[Risitas X] Eve & Célestin

Chapitre 01 - CUL OU SEINS
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Dans la classe juste avant le début du cours de SVT, tu griffonais comme à ton habitude dans un coin de ton cahier froissé.

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- Alors Célestin Cul ou seins ?

- ...

- Oh le rêveur, je te cause. Je sais pas si je préfère le boule divin de Justine dans son slim ou le décolleté d'Ambre qui chute jusqu'au nombril ?

Tu soufflais de lassitude devant les éternels questionnements de Jean. Jean Reynaud, avait rejoint l'établissement en début d'année mais il avait déjà la réputation d'être le plus grand dégénéré du lycée. On l'evitait comme la peste et personne de normalement constituée n'aurait voulu des conversations au plus cordiales avec eux. C'était ton meilleur ami.

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- C'est pour me rendre fou toute cette chair. Bordel l'été c'est vraiment l'enfer. L'odeur de chatte nous enivre hein Célestin ! T'as vraiment pas de chance de repasser les vacances chez ta cousine et sa famille de catho coincé. Encore un été à se faire chier hein Célestin !

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S'exclamait-il de son rire des plus gras.

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- Tu peux arrêter d'être aussi vulgaire...

- Quoi !? tu la sens pas cette effluve de satan qui pourrait corrompre le plus sain des moines ?

- Comment tu veux que je la sente avec le masque ?

- Tu crois que c'est ce tissu de merde qui peut arrêter les particules les plus intenses de ce bas monde. Elles ont traversé les âges en excitant des milliards d'hommes du cro magnons dans sa grotte jusqu'au cadre de wall street... Bordel regarde qui vient d'entrer dans la classe !?

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Silvaine Durand. Cétait la fille la plus courtisée du lycée. Son 85D supposé et sa chute de reins à tomber n'y étaient pas étranger. Pas un jour passait sans qu'une rumeur sur ses moeurs légères ne bousculent la platitude des entre-cours. Pas une salle n'avait pas été marquée de ses fluides d'amour si on devait croire aux on-dit de tes camarades en rute. Mais il devait forcément y avoir une part de vérité dans ces bruits de couloir, non ? Ce style racoleur qu'elle cultivait devait forcément être la vitrine d'un appétit sexuel certain. Tu détestais quand Jean répétait ça mais il fallait avouer que tu le pensais un peu, au fond.

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- Elle, elle met définitivement fin au débat cul ou seins. C'est la synthèse de la parfaite succube !

- ...

- Je peux pas imaginer ne pas me la faire, ça me rendrait fou ! C'est le dernier jour de classe elle pourrait me faire une fleur tu crois pas !?

- Oui bien sûr. Elle a sûrement très envie de satisfaire un pestiféré ! Merde elle arrive. Elle t'a sûrement entendu t'es content !?

- Reste cool Célestin ! Hey !

- Qui c'est que tu mates comme ça !?

- Qui c'est que tu mates comme ça !?

- C'est eux qui arrêtent pas de me mater, je me sens agressé.

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Narguait Jean en louchant exagérément sur la poitrine de Silvaine.

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- C'est comme ça que tu parlerais à ta mère ou à ta sœur !?

- Quelle question stupide j'ai pas envie de me les taper

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Tu fermais les yeux de honte.

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- Espèce de malade tu me fous la gerbe ! J'ai une profonde peine pour toutes les femmes qui croiseront ta route dans leur vie.

- Arrêtons ce petit jeu de séduction qui dure depuis trop longtemps et réglons nos différents comme des grands. Tu préfères aux toilettes ou directement sous cette table ?

- Même sous la contrainte je toucherai jamais un porc comme toi... Et toi tu dis rien hein !

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T'interpellais-t-elle.

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- je... Non... Mais...

- Tu vaux pas mieux que ton copain. Vous finirez seuls et tristes d'être de la pire engeance de ce monde et ça me rend tellement heureuse !

- Moi aussi je t'aime.

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Elle lui cracha au visage et s'éloigna rejoignant ses copines qui, bientôt, vous devisageaient de dégoût.

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- Je lui remplirai son gros cul pour toi tu as ma parole

- ...
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Jurais Jean pensant sûrement que tu avais été piqué dans ton orgueil. Quel con. Comment ses mots auraient-ils pu te toucher. Être triste et seul, tu l'étais déjà et il n'y avait aucune raison que ça change. Alors tu continuais à griffoner sur ton cahier le portrait de celle à qui tu ne cessais de penser et que tu allais bientôt revoir durant cet été qui allait tout changer.

CHAPITRE 02 : La Malédiction

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Ca y'est l'année touchait à sa fin et l'été pouvait commencer. Tu ne reverrais plus tous ses veaux et leur sujets de conversation bas de plafond, les yes lifes et leurs soirées vaniteuses, les golems et leur passions tristes et ces grognasses qui n'existaient qu'à travers les kilos de graisse qu'occupaient leur derrière. Fini les cours chiants, fini les profs chiants, fini ce self chiant, fini. Mais quitter un enfer c'est entrer dans un autre et tu le sentais cet été allait encore être pénible.

Eve. 365 jours s'étaient écoulés sans que tu ne la vis. Pourtant elle n'avait jamais quitter un seul instant ton esprit.

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- Chat ! Dépêche toi de préparer ta valise on part bientôt.

- Oui.

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Gromelais-tu en mélangeant inutilement ton lait froid au fond de ton bol.

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- Je sais que tu aurais préféré partir en vacances avec tes copains de classe mais ça te fera du bien le grand air. Et tu vas pouvoir revoir Eve, tu es content !?

- Oui.

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Ça te terrifiait.

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- Tu pourrais répondre autre chose que par oui ou non. J'ai l'impression de parler toute seule ça ne va pas ?

- Mais laisse-le respirer un peu. T'es toujours sur le dos de ce pauvre gamin.

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S'agaçait ton père.

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- Ça compense avec toi ! Il pourrait attraper la gale que tu ne t'en apercevrais même pas.

- Il a pas la gale il a 16 ans.

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Tu souriais.

[11:54:33] <moicelestin>
Up j'aime bien pour l'instant kheyou

Merci du up j'espère la suite va te plaire. Si t'en as d'autre qui aiment bien n'hésitez pas à vous manifester hein, je me sentirai moins seul

Le 15 juin 2022 à 23:30:50 :

[11:54:33] <moicelestin>
Up j'aime bien pour l'instant kheyou

Merci du up j'espère la suite va te plaire. Si t'en as d'autre qui aiment bien n'hésitez pas à vous manifester hein, je me sentirai moins seul

De rien kheyou, au moins t'es pas poussé par des mecs à l'aah pour faire 9 Chap par jour, prends ton temps pour l'instant t'écris pas mal, juste des chap un peu plus longs ça serait agréable parce que là on est parti de fin de l'année sco aux débuts de vacances sans qu'il se passe rien

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Rien n'avait changé sur la route jusqu'à chez ton oncle Hector malgré toutes ces années. Ces champs à perte de vue, les nuées d' étourneaux migrateurs qui parsemaient le bleu du ciel, les arbres centenaires dont on ne voyait plus le bout. Tout semblait éternel, tout semblait infini.

Ce rêve éveillé t'aurait presque fait oublié les crampes d'estomac que tu traînais depuis votre départ. Jusqu'au bout tu avais espéré que ce voyage soit annulé. Mais tu devais te rendre à l'évidence tu étais coincé. Bientôt tu reverrais Eve. Tu serais obligé d'être près d'elle, de lui parler, pire de la regarder dans les yeux, ces yeux qui voilaient à peine les pensées les plus inavouables dont elle était l'inspiration. Tu ne pourrais plus te cacher et ça te terrifiait.

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- Enfin arrivés ! Chéri tu as bien pris la bouteille de vins pour Hector ?

- Ce n'était pas à toi de t'en occuper ?

- Nan mais je rêve ! J'ai préparé toutes les valises et t'es même pas capable de te souvenir d'une bouteille de Chateaubriand !?

- De toute façon Hector n'a jamais aimé ça.

- Qu'est-ce que tu racontes encore...

- Il fait semblant pour te faire plaisir ma pauvre.

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On entendait quelqu'un éclater de rire au balcon. D'un rire grave et dominant

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- Toujours en train de vous engueuler vous deux. Annelle, depuis le temps que je te dis que tu devrais le quitter !

- Ne lui donne pas de telles idées Canaille !

- Tu vas mieux parler à ton grand frère.

- Et c'est reparti pour un tour entre ces deux là. Vous ne grandirez jamais...

- Coucou !

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Ça venait du garage. Une voix douce et suave. Il avait suffit que tu l'entendes pour que tes muscles se crispent dans le même état d'alerte que connaissait une biche face à un prédateur. Cette voix même si elle semblait plus rocailleuse qu'il y'a 1 an, tu la reconnaîtrais entre 1000.

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- Eve ! Viens par là que je t'embrasse ma grande. Tu as encore réussi à t'embellir en un an tu vas devoir me donner ton secret.

- C'est toi qui es sublime tante Annelle. J'adore ta nouvelle coupe de cheveux.

- C'est vrai !? Ton oncle n'a même pas remarqué le changement !

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Elles riaient.

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- Célestin, viens dire bonjour à ta cousine !

- ...

-

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Tu ne bougeais pas. Tu ne l'avais même pas entendu. Tes sens étaient court-circuités comme si une saturation avait provoqué leur disfonctionnement. On t'avait débranché. Eve. Ta malédiction.

[10:49:11] <moicelestin>

Le 15 juin 2022 à 23:30:50 :

[11:54:33] <moicelestin>
Up j'aime bien pour l'instant kheyou

Merci du up j'espère la suite va te plaire. Si t'en as d'autre qui aiment bien n'hésitez pas à vous manifester hein, je me sentirai moins seul

De rien kheyou, au moins t'es pas poussé par des mecs à l'aah pour faire 9 Chap par jour, prends ton temps pour l'instant t'écris pas mal, juste des chap un peu plus longs ça serait agréable parce que là on est parti de fin de l'année sco aux débuts de vacances sans qu'il se passe rien

Je vais essayer de fournir plus de chapitres. Déjà ce week-end il devrait y en avoir plus et plus long normalement.

[10:55:22] <Watarii111>
J'aime bien c'est cool pour le moment

[11:48:21] <Reb22aN>
C'est très bien écrit. Le chapitre avec Jean trop bien

Merci les kheys. Si y'a des trucs que vous aimez pas, etc n'hésitez pas à me le dire pour que je m'améliore

CHAPITRE 03 : LES DÉLICES

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Ses cheveux châtains qui reflétaient les rayons du soleil, ses jambes légères qui pourraient s'envoler, ses yeux ravageurs, ses lèvres, ses seins. Ils n'avaient pas quitter ton esprit en 365 jours mais c'était comme si tu les voyais une première fois. Chaque parcelle de son corps paraissait plus aguicheuse que dans ton souvenir.

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- Avec toi, c'est toujours à moi de faire le premier pas.

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Prononçait Eve en s'approchant lentement avant de te baiser la joue. Ça électrisa ton corps tout entier. Tu n'arrivais même pas à la regarder dans les yeux et les seuls instants où tes pupilles croisaient les siennes, tu baissais par réflexe le regard. Tu enfonçais tes mains dans tes poches, le plus profondément possible pour pas qu'on les voit trembler. Rien ne devait transparaître ; le moindre relâchement et tu serais couvert de honte.

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- Bon vous rentrez dans la maison ou vous comptez rester là jusqu'à samedi prochain ?

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Heureusement Oncle Hector détourna l'attention sur lui. Tu pouvais respirer un peu. C'était sans compter sur Eve qui te bouscula sciemment.

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- Alors je t'ai manquée ?

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Tu souriais gêné.

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- T'as avalé ta langue ? Ça expliquerait en partie pourquoi t'as l'air d'avoir doublé de volume depuis la dernière fois.

- T'as pas changé. Eve.

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Elle ne t'écoutait déjà plus et se ruait sur ta mère pour la câliner se blottissant sur elle comme un chat sur une pelote de laine.

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- (Arrête de mater son cul putain)

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Un festin vous attendait dans la salle à manger. Le hasard ne t'aidait pas puisqu'on t'avait assis en face d'Eve.

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- Comment Lilith a réussi à faire tout ça ? Où est-elle d'ailleurs ? Nous ne l'avons pas aperçu depuis son arrivée.

- Son entreprise organise un séminaire, elle nous rejoindra la semaine prochaine... Mais elle vous embrasse et est désolée de ne pas pouvoir être là.

- Mais qui a préparé tout ça !?

- Certainement pas Hector et ses 2 mains gauches

- Ça suffit amplement à te mettre la misère au paddle et à la bagarre... C'est ma mini femme qui a organisé toute seule.

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Dit-il en dévisageant sa fille.

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- Eve ! C'est incroyable ce que tu as fait, toutes ces couleurs sont magnifiques !

- C'est trois fois rien je vous assure...

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Relativisait ta cousine mal à l'aise face à tous ses compliments.

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- Elle devient responsable la petite elle tient certainement pas ça de son père.

- Tu crois pas si bien dire. Hier encore elle me regardait avec ses yeux d'enfant cet maintenant là voilà déjà grande. Ça pousse plus vite qu'on ne pense ces choses-là, on n'a à peine le temps de profiter d'eux qu'ils sont déjà adulte. Je dois me battre à longueur de journée avec ses petits copains qui veulent me l'a volé. Vous les verrez trainer devant le maison, on dirait des fourmis s'agitait autour de la reine. Je fais tout mon possible pour les chasser mais je vais pas pouvoir tous les chasser et Eve ne me rend pas non plus la tâche facile !

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Ça riait sauf Eve embarrassée.

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- T'es tellement gênant.

- Tu ne serais pas un peu surprotecteur sur les bords mon cher Hector ?

- Et Annelle sait de quoi elle parle.

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Sa femme lui lança un regard noir.

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- Je grossis le trait. Il n'empêche que sur le fond je pense être dans le vrai mais moi ça fait bien longtemps qu'elle ne m'écoute plus.

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Oncle Hector se tourne vers toi.

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- Petit prince, dis lui toi que tous ces garçons ne viennent pas la voir avec comme idée d'être simplement son ami...

- Pourquoi moi.... Je... Sais pas moi... C'est ma cousine... Rien de plus...

- ...