[ALERTE] 61 GENDARMES blessés (22 GRAVES) pour empecher des AGRICULTEURS de faire leur taf
https://www.20minutes.fr/planete/4007782-20221029-deux-sevres-grilles-chantier-reserve-eau-sainte-soline-forcees-opposants-bassines
https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/deux-sevres-61-gendarmes-blesses-dont-22-serieusement-lors-d-une-manifestation-contre-les-bassines-7900200650
61 blessés dont 22 graves pour empecher les agriculteurs de faire pousser des produits agricoles. En effet ces derniers utilisent des bacs de rétention pour avoir de l'eau pour arroser en cas de sécheresse afin d'éviter qu'on n'est plus de bouffe. Ils ont été attaqués car ci pas bien faut pas faire pousser avec de l'eau ou se priver de bouffer on imagine
"Les manifestants "ont reçus le soutien des cadres de la nupes evidemment :
Panot https://twitter.com/MathildePanot/status/1586345198254071811?cxt=HHwWhoClkbKj6oMsAAAA
Mélenchon https://twitter.com/JLMelenchon/status/1586351925091508225?cxt=HHwWgoCx_fiq7YMsAAAA
Rousseau : https://twitter.com/sandrousseau/status/1586304875616677888?cxt=HHwWgMDRiaf414MsAAAA
Jadot : https://twitter.com/yjadot/status/1586334188134768640?cxt=HHwWgIClrcKi5YMsAAAA
Autain : https://twitter.com/PrudhommeLoic/status/1586356287658496004?cxt=HHwWiMC80fCo74MsAAAA (tweet relayé par son compte)
Et tout ceux que vous voudrez
"La macronie a choisi son camp : celui du pillage au profit d’une poignée."
Quelle poignée ? Elle ne mange pas de produits issus de l'agriculture elle ?
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...
Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."
Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.
Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Le 30 octobre 2022 à 00:18:57 :
J'ai checké les différents twitter aucun n'a condamné on a meme sandrine qui estime qu'il y avait trop de policiers
Ah oui en effet https://twitter.com/sandrousseau/status/1586379873534169088?cxt=HHwWgMCqjeGF-oMsAAAA
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Et du coup le projet alternatif c'est quoi on arrete de bouffer?
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Cimer, l'op dit que la moitié comme sur la plupart des topecs actualités
Le 30 octobre 2022 à 00:24:17 :
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Cimer, l'op dit que la moitié comme sur la plupart des topecs actualités
Si tu veux t'abstenir de bouffer vas y mais moi j'en ai encore besoin, je suis pas encore suffisament de gauche certainement
T'es hors sol l'op ahah.
S'agirait que tu lises un peu l'angoissé psycho-rigide.
Le 30 octobre 2022 à 00:22:54 :
Le 30 octobre 2022 à 00:20:38 :
"Anti-bassine", je n'etais pas au courant...Depuis plusieurs années, des coopératives agricoles ont créé et continuent de faire construire des "méga-bassines". Ces bassins de rétention géants doivent permettre de bénéficier d'eau l'été, même en cas de sécheresse. D'une surface de l'équivalent de sept à dix terrains de football et d'une profondeur de 15 mètres, certains peuvent accueillir jusqu'à 240.000 m³ d'eau.
Une bâche en plastique noir est installée au fond de ces étangs artificiels, pour empêcher l'eau de s'échapper. "Il s’agit d’immenses bassins privés creusés dans la terre et alimentés par des pompages dans les nappes phréatiques et les cours d’eau alentour", précise Gilles Luneau, spécialiste du monde agricole.
Mais ces "méga-bassines" ne font pas l'unanimité, et des militants écologistes manifestent contre "l'accaparement de l'eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l'agro-industrie", indique Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines non merci à Reporterre.
De l'eau potable utilisée
En effet, pour remplir ces "méga-bassines", l'eau est directement pompée dans les nappes phréatiques. Pour Julien Le Guet, cette eau potable "est moins polluée que l’eau des rivières qui subit de plein fouet les nitrates, les pesticides" et pourrait être utilisé pour approvisionner les communes qui font face à un manque d'eau. Et de poursuivre : "Elle est captée, privatisée et accaparée au profit de quelques grosses fermes ayant recours à l’irrigation massive."Alors que les arrêtés de restriction d’eau se sont multipliés ces derniers mois, les gérants des bassines ont pu continuer à les remplir en pompant dans les nappes. Actuellement en France, plus de 70 départements font face à ces restrictions d'eau.
Un autre phénomène, le déficit pluviométrique, empêche les nappes de se remplir. Sur le territoire métropolitain, ce déficit est de plus de 35 % en 2022, avec 55,1 % de déficit pluviométrique à Marseille, 49,3 % à Nice ou encore 41,6 % à Toulouse.
De fait, par le manque d'eau dans les nappes, les agriculteurs ont besoin de pomper sur des périodes de plus en plus longues pour remplir les bassines, et potentiellement, ne pourront plus le faire entièrement dans quelque temps.
Les manifestations anti "méga-bassines"
Pour les associations qui militent contre la création de "méga-bassines", l'idée est claire. Ces réserves n'engagent pas à un changement du modèle agricole actuel, très gourmand en eau. De même, les militants indiquent que des dégâts sont constatés sur les terres lors des travaux.Aussi, l'argument de l'impact sur la biodiversité entre aussi en compte. En effet, cette eau retenue dans les méga-bassines ne va pas ruisseler dans les cours d'eau aux alentours, provoquant un assèchement de ces points d'eau.
Ainsi, en plus des manifestations, certains militants vont jusqu'à "désarmer" certaines réserves. Par exemple, lors d’une manifestation de plus de 3.000 personnes, à Cramchaban (Charente-Maritime), la pompe de cette bassine a été démontée.
Le sujet des méga-bassines est allé jusqu'en Commission européenne, puisque le 23 mars 2022, l’ensemble des requêtes déposées par le collectif Bassines non merci a été validée par la commission des pétitions du Parlement Européen. Le collectif affirme que ces projets de retenues d’eau enfreignent au moins neuf directives européennes.
Et du coup le projet alternatif c'est quoi on arrete de bouffer?
L'idée c'est de bien se faire bercer par l'idéologie made in USA, c'est à dire, s'excuser, se sacrifier, s'oublier au profit des enfants de demain, de Gaya, citoyen du monde.
Le tout sur fond de narcissisme et de pureté militante.
Le 30 octobre 2022 à 00:18:57 :
J'ai checké les différents twitter aucun n'a condamné on a meme sandrine qui estime qu'il y avait trop de policiers
Nan mais la Sandrine là... Foutez là en HP, c'est chiant d'entendre des handicapés mentaux.
Elle a rien à faire dans des discussions d'adultes, vous lui foutez une crotte et deux bâtons qu'elle joue avec, point barre.
Données du topic
- Auteur
- Cnkimperial1
- Date de création
- 30 octobre 2022 à 00:15:33
- Nb. messages archivés
- 199
- Nb. messages JVC
- 199