[Risitas] Un marlou en quête d'existence en Asie du Sud-Est

Chapitre 11

Le soir même, je lui parle de mes inquiétudes, du fait que l’on est incapable d’être tactile l’un à l’autre. Ce à quoi May me répondra :
J’en ai conscience, tu sais hier, je n’ai même pas pu me concentrer sur le film, je ne pensais qu’à une chose, t’embrasser !
Oh…moi aussi (il faut bien savoir simper de temps à autre).
La discussion n’ira pas plus loin mais je suis décidé, demain j’embrasserais May quoi qu’il en soit ! Ma romance d’adolescent doit passer le cap supérieur.
Le lendemain, je m’éveille aux abords de 9 heures, je dois aller étendre mon visa d’un mois. Je me rends à l’office de l’immigration à intramuros et tout se passera bien. Je ne vais pas m’étendre sur l’administration philippines, ce n’est ici qu’ennuie.
A mon retour aux alentours de midi, je fume une clope à la devanture de l’hôtel, un autre type se situe là, il porte un maillot du Japon, je me décide à l’aborder :
Salut mec, tu vas bien ?
Oui et toi ?
Niquel, tu viens du Japon ?
Oui et toi ?
De France
Ah super, j’y ai été il y a quelques années
La discussion se poursuit sur de multiples banalités avant que mon nouvel ami, au nom d’Igor (un surnom aucun japonais ne s’appelle comme ça) ne me propose d’aller faire un tour. Je le suis et nous partons vers un restaurant, son anglais n’est pas d’une grande qualité, nous usons donc de subterfuge, un traducteur. Nous arrivons devant une petite échoppe de street-food, Igor me conseille de prendre le beef mami, j’accepte et me lance dans ce qui sera mon premier repas de rue philippins. Le beef Mami est une soupe composé de noodles, de bœufs et d’oeufs, pour seulement 40 php (moins d’un euro) j’en aurais un bol complet et un bol complet de riz. L’hygiène ne me rassure pas des masses mais mon nouveau compère japonais a l’air d’être un habitué et il me semble en parfaite santé.

Le 21 novembre 2022 à 15:29:36 :
Propre khey, perso j'ai hâte d'y aller dès que j'aurais fini mes études et bossé un peu
J'ai une pote de longue date là-bas que je voudrais passer voir
Vu que tu as pas l'air trop satisfait de Manila, tu conseilles d'autres villes / pays proches ? Tant que j'y serais je compte me faire d'autres pays quoi

Philippines je pense que le mieux c'est de faire les îles, Siargao est juste démente mais El Nido a l'air plut

Le 21 novembre 2022 à 16:06:04 :
Une pinoy qui ne sort qu'avec des khey de 4chan? C'est spécial mais elle a tout de même l'air très charmante vu comme tu la décris.

Le 21 novembre 2022 à 15:29:36 :
Propre khey, perso j'ai hâte d'y aller dès que j'aurais fini mes études et bossé un peu
J'ai une pote de longue date là-bas que je voudrais passer voir
Vu que tu as pas l'air trop satisfait de Manila, tu conseilles d'autres villes / pays proches ? Tant que j'y serais je compte me faire d'autres pays quoi

Philippines je pense que le mieux c'est de faire les îles, Siargao est juste démente mais El Nido a l'air plutôt sympa aussi. Après j'adore le surf et l'alcool donc c'est pour ça que je préfère la première. Concernant les pays, tout dépend ce que tu recherches, j'adore les Philippines car tu peux parler anglais avec les locaux et c'est franchement top, que ce soit pour faire des rencontres amicales ou simplement pour des questions pratiques (transport, restaurant, hôtel etc.).

Le Vietnam est cool, facile pour te défoncer la gueule, faire la fête et les villes gardent un côté authentique que tu n'as pas vraiment à Manille ou Bkk. C'est plus pauvre mais tu peux te régaler pour très peu cher si t'es un tout petit peu débrouillard (le logement est vraiment donné).

La Thaïlande est plus moderne, anglais correct mais pas fou mais c'est trop blindé de touriste et surtout ceux que je hais le plus, des vieux de 50/60 ans avec des gamines de 20 ans, perso c'est un truc qui me fait vomir.

J'espère faire Laos et Cambodge si je me motive, ça a l'air de ressembler plus au Vietnam.

Le 21 novembre 2022 à 16:06:04 :
Une pinoy qui ne sort qu'avec des khey de 4chan? C'est spécial mais elle a tout de même l'air très charmante vu comme tu la décris.

Très jolie (après je suis pas difficile tant qu'il y a du feeling au niveau discussion) mais manque de confiance en elle et d'autres bails du genre. Je vais pas spoiler mais c'est comme les meufs de jvc : à éviter.

Chapitre 12

Cela fait maintenant 10 jours que je suis sur Manila, j’ai pris le rythme et la vie me paraît agréable. Elle est bien différente de mon quotidien d’alcoolique dans la Bretagne profonde et je l’apprécie grandement. La folie de la ville me plait énormément, mes discussions et rendez-vous avec May me donnent une légère euphorie, je ne qualifierais pas cela d’amour, ce serait trop précipité mais j’éprouve une réelle tendresse pour elle et une alchimie que je n’ai pas eu depuis mon ex, quatre ans auparavant.
Nous sommes le samedi et je n’ai pas encore goûté à la vie nocturne de Manila, une erreur dans mon parcours à laquelle je souhaite mettre fin dès ce samedi soir. May ne boit que très peu et voit ses amis en cette soirée, elle n’a pas l’air très enclin à me présenter à ses camarades, Igor lui n’est pas disponible et les seules soirées qu’il me proposerait serait d’aller dans un gogobar, ce qui n’est clairement pas ma tasse de thé. Je décide alors de partir à la recherche de nouvelles rencontres sur les réseaux sociaux. Ne souhaitant pas sortir avec une femme de Tinder car je serais trop facilement soumis à la tentation, je pars à la recherche de camarades masculins sur Interpals, la pêche est nulle et après une petite heure je me résous au fait que je ne découvrirais probablement pas Manila by night ce soir. Quand soudain, une notification Tinder apparaît :

• Lei vous a envoyé un nouveau message*

Hey Marlou, comment se passe ton voyage jusqu’ici ?
C’est sympa, je te remercie !
Tu veux sortir ce soir ?
Carrément, où et quand ?
Tu veux aller à Makati Poblacion vers 9 heures ?
Oui, j’en suis !
J’avais rapidement discuté avec Lei sur Tinder lors de mon arrivé, la discussion s’était close et je ne pensais pas avoir des nouvelles d’elle. Ses photos laissent à penser que c’est une jolie brunette pimpante avec de très belles formes, une couleur de peau mâte et elle a l’air plutôt fun comme le présage une photo d’elle où elle consomme deux pintes en même temps ; tout ce qui peut faire chavirer mon cœur et ce que je voulais absolument éviter. Malheureusement la tentation de boire ma première bière est trop forte, le rendez-vous est donné. J’informe May que je vais enfin découvrir la vie nocturne de Manila, elle est heureuse pour moi et me dit de m’éclater.
J’arrive à 9 heures tapante, Lei me dit qu’elle aura un peu de retard, peu m’importe, je trouve une sorte de petit bar sous un chapiteau à côté du pub où l’on s’est donné rendez-vous, la bière, de la Red Horse, est à 70 php, je me pose au comptoir, me fume une clope et mate le résumé du match du Maharlika FC, le club de Manila, je me suis pris d’une certaine affection pour ce club, auteur de dix défaites en autant de rencontres. Cela me rappelle le bon vieux temps où le Stade Rennais était encore un club de losers.
Après trente minutes d’attente, Lei me fait savoir qu’elle est devant le bar. Je rejoins l’endroit et voit une jeune femme, un top laissant apercevoir une poitrine magnifique, un visage à se damner, des formes merveilleuse, habituellement je me fais avoir sur la marchandise entre photos et réalité, ici c’est tout le contraire. Elle me fait un sourire que je peux deviner au travers de son masque et nous entrons dans le bar. Nous commandons chacun un assortiment de trois bières de 15 cl, coût : 495 php, je regrette déjà mon petit bar à 70 php la bière.
On commence à discuter, se raconter nos vies respectives, tout se passe merveilleusement bien. On va fumer une clope et elle m’apprend qu’elle part en Australie dans deux semaines, l’occasion pour moi de briller, j’y étais il y a trois ans et j’ai toujours des bons potes locaux là bas. Je lui propose de prendre contact avec un de mes amis, ça me donnera en plus l’occasion de reprendre des nouvelles, elle accepte.
Suite à cette petite dégustation, je l’invite à aller dans un autre bar, l’addition est un zest salé à mes yeux et j’espère trouver un pub où le coût de la bière me laisse un goût moins amer. On sort et nous passons inexorablement devant ma petite échoppe à 70 php la bière, je lui propose d’en prendre une, elle accepte. Nous y passerons une grande partie de la soirée, le patron deviendra mon pote et nous installera une petite table pour que l’on puisse passer notre rendez-vous en tête à tête à enquiller les pintes, le paradis. Après moult bières, j’observe mon téléphone pour voir l’heure, j’ai reçu un message de May quelle a supprimé sur Messenger, je lui demande ce que c’était :
Je t’ai vue, je suis au Zhostel
Ah…

Chapitre 13.

Je ne fais pas attention au message de May, je ne vois pas ce qu’il y a de mal à être vue en compagnie d’une jolie fille que je ne vois pour le moment que comme une bonne pote. Nous continuons donc de nous enivrer jusqu’à ce que l’envie d’uriner s’attaque à nos deux vessies. Aussi sympathique soit l’échoppe où nous nous enfilons nos Red Horse, il n’y a pas de toilettes. Lei demande donc au patron où nous pouvons aller :
L’hôtel à côté, y a pas de soucis il me connaisse.

Nous nous empressons donc de nous rendre là bas non sans faire garder notre précieuse table. Je commence à être un peu bourré, si ce n’est plutôt pas mal bourré. Mais même en étant bien raide, le Z sur la devanture de l’hôtel aurait du me mettre la puce à l’oreille. Alors que nous entrons dans l’hôtel et que je tiens la main de Lei, nous arrivons devant un cabinet où s’apprête à rentrer une jeune demoiselle, châtain, élancé, qui se retourne, nos regards se croisent, elle me glisse un bref « hi ».

Je me sens plutôt bête, je ne rêve pas, je viens bien de croiser May…la bourde. Je laisse ma dulcinée aller dans les toilettes et je pars vers l’urinoir dans les toilettes des hommes. J’observe le mur, je commence à me marrer, « qu’est ce que je suis bête ». Je ressors et retourne à l’extérieur pour ne pas risquer de recroiser May. Je me décide ensuite à lui envoyer un message pour bien confirmer que c’est elle que j’ai croisé, la coïncidence me semble tellement peu probable, je n’aurais pour réponse qu’un simple pouce levé, m’ôtant tout doute.

Lei me rejoint, nous retournons nous mettre la tête à l’envers, nous nous rendons ensuite dans une boîte sur un rooftop. La musique est éclatée, le prix des boissons indigestes et l’ambiance au fond du trou, nous n’y restons que quelques instants. A l’extérieur, nous retournons consommer des Red Horse jusqu’à ce que la boisson ait du mal à pénétrer mon corps. Lei se moque de moi, elle tient mieux l’alcool, pour un marlou, j’ai honte. On décide donc de quitter les lieux, il doit être trois heures du mat’.

Notre prochaine halte nous amène au Jollibee, un fast-food assez populaire ici, je commande un cheeseburger, mon corps a, comme l’alcool, du mal à l’assimiler. On continue de discuter et l’on commence à se bouffer du regard, alors que nous avons fini notre maigre repas, l’on s’observe :
Qu’est ce qu’on devrait faire maintenant ?
Et bien, on a bu, on a mangé…
Copuler ?
Je crois, oui.
Mais où ?

En effet, le lieu pour conclure cette nuit nous offrait une problématique. Mon appartement que vous avez pu observer dans un précédent chapitre n’offre pas des conditions optimales, les murs ne sont pas insonorisés et je n’ai qu’un lit une place, il est donc fort compliqué voir impossible d’inviter une de mes conquêtes dans mon lieu de vie. Concernant Lei, bien que trentenaire, la jolie brune habite encore chez ses parents, ce qui est plutôt commun chez les asiatiques, il nous est donc impossible de se rendre chez elle.

Ne t’inquiète pas, il y a un hôtel juste à côté.

Et nous voilà rendu dans un hôtel de passe à 550 php les trois heures. Je m’empresse de régler la note, le réceptionniste nous donne une carte et nous voilà parti pour une merveilleuse session de sexe, probablement la meilleure de ma vie avec une inconnue.

Avant de nous déshabiller mutuellement, elle me dira ceci :
Aujourd’hui, c’est mon anniversaire.

Me voilà alors sous grande pression, néanmoins c’est moi qui déballerait le plus beau paquet cadeau de ma vie que sont ses vêtements, en dessous de son apparat Lei est un véritable rafale. Une paire de seins fermes, probablement un 90 C, ferme et voluptueuse, plus je descends plus je découvre un corps divin ; des hanches bien formées ; un fessier travaillé par les squats ; une bouteille d’Orangina sans défaut. Je lui mange les seins, redescend vers son nombril, avale son vagin puis dévore son anus. Elle est en extase, je suis en érection. La Red Horse me permettra de l’honorer pendant une heure, si ce n’est plus plus…ou moins, l’alcool ayant détruit ma notion du temps et m’empêchant aussi d’arriver à l’orgasme avant que Lei ne puisse plus mouiller. Nous nous endormirons dans les bras de l’un et de l’autre sans que cela ne me dérange, ce qui ne m’était pas arrivé depuis plus de quatre ans.

Le 30 novembre 2022 à 15:08:19 :
Pas mal, la vie de débauche ahii. On voit l'inspi de Bukowski

Ahyaa merci mon khey ça fait plaisir.

Le 30 novembre 2022 à 15:35:59 :
May la stalkeuse

Haha, pour le coup c'est du pur hasard, faute à pas de chance.

Je vais larguer les deux derniers chapitres de la première partie tout à l'heure. Ensuite je ne sais pas si je pars sur des chapitres de temps à autre ou si j'attends de faire toute la seconde partie avant de la larguer en entier. Le problème c'est que je n'aurais pas de temps avant fin décembre et que je doute de la finir en moins d'une semaine. Donc ça va sûrement partir sur un chapitre sans trop de notion de temps. Par ailleurs ils seront plus gros que ceux de la première partie car plus de personnages, plus de choses à raconter et moins de romance à deux balles comme dans cette première partie.

Topic fav, continues khey

C'est un peu triste pour may

Chapitre 14.

Les jours suivants ne m’apparaissent aujourd’hui (un mois plus tard) que comme très trouble. Je pense avoir passé mon dimanche dans les bras de Morphée. Le lundi ne fut qu’une journée sans folie, je me souviens avoir vaguement discuté avec Lei, nous promettant de nous revoir pour discuter de nos aventures respectives lors de mon retour à Manila, quand à May, bien qu’elle me disait ne pas m’en vouloir, la frontière entre nous apparaissait comme celle entre les deux Corée.
Nous devions avoir rendez-vous à un musée sur la ville de Tattay en ce lundi, malheureusement le lundi, ce musée est fermé, nous remettrons notre rencontre au mardi.
Nous nous rejoignons alors sur Pasig, proche de son lieu de vie, Tattay se situe à l’est de Manila, May insiste pour payer le Grab, je me laisse faire, je ne suis pas proche de mes sous mais j’en suis aussi éloigné.
Le musée est un véritable délire artistique, entre les références à l’art marginal, aux fresques sur la vie philippines mais en mode taré et aux œuvres plus que limite sur divers dictateur (H did nothing wrong) nous ne pouvons nous empêcher d’être hilare. Nous passons une après midi merveilleuse avant de ne la finir sur une terrasse du musée où nous nous retrouvons seuls. Nous nous observons alors tout deux dans le blanc des yeux, sans dire un mot, les constellations se retrouvent ici entre nous.
May, je…je ne sais comment le dire.
Quoi ? Dis-le me répondit-elle timidement.
Hum…
Oui ?
Je pense que je t’a…
Deux femmes viennent nous interrompre en montant les escaliers. Elles discutent lourdement et ôte tout romantisme à la scène. Ma phrase n’aura jamais de fin.
Tu veux qu’on prenne un Grab ?
Oui…enfin non, je n’en sais rien, tu veux rentrer ? Moi je ne travaille pas. C’est toi qui est maître et juge ici.
Je n’en sais rien.

Elle commanda alors un Grab avec deux stops, un chez elle et un chez moi.

A l’image de notre côté introverti, moi et May ne sommes jamais capable de prendre une décision pour le collectif. Nous nous mordions des yeux, ne souhaitant qu’une chose, passer le reste de la soirée ensemble. Il n’en sera pourtant rien. Dans le Grab qui nous ramène à nos ports d’attaches respectifs, May est hésitante, devons nous passer la soirée ensemble ? Entre quelques chuchotements entre nous deux, nous demandant ce que nous devrions faire, de nombreux blancs se posent. Nous qui avons été si intuitifs et bavards ensembles, devant la chose, nous devenons timides, hésitants, fragiles. Il n’en sera rien. Au moment de son dépôt, elle me prend dans ses bras, les larmes aux yeux :
Je ne sais quoi penser de toi, on se reverra dans un mois, amuses toi bien à Siargao.
Je suis au fond du trou, le malaise est palpable.

Chapitre 15.

Nous sommes le mercredi, je n’ose pas envoyer un quelconque message à May. Pourtant, l’envie ne manque pas. Après un jour de repos, nous reviendrons tout deux à la charge le jeudi. Nous ne pouvons nous quitter sur un tel opprobre. Les questionnements fusent chez moi comme chez elle.
Néanmoins, nous avons décidé de nous voir une dernière fois le vendredi avant mon départ pour Siargao et qu’elle support fut elle (elle joue aussi ce poste sur LOL). J’ai chopé la crève en cette journée, elle m’aidera toute la journée occultant nos problèmes du mardi et notre manque de savoir faire en matière d’amour. Me trouvant médicaments, remèdes et me conseillant sur la façon de me soigner, elle sera d’une véritable tendresse.
Ce chapitre est bien court, tout comme mon histoire avec May mais j’espère que celui-ci ne s’arrêtera pas là.
Nous nous quitterons très bons amis. En espérant que ceci ne soit qu’un interlude. Manila prend fin, Siargao commence et je ne me doutais pas que cette étape me mènerait au paradis et serait l’un des plus merveilleux chapitre de mon existence.
Fin de la première partie

Fin de la première partie concernant Manila. J'espère qu'elle vous a plu.

La seconde sera un peu plus longue, en tout cas en ce qui concerne la longueur des chapitres. J'ai déjà écrit les 7 premiers donc j'en lâcherais un de temps à autre plutôt que d'attendre d'en avoir totalement fini l'écriture, autrement je pense que le topic sera à l'abandon au minima jusqu'en 2023.

Bonne journée à tous.