[IL ETAIT UNE FOIS...] L'histoire de l'HUMANITE
---------------------- La Période Thinite ( - 3150 à - 2687 Avant J-C) ---------------------
La période thinite marque le début officiel de l’histoire de l’Égypte.
La Période Thinite (ou Archaïque) couvre les deux premières dynasties de Pharaons. Elle est ainsi désignée parce que Manéthon (Prêtre Égyptien du IIIème Siècle) leur assigne Thinis, ville de Haute-Égypte, comme lieu d’origine. Cette période s'ouvre aux alentours de 3150 av. J.-C. par la première unification de l'Égypte et se termine vers 2700 avec sa réunification, définitive cette fois.
Nous ne savons presque rien des événements politiques qui traversent le règne des rois de la période.Selon le récit mythique des origines de l'Égypte, le premier roi humain à avoir régné sur la totalité de l'Égypte était Ménès. Aujourd'hui, la plupart des chercheurs identifient cette figure mythique au roi Narmer.
Ière DYNASTIE :
Après Narmer, la succession des sept rois suivants jusqu'à Qâ est connue avec une certaine certitude. Ces huit souverains ont, règne après règne, tenté de consolider l'unification du pays. Ils se sont tous fait enterrer près de leur capitale Thinis. A cette époque, L'État devient centralisé, et on note la création d'une économie prospère. La transition entre la Ire dynastie et la IIe est tout à fait pacifique.
La Ire dynastie est caractérisée par de nombreuses innovations et introductions administratives.
Notamment le développement de la numération hiéroglyphique. Chaque souverain de la Ire dynastie a fait construire ses propres résidences royales. La politique étrangère était caractérisée par le troc avec les régions voisines telles que la Syrie, le Levant et la Nubie : ce commerce existait déjà à l'époque prédynastique
Naissance du pouvoir absolu :
Les pharaons commencent à établir une institution forte et sacrée de la royauté. Ils ont le contrôle sur la terre, les champs, les canaux d’irrigation, le travail, les mines, les tribus versés par les colonies étrangères, etc. Le Pharaon possède tout, l’Égypte entière lui appartient. Son rôle est d’assurer la survie et la croissance de la civilisation.
Les Mastabas (Pré-Pyramides) et Culte des morts :
Le mastaba est un édifice funéraire égyptien servant de sépulture aux rois des deux premières dynasties1, ainsi qu'aux hauts dignitaires, de l'époque archaïque au Moyen Empire.
Les Égyptiens commencent à diviniser leurs morts. Ils construisent des mastabas, tombes abritant caveaux et chapelles, qui servent de sépulture funéraire aux pharaons.
Des serviteurs généralement jeunes (environ 20 ans) sont enterrés à côté du pharaon pour le servir dans l’au-delà. On trouve parfois aussi des animaux domestiques, voir des lions, pour que le pharaon puisse chasser après sa mort. De nombreux objets précieux sont placés à côté du mort pour l’accompagner dans l’au-delà, ils sont représentatifs de son rang social.
L'un des plus anciens mastabas dont nous ayons connaissance se situe à Nagada, en Haute-Égypte.
Unification du pays :
Les royaumes de Haute-Égypte et Basse-Égypte s’affrontent lors d’une bataille remportée par le roi Narmer (qui est peut être aussi le roi Ménès, un doute subsiste) venant de Thinis en Haute-Égypte. Thinis devient la capitale de son nouveau royaume et il fait également construire une seconde capitale à Memphis, là ou se rencontrent les 2 Égypte. Thinis est résidence royale sous la Ire dynastie. Son déclin commence lors de la IIe dynastie quand la capitale est déplacée à Memphis (forteresse au point de jonction des deux anciens royaumes)
Elle demeura la capitale durant tout l'ancien Empire et joua jusqu'à la fin de l'histoire pharaonique un rôle important. À l'époque grecque, c'est encore là que le roi devait se faire couronner selon un rituel antique.
La palette de Narmer témoigne de l'unification politique du pays.
Mais contrairement au récit traditionnel probablement conçu au début du Nouvel Empire6 et qui attribue l'unification de l'Égypte au seul Narmer/Ménès, les historiens estiment que celle-ci aurait été très progressive et se serait déroulée sur plusieurs siècles
Apparition de l'écriture hiéroglyphique :
D'emblée, la double utilisation des signes, pour leur valeur image (idéogramme) et pour leur valeur son (phonogramme) est attestée (le nom du roi est noté par deux signes utilisés comme phonogrammes : le poisson nâr et le ciseau de sculpteur mer).
IIe dynastie :
Cette dynastie marque un renforcement d'un pouvoir absolu qui repose sur une organisation centralisée et l'utilisation plus intensive de l'écriture. Memphis devient la capitale de l’Égypte réunifié.
Il n'y a pas coupure nette entre la première et la deuxième dynastie. Certains indices laissent supposer des troubles entre les Deux Terres.
il est probable qu’une lignée de rois régnait au sud à Abydos, quand une autre lignée, au nord, avait pour capitale Memphis, qui avait une situation géographique intermédiaire entre le nord et le sud. Ainsi, des rois comme Péribsen et Sekhemib devaient être des rois de Haute-Égypte, tandis que Ouneg et Noubnefer devaient être des rois de Basse-Égypte. Les raisons de cette division sont inconnues.
La raison de la division de l'Égypte peut avoir été des conflits entre l'État et la religion.
Les rois de la deuxième dynastie doivent lutter contre les Nubiens et achever la pacification du Nord. Cette pacification et réunification du pays se fera à la fin de la dynastie par Khâsekhemoui.
Réunification de l'Égypte :
Ce qui est sûr, c'est que le dernier roi de la IIe dynastie, Khâsekhemoui, règne sur un pays unifié.
Ce roi venait probablement de Haute-Égypte, car il s'est fait enterré dans un grand mastaba dans la nécropole d'Oumm el-Qa'ab près d'Abydos, nécropole des rois de la Ire dynastie.
À la fin de cette dynastie, les systèmes d'administration égyptiens sont désormais en place, dont la religion qui s'épanouira à toutes les époques. Ainsi, à la mort de Khâsekhemoui, son fils Djéser monte sur le trône et fonde ce qui sera l'Ancien Empire.
Malgré tout, ce n'est pas pour autant un changement radical. Excepté l'architecture funéraire royale, la IIIe dynastie est dans la continuité de la IIe dynastie, la grande innovation de cette dynastie est l'architecture en pierre de taille (la pierre avait déjà été utilisé auparavant, mais pas dans de telles proportions) et les complexes funéraires royaux qui prennent des dimensions sans commune mesure avec les tombeaux de la IIe dynastie, celui de Khâsekhemoui compris.
Le Pharaon le plus célèbre de cette période est sans conteste Narmer (qui serait peut-être Menes) et à qui on attribue l'unification des deux Egyptes
13ème Numéro : La Révélation des Pyramides (1ère Partie)
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=HFpHDXUgcqw&t=893s
Résumé détaillé du Reportage : (Cliquez sur le "Spoil")
-------------------------------- La Révélation des Pyramides ----------------------------------
Introduction :
J'ai mené mon enquête sur la pyramide de Gizeh car il y a des choses inexpliquées par l’égyptologie. Alors j'ai décidé d'enquêter pour savoir comment la pyramide avait été construite. Mais cette quête m'a mené au-delà de mes espérances. Tout ce qui va suivre repose sur des faits.
Pour la première fois au monde, vous allez être témoin direct d'une découverte majeure. Que vous adhérez ou non à ces Conclusions, une chose est certaine, vous ne verrez jamais plus notre planète sous le même œil. Je vais sérieusement mettre à mal l'histoire de l’Égypte ancienne telle qu'on nous la raconte habituellement. Nous allons commencer à passer en revue les huit principales prouesses de nos bâtisseurs pour la construction de la grande pyramide.
Les 8 Prouesses des bâtisseurs :
1ère Prouesse : Avant de bâtir la grande pyramide, les bâtisseurs ont d'abord totalement rasés une colline et laissé un pivot géant au centre. Autour de ce pivot, ils ont sculpté la roche pour encastrer les blocs de dallages aux formes étranges pesant chacun le poids d'une Berline.
2ème Prouesse : Les bâtisseurs ont transporté sur 900 Km près de 130 Dalles de Granit de 12 à 70 Tonnes chacune et les ont hissé jusqu'à 70 mètres au dessus du Sol. Chose qui serait difficilement réalisable actuellement.
3ème Prouesse : La grande pyramide ne comporte que 3 chambres ridiculement petites compte tenu du gigantisme de l'édifice (Chambre basse, médiale et haute). Ils ont réalisé un tunnel large d'un mètre et long d'une centaine de mètres qui traverse la maçonnerie pour s'enfoncer avec une stupéfiante précision dans la roche et au bout duquel ils ont réalisé la chambre basse.
4ème Prouesse : Ils ont empilé plus de 2 millions de blocs de pierre, de formes et de tailles différentes. Ce qui est beaucoup plus difficile qu'avec des blocs identiques. Chaque bloc pèse le poids d'une grosse Berline. La chambre haute est parfaitement horizontale et verticale et sa précision de réalisation est supérieure à celles des constructions modernes. La pyramide a traversée sans dommage au moins 3 tremblements de terres dont un qui a ravagé Le Caire au 13ème siècle, et pourtant, rien a bougé.
5ème Prouesse : Ils ont orienté la pyramide si précisément qu'elle ne décalait du Nord que de 5 centièmes de degrés. 4500 ans plus tard au 18ème siècle on était 5 fois moins précis. (Observatoire de Paris = 25ème centièmes de décalage).
6ème Prouesse : La Grande Pyramide possède en réalité 8 Faces et non 4, car chaque côtés et très légèrement creusés. Ce qui complique durablement la constructions surtout qu'aucun de ces blocs n'est semblable. Pas certain qu'aujourd'hui on soit capable de faire cela.
7ème Prouesse : Selon les Égyptologues la construction a duré 20 ans. Cela voudrai dire que pour 12H de travail par jour, 365 jours par an, ça représente un bloc extrait, taillé, hissé et ajusté toutes les 2 minutes 30.
8ème Prouesse : Sachant que les bâtisseurs ne connaissaient ni la Roue, ni le fer et l'acier, c'est donc avec des burins de cuivre, des maillets de pierre, des cordes de chanvres qu'ils auraient réalisé la dernière des 7 merveilles du monde antique et la seule encore visible de nos jours.
On récapitule :il y a 4700 ans alors que le reste de la planète est vêtue encore de peaux de bêtes, les bâtisseurs ont construit la grande pyramide de Gizeh. Une colline de calcaire rasée, un dallage gigantesque sur presque 60 000 Mètres² (6 terrains de Football), 2 millions de blocs empilés pour un poids total de 6 millions 200 000 Tonnes = Un immeuble de 42 étages. Un couloir étroit et totalement rectiligne de près de 100 mètres qui traverse la pyramide et s'enfonce dans la roche. 130 Dalles de Granit hissés jusqu'à 70 Mètres au dessus du sol et ajusté au 10ème de millimètre. 8 faces au lieu de 4. Une résistance hors pair aux séismes. Une précision d'assemblage et d'orientation moderne. Et le tout en seulement 20 ans avec des burins de cuivre, des maillets de pierre …
Prenons l'histoire de L'Ancien empire, la période à laquelle on a construit la grande pyramide. Selon L’égyptologue le plus titré au monde, les dates de l’Égypte ancienne ne sont certifiées qu'à partir de 680 Avant J-C car on a pu regrouper les Archives Égyptiennes avec celles des Romains et des Grecs. Mais avant, il y a bien des idées mais aucun texte formel qui ne raconte, notamment pour les Pyramides d’Égypte. Même chose pour Khéops dont la pyramide serait le tombeau. On ne sait pas exactement quand, n'y combien de temps il aurait régné. Concernant la grande pyramide, il ne s'agit que d'opinions et à ce jour, rien n'a encore été démontré.
Voici un chantier qui va nous permettre de comprendre l'ampleur de la construction de la grande pyramide. Dans les années 60, 22 pays financés par 50 nations utilisant des techniques de pointes rehaussèrent le temple d'Abou Simbel de plus de 60 mètres pour éviter qu'il ne soit recouvert par les eaux du barrage d'Assouan. Malgré les rues et les camions, il fallu 5 ans pour débiter et reconstruire ce temple en seulement 2200 Blocs. 5 ans pour 2200 Blocs contre 20 ans et 2 millions de blocs pour la grande pyramide, sans grue et sans camion.
Gizeh : 230 mètres de base, 146 mètres de haut, 20 ans
Pyramide Teotihuacán : 225 mètres de base, 65 mètres de haut, 150 ans.
Alors pourquoi l’Égyptologie s'accroche t-elle à cette durée ridiculement courte de 20 ans ? Si elle acceptait la durée plus longue que les 20 ans de règne de Khéops, ça ne pourrait plus être son tombeau, ce qui ne se discute pas. Comment expliquer également la forme étrange des blocs qui ne se ressemblent absolument pas ? Il y a une volonté claire de les retailler et de les ordonner compte tenu de leurs formes symétriques d'un côté et de l'autre d'un mur. Mais comment est-ce possible sur des blocs aussi durs que de l'acier trempé ? En plus de les manipuler sans grue et avec ce genre d'outils (Burin et maillet de pierre). Alors, quelle pouvait être la raison de ces formes étranges qui complique considérablement le travail ? Pour avoir un monument qui tienne, on est obligé de construire quelque chose d'hétérogène (Blocs de tailles et de formes différentes). Pour preuve, la Grande pyramide a résisté à 3 gros séismes. Si c'est bien la raison de ces formes, ça voulait dire que les bâtisseurs le savaient.
Certains spécialistes affirment que les creusements des faces (8 au lieu de 4) de la pyramide sont volontaires et qu'ils auraient fait cela pour indiquer les équinoxes. Même si cela compliquait la construction. D'autres persistent à penser que le creusement des faces de la pyramide est purement accidentel. Selon eux, pendant la construction, la pyramide se serait tassée sur elle-même en créant ce renfoncement. Évidemment, aucun Égyptologue ne voulait reconnaître. Car ça revenait à admettre qu'en construisant cette pyramide à cet endroit précis, avec cette forme précise et ces dimensions elle produirait ce phénomène au moment des équinoxes. Ce qui est difficilement explicable au vu des outils rudimentaires dont les bâtisseurs disposaient.
Place au 2ème tabou de l’égyptologie : L'outillage des bâtisseurs.
AU tout début de la civilisation Égyptienne, sous la pyramide de Saqqarah, nous avons retrouvés 40 000 objets à la finition parfaite, même lorsqu'elles sont faites de pierres plus dures que l'acier, qu'on ne possédait pas à l'époque. Ni le musée du Louvre qui garde ces objets ni personne d'autres ne se sont réellement intéressés à la technique de réalisation. Comment as t-on réalisé 40 000 pièces aussi parfaite alors que l'on sortait tout juste de la préhistoire ?
Je me suis rendu à Assouan, à 900 Km des pyramides, lieu d’où provient la carrière de Granit rouge employée à l'époque des bâtisseurs de la pyramide. Puis je suis allé à Thèbes voir les deux colosses de Memmon, les deux plus lourdes statues au monde. Elles font entre 1300 et 1800 Tonnes. Je posais alors la question épineuse, pouvez t-on être certain qu'on pouvez faire ça avec des pierres et des cordes ? On me répondait que oui, car c'était la, devant mes yeux, et que l'on avait que des moyens simples à l'époque. Donc le fait que c'était la prouvait selon eux, que c'était possible de le faire avec des moyens simples.
Pourquoi n'avons t-on pas émis l'hypothèse plus crédible qu'il puisse y avoir des machines ? On a retrouvé aucun document d'époque qui indiqué comment ils avaient fait. L’égyptologie s'était enfermée dans ses propres croyances et accusait tous ceux qui ne pensaient pas comme elle, d'être en mal de sensationnel. Mais prétendre que la Grande pyramide a été bâti en seulement 20 ans ne serait pas non plus du sensationnalisme ?
En 1991, une émission de TV Américaine a tenté de reproduire une réplique miniature de la Grande pyramide avec les méthodes supposées de l’Égypte Ancienne. Malgré ce qu'affirmera cette émission en annonçant de façon triomphante le succès de la construction de cette réplique, la pyramide ne sera jamais terminée et s'écroulera peu de temps après l'émission. Un fiasco qui est pourtant pris en référence dans les ouvrages de l’égyptologie.
Dans la salle Hypostile, dans le temple d'Abydos, on y a découvert les hiéroglyphes les plus troublants de l'histoire. Des hélicoptères, des avions, des vaisseaux… Comment est-ce possible ?
N'est-ce pas la une preuve évidente des technologies ? Eh bien non. C'est en réalité une incroyable coïncidence. Cela représente en fait le nom de deux pharaons superposés : Ramsès II et son fils Sethi Ier gravé par dessus quelques années plus tard. Puis le temps à fait son œuvre est le plâtre est tombé. Une image ne sera jamais une preuve, mais elles sont troublantes comme celles qui vont suivre.
Tous les objets incompris sont pratiquement tous relégués au rang d'objets religieux par les Égyptologues. Je me suis alors dirigé vers des scientifiques et des ingénieurs qualifiés pour savoir s'il ne s'agissait pas la plutôt de pièces de machines. Ils ont analysé les statues de Ramsès II et Louxor et ont constaté que la symétrie était totalement parfaite. C'est impossible à réaliser avec autant de précision avec un burin. La question des outils se pose alors, mais il y a une question encore plus importante. « Qu'est-ce qui guider ces outils ? » La main de l'homme n'est pas assez précise. Il est donc quasiment impossible de nier que les bâtisseurs disposaient d'une technologie avancée. Et personne ne peut émettre quels outils ont été utilisés. Il faut donc reconsidérer l'outillage des bâtisseurs dans son intégralité.
Un chercheur m'a montré des photos, j'étais stupéfaite de découvrir qu'aussi loin de l’Égypte on trouvait le même genre d'assemblage dans le passé. Je partis alors au Chili sur l'île de Pâques.Endroit le plus isolé du monde. À 3700 km du Chili et à 4000 Km de Tahiti. C'est ici qu'ont été bâties les Moaï, les célèbres statues. On peut déterminer l'âge d'une roche, mais pas le moment ou elle a été taillée. Les constructions sont massives et ajustées notamment le socle ou repose les statues. Le plus grand Moaï pèse 250 tonnes et mesure 22 mètres de haut mais n'a jamais été terminé. Comme pour l'obélisque inachevé d'Assouan (Égypte) on peut se demander comment ils comptaient le sortir, le transporter, puis le relever. Aucune des hypothèse actuelle explique comment transporter une telle statue.
Reportage TRES Intéressant qui met en lumière plein de vérités pas admises par l'Egyptologie et les manuels d'histoire. Pas du moins encore
13ème Numéro : La Révélation des Pyramides (2ème Partie)
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Résumé détaillé du Reportage : (Cliquez sur le "Spoil")
2ème partie :
Je poursuis ma route au Pérou, sur la baie de Paracas. On y trouve un Géoglyphe dont on ne sait pas grand chose. Il est impossible de le dater. Il mesure 183 Mètres de longs et personne ne sait par qui ou par quoi cette figure a été gravé là. Ma destination suivante fût Nazca (Pérou) et ses curieux dessins géants. Un plateau de 25 Km sur 20 aurait été découvert en 1926 lors d'un survol de la région. Des géoglyphes et lignes ont été attribués à la civilisation Nazca, de – 500 à 750 après notre ère. Il y a également de grandes lignes et formes très précises de plusieurs milliers de Km sans que l'on sache réellement à quoi elles servaient.
Non loin de Nazca, il y a un site des pyramides de Cahuachi qui en regroupe une quarantaine mais qui faute de moyen est à peine explorée. A quelques kilomètres de là, au Musée d'Ica, j'ai découvert des momies. Je pensais qu'il y en avait qu'en Égypte, mais aussi des crânes déformés qui faisant penser à Akhenaton, ancien Pharaon Égyptien. J'ai poursuivis ma route à Cuzco, toujours au Pérou, et qui signifie en Inca, le nombril du monde. Tout comme l'île de Pâques. En plein centre ville, on trouve deux types de murs : Les plus récents et Les plus anciens. Les plus anciens étant encore une fois, les plus massifs et les mieux ajustés. Comme la quasi totalité des constructions attribués aux Incas, ce mur a résisté aux séismes.
Tout comme le site de Saqsayhuaman qui surplombe la ville et auquel on compare souvent le mur à celui de l'île de Pâques. Des roches entières assemblées avec une précision millimétrique, ce qu'on est en peine d'expliquer. Ce site forme avec Cuzco et un autre site sacré du nom de Qenco (tous au Pérou) un triangle parfait. Je commençais à m'habituer, les constructions les plus anciennes étaient les plus massives et les assemblages étaient les plus complexes jamais vus et les mieux ajustés. Je me rendis ensuite au Machu Picchu, un site discret des transmissions des connaissances. Les habitants de Cuzco ne connaissaient vraisemblablement pas ce lieu. J'ai découvert des similitudes dans les angles de murs entre ceux du Machu Picchu et ceux du temple de la vallée de Gizeh en Égypte. Et on y retrouvé aussi les mêmes assemblages en miroir.
Récapitulons : Sur tous ces sites, on trouve des pierres très lourdes aux formes complexes, assemblées avec une précision millimétrique, des datations supposées. Et surtout, aucune indication sur les moyens de construction. Plus c'est ancien plus c'est précis. Plus c'est ancien plus c'est semblable. Plus c'est ancien plus c'est massif. Mais il y a mieux, tous ces sites forment une ligne droite parfaite avec Gizeh. Coïncidence ?
Et s'ils avaient communiqués, ce qui paraît le plus probable. Comment auraient-ils pu aligner aussi précisément leurs sites ?
Je poursuivais ma route vers le Mexique à Teotihuacán. Comme à Gizeh, on trouve 3 Pyramides principales, deux grandes et une plus petite. La pyramide du soleil, la pyramide de la Lune et la pyramide de quetzalcoatl (le Serpent à plûmes). Le chantier de la pyramide du Soleil aurait duré 150 ans car elles ne sont pas considérées comme des tombeaux. Mais toujours aucune information sur les techniques et moyens mis en œuvre. Ce qui est par contre extraordinaire, c'est que la pyramide du soleil et de multiples autres édifices ont été marqué précisément pour marquer le jour exact de ce que nous appelons les équinoxes. Il y a également un autre site de pyramides en Chine quasiment ignoré du public à Shen-Hsi. Il y a des centaines de pyramides faites de terre et d'argile. Les autorités Chinoises refusent de divulguer des informations. Aucun archéologue ne semble non plus enclin à en parler. Le sujet n'existe tout simplement pas. Ici encore le système demeure. Les bâtisseurs n'ont laissé aucune explication tout comme au Mexique et en Égypte.
Il y a plein de coïncidences entre tout ces sites : Une écriture hiéroglyphique ou idéographique, la momification des corps, des concepteurs de calendriers, un haut savoir astronomique. Des constructions résistantes aux séismes. Aucune indication sur le pourquoi et le comment de ces réalisations. Peut on encore parler de coïncidence ? Qui a fait ça et pourquoi ?
Évidemment à l'idée d'une origine commune entre toutes ces civilisations, on objecte le fait que ces constructions ne datent pas d'une même époque. Il ne faut pas oublier qu'on ne peut pas dater ces monuments eux-mêmes mais seulement les restes organiques. Aucune archive sur ces architectures qui défient les compétences des ingénieurs modernes. J'ai découvert qu'il existait un monde entre ce qu'on nous raconte et ce qui se passe dans les coulisses de l'archéologie. Quand un archéologue ose sortir des voies balisées il n'obtient apparemment plus de crédit pour ses recherches. Les sites les plus énigmatiques de la planète ne sont pas étudiés comme ils le devraient. Tant qu'on ne pourra pas dater la taille d'une pierre, on ne pourra jamais avoir de certitudes. Il ne s'agit donc alors plus de science mais de croyance.
Gizeh est la pièce centrale de toute cette énigme. Je suis retourné non loin de Gizeh, au pied de la pyramide rouge attribuée à Snéfrou, le père de Khéops. Ce pyramidion mesure exactement 157 cm de base sur 100 cm de hauteur. La plupart des archéologue estime que c'est du pur hasard car le mètre n'était pas connu à l'époque, mais absolument rien ne le prouve. Quand j'y suis retourné en 2008 ils avaient changé sa forme et ses dimensions, ce qui est beaucoup plus grave. Je découvris également qu'il y a plus de 20 siècles, 12 auteurs importants n'étaient pas d'accord entre eux sur l’identité de ces bâtisseurs, mais il ne reste plus qu'un seul texte de ces 12 auteurs, celui d'Hérodote.
Et c'est sur celui la que s'applique en grande partie l’égyptologie. Comment être certain que sa version est la bonne ? Dès siècles plus tard, en 1859, un Anglais divisa cette division par celle et découvrit avec étonnement le nombre PI. Les bâtisseurs n'étaient pas censés connaître ces chiffres.
(Ensuite, il y a une longue Partie du reportage consacré aux dimensions de la pyramide, c'est très technique que je préfère pas le mentionner)
Mais en gros, toute la structure de la grande pyramide n'a pas été faite au hasard mais plutôt savamment calculée. Le Chiffre PI mais aussi le nombre d'Or semblent clairement être au centre du système de mesure qui a servit à la construction de la Grande Pyramide. Chose impensable proutant pour les Égyptologue. Les Égyptiens avaient donc probablement des outils semblables aux nôtres sur bien des aspects qui leur ont permis de réaliser de telles œuvres. Les connaissances mathématiques des anciens Égyptiens sont le 3ème sujet tabou de l’égyptologie qui attribue systématique cela au hasard. Car si elle admettait que c'était volontaire, elle devrait réécriture une partie de l'histoire. Les Mathématiciens, ingénieurs et architectes quand à eux estiment que cette probabilité due au hasard est nulle.
On a construit 200 Cathédrales en 250 sans retrouver un seul plan de construction, étonnant parallèle avec les pyramides et autres constructions de l'antiquité. Et nouveau « hasard » les cathédrales marquées elle aussi les équinoxes, notamment celle de Strasbourg, tout comme de nombreuses constructions anciennes de notre planète.
Un architecte me montra que le profil exact de la grande pyramide étant inscrit dans la façade de la cathédrale de Strasbourg. Le problème c'est qu'à l'époque de la construction de cette cathédrale, la grande pyramide était encore partiellement ensablée et on ne pouvait pas connaître son profil exact. Si ce n'était pas un hasard, ça voulait dire que les architectes du Moyen-âge connaissaient le rapport de proportion de la Grande Pyramide. La conclusion c'est qu'il n'existe aucune pyramide au monde qu'une seule pyramide présentant toutes ces caractéristiques et c'est précisément la grande pyramide de Gizeh. Revenons maintenant au Pyramidion, non seulement il mesurait le mètre (100 Cm de hauteur) mais la base était égale à PI (157 Cm sur 157 Cm = 314 Cm, à savoir PI x 100) Ce pyramidion était donc une maquette de la Grande Pyramide. C'était en fait probablement la pointe de la Grande pyramide qu'on avait jamais retrouvé.
Mais que faisait t-il à une vingtaine de Km de Gizeh ? Au pied d'une pyramide à laquelle il n'appartenait pas. Et pourquoi avais-t-on changer sa forme ?
Les bâtisseurs connaissaient le mètre des millénaires avant qu'on l'adopte. Grâce à cette simple opération : 3,14 (Pi) – 2,618 (Nombre d'or X2) = 0,5236 (Une Coudée)
Autre fait incroyable, une ligne d'une centaine de KM de largeur et de 40 000 Km de long (La longueur de notre équateur terrestre) aligne la majeur partie des sites célèbres de la planète (Nazca, Machu Picchu, Cuzco, Gizeh, Petra, Mohenjo Daro ETC … Pour aboutir à l'endroit le plus isolé du monde : L’île de Pâques.
Pourquoi était-on allé à 900 Km de Gizeh chercher ces dalles géantes de Granit ? Parce que le granit ne bouge pas dans le temps et que ses dimensions restent les mêmes. Des dimensions ont déduit des nombres, et des nombres des mathématiques. Et selon mon informateur, les mathématiques sont le langage de la Grande Pyramide à travers le temps. En traçant un grand cercle à l'intérieur de la pyramide puis l'autre à l'extérieur de la pyramide en partant de son centre, si on fait la différence des deux on obtient la vitesse de la lumière. Encore le fruit du hasard ? Ça commence à faire beaucoup.
On pouvait continuer à penser que tout ceci était le fruit du hasard et que, comme le disent les Égyptologues, la grande pyramide est bel et bien le tombeau de Khéops. Bien qu'un tel chantier paraissait autant improbable en si peu de temps.
Que si la grande pyramide marquée avec précision les équinoxes, c'était le hasard. Que la grande pyramide en relation avec le nombre Pi et le nombre d'or, c'était le hasard. Que la coudée était une dimension prise au hasard. Qu'on a réalisé par hasard la seule pyramide possible qui puisse faire un pont entre la coudée, PI, le nombre d'or et le mètre et que si on trouvait ces valeurs exprimées en mètre dans la grande pyramide, c'était le hasard. Que si les constructions les plus anciennes que nous avons visités étaient les plus massives et les mieux ajustées c'était la aussi le fruit du hasard. Que si d'autres peuples sur la planète utilisaient une écriture hiéroglyphique, momifiés leurs morts, concevaient des calendriers précis, possédaient un haut savoir astronomique et bâtissaient avec les mêmes méthodes antisismiques sans jamais laisser aucune indication c'était le hasard. Que si autant de sites sacrés étaient alignés sur un cercle aussi long que notre équateur c'était la hasard. Que si ces dimensions indiquaient la vitesse de rotation de la terre, c'était le hasard. Que si on trouvait l'indication de la valeur de la vitesse de la lumière dans la grande pyramide c'était encore et toujours le hasard.
Trop de coïncidences tue la coïncidence, notre histoire comporte parfois des lacunes vertigineuses qu'il faudra expliquer par des éléments rationnels aux énigmes de notre passé
Il restera encore une courte partie. Libre à vous de croire à ses Théories qui me paraissent (en grande partie) bien fondées. Ce Documentaire permet au moins de voir si vous adoptez davantage la thèse Egyptologiste communément admise ou celle évoquée dans ce Docu.
Le 08 janvier 2022 à 12:48:44 :
Joli travail mais dommage que tu es sauté le néolithique période sûrement la plus charnière de toute l’histoire de l’humanité. Cependant, c’est un gros travail de s’y intéresser car c’est une période mise de côté par les médias généralistes. Mais pour les intéressés, Jean-Paul Demoule a fait des livres grand public dessus assez bien fait et quelques conférences trouvables sur YouTube
J'en ai un peu moins parlé c'est vrai, je me suis davantage concentré sur l'évolution des Hominidés, j'ai évoqué très brièvement l'essentiel de cette période sans vraiment rentrer dans les détails. Après je pourrais revenir dessus un peu vu que c'est à cheval sur l'Antiquité. Et je m'interdit pas de temps en temps, si le Topic perdure et en fonction de la demande, de faire des retours en arrière en me concentrant sur une date ou une période plus précisément.
Le but est que ce soit assez chronologique dans la progression, mais je m'interdis rien.
Donc ... pourquoi pas revenir dessus plus tard plus en détail. Ca pourrait être intéressant C'est noté
Merci pour la source
13ème Numéro : La Révélation des Pyramides (3ème Partie)
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=HFpHDXUgcqw&t=893s
Qui dans le passé tel qu'on le connaît aurait pu réaliser tout ceci ? Et pourquoi pas une civilisation bien plus ancienne qui aurait totalement disparue ? Mais cela heurte les croyances même de ceux qui s'en paraissent détachés (Égyptologues et Archéologues). Tous ces faits son vérifiables et on ne peut pas les nier sans preuves. Si une civilisation venait aujourd'hui à disparaître subitement, beaucoup de choses résisteraient au cours des siècles mais pas au cours des millénaires. Seuls de très grands monuments seraient capables de résister, comme les pyramides d’Égypte.
Reprenons les faits principaux :
- Les bâtisseurs avaient mesuré la terre, ils en avaient fait une maquette en forme de pyramide , dans laquelle ils avaient intégrés des paramètres scientifiques. Ils avaient coordonnées l'emplacement de ces sites sur un cercle long comme notre Équateur, et ils semblaient connaître la vitesse de la lumière.
Pour comprendre la démarche des bâtisseurs il faut faire un retour dans le passé, le 2 Mars 1972, aux USA, lorsque fût lancée la sonde spatiale Pioneer 10. On place à son bord une petite plaque sur laquelle on avait gravé un étrange dessin. Ce dessin dit que nous sommes une espèce sexuée, donne notre taille, donne la position de la terre dans notre système solaire et des formes géométriques complexes qui donnent des informations quand on les analyse. Des millénaires avant la plaque d'information Pioneer 10, les bâtisseurs de la Grande Pyramide semblaient avoir fait exactement la même chose. A la seule différence qu'elle n'était pas destiné à une autre civilisation dans l'univers, mais à une civilisation de la terre dans le futur : La notre.
Nous allons désormais quitter le terrain des constatations et des faits pour entrer dans celui plus incertain des suppositions et des hypothèses. Envisageons qu'il s'agisse d'un langage, et donc d'un message. Le concevoir et le réaliser à de telles dimensions en prenant en compte toutes les dispositions nécessaires pour qu'ils restent lisibles des millénaires plus tard, démontre clairement son extrême importance. Selon mon informateur, si les bâtisseurs avaient marqué aussi précisément l'équinoxe, c'était pour attirer notre attention sur un grand cycle astronomique important lié à notre planète. Si on repère une étoile dans le ciel, celle-ci apparaîtra décalée d'un degré 72 ans plus tard. Il lui faudra environ 26 000 ans pour faire un tour complet et revenir à sa position initiale. Ce cycle de 26 000 représente ce que l'on appelle, le cycle de Précession des équinoxes.
Pour repérer la position précise de la terre dans l'univers, les astronomes modernes se servent notamment des constellation du zodiaque qui sont un moyen simple de visualiser la position des étoiles. Ainsi, les constellation visée par le Sphinx de Gizeh ont varié au cours des âges. Le Pyramidion trouvé au pied de la pyramide rouge de Snéfrou, contenait une autre information d'importance, il mesurait précisément 12 Coudés de périmètres, et la présence de PI indiquait qu'on faisait référence à un cercle. Un cercle divisé en 12 Parties : Un Zodiac. Les 4 angles de la pyramide coïncide avec 4 signes du zodiaque : Le Taureau, Le Lion, Le Scorpion et le Verseau. Dans l'antiquité l'aigle remplaçait le scorpion, et l'ange remplaçait le verseau. Comme on peut le voir aux façades de nos cathédrales.
A ces 4 signes sont associés 4 étoiles parmi les plus brillantes du ciel, jadis baptisées « les gardiennes du ciel » . Ce sont Aldébaran dans la constellation du taureau, Régulus dans le lion, Antarès dans le Scorpion et Fomalhaut au sommet des poissons à notre époque mais anciennement dans le verseau avant la modification faite par les astronomes modernes. Ces étoiles paraissent toujours conserver la même position entre elles et servent donc de point de repère fixe à travers le temps. L'axe Taureau-Scorpion (anciennement Taureau-Aigle, représenté par un Taureau ailé par les Babyloniens), l'autre c'est Lion-Version (Ou Lion-Ange selon l’appellation ancienne dont on trouve la représentation sur la plateau de Gizeh : C'est le Sphinx. Une tête d'homme sur un corps de Lion.
Selon la théorie dominante, le Sphinx aurait été construit après la grande pyramide, et il n'y aurait donc de relation entre Le Sphinx et la Grande pyramide. Théorie malmenée par la géométrie du site.
Si on trace un triangle 5 fois plus grand que la face nord de la Grande pyramide, on s’aperçoit qu'elle relie son sommet à celle de la petite pyramide d'un côté et de l'autre il passe par la tête du Sphinx. Si ensuite on dessine le carré de base de la grande pyramide et qu'on le fait glisser bord à bord contre elle, alors l'axe passant par le côté droit interpelle encore la tête du Sphinx, au même endroit. Et si on dessine un cercle au sommet des deux des trois plus grandes pyramides, on touche à nouveau la tête du Sphinx exactement au même endroit. Mon informateur m’indique que le site de Gizeh fonctionne comme une horloge astronomique dont le cadran est marqué par ces 4 étoiles, le regard du Sphinx forme l'aiguille de cette horloge qui fait un tour sur elle même en un peu moins de 26 000 ans et permet donc de déterminer avec précision, la position de la terre dans ce grand cycle.
Il y a une bosse sur le Sphinx que les Arabes appellent « Al kalb al assad » , c'était également, coïncidence de plus, le nom que les Arabes donnés à l'étoile la plus brillante de la constellation du Lion : Régulus. Le Sphinx a toujours été le symbole de l’énigme. Le nom Arabe du Sphinx signifie « Le père de la terreur » rappelant ainsi sa raison d'être et sa fonction. Mon informateur ajouta que lorsque les yeux du Sphinx viseront précisément l'étoile Régulus, c'est à dire que l'axe du Sphinx sera aligné sur l'axe Lion-Verseau alors débutera un nouveau cycle de précession des équinoxes. Voila selon lui, la raison d'être du site de Gizeh. Une gigantesque horloge : l'horloge de notre planète qui fait un tour complet en 26 000 ans. Et quoiqu'on en pense ou en dise, les faits sont la, car cette horloge fonctionne parfaitement.
D'un coup tout se préciser. La pyramide qui indique les équinoxes. Sa précision d'orientation, la géométrie du site de Gizeh tout entier qui révélait bien des surprises. Oui mais pourquoi attirer notre attention sur ce grand cycle de 26 000 ans ? Le Cycle de glaciation et de période chaude suit parfaitement les paramètres orbitaux de la terre. Et parmi les cycles orbitaux de la terre, se trouve précisément le cycle de précession des équinoxes qui influence notre climat mais sans qu'on sache si c'est progressivement ou brutalement. Dans les écrits des légendes et mythes anciens d'un grand nombre de peuples de notre planète, on retrouve la même idée d’événements cycliques. Ils précisaient notamment des catastrophes cycliques. Cela correspond aux écrits de Hérodote ou Aristote.
On prend pas ces légendes au sérieux, mais grâce aux progrès de la science on s’aperçoit peu à peu qu'elles semblent reposer sur des bases factuelles. Les Tsunamis par exemple, auxquelles de nombreuses populations ont certainement assistées, auraient pu être par la suite romancées et décrites sous un nom : LE DELUGE.
Je m'intéressais alors à la dernière modification climatique d'importance, et je fût surprise que la science l'a situé il y a environ 10 à 12 000 ans comme l'avait dit Hérodote. Les climats de zones entières fût considérablement modifiées, l’énigme des Mammouths retrouvés en bon état et pour certains en pleine digestion avait déchaîne les passions au 19ème siècle et pose encore problème aux scientifiques de nos jours. D'autres espèces avaient aussi totalement disparues à cette époque sans que personne ne sache véritablement pourquoi. Des forets entières étaient devenues des déserts et des textes anciens parlaient de cataclysme. Si l'horloge de Gizeh renvoyait au cycle de précession des équinoxes, quel pouvait bien être le rapport avec ce cercle de 40 000 Km, s'il y en avait un ?
Mon informateur attira mon attention sur le pôle nord qui lui correspondrait si ce cercle était un équateur. Et coïncidence, ce point se trouvait précisément au centre d’oscillation du pole magnétique terrestre qui était différent de notre pôle Nord. Le Pole magnétique n'est pas un point précis de notre planète puisqu'il se déplace à environ 40 Km/An. Ce que l'on sait aujourd'hui c'est que ce phénomène d’oscillation augmente et la c'est très troublant. Était-ce la raison de ce cercle de 40 000 Km et de ce décalage de 30 degrés ? Nous indiquer un lien entre ces équinoxes et ce pole magnétique. Car j'appris aussi que ce pôle magnétique s'était plusieurs fois inversé. On compte une bonne centaine d'inversion des pôles.
On ne sait pas exactement pourquoi, mais cela pourrait avoir une corrélation avec le soleil, qui lui aussi inverse ses pôles magnétiques. Il faudrait donc que des chercheurs se regroupent pour essayer de comprendre les effets directs et indirects liées aux conséquences de cette inversion.
On observait d'importantes modifications dans notre climat, on avait constaté l’accélération du pole magnétique mais nous n'étions pas préparés à faire face à quoi que ce soit.
Une des conséquences les plus probables de l'inversion des pôles magnétiques et la disparation provisoire du champ magnétique terrestre pour une durée allant de quelques heures à quelques semaines éventuellement suivi de réajustement de la croûte terrestre. Avec notre atmosphère, le champ magnétique de la terre filtre les radiations provenant de l'espace. S'il venait à disparaître, notre planète serait alors brûlée sur sa surface en proportion de son exposition. La destruction par le feu prédit par les anciens textes.
De manière étrange et inquiétante les prophéties du passé et les hypothèses de la science moderne se rejoignaient. Si ce phénomène était compris des bâtisseurs anciens, ces antiques prophéties prenaient alors un nouvel éclairage. Elles n'étaient plus des prédictions mais des prévisions basées sur des connaissances réelles. Au début de notre civilisation, la connaissance était détenue par des prêtres. Étaient-ils les gardiens d'un ancien savoir dans un monde en reconstruction ? Ayant eu pour mission de transmettre le message salvateur à travers les âges ?
Et si, par ces énigmatiques constructions, les bâtisseurs avaient voulu nous mettre en garde contre un événement cyclique et prévisible capable d'éradiquer leur propre civilisation au point que des millénaires plus tard, on se souvienne même plus de leur existence. Que leur est-il arrivé ? Il était paradoxal d'apprendre qu'il ait pu exister sur notre planète, une civilisation généreuse au point d'avertir la suivante d'une menace potentielle. Et au même moment, s’apercevoir que notre temps était probablement compté. Allait-on enfin donner des moyens aux chercheurs pour leur permettre d'éclaire notre chemin ?
Selon mon informateur, les actuels changements de notre climat sont les prémices de nos bouleversements annoncés par nos bâtisseurs.
Voila fin de ce long chapitre sur ce Documentaire en 3 Parties. Pour l'avoir écouté en profondeur, je pense qu'il y a une vraie part de vérité sur les 2 Premières parties de ce "faux Documentaire". II a au moins le mérite de pointer du doigt de réelles incohérences de la part du paradigme de l'Egyptologie et son courant de pensée enseigné dans les écoles. Je suis d'ailleurs davantage partie prenante pour les théories émises par le Docu.
Après, comme souvent dans ce genre de reportage, il y a du sensationnalisme et la 3ème partie beaucoup plus hypothétique l'en atteste. Surtout pour moi qui suit assez cartésien
Je pense que la réalité se situe comme souvent dans un peu des deux visions. Celle des faits avérés et vérifiables par les Egyptologues et celles (en partie) des faits énoncés dans ce Docu-Fiction.
----------------------------------- Des Mastabas aux Pyramides ------------------------------------
Tandis que l’Europe vit encore la Préhistoire, la civilisation égyptienne se développe dès 3000 avant JC. C’est alors qu’ils bâtissent pyramides, temples et obélisques. Les mastabas sont des bâtiments initialement destinés à accueillir les pharaons après leur mort durant les deux premières dynasties, ainsi que les hauts dignitaires, de l'époque archaïque au Moyen Empire De simples sépultures, ces constructions sont devenues de vraies œuvres d’art. Comment cette évolution a-t-elle été possible en Égypte ?
L’Égypte à l’époque des mastabas et des pyramides :
Vers -3150, Ménès est pharaon d’Égypte. Son histoire est assez floue et se perd entre mythe et réalité, mais il semblerait qu’il soit à l’origine de l’unification des royaumes de Haute et Basse-Égypte.
L’Égypte connaît vraisemblablement une période de prospérité durant son règne. Les agriculteurs pauvres se transforment peu à peu en un peuple éblouissant, l’une des premières civilisations majeures, bâtie autour du Nil. En effet, ce dernier est un grand atout pour l’agriculture puisqu’il est à l’origine de l’irrigation des champs grâce à des canaux et la fertilisation des sols pendant les crues, mais il a aussi permis une expansion économique et territoriale sans précédant en facilitant le transport, et donc le commerce et la communication.
À partir de cette époque, l’évolution technologique se fait ressentir aussi au niveau des constructions, en particulier pour les tombes des pharaons. C’est Narmer (qui semble être également Ménes) qui incitera ses successeurs à bâtir des monuments toujours plus imposants. Il édifia un immense mastaba et les pharaons suivants l’imitèrent dans cette volonté d’innover. Les tombes royales sont à la fois une sépulture pour l’enveloppe charnelle du défunt, mais aussi son lieu de résidence après sa mort. Ainsi, au cours de l’histoire, des mastabas en forme de palais ont été construits, puis ont peu à peu laissé place à des pyramides plus imposantes.
Les mastabas ont par la suite évolué en pyramides. Plus de 80 pyramides sont encore debout sur les plus de 100 construites
Les pyramides d’Égypte ont remplacé les mastabas :
La transition vers les pyramides a permis aux pharaons d’atteindre une hauteur plus imposante, proportionnelle à leur importance et à leur puissance. Ainsi, après des mastabas à un étage et des mastabas à deux étages, les pyramides, plus pointues, sont apparues en Égypte.
LA PYRAMIDE A DEGRE DE DJESER :
Les premières pyramides étaient appelées pyramides à degrés, c’est-à-dire qu’elles étaient formées de différents étages et n’étaient pas lisses. Elles ressemblaient à des mastabas de plusieurs étages. La première et la plus célèbre de ces pyramides à degrés est la pyramide de Djéser à Saqqarah à Saqqarah, vers -2650 ET dont l'architecte chargé du chantier était Imhotep était aussi trésorier, grand prêtre et vizir, qui est chargé du chantier.
Ce pharaon, réputé pour sa sagesse, est encore un modèle pour ses successeurs 2000 ans après sa mort. En effet, il est le premier en Égypte à avoir été considéré comme la réincarnation d’un dieu et à être vénéré.
Il souhaitait construire sa tombe pour assurer sa vie éternelle, mais désirait un résultat révolutionnaire. Le premier élément pour cela a consisté à utiliser non pas des briques de terre crue mais de la pierre pour sa pyramide. Celui-ci voulut ériger une pyramide à degrés s'élevant, tel un escalier gigantesque, vers le ciel afin de symboliser l'ascension du défunt du « monde souterrain » vers les « Cieux » afin que le Pharaon se rapproche des Dieux.
Pour ce chantier démesuré, le site de Saqqarah est choisi et des milliers d’hommes vont y œuvrer. Ces travailleurs ne sont pas des esclaves : ils sont payés en nourriture, en bière, en vêtements et sont exonérés de taxes. Au total, 10 000 hommes participent à cette construction, ainsi que des milliers de femmes dont le rôle était de les habiller et de les nourrir. Le complexe funéraire de Saqqarah est composé non seulement d’une pyramide, mais aussi de plusieurs édifices associés aux cérémonies funéraires. La base de la pyramide mesure 121 m sur 109 m pour une hauteur de 62 m.
LES PYRAMIDES IMPARFAITES DE SNEFROU :
C’est le pharaon Snéfrou (1er Roi de la Ivème dynastie) qui sera à l’initiative de l’évolution suivante. Il désire une pyramide encore plus majestueuse mais subit des échecs dans sa quête de perfection technologique. Il a succédé à Houni et a précédé son fils Khéops. Il a construit au moins trois pyramides qui survivent encore aujourd'hui et a introduit des innovations majeures dans la conception et la construction des pyramides.
Il réalise tout d’abord une pyramide à Meïdoum, surnommée « fausse pyramide ». Un mystère entoure cette construction : elle n’est pas entière. S’est-elle effondrée ? Les pierres ont-elles été volées ? N’a-t-elle jamais été terminée ? Aucune certitude… C'est une pyramide, initialement à sept degrés, puis élargie à huit degrés et enfin transformée pour devenir la première pyramide à faces lisses égyptienne.
C’est le pharaon Houni qui a débuté la construction de cette pyramide mais c’est bien son fils Snéfrou qui l’agrandit et l’achève. Pour innover, il construit une pyramide de huit étages et veut combler les degrés avec un revêtement en calcaire pour la lisser et se détacher de l’aspect mastaba à plusieurs étages encore très présente en Égypte. Actuellement, seuls trois degrés sur les huit sont encore visibles.
Après cet échec, le pharaon décide de se tourner vers Dahchour-Sud et y édifie la première vraie pyramide lisse. Surnomée « La pyramide rhomboïdale » C'est une pyramide à deux pentes subissant un brusque changement à mi-hauteur Cependant, un nouveau problème se pose : des fissures apparaissent sur la structure. En effet, elle a été bâtie sur un lit de pierres instable. Pour éviter qu’elle ne s’effondre, l’inclinaison de la partie supérieure a été modifiée afin de diminuer le poids total.
LES PYRAMIDES A FACE LISSE :
Après cela, C'est Snéfrou qui aurait décidé de construire une dernière pyramide, toujours à Dahchour, mais dans le nord cette fois : la « pyramide rouge ». (A une vingtaine de Kilomètres de Gizeh) Il s’agit de la première pyramide à faces lisses réussie, et c’est la troisième pyramide d’Égypte de par ses dimensions. Pour réussir cette pyramide, les architectes y travaillant décidèrent d’incliner davantage les faces de la pyramide et de renforcer la fondation avec des gros blocs de calcaire. La couleur rouge provient de la richesse en fer et en manganèse des pierres ayant été utilisées pour sa construction. Cette pyramide est la première à se détacher réellement des mastabas visuellement.
Le successeur de Snéfrou est Khéops, qui arrivera à l’apogée de l’empire égyptien. Il souhaite réaliser la plus grande et parfaite pyramide d’Égypte et est donc à l’origine de la grande pyramide de Gizeh, l’une des sept merveilles du monde antique et la seule encore debout de nos jours. En effet, après Snéfrou, les principales technologies de construction des pyramides ont été découvertes et les pharaons ont tour à tour cherché à faire de grandes pyramides pour démontrer leur puissance ou de plus modestes pour ménager le peuple. Aujourd’hui encore, leur technique d’édification n’est toujours pas élucidée avec certitude.
Chapitre sur les Pyramides Terminé
- Place aux 10 Pharaons les plus célèbres
- Et on continue la liste des 11 Périodes de L'Egypte Antique (Encore 9 à voir)
---------------------- Ancien Empire : De – 2687 à – 2200 Avant J-C ---------------------
L'Ancien Empire est composé par les IIIe, IVe, Ve et VIe dynasties. L'Ancien Empire s'achève par une période de fragmentation politique, appelée la Première Période intermédiaire. Dès l'Antiquité, cette période était considérée par les Égyptiens antiques eux-mêmes comme l'âge d'or de leur civilisation. Il s'agit en effet de la plus longue période de stabilité politique que l'Égypte ancienne ait connue, durant laquelle aucune menace extérieure ne venait perturber l'ordre intérieur
La centralisation de l'État amorcée sous les dynasties Thinites et la prospérité qui, progressivement, en a découlé, va permettre des développements artistiques et architecturaux considérables, surtout perceptibles dans les sites entourant la capitale de l'époque, Memphis. Durant toute cette période, la capitale se trouve à Memphis.
Cette période est surtout connue pour être celle qui voit l'apparition et l'apogée des pyramides, dans la région de Memphis : tout d'abord la pyramide à degrés de Saqqarah, sous le règne du roi Djéser, puis plus tard les trois pyramides monumentales du plateau de Gizeh (celles de Khéops, Khéphren et Mykérinos). Elles expriment la puissance des souverains de cette période et la position centrale qu'ils occupaient dans la société, qui est inégalée dans le reste de l'histoire de l’Égypte antique.Elles reflètent également le rôle central que jouent les croyances et pratiques funéraires à cette époque.
IIIème Dynastie : Elle est principalement connue par le célèbre Djéser, considéré comme le fondateur de l'Ancien Empire, bien que des doutes subsistent. En effet, plusieurs listes royales ramessides indiquaient que le fondateur était le roi Nebka. Même si l'ordre des règnes et le nombre de roi ne sont pas assuré, il ressort qu'ils furent quatre ou cinq Pharaons. Les égyptologues sont partagés sur les dates réelles du début de cette dynastie.
Art et culture :
L’apparition de signes hiéroglyphiques continus à la fin de la IIIe dynastie marque une nouvelle étape lLié sans doute à l'accroissement du nombre de scribes.
La pierre taillée devient le matériau principal d’architecture. L’architecte Imhotep, grand prêtre d’Héliopolis construit la première pyramide à degrés à Saqqarah (60 mètres de haut)
Société :
La vie sociale se structure autour du roi-dieu.
Au sommet : Les Sujets, les proches du souverain (reine, famille royale courtisans etc …)
les paysans producteurs étaient considérés comme un des éléments attachés à l’unité de production, avec la terre, les outils, le bétail. Ils sont toujours attachés à l’État, à des institutions (temples, fondations funéraires) ou au service d’un fonctionnaire, et soumis, sauf immunité accordée, aux corvées liées aux grandes tâches d’intérêt collectif ou royal.
Renforcement du pouvoir royal :
Le roi est le garant de l’ordre du monde et doit en conséquence organiser un culte aux dieux (fonder des sanctuaires, veiller à leur fonctionnement, les entretenir), assurer prospérité, justice et protection pour le double pays, étendre au plus loin « l’ordre à la place du chaos ». Cela fonde l’autorité d’une administration qui n’agit « qu’au nom du roi » dans toutes ses tâches et à tous les échelons.
Ivème Dynastie : C'est la dynastie qui a laissé les plus célèbres de tous les monuments égyptiens : les pyramides de Gizeh et le Sphinx.
Snéfrou :
Elle débute sous le règne de Snéfrou. Il est le père de Khéops.
La IVe dynastie est fondé par Mérésânkh qui n'était pas de sang royal. Peut-être une concubine de Houni, dernière Roi de la IIIeme Dynastie. L'équilibre intérieur du pays et l'autorité bienveillante du monarque permirent la construction des célèbres pyramides de Snefrou. l'une d'elles fut construite à Meidoum, et les deux autres à Dachour. La plus au sud est appelée rhomboïdale en raison de sa forme particulière : la pente se brise à mi-hauteur de l'édifice. Ses campagnes furent très limitées. En revanche, les expéditions commerciales se développèrent. L'activité intérieure et extérieure du pays s'intensifia : construction de temples, ateliers d'artistes etc...C'est sous son règne que la fonction de vizir apparu. Le vizir administrait le royaume au nom du roi. Il restera dans les mémoires comme un pharaon exceptionnel.
Kheops :
Son fils Kheops est reconnu par l’Égyptologie comme étant le bâtisseur de la première merveille du monde : la Grande Pyramide de Gizeh. Suite à l'érosion et à la destruction (ou le vol) de son pyramidion, elle n'en mesure plus que 136m (au lieu de 147 mètres) ce qui reste cependant monumentale. La Grande Pyramide fût et est encore aujourd'hui l'Objet d'innombrables hypothèses (construction, composition...) Une partie possible de la nécropole de Khéops est le célèbre Grand Sphinx de Gizeh, dont on attribue la construction au Pharaon Khéphren. Fils de Kheops. C'est lui qui aurait fait construire la deuxième grande pyramide du plateau de Gizeh
Le pharaon avait une très mauvaise réputation. C'est Hérodote, écrivain et historien grec du 5e siècle avant JC, qui aurait contribué à salir la mémoire du pharaon. d'après lui, Cheops exploitait le peuple égyptien, ferma les temples, transforma ses sujet en bagnards pour construire sa pyramide et son règne était celui de la décadence, il y prostitua même sa fille.
Politique Économique :
La politique économique de cette période est basée, sur l'exploitation des ressources naturelles : mines et carrières, et sur la construction des temples et des tombeaux. Les campagnes, qu'elles soient militaires ou commerciales, sont menées dans ces buts,
Mode de vie :
La vie à cette période nous est surtout connue par les bas-reliefs dans les mastabas des fonctionnaires. Ils nous renseignent sur les activités dans les domaines des particuliers, sur l'agriculture, sur l'artisanat et la pêche, ainsi que la manière dont les Égyptiens domestiquaient les animaux. Ils représentent des grands troupeaux de bovins et ovins dans les pâturages en bordure du Nil et dans le Delta. Les productions agricoles étaient surtout le blé, l'orge et le lin.
Vème Dynastie : Cette dynastie va abandonner les pyramides monumentales pour des constructions de dimensions plus modestes, car le pays n'a plus besoin de grands projets unificateurs à la gloire du « Roi-Dieu ». Le pays jouit manifestement d'une période de paix et de richesse tant économique qu'artistique. Sous la Ve dynastie, un nouvel emplacement pour la nécropole royale est choisi à Abousir, au nord de Saqqarah. Cinq pharaons, parmi les neuf que comptait la dynastie, y font édifier leur sépulture et celles de leurs reines.
Les sources contemporaines attestent que cinq pharaons de la dynastie édifiés des temples solaires.
Le mieux connu des souverains de la Ve dynastie est Ounas, en raison des textes des pyramides que Gaston Maspero a découverts dans sa pyramide de Saqqarah. Ils constituent un ensemble de formules magiques destinées à assurer la survie du roi dans l'au-delà et sont pour la première fois inscrits sur les murs du tombeau du roi.
Selon plusieurs Egyptologues, on assiste à une évolution sociologique importante qui va être la cause de la diminution des pouvoirs du Roi. Les plus hautes dignités ne sont plus exclusivement l'apanage des membres de la famille royale. Par exemple la fonction de Vizir peut échoir à des particuliers sans lien de sang avec le Roi.
Les frontières sont sécurisées par des campagnes militaires contre, les Nubiens au Sud et les nomades et Libyens au Nord
VIeme Dynastie : Les raisons du changement de dynastie de la Ve à la VIe restent inconnues à ce jour. Ce qui est sûr c'est qu'il ne semble pas qu'il y se soit effectué dans une quelconque crise politique grave, peut-être tout au plus des querelles de succession. Au cours de la VIe dynastie on assiste petit à petit à une érosion des pouvoirs du Roi, phénomène qui commença à la fin de la Ve dynastie, du fait des changements dans les institutions et à l'émergence des premiers signes d'un affaiblissement social et politique.
La toute-puissance du roi sans être remise en cause, est perçue différemment. Il faut sans doute y voir également un changement dans les aspirations religieuses, ainsi que dans l'organisation de l'État.
Cette période va être marquée par le règne très long de Pépi II, le pharaon le plus célèbre de cette dynastie (il aurait régné au minimum 60 années)
C'est à cette époque que l'on assiste à un morcellement du pouvoir central au profit des nomarques, tendance déjà amorcée à la Ve dynastie. Les hautes charges administratives se transmettent de père en fils, formant ainsi de véritables dynasties locales et des contre-pouvoirs, comme en attestent les tombes des nécropoles d'Assouan. Les premières étant celle des Nomarques qui s'érigent en potentat locaux. Ils deviennent si puissants que le Roi doit composer avec eux.
Définition Nomarque : Dans l'antiquité égyptienne, les nomarques étaient les fonctionnaires qui administraient les nomes au nom du pharaon
A cette époque, Les dignitaires continuent à se faire aménager de somptueuses tombes ou mastabas dans les principaux sites de la vaste nécropole de Memphis. Tout ceci est hérité de l'ancienne dynastie
Décadence et ruine de l'Ancien Empire :
Les causes qui ont provoqué la chute de l'Ancien Empire sont nombreuses, mais certaines restent encore purement hypothétiques.
La durée du règne de Pépi II est probablement une des raisons les plus citées de la chute de la dynastie. Comme souvent lorsque le règne d'un souverain s'éternise les héritiers disparaissent avant leur père ou bien accèdent au trône à un âge déjà avancé, ne règnent que très peu de temps et ne font que retarder pour un temps la fatalité d'une crise dynastique. La succession au trône devient problématique, voire chaotique. Le pouvoir monarchique se serait alors désintégré à cause de la mésentente au sein de la famille royale.
La deuxième raison fût la montée en puissance des nomarques provinciaux. À la fin de l'Ancien Empire, la fonction de nomarque devint héréditaire. Le pays se morcela alors en plusieurs zones d'influence de type féodal, chaque dynastie provinciale accroissant localement son pouvoir au détriment du pouvoir pharaonique. Les nomarques se seraient jalousés entre eux, entraînant des conflits entre provinces voisines.
La troisième raison pourrait aussi être due à une succession de faibles niveaux d'inondation du Nil, liés à un climat devenu plus sec
--------------- 1ère période intermédiaire : De (– 2200 à – 2033 Avant J-C) -----------------
DE LA VIIe À LA Xe DYNASTIE :
Le lent déclin de l’administration centralisée au cours l’Ancien Empire, combinée avec des sécheresses sévères entre 2 200 et 2 150 av. J.-C. cause l’entrée du pays dans une période de 140 ans dominée par la famine et la guerre civile.
Elle est marquée par de nombreuses difficultés socio-politiques et représente une déliquescence du pouvoir pharaonique. Elle comprend les obscures VIIe et VIIIe dynasties, les IXe et Xe dynasties dites dynasties Héracléopolitaines, ainsi qu'une partie de la XIe dynastie originaire de Thèbes. On dispose de très peu de monuments de cette période
Capitale :
La Capitale se trouve à Thinis durant la Ième dynastie. Puis à Memphis, de la IIème Dynastie à la VIIIème dynastie. Elle prend refuge à Hérakléopolis (IXème et Xème dynasties) et à Thèbes (XIème dynastie).
Faits marquants :
Deux zones d'influence :
- Au Nord = en proie à des infiltrations de bédouins originaires du Proche-Orient
- Au Sud = L'autorité appartient aux nomarques de Thèbes, qui se sont proclamés rois. Ces derniers parviennent à s'imposer militairement au terme de nombreux combats et échauffourées, entraînant la réunification de l'Égypte sous le pouvoir du thébain Montouhotep II (XIème Dynastie)
Une période de développement économique :
On observe en effet à cette époque un accroissement des échanges commerciaux et un partage des richesses effectué entre davantage de personnes que lors de l'Ancien Empire
Chute de la royauté et de l’état centralisé :
Les nomarques (administrateurs de provinces) s’emparent du pouvoir de leur région et provoquent la chute de la royauté et de l’état centralisé. Comme les nomarques ne doivent plus de tributs au pharaon et qu’ils contrôlent leurs propres ressources, les provinces s’enrichissent. Ils se font enterrer, ainsi que les hauts dignitaires, dans de somptueuses mastabas comme les pharaons pendant la période Thinite.
Révolution du peuple :
Le peuple égyptien est épuisé par les travaux des champs et les travaux forcés supplémentaires. Une révolution brutale et sanglante éclate, les riches sont ruinés, leurs biens pillés, leurs tombaux détruits et livrés aux voleurs.
Formation de 2 Grands royaumes rivaux :
Plus on s’éloigne de Memphis, plus les dirigeants et les princes refusent obéissance aux pharaons. Les dirigeants locaux commencent à rivaliser entre eux car chacun cherche à obtenir davantage de territoire et de pouvoir. L’Égypte se divise alors en 2 grands royaumes rivaux qui tentent de réunifier l'Egypte à leur profit
- 1er : les IXème et XXème dynasties héracléopolitaines qui régnèrent à Héracléopolis au Nord durant 120 ans
- 2ème : La XIème dynastie des Rois Thébains qui émerge dans le Sud autour de Thèbes en Haute-Égypte. Au moment où est fondée dans le Nord la IXe dynastie héracléopolitaine. Pendant plus de cent ans, les deux dynasties s'opposèrent.
Fin de la première période intermédiaire :
Le pouvoir des princes de Thèbes grandit de plus en plus et s’étend vers le nord où ils triomphent de leurs adversaires. Après avoir renversé les derniers dirigeants de cette dynastie rivale qui n'opposèrent que peu de résistance, Montouhotep II commença à consolider son pouvoir sur toute l'Égypte. Il est donc considéré par les Egyptologues comme le fondateur du Moyen Empire.
Chapitre sur les Pyramides Terminé
- On évoquera les 10 Pharaons les plus célèbres
- On continue la liste des 11 Périodes de L'Egypte Antique (Encore 7 à voir)
- On Evoquera Memphis, la ville principale de l'Egypte Antique
- On Evoquera brièvement les Dieux et les Hiéroglyphes
et on clôturera le Chapitre de l'Egypte Antique
Données du topic
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- DimashDobby
- Date de création
- 7 décembre 2021 à 06:30:18
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