[ALERTE] 61 GENDARMES blessés (22 GRAVES) pour empecher des AGRICULTEURS de faire leur taf
Le souci des partis écolos c'est qu'ils cachent plein d infos dans leurs explications juste pour quelques formules simples a comprendre pour pommés qui les suivent
Le 30 octobre 2022 à 00:26:57 :
Le 30 octobre 2022 à 00:25:58 :
Gilet jaune ni oubli ni pardon.Ok et tu comptes manger comment si tes agriculteurs ont pas d'eau le génie
Oui oui la France est un pays désertique avec pas d’eau sauf 1 fois tout les 20 ans
Et heureusement qu’il y a les pesticides pour faire pousser par magie la bouffe
Le 30 octobre 2022 à 00:32:13 :
Mais ils veulent quoi en fait les pseudo écolo, qu on bouffe plus ? Que des villes n aient pas d eau si sécheresse ?
Le souci des partis écolos c'est qu'ils cachent plein d infos dans leurs explications juste pour quelques formules simples a comprendre pour pommés qui les suivent
Bah je me pose la question perso j'ai un jardin je sais qu'il meure sans eau
Le 30 octobre 2022 à 00:33:57 :
Le 30 octobre 2022 à 00:26:57 :
Le 30 octobre 2022 à 00:25:58 :
Gilet jaune ni oubli ni pardon.Ok et tu comptes manger comment si tes agriculteurs ont pas d'eau le génie
Oui oui la France est un pays désertique avec pas d’eau sauf 1 fois tout les 20 ans
Et heureusement qu’il y a les pesticides pour faire pousser par magie la bouffe
Les opposants dénoncent des « mégabassines » réservées à de grandes exploitations céréalières tournées vers l’exportation et défendent la mise en place d’autres mesures pour mieux partager et préserver l’eau - agroécologie, changement de cultures, retour des prairies…
Et après les macronistes viennent propager leurs mensonges de serpent à base de "mais ils veulent qu'on arrête de manger ? "
Inversion des rôles, comme d'hab avec eux
Le 30 octobre 2022 à 00:22:54 :
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Et du coup le projet alternatif c'est quoi on arrete de bouffer?
Le projet alternatif , c est qu au lieu d acheter tes légumes aux 5% de superproducteurs qui ont accès aux bassines, tu achètes aux 95% de petits qui voudraient y avoir accès
T achètes du frais au lieu d acheter du bonduelle
Le 30 octobre 2022 à 00:22:54 :
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Et du coup le projet alternatif c'est quoi on arrete de bouffer?
Non, on va juste tuer l'agriculture française pour importer notre bouffe de pays qui n'en ont rien à foutre de nos préoccupations de petits occidentaux gâtés
Faire place net pour mettre en place un système ou les riches pourraient manger, et les pauvres crever.
Un délire de blanc de classe moyenne qui passe sa vie sur Twitter.
Le 30 octobre 2022 à 00:22:54 :
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Et du coup le projet alternatif c'est quoi on arrete de bouffer?
le projet alternatif c'est on apprend le cycle de l'eau descolin (c'est niveau CM2) et on regarde ce qui est adapté
parce que oui, faire pousser du maïs qui a besoin énormément d'eau, en dehors des territoires adaptés à ce type de production agricole
en clair on modernise les méthodes et les types d'agriculture et on rationalise l'utilisation d'eau
chose que les syndicats agricoles n'ont PAS DU TOUT envie de faire donc à la place ils font des bassins de rétentions et pompe dans les nappes phréatiques
Le 30 octobre 2022 à 00:26:19 Supputasse a écrit :
Le 30 octobre 2022 à 00:22:54 :
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Et du coup le projet alternatif c'est quoi on arrete de bouffer?
L'idée c'est de bien se faire bercer par l'idéologie made in USA, c'est à dire, s'excuser, se sacrifier, s'oublier au profit des enfants de demain, de Gaya, citoyen du monde.
Le tout sur fond de narcissisme et de pureté militante.
Macron est dans ce délire, après tout il viens de la bas, c'est pas un hasard
Le 30 octobre 2022 à 00:27:40 :
Le 30 octobre 2022 à 00:26:07 :
T'es hors sol l'op ahah.S'agirait que tu lises un peu l'angoissé psycho-rigide.
T'as juste fait pousser des tomates cerises sur ton balcon pour pas comprendre le problème
Les gens critiquent surtout qu'une grande partie des récoltes abouties finit par être consommée dans l'industrie et non pas distribuée comme telle, bien de gaspiller les nappes phréatiques pour bouffer des plats réchauffes fleury michon?
Données du topic
- Auteur
- Cnkimperial1
- Date de création
- 30 octobre 2022 à 00:15:33
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
- 199