[Risitas X] Eve & Célestin

[15:41:17] <moicelestin>
ON VA BZ ON VA B2

Alors peut être !

[15:42:01] <moicelestin>
D'ailleurs le chapitre est plus long que d'habitude non ? Ça fait plaisir

Oui à la base c'était pas prévu comme ça. Je vais éviter que ça dépasse les 2 parties.

[17:07:00] <KapitaineKhey22>
Ahi j’ai tout lu cash

Cimer khey j'espère que la suite te plaira

[22:09:55] <ShimaSaito14>
Super, GG l'auteur !

Je me doutais bien qu'il se passerait quelque chose de mauvais dans cette baraque, il fallait au moins ça pour couper Célestin a son enfance.

Ouais il s'est pris une claque mais on quitte jamais vraiment cet endroit.

Sweet ou explosion de foutre pendant ton prochain entretien d'embauche

[01:21:28] <LeRisiSinge0>
SWEET

[01:32:18] <V_X_15>

Le 25 juillet 2022 à 01:21:28 :
SWEET

[13:22:09] <skient38>
Sweet

[15:02:16] <SugarWeather>
Sweet

[21:16:29] <Shuriken-School>
Sweet or DDB

Ok sweet

CHAPITRE 10 - TROP JEUNE, TROP C*N

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Une luxation du coude gauche et une entorse du poignet droit. Voilà le premier diagnostic du médecin. Tu devrais porter une attelle et un plâtre sur respectivement chacun de tes membres pour au moins 10 jours le temps d'une nouvelle consultation.

Quel c*n. Te blesser durant les vacances. Shooté par la cortisone, le retour à la maison se fit dans une atmosphère quelque peu étrange. Seul des bribes de la conversation qui se déroulait dans la voiture arrivait jusqu'à toi. Il y'avait les remontrances de ta mère. L'énervement de ton père aussi.

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- Évitez de vous mettre en danger bêtement, combien de fois vais-je devoir le répéter ! Mais ça vous passe au dessus hein !? Je sais que vous vous sentez invincible mais vous êtes encore des enfants. T'imagines si tu étais tombé sur la nuque !

- ...

- Qu'est-ce qui vous a pris de vous rendre dans cette maison abandonnée ? Je pensais que ça vous était passé depuis le temps...

- Mais c'est le cas... On voulait simplement y retourner comme ça...

- Eve. Je suis très déçue de toi. Je vais en discuter avec ton père afin que ce genre de choses ne se reproduise pas.

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Eve grimaça de la même moue d'enfant qu'à l'époque. Tante Annelle n'avait pas tort, l'accident n'aurait pu être gravissime mais tout allait rentrer dans l'ordre finalement alors pourquoi ne faire toute une histoire... D'ailleurs, un accident domestique de la sorte aurait pu très bien arriver chez eux se disait-elle sans trop y croire.

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- T'es content ? On risque de passer toutes nos vacances enfermer maintenant... T'as eu ce que tu voulais !?

- ...

.

Ton état gateux l'enervait d'avantage. Elle te cogna sans vergogne le coude d'une manière assez discrète pour ne pas que les parents s'en aperçoivent et assez fort pour te faire mal. Tu retombas dans les pommes.

______

La vie sans bras, c'est compliqué. Tu pouvais assurer les gestes de première nécessité comme comme te torcher ou te brosser les dents, mais dès que tu entreprenais une action un peu plus sophistiquée cela prenait des airs de montagnes infranchissables. Manger seul t'était quasiment impossible sans y passer des heures ou sans en mettre partout.

Ce fut à Eve, comme une punition, qu'on incomba la tâche de t'occuper de tout ce que tu ne pouvais plus faire. Elle coupait ta viande, te servait la boisson, ramenait tes plats, faisaient tes tâches ménagères. Bientôt tu devins le pacha de ces lieux et ça avait tout pour te plaire. Même si ta cousine rechignait à la tâche au début, elle comprit vite qu'il fallait faire avec tant que tu étais handicapé. Eve était devenue tes mains et contre toute attente ça vous rapprocha. Par exemple, tu lui tenais compagnie quand elle s'occupait du linge et l'aidais tant que tu pouvais. Jamais, à deux, vous pouviez garder votre sérieux très longtemps et malgré ton état, ta cousine n'hésitait pas à te mettre la misère dès qu'elle en sentait l'envie. Il y'eut même une fois où elle te fit une clé de bras après que tu aies devié le jet du tuyau d'arrosage vers elle et tu en étais certain, ça avait aggravé ton entorse au poignet.

Ces jours heureux auraient pu durer jusqu'à ton rétablissement s'il n'y avait pas cette chose en toi, incontrôlable, insidieuse mais présente à chaque instant coincé là dans tes entrailles. Cette chose qui grandissait à mesure où tu étais dans l'incapacité d'en extraire la sève. Privé de tes mains, tu imaginais divers techniques pour te soulager mais, croyez le ou non, se frotter ardemment le bas ventre contre son matelas n'est pas très efficace à part si vous tenez à vous écorcher le gland.

Alors tu décidas de ne plus toucher ton membre et de compter sur des stimuli visuels assez forts pour te faire jouir. Tu commençais à regarder des films X dans un attirail supra immersif afin que ton attention soit totalement porté sur ce que tu regardais. Casque anti bruit, lumière éteinte, yeux à moins de 10 centimètres de l'écran. Tout était bon pour que tu sois plongé le plus intensément possible dans l'action. Et ça marchait mais à chaque fois que tu commençais - très, trop souvent - il te fallait toujours dépasser les limites que tu t'étais toi même fixer pour arriver à tes fins. Au bout de 3 jours, g*ng b*ng hardcore te paraissait déjà fade et une nouvelle inclination pour les prolapsus naissait. C'était la déviance de trop. Tu t'arrêtas net.

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- L'expérience supra immersive à la poubelle !

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Il fallait trouver quelque chose qui t'exciterait sans commune mesure, sans que jamais tu ne te lasses. Quelque chose qui te ferait bander même mort. Quelque chose qui te ferait jouir pendant des siècles. Quelque chose d'aussi bandant qu'Eve. Eve.

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- Il me faut Eve.

[00:37:02] <moicelestin>
Mmh..
Comment tu sais que ça écorche le gland de se le frotter contre le matelas ?

C'est un ami qui m'a dit

[00:38:28] <moicelestin>
À quand les choix d'ailleurs?

Je compte en mettre quelques uns mais ce sera pas quelque chose de récurrent à part si vous en avez vraiment envie.

[01:18:26] <skient38>
Sweet

[02:17:31] <V_X_15>
Sweet

[11:23:10] <Tobec6363>
Sweet

[15:03:58] <SugarWeather>
Sweet

[19:33:06] <Shuriken-School>
Sweet or écorchage de gland

[00:36:40] <hichem95>
Sweet

Ok

L'opération. Tu y avais réfléchi pendant des heures, l'avait condamné pendant des jours mais t'étais résolu à le faire dès la première seconde. À vrai dire ça n'avait ni futur ni vision à long terme, c'était quelque chose de totalement instinctif mais de terriblement nécessaire. Quelque chose de tellement fou que tu en étais sûr, la simple évocation de ce souvenir suffirait à te faire jouir pour le restant de tes jours.

Cette possibilité d'extase mettait une chappe sur toutes les choses qui auraient pu mal se passer durant l'opération. Si ça loupait, qu'en dirait tes parents, son père ou même elle. Tant pis, l'occasion était trop belle.

Il y'avait ce placard à balais percé dans la salle de bains. Il était percé de rectangles assez fins pour te laisser un panorama sur toute la pièce. Ce placard étroit mais suffisamment grand pour une personne à condition qu'on en retire tout son contenu.

C'était toujours vers le midi que celui chargé de corvée de salle d'eau s'en occupait alors, tu cachas balais, plumeaux et autres serpillières sous ton lit. Eve, réglée comme une horloge, se douchait toujours à 14 h. Il ne restait plus qu'à attendre dans ce placard à l'odeur douteuse mais tu en étais sûr le jeu en valait la chandelle. Ce sentiment d'inconnu, les zones de flou étaient généralement des choses qui te rendaient anxieux mais cette fois ils catalysaient ton excitation. Tu commençais à apprécier la saveur que provoquait le risque.

.

- Oncle Hector m'a bien fait comprendre qu'il ne laisserait plus rien passer mais je suis quand même ici à attendre Eve...

.

Chaque minute te rapprochait de l'instant fatidique, l'instant où tout se jouerait. Tu la verrais enfin dans le plus simple appareil. Toi qui avais, jour après jour, laissé ton esprit imaginer chacune de ses courbes, bientôt ce seraient des images sensibles qui effaceraient toutes les ébauches.

.

- (Eve dans la tenue d'Eve... Je crois que je suis venu au monde rien que pour ce moment.)

.

Dans quelques minutes, tu ne verrais plus jamais Eve comme avant.

La porte de la salle de bains grinça. Quelqu'un entrait.

.

- Déjà !? Elle était censée arriver un peu plus tard... Heureusement que je suis pas sorti pour pisser.

.

Caché dans ce placard plongé dans le noir, tu ne pus voir que ses pieds nus et délicats. Par des petits pas de danseuse, elle arrivait au niveau du placard. Jamais tu n'avais relevé d'affection particulière pour les pieds mais dans ce contexte si particulier, ils s'avéraient bien être un objet fétichisant de premier ordre. Ça t'excitait tellement que tu tentais tant bien que mal de décoller ton membre cognant la porte à chaque battement de ton coeur emballé.

Elle se coulait un bain. Les percures du placard laissait entrevoir la serviette immaculée qu'elle avait noué autour de son buste pressé.

Bientôt la serviette tomba au sol déclenchant instantanément une contraction folle de ton cœur. Ta déglutition devint impossible alors que tu retenais ton souffle moins par volonté que de choc face à toute cette chair couleur porcelaine. Elle plongea quelques doigts dans le bain et, satisfaite elle y plongea le pied droit. Puis le gauche. Retournée, elle laissait entrevoir une partie inférieure de ses fesses, tu te doutais bien qu'elle avait été gâtée de ce côté là vu le galbe fou que partageaient chacun de ses pantalons mais tu n'avais pas imaginée à ce point. Ces lignes avait dû être façonnés par les dieux pour être aussi parfaits.

.

- (Bordel ce corps de cochonne !)

.

Lentement elle plongeait dans l'eau. Bientôt tu vis le bas de ses reins, puis son dos puis la chute de ses cheveux noirs et...

- (Maman !??? )

.

...le visage détendu de ta mère dans cette eau transparente. L'excitation se dissipa en un claquement de doigts. Il avait fallu que ce soit elle qui prenne un bain à cette heure là, aujourd'hui ! Combien de chances y avait-il que ça arrive ? Tu tentais de détourner le regard du corps de celle dont tu étais sorti des entrailles mais, par obligation, tu les entrouvais à l'occasion pour savoir si ton calvaire avait fini. Tu voulais qu'une chose, sortir d'ici le plus rapidement possible. Chaque fois que tu ouvrais les yeux, c'était une nouvelle image d'horreur qui s'inscrivait dans ta mémoire. Loin de toi l'idée de critiquer son physique mais voir son géniteur de la sorte faisait parti de ces choses qui déstabiliseraient quelque soit l'âge n'importe qui, au même titre que de voir pleurer ces ascendants.

Après quelques temps, ta mère se leva enfin du bain.

.

- (Enfin...)

.

Te disais-tu dans un soulagement extrême.
Elle fouillait dans la montagne de vêtements qu'elle avait emmené avec elle.

.

- Qu'est-ce qu'elle cherche ?

.

Elle en extirpa une énorme chose noire et reluisante. Ça faisait facilement la taille de son bras.

.

- Ça peut pas être ça...

.

Ta mère, toute émoustillée, saisit de ses 2 mains qui n'arrivait pas en faire le tour ce titan de silicone. Après avoir replongé dans le bain, elle commença à le caresser. Même poser au fond de l'eau le dildo dépassait bien de moitié. Elle, concentrée, le contemplait de bas en haut comme pour l'appréhender.

.

- Ne me dis pas que...

.

Ta mère entourait le colosse entre ses jambes et alternait les fortes pressions au relâchement. Ça avait suffi pour la faire rougir alors que la pièce s'embruma assez pour te donner chaud mais pas suffisamment pour dissimuler ce spectacle effroyable. Elle se mit à écarter les jambes et à frotter ce gland artificiel plus gros qu'un pamplemousse contre son entrecuisse caché par le savon. Ses gémissements mêlaient cri et rictus fébrile dans une tonalité ondulante que tu ne lui connaissais pas. Elle se mordillait les lèvres de défi.

- Le moment est venu...

- (Elle va quand même pas... Même Lana Rhoades n'arriverait pas à se rentrer cette horreur. C'est impossible ! )

.

Elle s'étala de tous son long dans le bain et écarta les jambes autant qu'elle le pouvait. Elle sortit le dildo de l'eau et le positionna de sorte qu'il soit dans l'axe de ses cuisses. Après une profonde inspiration elle commença l'insertion. Méticuleuse elle entrait centimètres par centimètres l'engin. Elle serrait rageusement les dents quand elle ne lâchait pas des grognements sont tu ne pouvais distinguer s'il témoignait de douleur ou de plaisir. Ses râles étaient plus audibles comme si elle s'essoufflait. Elle n'avait pas inséré la moitié que tu te demandais comment un truc aussi immense pouvait rentrer dans un petit bout de femme.

.

- C'est peut-être moi qui l'ai déformé quand je suis né... C'est pas vrai elle accélère !

.

Elle augmenta la vitesse d'insertion de l'engin en elle provoquant des gémissements de plus en plus audibles et incontrôlées. Arrivée au trois-quarts elle mit une violent coup pour tout faire entrer. Un rugissement d'extase la prit et bientôt ce fut son visage qui se défigura de plaisir.

.

- Maman...

.

De ton côté, tu allais devoir nettoyer ton caleçon, ton pantalon, la porte du placard et tes pensées.

Le 27 juillet 2022 à 01:32:48 :
Sweet ou swat

Salut le double L