[RISITAS] Un célestin à Istanbul
CHAPITRE 93 : Noir Désir [2/2]
-Hein ? Euh, quoi ?
-Eh bien ? Réponds-moi !
-Mais attends, euh, tu veux quoi ?
-Venir chez toi, je viens de te le dire !
-Mais… p-p-p-pourquoi ?
-Parce que j’habite loin et que je n’aime pas prendre le bus à cette heure-là, surtout habillée comme ça, alors je te demande si je peux venir chez toi, je serai plus en sécurité !
-Je, oui… enfin, ouais, euh, c’est petit !
-On va se serrer alors hahaha, aller viens !
Mais comment je me suis fait embarquer là-dedans… en fait, j’ai passé toute la soirée à me dire qu’elle allait partir et se lasser de ma PASSION pour le jeu de casino et qu’elle allait vouloir vite partir. Ensuite, au premier abord, son excuse m’avait semblé parfaitement valable ; les transports en commun turcs à minuit, c’était pas ouf pour une fille ultra canon et ultra seule… et je n’habitais pas loin donc voilà, quoi de plus normal que de rendre service à une amie b*rdel mais dans quoi je me mettais là… là j’ai vraiment senti que la situation commençait à déraper et c’était bien le cas ; ma gorge se desséchait, mon cerveau se déconnectait, je tremblais de partout… b*rdel c’est l’ex de Jo quoi, même si je n’avais plus trop de nouvelles de lui, ça me soûlait… en temps normal, une fille comme ça aussi avenante et forceuse, je l’aurais DEGL*NGUE mais là ptn la TENAILLE MORALE que j’avais
Sur le chemin, j’ai clairement compris ce qu’elle recherchait, et la discussion s’est sérieusement tendue.
-Je discute souvent avec Tutku, tu sais
-Ah oui ? C’est ton amie, non ? Ca te dérange pas de venir chez moi, vis-à-vis d’elle ?
-Du tout, au contraire, j’en ai discuté avec elle
-Ah, elle t’a autorisée à me draguer comme tu le fais ?
-Absolument ! Tu sais, de là où je viens, une fille peut draguer un mec ça ne pose aucun soucis, et Tutku m’a expliqué un peu votre relation, je crois donc que j’ai le droit
-Tu sais, on est très attachés l’un à l’autre, elle et moi, je ne veux pas que tu aies de problèmes avec elle à cause de ça
-On en a parlé, je te dis, et elle le sent bien
-Mais elle risquerait de t’en vouloir et moi aussi… écoute, je crois que je vais te raccompagner chez toi, ok ?
Cette dernière phrase a fait complètement vriller la pauvre Aminata. Elle a vraiment cru que je la rejetais et ne voulait pas d’elle.
Alors elle a lancé l’assaut. Après avoir poussé un petit grognement en entendant ma question, elle s’est retournée vers moi et m’a embrassé. Je n’ai rien pu faire, et honnêtement rien voulu faire, sinon prendre le plaisir de ce baiser-là. Je n’avais jamais goûté les lèvres d’une femme noire mais ça n’avait rien de déplaisant : pulpeuse, épaisse, ça recouvrait toute ma bouche et était très agréable. Nous nous sommes embrassés de longues minutes, et ma main n’a évidemment pas hésité à tâter goulûment ses f*sses magnifiques. C’était fait b*rdel elle savait y faire, la bougresse
-Tu hésites moins, tout à coup
-Tu m’as pris par surprise
-On va chez toi, je ne veux plus attendre
En effet, elle ne pouvait plus attendre. Et moi je commençais à avoir du mal à attendre aussi, pour être honnête ; nous sommes rapidement rentrés chez moi, il devait être presque 1h du matin ; b*rdel, il a fallu passer presque à côté de l’appart où vivait Jo pour aller chez moi, je vous laisse imaginer le malaise dans mon cœur à ce moment-là
A peine nous étions rentrés que la musique a commencé, et c’était du hard metal comme j’en avais rarement vu : Aminata m’a sauté dessus et a commencé à me dévorer les lèvres comme rarement on me l’avait fait ; sa robe ultra-serrée l’empêchait de faire des mouvements trop amples mais elle se débrouillait pour que je prenne l’initiative des mouvements plus… volontaires ; sur le coup, je ne réfléchissais plus et je l’ai plaquée contre le mur de ma chambre pour redoubler la fougue de nos baisers, je me sentais vraiment comme un TOMBEUR sur le coup, je dois dire que je ne pensais à rien d’autre qu’à prendre le plaisir qu’elle m’offrait, et de son côté, je sentais clairement qu’elle était en train d’assouvir un fantasme et qu’elle avait souvent eu en tête de m’avoir comme elle m’avait ce soir… b*rdel les belles femmes et leur volonté de maintenir le monde soumis à leurs pieds
-Tu aimes ?
-Tu te débrouilles bien
-Elle te fait ça aussi, Tutku ?
-C’est une compétition ?
-Tu vas juste comprendre que tu n’auras pas mieux que moi
Et voici comment mes sentiments ont commencé à être sérieusement mitigés… j’avais évidemment une main sur son c*l, une autre sur sa poitrine, quand elle m’avait parlé subitement de Tutku… mais pourquoi ? Elle m’a embrassé de partout et moi j’ai été passif un moment ; POURQUOI m’a-t-elle parlé d’elle maintenant ? Elle voulait ba*ser Tutku en passant par moi, son amant ? Elle voulait que je la quitte pour elle ? Elle voulait QUOI, b*rdel ? et bien sûr, instinct animal, elle a senti que sa question avait débranché quelque chose en moi et que je perdais pied dans l’acte, alors elle a cherché à remonter la barre ( )
Elle s’est levée et s’est tournée.
B*rdel.
L’objectif était juste de me montrer son c*l divin que j’avais, je l’avoue, tant voulu tripoté à de nombreuses reprises. Elle m’a montré de ses yeux de gazelle africaine la fermeture éclair de sa robe. Je me suis levé et je l’ai descendue, descendue, descendue… jusqu’à ce que mes mains arrivent sur sa chute de reins, b*rdel je crois que j’aurais pu sortir la sauce déjà à ce moment-là
Puis sa robe est tombée, elle était en sous-vêtements devant moi, et grâce aux lumières éteintes, je ne voyais pas les détails de son corps, ce qui est généralement un tue-l’amour assez remarquable, mais je voyais les formes générales, ses meilleurs atouts, jamais je n’avais deviné une poitrine aussi belle chez elle, bref, il fallait que je me rende à l’évidence : j’avais ici la Déesse Noire dans toute sa splendeur, le fantasme de tant d’explorateurs de gauche du 19e siècle qui se présentait devant moi et qui ne demandait que que je la prenne
...
Et ma morale m’a rattrapé.
Et une seconde je me suis dit : je ne rentrerai pas dedans elle. On fera tout le reste mais jamais je ne rentrerai dedans elle, ça, c’était la limite que je m’étais fixé. Non, les kheys, je sais que vis-à-vis de Jo, le mal était déjà fait, mais je ne voulais pas aggraver le cas. Je n’entrerai pas dedans elle.
Il a fallu trouver un moyen détourné de lui faire comprendre que je voulais autre chose, heureusement les plaisirs de l’amour sont variés et divers. Je lui ai retiré son soutien-gorge et j’ai joué avec ses nich*ns pendant de longues minutes ; elle était INCROYABLEMENT réceptive, si bien que j’ai su la mener à l’org*sme juste à ce niveau-là. Quelle fierté, de donner un org*sme sans sortir le glaive
L’objectif était cependant de la fatiguer pour qu’elle s’endorme et même si le sommeil ne l’a pas pris, elle n’avait clairement plus la force de demander une pénétr*tion. Elle ne s’est cependant pas arrêté là ; couchée à mes côtés, elle a descendu sa main et m’a tiré le haricot pendant quelques minutes aussi –moins que pour elle - et quand je lui ai annoncé que la sauce allait sortir… elle s’est retournée pour que je la balance sur sa descente de reins, b*rdel le jouissement ultra-sensuel qu’elle a lâché quand elle a senti le liquide chaud s’étendre dans le bas de son dos… et l’avantage d’être un homme est qu’on peut aisément feindre la fatigue dès lors que les réservoirs sont vidés.
Et c’est ainsi que nous nous sommes endormis, non pas dans les bras l’un de l’autre, il fallait une autre tendresse pour cela, mais bel et bien collés, littéralement collés
Khey.
Franchement t'es doué je dis pas le contraire, mais ça aurait pas été pire si t'étais directement rentré en elle à ce niveau là.
Bientôt le plan à 3 avec Tutku et Aminata qui arrive sans pression
L'op je vais bientôt en Turquie à Istanbul pour le taff, un salon important disons, il y à moyen tu me dise en mp les lieux important comme ça je ferrai un pèlerinage ?
Eh bah comme beaucoup de kheys, je m'attendais à ce que la fic soit finie depuis longtemps quand j'arriverai ici. Donc sweet vite !
J'ai pu raconter à une pote franco-turc que je lisais un récit sur les aventures d'un khey en erasmus à Istambul, elle m'a répondu de suite "Ah, l'histoire d'un type qui est parti faire la teuf en non-stop, donc" La reput de cette ville tient bon.
En tout cas gros plaisir à lire. Et pour Tutku, elle a quelque chose de rassurant et maternel, c'est normal que les kheys la trouvent top. Non seulement c'est une bombe au pieu mais elle est de bon conseil et vous avez un terrain d'entente (pour l'instant) pour votre relation.
Le 11 octobre 2021 à 20:44:17 :
Eh bah comme beaucoup de kheys, je m'attendais à ce que la fic soit finie depuis longtemps quand j'arriverai ici. Donc sweet vite !J'ai pu raconter à une pote franco-turc que je lisais un récit sur les aventures d'un khey en erasmus à Istambul, elle m'a répondu de suite "Ah, l'histoire d'un type qui est parti faire la teuf en non-stop, donc" La reput de cette ville tient bon.
En tout cas gros plaisir à lire. Et pour Tutku, elle a quelque chose de rassurant et maternel, c'est normal que les kheys la trouvent top. Non seulement c'est une bombe au pieu mais elle est de bon conseil et vous avez un terrain d'entente (pour l'instant) pour votre relation.
C'est un peu ce que n'importe quel mec cherche, une sexfriend qui te fait pas des scènes et qui en plus est là quand ça va pas. Aminata est sûrement géniale au pieu mais les prises de tête avec une fille comme ça c'est une horreur au quotidien . Suffit de voir le pov' Jo il a finit par se barrer.
Le 11 octobre 2021 à 21:52:44 :
un khey psychanalyste dans le coin pour analyser un peu les femmes que j'ai rencontrées à Istanbul ?
Trop peu d'infos sur leur parcours. On a ton point de vue uniquement. Je pense pas qu'une "psychanalyse", d'ou l'on se poste, par rapport à ton histoire tomberait juste.
Données du topic
- Auteur
- Turkissou9
- Date de création
- 11 juillet 2021 à 20:23:23
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