[RISITAS] Un célestin à Istanbul
CHAPITRE 36 : Après l’effort, le réconfort
-Tu sais, je ne t’en voudrais pas si tu veux rentrer chez toi
-Ne dis pas n’importe quoi, je ne vais pas te laisser seul dans cet état
-Jo est là
-Tu préfères sa présence à la mienne ?
-Ca dépend pour quoi, je pense !
-Je peux faire des choses pour te soigner et te détendre que lui ne te fera jamais
…
Aha ?
…
Et là, en voulant prendre le désinfectant qui était posé à côté et que Jo m’avait ramené, Tutku n’a malheureusement pas d’autre choix que de prendre appui sur moi en appuyant sa main, sans la moindre pression, entre mes jambes évidemment, je commence à rire bêtement et à monter le chapiteau, et elle semble assez heureuse que je rentre dans son jeu.
S’en est suivie une scène que je recommande à tous les kheys (sauf pour la première étape, la blessure) ; une jolie fille qui prend délicatement soin de vous. Elle a commencé à m’éponger le front, et à nettoyer ma plaie avec de l’alcool modifié, et bien que ça piquait un peu, elle savait comment me détendre avec quelques murmures de temps à autre, abandonnant sa petite position d’infirmière, elle déposait un bisou sur mon front, mes joues ou mes lèvres aucun doute, elle était en train de me chauffer, comme quoi, c’est pas des c*nneries ces histoires de femmes attirées par les hommes blessés au combat j’ai longuement réfléchi pendant qu’elle continuait à prendre soin de moi ; en un rien de temps, j’étais torse nu à recevoir des massages DIVINS.
…
Mais, le sport, ça creuse. Et ça fatigue.
Et de bons soins, ça repose.
L’un dans l’autre…
Je me suis endormi
...
Mais elle est restée
Je me suis réveillé une heure ou deux plus tard pour admirer l’une de mes plus jolies visions depuis mon arrivée en Turquie : Tutku était debout devant ma kitchenette en train de faire quelque chose de rapide à manger.
-Vu que tu dormais, je me suis servi, ça ne te dérange pas ?
-N-n-n-non…
J’ai pris mon portable pour regarder les messages que j’avais reçus : Jo qui me souhaitait « bonne chance » , Furkan qui m’avait envoyé un PAVE pour expliquer que l’équipe en face serait éliminée pour mauvais comportement et Fritz qui me demandait comment j’allais après leur avoir rapidement répondu, je me suis tourné vers Tutku ; elle était belle, tellement simple et jolie à s’être occupée de moi ainsi, qu’en un instant ma décision était prise : ce serait ce soir. Et avec elle.
On a mangé rapidement en discutant assez vivement de ce qui s’était passé aujourd’hui. Fondamentalement, nous avons évité le sujet de l’autre soir car bien que j’avais posé mes conditions, elle semblait vraiment vouloir autre chose, quelque chose de plus simple, et ce soir, j’étais rentré dans son jeu à 100%. Je crois que ma blessure, combinée à la double humiliation Ophélie-Betül et à mon attirance évidente pour Tutku ont eu raison de moi ce soir, mais je n’en n’avais plus rien à faire
La nuit était tombée, Tutku m’a demandé si elle pouvait passer la nuit ici
-Je ne sais pas, tu es prête à payer un loyer ?
-Quel est ton prix ?
-Les loyers d’Istanbul sont très très très chers ce soir, saison touristique et tout, tu comprends
-On ne peut pas négocier ?
-Peut-être que le sang que j’ai sur moi baisse un peu le prix…
Elle a souri et d’un geste assez discret, je me suis tourné vers la table de nuit, où j’avais disposé le matériel nécessaire à la nuit elle m’a regardé avec un grand, très grand sourire, et a commencé à retirer son chemisier, les cheveux en bataille. Et ça, les kheys, c’est l’une des images de mon voyage que je n’oublierai jamais.
Ce serait ce soir. Avec Tutku.
" c'était génial, sa peau était très douce... j'étais complètement aux anges les kheys... jusqu'à ce qu'il y a l'improbable Qui arrive... une panne"
Ca me rappelle mon séjour à Istanbul en début d'année, j'avais vraiment aimé la ville et c'est vrai que j'avais trouvé les femmes ravissantes. Le parc Gülhane est incroyable.
Ton appart se situait dans quel quartier ?
Le 30 juillet 2021 à 15:19:22 :
Ca me rappelle mon séjour à Istanbul en début d'année, j'avais vraiment aimé la ville et c'est vrai que j'avais trouvé les femmes ravissantes. Le parc Gülhane est incroyable.Ton appart se situait dans quel quartier ?
Dans le coin d'Eminönü, merci merci le professeur qui m'a pistonné
CHAPITRE 37 : Combat d’estoc
Ecrire ce chapitre sans écrire de mots passibles d’un strike est une chose assez délicate disons que vous avez probablement déjà le point de départ en tête : Tutku dénudée qui se penche sur moi, encore un peu grogui de mon accident de guerre, mais reposé et prêt à partir pour de nouvelles conquêtes, et cette fois-ci, l’excitation à son comble, la frustration au sommet, Tutku chaude comme jamais, rien ne pouvait m’arrêter
La situation était d’autant plus agréable qu’elle n’avait pas l’intention de me laisser faire quoi que ce soit : je ne sais pas pourquoi. Avait-elle peur que je me dégonfle et que je n’aille pas jusqu’au bout comme la dernière fois ? Ou bien pensait-elle que j’étais tellement mal en point qu’elle devait s’occuper de moi ? Tout ça, ce sont des réflexions a posteriori. Sur le coup, j’avais évidemment d’autres choses à quoi penser
Elle a commencé trop fort, un peu trop fort pour moi malheureusement, car ma tête me faisait encore un peu mal, sur le coup j’ai pensé que ce serait bien bête de faire un malaise dans une telle situation, vu les dernières fois, b*rdel, ce serait vraiment le comble
Je me suis toutefois servi de ces douleurs pour faire comprendre à Tutku que je voulais plus de douceur et de délicatesse dans sa prise de contrôle, et c’est avec un sourire particulièrement coquin qu’elle m’a dit de ne pas m’inquiéter, je me souviens avoir d’une main descendu le volet et allumé une petite lumière pour créer une ambiance PARFAITE ce dont Tutku n’avait strictement rien à faire, elle a rigolé puis a éteint la lumière en précipitant ses lèvres sur mon cou, ok donc le message était clair : je n’avais RIEN à décider ce soir
-Laisse-moi, je sais quoi faire
-Mmh mmh mmh
Plus aucune envie de répondre.
Plus aucune envie de contredire.
Ma bouche et ma gorge étaient complètement sèches, et mon cœur s’emballait, évidemment, inutile de vous signaler la hauteur du chapiteau
Elle a continué à m’embrasser le cou, puis a commencé à descendre, à descendre, elle passait sa langue sur tous les endroits de ma peau, ses lèvres, elle mordillait, elle utilisait toute sa palette de plaisirs sur moi et tous ses baisers que j’ai tant senti sur mes lèvres et mes joues, je les sentais désormais partout sur mon corps je m’habituais au noir et l’obscurité donnait au corps de Tutku une dimension mystérieuse qui me plaisait terriblement, je voyais ses f*sses s’agiter lascivement tandis qu’elle parcourait mon corps, et elle descendait de plus en plus, jusqu’à arriver à l’entrée du chapiteau, là où personne n’était jamais allé à part ma main j’ai rarement senti tel plaisir que le moment où Tutku m’a retiré mon caleçon, avec mon aide pressée, avant de m’embrasser où il fallait et enfin de me prendre en bouche SANS VERGOGNE, les kheys, je ne crois pas pouvoir utiliser de mots assez forts pour décrire cette sensation, c’est MAJESTUEUX, j’avais fermé les yeux et durant tout le temps où ça a duré, je n’ai rien fait d’autre que prendre tout le plaisir qu’elle me donnait
Quand elle avait fini, elle a retiré ce qui lui restait de vêtements, et de même pour moi, et le moment était venu de passer aux choses sérieuses, j’ai pris ce que j’avais bien préparé pas loin du lit, et je l’ai ouvert, en me rappelant que je n’en n’avais jamais mise, pas même pour m’entraîner
-Eh bien voilà ! Donne, je t’aide
Et nous me l’avons mise ensemble, je crois qu’elle avait tellement mal digéré les dernières fois qu’elle voulait même me faire ça, de peur que je fasse encore le schl*g et que je la craque sous ses yeux, ça aurait été merveilleux ça
Mais non, on était l’un comme l’autre décidé à aller jusqu’au bout cette fois, elle s’est alors paresseusement couchée sur le lit en se mordant la lèvre, les yeux fermés, et je me suis demandé alors comment je devais lui faire comprendre que j’étais full pucix
-Tu la mets ?
-Tu ne sais pas viser, haha ?
-Fallait pas éteindre la lumière
Voilà, on met tous sur le dos de la lumière, comme ça on passe à autre chose rapidement, je n’étais pas peu fier de ma ruse, elle n’y avait vu que du feu mais c’est ensuite que ça a commencé à se gâter ; elle m’a positionné le poteau là où il fallait, mais impossible de le rentrer complètement, alors j’effectue quelques mouvements de va-et-vient et je sens que ça ne va pas trop ; à mon grand étonnement, malgré l’expérience qu’elle semblait manifester, il ne semblait pas y avoir eu beaucoup de passage avant moi mais tant mieux, je continue quelques mouvements, ça va un peu mieux, ça tire un peu moins, et je vois malgré tout qu’elle prend du plaisir, et moi aussi, mais au fond, je sens que ça pourrait être mieux, que je pourrais aller plus loin, dans tous les sens du terme
Bien que ça ait duré quelques minutes de plaisir, j’ai fini par ressortir avec un léger sentiment d’insatisfaction, mais sur le coup largement comblé par toutes les hormones de plaisir qui s’étaient déversées en moi à l’instant. Cela dit, trop d’essais tue l’essai et ceci avait été fatal à mon estoc… Tutku a décidé de prendre les choses en main (littéralement ) pour finir le travail et m’emmener jusqu’au point ultime où je devais aller, et ce ne fut pas sans un plaisir intense et inoubliable
Et une fois la sauce envoyée, la descente est rude, et l’envie de dormir s’ajoute à toutes les autres difficultés de la journée, mais la pensée était la suivante : je n’étais plus le même homme, je m’estimais sérieusement et souverainement dép*celé Tutku s’est alors blottie contre moi en souriant, et nous nous sommes endormis, simplement heureux d’avoir partagé ce moment ensemble, en me faisant la promesse que cette fois-ci, bien qu’étant la première fois, n’était pas la dernière, et encore moins la dernière avec Tutku.
Données du topic
- Auteur
- Turkissou9
- Date de création
- 11 juillet 2021 à 20:23:23
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