[RISITAS] Au bout du monde : un khey au Japon
SuppriméChapitre 3 : Incheon
J’attends que la horde de PNJ se disperse pour récupérer mes affaires et me traîner hors de l’avion.
Le personnel de l’avion étant très principalement français, c’est au moment où je salue le commandant
« Bon voyage, que la chance vous sourisse.
-Merci beaucoup.
L’aéroport me semble plutôt petit, mais en fait, il ne s’agit là que d’une aile de l’aéroport parmi d’autres. Cette dernière est très agréable. L’endroit est très lumineux, posé, à échelle humaine. Un peu de verdure également.
Etant quelqu’un d’anxieux par nature, je m’assure toujours d’arriver en avance peu importe où que j’aille.
Forcément, pour pallier à toute malheureuse , je m’assure toujours de très longues escales lorsque je voyage.
Déjà épuisé, il me restait donc cinq heures à tuer. Je commence par chercher le point d’embarcation de mon prochain avion. Alors que je m’attendais à ce que traverser l’aéroport pour atteindre ce dernier m’occupe un petit moment, j’y parviens en quelques minutes.
Je me mets donc à déambuler dans l’aéroport, jusqu’à faire une rencontre bien singulière .
Intrigué, je vais à sa rencontre, me frayant un chemin à travers les passants blasés.
« Hello, douyouspikinglish ?
-Good morning, Sir. What can I do for you?
- Where can I find some burger?
- Please check the following addresses.
- Let’s take this one.
- Alright, please follow me.
Mais quel pays incroyable. Moi qui suis fan de science-fiction et qui voulais me retrouver dans un monde à la Blade Runner, côtoyer des IA, me voilà comblé.
Je n’embête pas mon ami artificiel plus que de raison et le laisse retourner vaquer à ses occupations.
« Goodbye, Sir. May the chance be with you.
Je continue à déambuler dans l’aéroport. Par curiosité, et parce que je n’ai absolument rien d’autre à foutre, je pénètre dans un magasin qui vend des spécialités coréennes. Mon attention se porte sur un article random. Pas que je sois vraiment intéressé, mais c’est ce n’est pas le genre de chose qu’on trouve chez moi. Grave erreur. Aussitôt, la femme tenant le magasin se jette sur moi.
« Take it. Take it.
-It’s ok, I’m just watching.
- Take it. Very good.
Un dialogue de sourd s’installe. Elle fait la forceuse de ouf pour me refourguer l’article en question, à la limite de le mettre de force entre les mains.
Après avoir baragouiné que je reviendrai lui acheter un truc quand je rentrerai chez moi en France, je réussi à lui fausser compagnie , sentant son regard s’attarder longuement sur moi
Je vais finalement me trouver un truc à me mettre sous la dent et me poser près du point d’embarcation. Autour de moi, des gens se tapent leurs meilleures siestes alors que je ne suis toujours pas capable de fermer l’œil.
Je constate que mes notifications s’affolent
Il s’agit de la conversation de groupe de la promotion de ma future université japonaise. Conversation à laquelle, bien entendu, en tant que Célestin, je ne participe pas.
« Hey everyone. Who else is in Incheon?
-OMG you are in the airport too. ? I can't wait to meet you!
-Where are you, girls?
Bien entendu, je fais le mort. Dans mon état d’épuisement, je suis incapable de sociabiliser. . De toute manière, j'ai six mois pour me rattraper.
Je me contente donc de spotter les alentours.
Finalement, des hôtesses de l’air coréennes (toutes plus magnifiques les unes que les autres ) commencent à affluer et encadrent l’embarquement.
Direction le Japon, cette contrée aux confins du monde, si mystérieuse et familière à la fois !
Chapitre 3 : Incheon
J’attends que la horde de PNJ se disperse pour récupérer mes affaires et me traîner hors de l’avion.
Le personnel de l’avion étant très principalement français, c’est au moment où je salue le commandant SPOIL que j’ai enfin l’impression de sortir définitivement de ma zone de confort.
« Bon voyage, que la chance vous sourisse.
-Merci beaucoup.
L’aéroport me semble plutôt petit, mais en fait, il ne s’agit là que d’une aile de l’aéroport parmi d’autres. Cette dernière est très agréable. L’endroit est très lumineux, posé, à échelle humaine. Un peu de verdure également.
Etant quelqu’un d’anxieux par nature, je m’assure toujours d’arriver en avance peu importe où que j’aille.
Forcément, pour pallier à toute malheureuse , je m’assure toujours de très longues escales lorsque je voyage.
Déjà épuisé, il me restait donc cinq heures à tuer. Je commence par chercher le point d’embarcation de mon prochain avion. Alors que je m’attendais à ce que traverser l’aéroport pour atteindre ce dernier m’occupe un petit moment, j’y parviens en quelques minutes.
Je me mets donc à déambuler dans l’aéroport, jusqu’à faire une rencontre bien singulière .
Intrigué, je vais à sa rencontre, me frayant un chemin à travers les passants blasés.
« Hello, douyouspikinglish ?
-Good morning, Sir. What can I do for you?
- Where can I find some burger?
- Please check the following addresses.
- Let’s take this one.
- Alright, please follow me.
Mais quel pays incroyable. Moi qui suis fan de science-fiction et qui voulais me retrouver dans un monde à la Blade Runner, côtoyer des IA, me voilà comblé.
Je n’embête pas mon ami artificiel plus que de raison et le laisse retourner vaquer à ses occupations.
« Goodbye, Sir. May the chance be with you.
Je continue à déambuler dans l’aéroport. Par curiosité, et parce que je n’ai absolument rien d’autre à foutre, je pénètre dans un magasin qui vend des spécialités coréennes. Mon attention se porte sur un article random. Pas que je sois vraiment intéressé, mais c’est ce n’est pas le genre de chose qu’on trouve chez moi. Grave erreur. Aussitôt, la femme tenant le magasin se jette sur moi.
« Take it. Take it.
-It’s ok, I’m just watching.
- Take it. Very good.
Un dialogue de sourd s’installe. Elle fait la forceuse de ouf pour me refourguer l’article en question, à la limite de le mettre de force entre les mains.
Après avoir baragouiné que je reviendrai lui acheter un truc quand je rentrerai chez moi en France, je réussi à lui fausser compagnie , sentant son regard s’attarder longuement sur moi
Je vais finalement me trouver un truc à me mettre sous la dent et me poser près du point d’embarcation. Autour de moi, des gens se tapent leurs meilleures siestes alors que je ne suis toujours pas capable de fermer l’œil.
Je constate que mes notifications s’affolent
Il s’agit de la conversation de groupe de la promotion de ma future université japonaise. Conversation à laquelle, bien entendu, en tant que Célestin, je ne participe pas.
« Hey everyone. Who else is in Incheon?
-OMG you are in the airport too. ? I can't wait to meet you!
-Where are you, girls?
Bien entendu, je fais le mort. Dans mon état d’épuisement, je suis incapable de sociabiliser. . De toute manière, j'ai six mois pour me rattraper.
Je me contente donc de spotter les alentours.
Finalement, des hôtesses de l’air coréennes (toutes plus magnifiques les unes que les autres ) commencent à affluer et encadrent l’embarquement.
Direction le Japon, cette contrée aux confins du monde, si mystérieuse et familière à la fois !
Chapitre 4 : Kyushu
La traversée du détroit de Corée se fait très rapidement.
Je suis arrivé au Japon par Fukuoka, la troisième ou quatrième plus grosse ville du pays. A vol d’oiseau –et donc à vol d’avion- les deux villes sont plutôt proches. De par sa position géographique, Kyushu est la porte d’entrée naturelle au Japon. C’est ainsi par cette île que la plupart des influences extérieures, notamment le bouddhisme puis le christianisme, sont arrivés dans l’archipel. Lors du sakoku, longue période d’isolationisme très strict du pays, la principale et quasi unique porte d’entrée au Japon était la ville de Nagasaki, à Kyushu.
A l’immigration, l’agent en charge de mon cas me dévisage longuement.
Pour cause, je n’ai pas du tout la même gueule que sur mon passeport, sur lequel je ressemble à un homme de Cro-Magnon complètement négligé et hirsute –j’avais pris la photo complètement à l’arrache car pris de vitesse dans ma paperasse pré-voyage, alors que je suis plutôt propre sur moi malgré mon état de fatigue avancée.
La réception des étudiants étrangers est très bien organisée. Mon université a un stand pour accueillir les étudiants en provenance de l’étranger, et des navettes partent régulièrement pour Beppu, ma destination finale. Seulement, il faut attendre des étudiants qui arrivent par un autre vol. Et me voilà à devoir attendre deux heures de plus. Ces informations en ma possession, je m’éclipse au plus vite pour ne pas avoir à tomber sur des gens de ma future promo et avoir à sociabiliser deux heures durant avec.
Au Japon, il y a un nombre hallucinant de distributeurs automatiques. Plus ou moins 4 millions en 2017 d’après Wikipédia, ce qui en fait un pour 31 habitants environ. Il y a des distributeurs partout et qui distribuent tout : cigarettes, capotes, goodies, glaces ect.
Au Japon, fais comme les japonais, me dis-je.
Aussi, j’y prends un thé vert. Je trouve ça dégueu . C’est l’occasion de découvrir un soda à la pomme absolument exquis qui m’accompagnera pendant tout mon échange
Cimer le soda Ă la pomme putain.
Je me pose dans un coin discret pour patienter, prévenant mes proches et amis de mon arrivée au Japon.
Mes futurs collègues arrivent enfin, et le trajet en navette pour ma destination finale est pour très bientôt.
Un petit attroupement d’étudiants se forme. Je décide de les rejoindre pour ne pas passer complètement pour un asocial.
« Oh, dear collegues, je n’aurais jamais pensé que vous étiez de mon université même si vous êtes les seuls non-japonais dans l’aéroport. Si j’avais su je serais venu vous voir plus tôt.
Dans le lot, il y a une blonde avec une bonne tĂŞte de franchouillarde.
Je l’aborde alors qu’elle est légèrement à l’écart, et effectivement c’est bien une de mes compatriotes.
« Salut. Je crois bien que nous sommes compatriotes.
-Effectivement, enchanté. Moi c’est Léa !
-Sacré voyage hein !
- Un enfer ! Mes voisins d’avions étaient insupportables. Heureusement que j’ai pu faire une sieste à l’aéroport.
Nous sommes rejoints par le reste des Ă©tudiants.
A partir de ce moment-là , la fameuse Léa se met à m’ignorer complètement malgré que je continue à lui parler.
Je branche mes derniers neurones fonctionnant encore pour participer Ă la conversation.
Je me débrouille pas si mal mais laisse les autres, notamment un charismatique allemand, mener la conversation.
Finalement, nous embarquons dans la navette Ă destination de Beppu, le terminus.
L’excitation me maintient éveillé. Je peine à réaliser ce qui m’arrive. J’ai été téléporté dans un autre monde. Les voitures, les bâtiments, les infrastructures, tout est hyper stylé. Sur l’autoroute, le paysage alterne patelins traditionnels, rizières et infrastructures modernes, le tout dans un paysage montagneux, assez sec à ma grande surprise, et qui n’est pas sans me rappeler la frontière franco-italienne. Pour un mois de mars, le temps est d’ailleurs incroyablement doux.
La nuit tombe très vite. Nous finissons par arriver à Beppu, ville de 120 000 habitants environ. Enfin.
Je suis tout excité. De nuit, la ville est vraiment stylée. Les néons, les écrans géants, les buildings hyper modernes, les commerces et enseignes tous plus intrigants et attractifs les uns que les autres... Et ce n’est qu’un aperçu de tout ce que la ville offre.
Nous arrivons à la résidence. A première vue, elle me semble très moderne, très confortable et très propre. Fort heureusement, les formalités ne s’éternisent pas et je peux enfin prendre possession de mes quartiers.
Une petite douche rapide (à ce propos, on était dans une résidence hyper moderne, hyper confortable, mais les douches étaient horribles, la moindre manipulation de la température et tu finissais ébouillanté ).
Je me fous enfin dans mon lit et profite d’un repos bien mérité.
t e
suite
Chapitre 5 : Bouddha
Je me réveille le lendemain, complètement paumé, encore assommé par mon interminable voyage de la veille.
Je mets quelques secondes avant de retrouver mes esprits et de me rappeler que j’ai bel et bien atterri au Japon.
Il doit être vers neuf heures du matin. M’étant endormi vers 21 heures la veille, je ne souffre absolument pas du jet lag et ai immédiatement pris le rythme local.
Je me lève et vais prendre la température sur mon balcon. Il y a une petite marina au pied de l’immeuble où je réside.
N’ayant rien avalé depuis un moment, je sors de mon appart.
J’en profite pour jeter un rapide coup d’œil à la résidence. Chaque étage de cette dernière a un petit salon. La vue depuis le salon de mon étage est sublime.
48 heures auparavant, j’étais coincé au cœur de la grisaille de la fin d’un hiver français. Là , je suis comme téléporté au paradis. Mon cœur est empli de joie quand je prends conscience de l’environnement qui sera le mien pour les prochains mois.
Je sors de la résidence pour faire quelques courses. Les supermarchés ne sont pas ce qui manque. Celui où je jette mon dévolu est d’ailleurs localisé en face d’un autre, ce dernier faisant de la pub pour le premier alors qu’il ne s’agit même pas de la même enseigne.
Rien qu’aller faire les courses m’excite. Tous ces produits qui n’existent pas chez moi, ces spécialités locales, les regards étonnés mais toujours bienveillants qui se posent sur moi.
Par contre, il y a une horrible musique qui tourne en boucle, un truc dans le genre du refrain de ça : https://www.youtube.com/watch?v=8CwFNFGSQV0
Bref, le genre de son qui reste bien dans la tête. L'enfer que ça doit être de travailler avec ce son qui tourne H24
Il faut savoir que chaque étudiant étranger a un buddy pour l’épauler en cas de besoin, et tout simplement pour s’en faire un ami. J’ai eu l’occasion d’échanger avec le mien, que nous appellerons Shen , et avons convenu de nous retrouver en fin d’après-midi à la résidence afin de nous rencontrer comme toutes les autres paires de buddys.
En attendant, je décide de partir explorer la ville.
Dès ma sortie de la résidence, je me fais aborder par deux vieilles :
« Nous sommes ravis de rencontrer des étrangers en voyage dans l’archipel. D’où venez-vous cher visiteur ?
- De France.
- Vraiment ! Nous adorons les français, vraiment ! Il y a un superbe temple boudhiste, non loin d’ici, que nous avons fait visiter à des touristes français. Ils ont vraiment adoré !
- J’adore les temples bouddhistes.
- Venez donc avec nous. C’est vraiment l’un des plus beaux temples du Japon !
- Avec plaisir.
Elles se dirigent vers une voiture et m’invitent à monter. Merde. Je pensais que le temple était tout prêt et qu’on y irait à pied. Mais je ne me sens pas de les froisser. J’essaie de temporiser en disant que j’ai un rendez-vous dans l’après-midi mais elles me répètent que le temple n’est vraiment pas loin.
Aussi, je finis par embarquer. Quel abruti putain, monter en voiture avec des inconnues en territoire inconnu…
Dix minutes passent. Puis vingt. Et on roule toujours. Je commence à stresser et à me faire des films. Je me vois déjà pris en otage par des yakuzas qui enverraient mon petit doigt à mes parents pour les inciter à payer 50 000 dollars de rançon.
Se faire enlever par deux mamies dès son premier jour dans le pays le plus sûr du monde, il faut vraiment le faire
Les deux vieilles sont extrêmement gentilles avec moi, ce qui renforce ma méfiance.
Elles me posent des questions sur moi comme mon âge, ma date de naissance, mes mensurations ou encore mon signe astrologique. Je me vois déjà servir d’esclave sexuel au chef de je ne sais quel chef d’une secte maléfique
Je m’apprête à m’enfuir en courant dans le cas où ça sentirait vraiment trop le roussi.
Aussi, je cartographie mentalement les environs alors que nous roulons.
Nous arrivons finalement à destination. Nous sommes à Oita, de l’autre côté de la baie, en face de Beppu.
Je m’attendais à une superbe pagode alors que l’endroit est complètement claqué au sol, c’est un bâtiment on ne peut plus banal. Même le gymnase de mon ancien collège est plus stylé, c’est dire.
Je rentre dans le « temple » avec les vieilles, toujours en état d’alerte.
Les gens qui sont dans le temple ont l’air ravi de m’accueillir parmi eux. Essentiellement des personnes de plus de cinquante ans. Quant aux plus jeunes, ils m’ont l’air tout à fait normaux –aucun gros bras à l’horizon qui pourrait se jeter sur moi pour me maîtriser et m’embarquer dans un fourgon.
Je patiente un bon moment avec l’une des vieilles dans une salle à l’écart.
« On attend quoi en fait ?
- Boudha doit se préparer.
- Ah oui je vois.
L’autre vieille rapplique.
On me demande d’enfiler une toge. Je m’exécute sans poser de question.
On me confie Ă©galement un chapelet et un livre sain.
Je suis invité à rejoindre la pièce principale. Sol en bambou. Murs blancs. Air conditionné. Des icônes bouddhistes, au fond de la salle, un autel surplombé d’une statue de Boudha en métal.
Je suis invité à prendre place devant l’autel. La maîtresse de cérémonie arrive dans la salle, prend place au niveau de l’autel et s’adresse longuement à moi en japonais. Le seul mot que je comprends est mon prénom, Cybercuck. Aussi, je vois bien que je suis sur le point de participer au rituel d’intronisation d’une secte.
La cérémonie commence. L’une des vieilles me demande de lire le livre sain qu’on m’a confié . Ne sachant pas lire les kanjis, je me contente de fredonner.
Il doit y avoir une dizaine de personnes dans la salle, qui récitent en cœur un texte sacré de leurs voix graves et profondes.
Et c’est long. Très long. Je n’arrête pas de gesticuler pour trouver la position la plus confortable possible.
Au bout d’une bonne demi-heure, peut-être plus, la cérémonie arrive à son terme. La maîtresse de cérémonie s’adresse une nouvelle fois à moi. Apparemment, je suis un membre de la secte à part entière .
Je retourne voir les vieilles.
« Qu’avez-vous pensé de la cérémonie ?
-Euh… ma foi… c’était… intéressant.
-…
-Qu’est-ce que le temple avait de si spécial, en fait?
-Vous venez de faire la connaissance d’un très grand Boudha.
-Ah oui, je vois.
-Nous reviendrons vers vous la semaine prochaine.
-Ah ! Excellent ! Et si nous rentrions Ă Beppu, maintenant ?
Heureusement, nous ne nous attardons pas. Je suis salué par les autres membres de la secte alors que je suis sur le départ. Je me fais reconduire à la résidence.
« N’oubliez pas, jeune homme, vous pouvez toujours compter sur la fraternité. N’hésitez pas à nous contacter.
-Ah. Oui, je m’en souviendrai. A tantôt alors.
J’essaie de leur refourguer ma toge, mon livre sacré et mon chapelet, mais elles insistent pour que je garde le tout.
Je descends enfin de la voiture et fausse compagnies Ă mes cosectaires au plus vite.
En favori, hésite pas à raconter et/ou insérer des anecdotes en les rendant marrants (avec stickers) pour faire durer
Données du topic
- Auteur
- Cybercuck1997
- Date de création
- 16 mai 2021 Ă 21:14:55
- Date de suppression
- 25 novembre 2024 Ă 18:41:00
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