pour le poker, réussit à maintenir la famille à flot. De plus, vers les années 2000 les activités du père s’arrangèrent beaucoup lorsqu’il s’associe à un mécanicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha très bien. Léa connut donc malgré quelques périodes creuses, une enfance normale malgré quelques soucis de poids. Après un baccalauréat littéraire et une déception amoureuse qu’elle vécu très mal aux alentours de 2013, Léa décide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armée, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problèmes de poids entre autre.
Appréciée par ses supérieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline à une belle carrière dans l’armée de terre française.Fait :
C’est après être rentrée chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que Léa disparaît soudainement. Après avoir passé la fin de semaine en compagnie de sa famille, Léa prend le train pour rentrer à son régiment où il est prévu qu’elle passe la nuit de dimanche à lundi. Malheureusement, Léa n’arrivera jamais dans sa chambre au régiment.
Débarrassée de sa timidité au fil des mois qu’elle a passé à l’armée, Léa put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grâce à cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits même si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant à 19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prévu qu’elle arrive de nuit et qu’un collègue passerait la chercher à la gare pour l’emmener au régiment. Stéphane Felautako, son camarade, l’attendit à la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne réponde. Excepté une fois. En effet, lorsque Stéphane appela pour la deuxième fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, Léa ou quelqu’un d’autre décrocha pendant deux secondes. Stéphane décrivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » Après cela Stéphane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiète les officiers et sous-officiers. Il était fréquent que les jeunes engagés aient du mal à arriver à l’heure à la fin d’un week-end même si cela ne ressemblait pas à Léa. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas réapparue que le lieutenant Pourcole téléphona aux parents de Léa pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin répondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle était censé arriver au régiment vers les 22 h au plus tard. C’est à ce moment-là que le lieutenant appelle la police.
L’enquête permit de confirmer que Léa avait bien prit le bon train à la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivée à Auxonne. Quelque chose s’était produit.Quelques personnes avec qui Léa avait rapidement fait connaissance à la gare avant d’embarquer témoignèrent et affirmaient qu’elle était bien descendue à la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amènerait à Auxonne. Brigitte B. précise même que la jeune femme stressait de ne pas réussir à arriver à temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme écoutant la conversation se serait alors proposé de l’aider à porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant été présent, Léa avait gentiment refusée l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiée par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». Après plusieurs jours d’investigation, la police parvint à retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutôt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avéra que ne possédant pas de véhicules ni aucun antécédents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des caméras de surveillance révélèrent que Léa avait quittée la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la théorie suivante : craignant de rater son train, Léa avait donc opté pour un voyage en taxi, plus onéreux mais plus sûr. La police réussit donc à retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son véhicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvée un homme qu’elle connaissait alors même qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allée vers une voiture blanche avec à son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de même le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitôt cette piste et contactèrent le 511 ème régiment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de Léa. La police s’oriente donc vers les autres militaires du régiment, nombreux étant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec Léa, qui était devenue une jeune femme plutôt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succès.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-être mal compris, que peut-être était-ce un homme qui avait entendu où est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville à Auxonne se révélant chère, il est possible que Léa ait sautée sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu après 21h 15, il emmenait déjà une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
Malgré des semaines d’enquête, la police ne trouva aucun autre éléments et l’affaire fut rangée dans le dossiers non-résolus à ce jour encore.Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.
Y a absolument rien sur google la concernant, j aimerais bien une source please
Si vous voulez vraiment des disparues célèbres sans le moindre indice ni piste, il y a Marion Wagon et Estelle Mouzin les kheys. Très glauque aussi, ces gens qui disparaissent sans laisser la moindre trace.
Oui aucune source, pas de Léa boltin ou de disparition liée au régiment en question sur goole... un beau fake cette histoire
Je sais pas si c'est fake ou pas mais des tas d'histoire réel ne sont pas sur internet et sont complètement inconnu
Je suis d'accord pour les vieilles histoires ou des histoires peu détaillées mais 2014 - 2015 comme disparition étrange en france, avec autant de détails comme un article de presse, il devrait y avoir des traces je pense.
Pas forcément, des mecs qui se font desinguer la tête ça arrive tout les jour et tu n'en trouve aucune trace, par chez moi un mec c'est fait éclater la tête a coup de barre de fer et foutu à l'étant, pas moyen d'en trouver un trace sur le net... Y a que ceux du coin qui connaissent L'histoire et encor moi je l'ai su d'un collègue pompier volontaire qui été intervenu.
Le 23 janvier 2019 Ă 19:25:46 cessna51 a Ă©crit :
Le 23 janvier 2019 Ă 19:02:30 ]Neo[ a Ă©crit :
L'irradiéHisashi Ouchi, 35 ans, est la première victime d'un incident radioactif au Japon (13 septembre 1999) depuis les débuts du nucléaire civil.
La cause de l'accident est que les travailleurs ont ajouté une solution de nitrate d'uranyle qui contenait environ 16 kg d'uranium dans le réservoir de précipitation. Cela dépassait considérablement la limite d'uranium du réservoir de 2,4 kg et provoqua une réaction en chaîne nucléaire instantanée et incontrôlée. Dans les procédures correctes, le nitrate d'uranyle aurait été stocké dans un réservoir tampon et ensuite pompé à partir de là dans le réservoir de précipitation à des intervalles du niveau de volume correct ne dépassant pas 2,4 kg.
Dans ce cas-ci, les travailleurs ont contourné complètement les réservoirs tampons et ont versé le nitrate d'uranyle directement dans le réservoir de précipitation avec un godet en acier inoxydable plutôt que d'utiliser une pompe. Le réservoir tampon aurait effectivement tenu cette solution en toute sécurité, car il avait une géométrie haute et étroite et était conçu pour éviter la criticité. Cependant, le réservoir de précipitations n'avait pas été conçu pour contenir ce type de solution et n'était pas configuré pour empêcher la criticité.
Hisachi tenait l'entonnoir servant à déverser l'uranium dissous dans la cuve. A 9 grays, la moelle osseuse est en grande partie détruite, ce qui effondre l'hématopoïèse, c'est-à -dire la " fabrication " des cellules sanguines.
Les médecins l'ont maintenus en vie contre sa volonté et ont tentés des greffes. Ouchi est décédé à la suite de la défaillance de plusieurs organes vitaux après avoir subi quatre-vingt-trois jours de traitements intensifs jamais tentés nulle part au monde.
Google est votre ami si vous cherchez des photos de son état après irradiation
En effet la photo trouver sur Google tu comprend pourquoi il voulais pas être réanimé, c'est même abuser le fait que les médecin on ignoré sa demande pendant 83 jour
J'avais réussi à oublier cette histoire de ma tête. Malheureusement si les médecins l'ont fait survivre, c'était pour des expériences et des recherches, il faut souffrir pour que la science avance.
Il m'aura fallu 3 soirées pour tout lire (y compris les commentaires). J'ai vraiment aimé ce topic, dommage qu'il s'arrête...
J'ai même fait des sortes de cauchemars la nuit dernière avec tout ça, je me suis réveillée plus de 8 fois. Non pas que la lecture m'ait fait spécialement peur, même si certains font froid dans le dos, mais je pense que le fait de réaliser que le danger peut arriver à tout moment, à tout endroit, mon cerveau devait être agité par cela.
Merci pour ce topic de qualité, j'espère que d'autres affaires viendront, ça m'a passionné de tout lire !
Le 25 janvier 2019 Ă 00:16:33 LiarMirror a Ă©crit :
Il m'aura fallu 3 soirées pour tout lire (y compris les commentaires). J'ai vraiment aimé ce topic, dommage qu'il s'arrête...
J'ai même fait des sortes de cauchemars la nuit dernière avec tout ça, je me suis réveillée plus de 8 fois. Non pas que la lecture m'ait fait spécialement peur, même si certains font froid dans le dos, mais je pense que le fait de réaliser que le danger peut arriver à tout moment, à tout endroit, mon cerveau devait être agité par cela.Merci pour ce topic de qualité, j'espère que d'autres affaires viendront, ça m'a passionné de tout lire !
Go rejoindre le discord, on va former une communauté autour de ça
Alors alors, pas d'histoires ce soir ?
J en ai une sur la fille retrouvée dans une valise en Ukraine ( décédée ) les photos sont pas gore mais très glauque, ça pourrait faire delete le topic
Le 16 janvier 2019 Ă 18:19:53 kongstrong a Ă©crit :
Une abominable voisineUne fausse meilleure amie
Scolarisée au lycée technique du comté, elle se lia d'amitié avec Paula Baniszewski qui fréquentait le même établissement et habitait le même quartier. Elle se sont d'ailleurs rencontrées lors d'une promenade de Sylvia et sa sœur Jenny autour du pâté de maisons. Paula invita Sylvia et Jenny chez elle, pour discuter et écouter de la musique, mais les sœurs Likens, de par leur éducation très libre pour l'époque, acceptèrent d'y passer la nuit.
Le père des deux jeunes filles vint le lendemain dans la maison de la famille Baniszewski pour chercher ses enfants. C'est ainsi que la mère, Gertrude dite « Gertrie » ou « Mrs White » (car ayant un dernier enfant né d'une relation illégitime, elle voulait faire croire à son entourage que son nom avait changé au profit de celui du père de son bébé, afin de cacher à ses voisins et aux fidèles de l'église qu'elle fréquentait, sa véritable situation) proposa à Mr Likens de garder ses filles, moyennant 20 $ par semaine, pour que lui et sa femme puissent travailler.
Ce « marché » étant conclu, les parents Likens laissèrent leurs filles Sylvia et Jenny à la garde de Mme Baniszewski. Au bout de sept jours, n'ayant pas reçu le chèque, comme convenu avec Mr Likens, « Gertrie » punit les deux sœurs. Le chèque arriva le lendemain, mais c'était le début du cauchemar pour les deux jeunes filles et plus spécialement pour Sylvia. Il fut établi au cours du procès que Gertrude avait nourri une sorte de jalousie emplie de haine envers Sylvia, qui était une jeune fille propre, bien élevée et jolie, à l'instar de tout ce que cette femme aurait voulu être.
Puis, lorsqu'un garçon fit courir une rumeur selon laquelle Sylvia racontait à tout le monde que Paula se faisait payer en échange de faveurs sexuelles, Paula frappa Sylvia au menton. Mme Baniszewski demanda au petit ami de Stephanie, la plus grande de ses filles, Coy Hubbard, de jeter Sylvia dans la cave. Celui-ci, par la suite, au même titre que les adolescents du quartier qui venaient chaque jour torturer la pauvre jeune fille au sous-sol, frappait Sylvia, cognait sa tête à plusieurs reprises contre le mur, lui fit des prises de judo et la jetait violemment sur le sol.
Les sévices detaillés
Une semaine après l'arrivée de Sylvia et Jenny, Gertrude Baniszewski les pousse dans l'escalier et les frappe. Elle leur assène « ok donc là , je prends soin de deux chiennes depuis une semaine pour rien ! ». Le lendemain, elle reçoit le paiement de la pension du père des sœurs Likens. Les parents viennent leur rendre visite quelques jours plus tard et donnent encore 20 $ pour leur séjour.
Les sœurs Likens semblent avoir eu trop peur pour oser se plaindre à leurs parents.
Sylvia fut de nouveau frappée par Gertrude, qui était convaincue que celle-ci gardait pour elle l'argent des consignes des bouteilles.
Les choses empirent au mois d'août. Paula se met à frapper à son tour Sylvia, en plein dans une église et lui casse le poignet. Paula terrorise Sylvia en lui intimant de garder le silence. Gertrude donne une fessée à Sylvia le jour où il manque 10 $ dans son sac et l'accuse de voler dans le drugstore voisin.
Mal nourrie, Sylvia était constamment affamée et si elle trouvait quelque chose à manger, elle était punie. À partir du mois d'août, le manque d'argent dans le foyer fait régner une atmosphère difficile et les sœurs Likens sont battues dès qu'elles mangent, accusées de voler le pain de la bouche des autres enfants. Alors que l'église du quartier organise un souper auquel sont conviées les sœurs Likens, elles sont battues à leur retour. Sylvia reçoit une quinzaine de coups de matraque dans le dos.
Plus tard dans le mois, Sylvia rencontre sa sœur aînée Dianna et cette dernière lui offre un sandwich. Marie Baniszewski l'apprend et le révélera deux mois à Gertrude, qui s'en servira comme prétexte pour battre encore plus sévèrement Sylvia.
Pour la punir de gloutonnerie, Gertrude organise un tour de table particulier : chacun des enfants mirent différentes épices et condiments (moutarde, ketchup, piments, etc.) sur un hot-dog et elle força Sylvia à le manger. La jeune fille le vomit immédiatement. Parfois, elle privait simplement Sylvia de nourriture en lui ordonnant de manger sa soupe avec les doigts. Chaque chose devint prétexte à des coups : Gertrude était convaincue que Sylvia faisait des bêtises méritant des punitions.
Jenny, qui souffrait d'une paralysie infantile, aussi était battue. Un jour, elle trouva une tennis abandonnée dans la rue. En raison de son infirmité, elle n'avait pas besoin d'une paire et la rapporta à la maison. Gertrude, Paula, Stephanie, Shirley, Marie et Jimmy la passèrent à tabac, en l'accusant d'avoir volé la chaussure.
Dans le milieu du mois d'août, les parents Likens rendirent visite à leurs filles. Ils ne se rendirent compte de rien. Elles ne se plaignirent pas : elles étaient habituées à être battues.
En dehors de la nourriture, Gertrude se servit des confidences que Sylvia lui avait faite sur sa vie amoureuse. Cette dernière avait parlé d'un jeune homme avec lequel elle avait flirté en Californie. En lui posant des questions biaisées, elle fit dire à Sylvia qu'elle avait eu des relations sexuelles avec le jeune homme et qu'elle était enceinte. En réalité, il fut établi que Sylvia n'avait pas compris le sens des questions de Gertrude et l'autopsie attesta qu'elle était vierge. Quelques jours plus tard, Gertrude frappa Sylvia entre les jambes pour la punir. Paula - qui était enceinte d'un homme marié installé dans le Kentucky - jeta une chaise de cuisine sur Sylvia.
Au mois de septembre, Gertrude organisa et encouragea d'autres enfants à battre et a violer Sylvia, en raison de sa prétendue légèreté envers les garçons.
Au mois d'octobre, Gertrude retira Sylvia du lycée. Après lui avoir fait avouer un vol de tenue de sport, elle la fouetta avec une ceinture ainsi que Jenny. Elle fit asseoir Sylvia et commença à la sermonner sur les relations sexuelles en dehors du mariage. Elle lui asséna un coup de pied dans le vagin. À l'aide du petit ami de Stephanie - Coy - elle attacha Sylvia et lui brûla les doigts avec une allumette.
Au milieu du mois d'octobre, Sylvia fut obligée de dormir à la cave avec les animaux de la maison.
Autopsie
L'autopsie du corps de Sylvia Likens a révélé de nombreuses brûlures, des contusions et des lésions nerveuses et musculaires. Mme Baniszewski, aidée d'un adolescent du quartier, lui a tatoué sur le ventre le chiffre 3 suivi de la phrase « Je suis une prostituée et j'en suis fière ». Dans son agonie, Sylvia s'est mangé les lèvres. Sa frayeur était telle, que Sylvia ne contrôlait plus ses urines. Sa cavité vaginale a été coupée et brûlée, un examen du canal détermine formellement que son hymen était encore intact, ainsi les affirmations des Baniszewski selon lesquelles Sylvia était une prostituée et leur insistance qu'elle était enceinte, ont pu largement être démontées au cours du procès. La cause officielle du décès était un œdème cérébral, hémorragie interne du cerveau.
NOTE
Gertrude Nadine Baniszewski (19 septembre 1929 – 16 juin 1990), également connue sous le nom de Gertrude Wright et Nadine Van Fossan, est une femme divorcée de l'Indiana, qui, avec l'aide de ses enfants et d'enfants du voisinage, tortura, mutila et tua en 1965 Sylvia Likens, une adolescente dont elle avait la charge.
Elle fut inculpée puis reconnue coupable de meurtre au premier degré en 1966. Le cas - tristement appelé par la presse comme « le crime plus horrible perpétré contre une personne dans toute l'histoire de l'Indiana» - fut relatée dans deux films, tous deux sortis en 2007 : The Girl Next Door et An American Crime.
C'est quoi ces parents de merde ?
Les autres enfants aussi ont été jugés ?
Le 25 janvier 2019 Ă 18:33:46 Akatsuki-Sasori a Ă©crit :
Pourquoi faire un discord et un blog alors que ce topic est fait pour les forumeurs? Pourquoi se séparé alors que l'on est déjà en communauté?Le 25 janvier 2019 à 18:33:46 Akatsuki-Sasori a écrit :
Pourquoi faire un discord et un blog alors que ce topic est fait pour les forumeurs? Pourquoi se séparé alors que l'on est déjà en communauté?
Pour Ă©viter le 410
Le 25 janvier 2019 Ă 18:38:05 PatateChaude14 a Ă©crit :
Le 25 janvier 2019 Ă 18:33:46 Akatsuki-Sasori a Ă©crit :
Pourquoi faire un discord et un blog alors que ce topic est fait pour les forumeurs? Pourquoi se séparé alors que l'on est déjà en communauté?Le 25 janvier 2019 à 18:33:46 Akatsuki-Sasori a écrit :
Pourquoi faire un discord et un blog alors que ce topic est fait pour les forumeurs? Pourquoi se séparé alors que l'on est déjà en communauté?Pour éviter le 410
le topic a 41 pages la donc je doute qu'il va se faire 410.
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 Ă 16:05:48
- Nb. messages archivés
- 3024
- Nb. messages JVC
- 2606