Khey et écrivain.
Partage avec vous entre l’écriture de deux chapitres ce matin.
J’ai découvert les Neurchi (ouais, je suis vieux) la semaine passée.
Via Neurchi d’histoire au coin du euf
On est pas sur de la grande littérature, mais il y a beaucoup de fraîcheur dans certains textes et les commentaires sont pour la plupart constructifs et encourageants.
Du coup, j’ai ouvert un topic pour découvrir d’autre perles : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-64854921-1-0-1-0-neurchis-d-inspiration.htm et c’est enfaite très sympa tout ce petit milieu.
Boomerement vôtre
Le 18 novembre 2020 à 09:42:26 B4vo a écrit :
Partage avec vous entre l’écriture de deux chapitres ce matin.J’ai découvert les Neurchi (ouais, je suis vieux) la semaine passée.
Via Neurchi d’histoire au coin du euf
On est pas sur de la grande littérature, mais il y a beaucoup de fraîcheur dans certains textes et les commentaires sont pour la plupart constructifs et encourageants.
Du coup, j’ai ouvert un topic pour découvrir d’autre perles : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-64854921-1-0-1-0-neurchis-d-inspiration.htm et c’est enfaite très sympa tout ce petit milieu.
Boomerement vôtre
Je ne connais pas les Neurchi mais je découvre ton site b4vo.com du bon boulot, frérot !
Le 18 novembre 2020 à 10:23:34 MaxouStirner1 a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 09:42:26 B4vo a écrit :
Partage avec vous entre l’écriture de deux chapitres ce matin.J’ai découvert les Neurchi (ouais, je suis vieux) la semaine passée.
Via Neurchi d’histoire au coin du euf
On est pas sur de la grande littérature, mais il y a beaucoup de fraîcheur dans certains textes et les commentaires sont pour la plupart constructifs et encourageants.
Du coup, j’ai ouvert un topic pour découvrir d’autre perles : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-64854921-1-0-1-0-neurchis-d-inspiration.htm et c’est enfaite très sympa tout ce petit milieu.
Boomerement vôtre
Je ne connais pas les Neurchi mais je découvre ton site b4vo.com du bon boulot, frérot !
Wow, venant de ta part, ce compliment dégouline le long de mon égo avec un plaisir apprécié
J’écris la version 9 et c’est la version 7.3 pas corrigée en ligne : au vu de ce que j’ai entre les mains et ce qu’il y a en ligne, je t’enjoins à attendre avant de te lancer dans la lecture si, là, était ta volonté
Si tu as Facebook, je te conseille vraiment ce Neurchi qu’on m’a conseillé sur l’autre topic : https://www.facebook.com/groups/688388208769889/?ref=share
Une belle énergie s’en dégage après avoir fait un rapide tour.
J’y retourne ✍️
Sah j'ai besoin de retour sur ce passage que j'ai écrit coco
L'Etat s'était décidé,sous la poussée d'une volonté nouvelle de réveil patriotique, à construire la paix future en essayant d'introduire dans la jeunesse, les bases d'une fraternité retrouvée destinée à dépasser les individualités qui avait tendance à détruire ce beau projet d'unité.Ainsi il s'était retrouvé avec tous les autres marmots dans ces camps perdus du pays, baraquements de fortune que les derniers restes du budget de la nation avaient servi à construire.Les mauvaises langues avaient déjà pu dénoncer l''absurdité du projet, la période trop courte pendant laquelle les bambins seraient réunis ne donneraient pas les résultats escomptés.La dissimulation des conditions matérielles objectives de chacun sous l'uniforme ne ferait que rendre plus évidentes et violentes ces différences une fois sorti de cet état d'esprit voué dans l'opinion générale à être temporaire.Il s'en était allé donc gaiment répondre de force aux attentes de son pays, pour lui il ne s'agissait finalement que d'un ersatz tout à fait délicieux évoquant ces périodes de flottements de l'histoire que la guerre amène pour la jeunesse :ces trois petits mois passés feraient écho à ces années pendant lesquelles vagabondaient les âmes trop lâches et trop raccrochées à la vie pour espérer que la patrie constitua une idée qui justifiait leurs disparitions du monde des vivants L'amour se serait glissé le temps d'une permission pour laisser à l'amant le temps de sa fuite et l'accueil du mari affectant un sourire de joie en revenant du front pour essayer d'oublier les affres,chacun croisant l'autre sous un accord tacite qui se veut celui de la comédie générale que constitue cette mécanique impitoyable qu'est la guerre.En somme,un terrain de jeu immense réglé par la musique des feux d'artifices ou des canons selon comment on le perçoit.
L'imagination était bien sur toujours en deçà des résultats attendus : confinés dans ces battisses rectangulaires, enchainant les quelques courts théoriques et les exercices de gymnastique, les journées passaient une après l'autre sans qu'il est le temps de ressentir ces moments de flottement dont il avait tant fantasmé la venue.
Il arriva pourtant qu’une fois, alors que la sauce caramadesque n'avait toujours pas totalement prise,que les esprits se rejoignirent dans une même prière. Un dénommé Pierre, grand brun aux tempes dégarnies dont les parents étaient professeurs de lettres détail notable qui faisait dire que ce garçon était sans doute animé d'une pensée poétique similaire à la sienne, s'était enquis auprès d'un officier dont il avait su attiré la sympathie,que non loin de leur emplacement, se déroulait un bal.Cette fête populaire avait lieu dans ce village connu autrefois sous le nom de Nusschneke, village célèbre pour ses tapisseries en forme d'escargots dont les spirales en pâte feuilleté sont fourrées d'une pâte d'amande et dont le contour est caramélisé.Chacun scrutait la réponse de l'autre à cet invitation et comprenait bien que celui qui aurait décider de rester, risquerait de les trahir pour 30 deniers.Les premières mains levées furent hésitantes, mais bientôt tout le dortoir fut quasiment couvert des signes de ralliements. Seule une personne avait refusé de venir, prétextant qu'il avait lui même d'autres projets ce même soir, mensonge que les autres avaient vite approuvé pour ne pas perdre de temps mais préparant déjà la manière de rosser cet énergumène.
La route qui menait au village plongeait de la montagne vers les contrebas.Lors de cette escapade peu de compagnons de fortune se perdirent dans ces roches abruptes,les montées de sang promises lors de la soirée alimentaient les muscles vigoureux de cette jeunesse impétueuse, cet exutoire impromptu après des semaines harassantes d'ennui, animait les cœurs.Arrivé à l'entré du village, les vieux qui attendaient aux portes et qui étaient déjà en train de regarder les minettes danser et ne furent pas plus surpris de voir arriver une compagnie de personnes vêtues de leurs treillis, comme si l’événement était une tradition pastorale ou le solstice amenait à ses vierges pubères esseulées de la campagne de jeunes éphèbes tout aussi plein qu'elles de volupté.Une tradition de la fertilité allant bon train avec une joyeuseté des performances sexuelles de la jeunesse et qui devait nourrir le sol,promettant de prochaines récoles abondantes.
L'orchestre était composé d'un piano d'un saxophone et d'une petite station de percussions. Les instruments étaient tenus par des moustachus dont le haut arborait ses rayures rouges empruntées aux américains.Deux rangées distinctes,filles et garcons,s'étaient vite formées et une nouvelle fois les particules s'ordonnaient conjointement, respectant une géométrie et un empilement particulier. Il avait lui même trouvait sa partenaire d'une nuit une jolie blonde dont les joues étaient devenues écarlates au contact de ses mains sur sa taille.La minauderie pouvait commencer entre chaque couple.Des pas de danse aux chevelures flottantes et des jupes virevoltantes..Malgré la maladresse de certains la partition jouée semblait respecter les règles précises que le sémiologue s'efforce à déchiffrer, perdant par la même le contact avec ces moments de tendresse libidineuse.A mesure que la sueur de chacun perlait le long de leurs cous, les corps retrouvés leur unité quasi-biblique « que cela signifie une unité indéfectible de leur deux vies, le Seigneur lui-même le montre en rappelant quel a été, le dessein du Créateur, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. ». Sa dulcinée du Toboso prenait des teintes rosées tendant de plus en plus vers l'écrevisse à mesure que les corps se liquéfiaient tout en se vidant de leur eau. L’atmosphère était emplie d'une fureur ne se retrouvant que dans les dernières traces d'ivresse, celle ou le corps tends vers l'esprit en sur-analysant ses perceptions comme fruit de son corps avant celle de son esprit. Les pas s'enchevetraient de plus en plus, chacun suivait le tempo diabolique des trois temps. Enfin tous à l'unisson s’embrassèrent, goutant des lèvres de l'autre, la frénésie qui les avait saisi.
A la fin du morceau, les participants rhabillèrent leurs timidités sous de nouveaux habits et chacun s'en alla, la tête encore pleine des vapeurs suffocantes qu'avaient laissé dans le sol, les multiples coup de talons. De retour au baraquement, une rangée d’intendants se tenaient patiemment aux entrées par lesquelles nous nous étions engouffrées plus tot ; Ces visages exsangues nous fixaient de leur yeux que la nuit rendait uniformément jais, droits dans leurs bottes, les épaules légèrement en arrière redéfinissant les courbes de l'horizon qui se perdait à nos visions. Les hurlements se firent alors d'une seule et même voix. Eux qui étaient les fruits de la patrie, au lieu de murir, étaient rongés par le vice d'une vie trop longtemps laissée à la bassesse du désir. « Vous autres, fils de notre patrie, chaque geste que vous avez commis en cette nuit sont autant de couteaux plantés dans le cœur de la terre mère et vomissez votre bile noirâtre sur les premiers épis qui devaient germer sur ce sol nourricier et au combien vénéré » les métaphores s'enchainaient au rythme des voix passant d'une fréquence à une autre mais toute gardant malgré les mêmes trémolos la même férocité, la bouche clairsemée d'une écume se déposant à chaque nouvelle vague d'invectives faites à leurs égards.Pour ce qui resta de la nuit, elle fut consommée debout, les muscles se déliant tandis que le froid maintenait sa morsure pour les fixer. Ainsi fut inscrit dans sa mémoire le souvenir d'un soldat criard, geignant sa logorrhée patriotique sur les restes magnifiques des exactions de la jeunesse.
PAZ évidemment sur mes photes d'orthographe et sur ma syntaxe.
G pa lu.
Le 18 novembre 2020 à 13:15:35 KupocV7 a écrit :
Sah j'ai besoin de retour sur ce passage que j'ai écrit cocoL'Etat s'était décidé,sous la poussée d'une volonté nouvelle de réveil patriotique, à construire la paix future en essayant d'introduire dans la jeunesse, les bases d'une fraternité retrouvée destinée à dépasser les individualités qui avait tendance à détruire ce beau projet d'unité.Ainsi il s'était retrouvé avec tous les autres marmots dans ces camps perdus du pays, baraquements de fortune que les derniers restes du budget de la nation avaient servi à construire.Les mauvaises langues avaient déjà pu dénoncer l''absurdité du projet, la période trop courte pendant laquelle les bambins seraient réunis ne donneraient pas les résultats escomptés.La dissimulation des conditions matérielles objectives de chacun sous l'uniforme ne ferait que rendre plus évidentes et violentes ces différences une fois sorti de cet état d'esprit voué dans l'opinion générale à être temporaire.Il s'en était allé donc gaiment répondre de force aux attentes de son pays, pour lui il ne s'agissait finalement que d'un ersatz tout à fait délicieux évoquant ces périodes de flottements de l'histoire que la guerre amène pour la jeunesse :ces trois petits mois passés feraient écho à ces années pendant lesquelles vagabondaient les âmes trop lâches et trop raccrochées à la vie pour espérer que la patrie constitua une idée qui justifiait leurs disparitions du monde des vivants L'amour se serait glissé le temps d'une permission pour laisser à l'amant le temps de sa fuite et l'accueil du mari affectant un sourire de joie en revenant du front pour essayer d'oublier les affres,chacun croisant l'autre sous un accord tacite qui se veut celui de la comédie générale que constitue cette mécanique impitoyable qu'est la guerre.En somme,un terrain de jeu immense réglé par la musique des feux d'artifices ou des canons selon comment on le perçoit.
L'imagination était bien sur toujours en deçà des résultats attendus : confinés dans ces battisses rectangulaires, enchainant les quelques courts théoriques et les exercices de gymnastique, les journées passaient une après l'autre sans qu'il est le temps de ressentir ces moments de flottement dont il avait tant fantasmé la venue.
Il arriva pourtant qu’une fois, alors que la sauce caramadesque n'avait toujours pas totalement prise,que les esprits se rejoignirent dans une même prière. Un dénommé Pierre, grand brun aux tempes dégarnies dont les parents étaient professeurs de lettres détail notable qui faisait dire que ce garçon était sans doute animé d'une pensée poétique similaire à la sienne, s'était enquis auprès d'un officier dont il avait su attiré la sympathie,que non loin de leur emplacement, se déroulait un bal.Cette fête populaire avait lieu dans ce village connu autrefois sous le nom de Nusschneke, village célèbre pour ses tapisseries en forme d'escargots dont les spirales en pâte feuilleté sont fourrées d'une pâte d'amande et dont le contour est caramélisé.Chacun scrutait la réponse de l'autre à cet invitation et comprenait bien que celui qui aurait décider de rester, risquerait de les trahir pour 30 deniers.Les premières mains levées furent hésitantes, mais bientôt tout le dortoir fut quasiment couvert des signes de ralliements. Seule une personne avait refusé de venir, prétextant qu'il avait lui même d'autres projets ce même soir, mensonge que les autres avaient vite approuvé pour ne pas perdre de temps mais préparant déjà la manière de rosser cet énergumène.
La route qui menait au village plongeait de la montagne vers les contrebas.Lors de cette escapade peu de compagnons de fortune se perdirent dans ces roches abruptes,les montées de sang promises lors de la soirée alimentaient les muscles vigoureux de cette jeunesse impétueuse, cet exutoire impromptu après des semaines harassantes d'ennui, animait les cœurs.Arrivé à l'entré du village, les vieux qui attendaient aux portes et qui étaient déjà en train de regarder les minettes danser et ne furent pas plus surpris de voir arriver une compagnie de personnes vêtues de leurs treillis, comme si l’événement était une tradition pastorale ou le solstice amenait à ses vierges pubères esseulées de la campagne de jeunes éphèbes tout aussi plein qu'elles de volupté.Une tradition de la fertilité allant bon train avec une joyeuseté des performances sexuelles de la jeunesse et qui devait nourrir le sol,promettant de prochaines récoles abondantes.
L'orchestre était composé d'un piano d'un saxophone et d'une petite station de percussions. Les instruments étaient tenus par des moustachus dont le haut arborait ses rayures rouges empruntées aux américains.Deux rangées distinctes,filles et garcons,s'étaient vite formées et une nouvelle fois les particules s'ordonnaient conjointement, respectant une géométrie et un empilement particulier. Il avait lui même trouvait sa partenaire d'une nuit une jolie blonde dont les joues étaient devenues écarlates au contact de ses mains sur sa taille.La minauderie pouvait commencer entre chaque couple.Des pas de danse aux chevelures flottantes et des jupes virevoltantes..Malgré la maladresse de certains la partition jouée semblait respecter les règles précises que le sémiologue s'efforce à déchiffrer, perdant par la même le contact avec ces moments de tendresse libidineuse.A mesure que la sueur de chacun perlait le long de leurs cous, les corps retrouvés leur unité quasi-biblique « que cela signifie une unité indéfectible de leur deux vies, le Seigneur lui-même le montre en rappelant quel a été, le dessein du Créateur, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. ». Sa dulcinée du Toboso prenait des teintes rosées tendant de plus en plus vers l'écrevisse à mesure que les corps se liquéfiaient tout en se vidant de leur eau. L’atmosphère était emplie d'une fureur ne se retrouvant que dans les dernières traces d'ivresse, celle ou le corps tends vers l'esprit en sur-analysant ses perceptions comme fruit de son corps avant celle de son esprit. Les pas s'enchevetraient de plus en plus, chacun suivait le tempo diabolique des trois temps. Enfin tous à l'unisson s’embrassèrent, goutant des lèvres de l'autre, la frénésie qui les avait saisi.
A la fin du morceau, les participants rhabillèrent leurs timidités sous de nouveaux habits et chacun s'en alla, la tête encore pleine des vapeurs suffocantes qu'avaient laissé dans le sol, les multiples coup de talons. De retour au baraquement, une rangée d’intendants se tenaient patiemment aux entrées par lesquelles nous nous étions engouffrées plus tot ; Ces visages exsangues nous fixaient de leur yeux que la nuit rendait uniformément jais, droits dans leurs bottes, les épaules légèrement en arrière redéfinissant les courbes de l'horizon qui se perdait à nos visions. Les hurlements se firent alors d'une seule et même voix. Eux qui étaient les fruits de la patrie, au lieu de murir, étaient rongés par le vice d'une vie trop longtemps laissée à la bassesse du désir. « Vous autres, fils de notre patrie, chaque geste que vous avez commis en cette nuit sont autant de couteaux plantés dans le cœur de la terre mère et vomissez votre bile noirâtre sur les premiers épis qui devaient germer sur ce sol nourricier et au combien vénéré » les métaphores s'enchainaient au rythme des voix passant d'une fréquence à une autre mais toute gardant malgré les mêmes trémolos la même férocité, la bouche clairsemée d'une écume se déposant à chaque nouvelle vague d'invectives faites à leurs égards.Pour ce qui resta de la nuit, elle fut consommée debout, les muscles se déliant tandis que le froid maintenait sa morsure pour les fixer. Ainsi fut inscrit dans sa mémoire le souvenir d'un soldat criard, geignant sa logorrhée patriotique sur les restes magnifiques des exactions de la jeunesse.
PAZ évidemment sur mes photes d'orthographe et sur ma syntaxe.
Je trouve tes phrases bien trop longues, selon moi c'est vraiment problématique.
Dans une seule phrase, il t'arrive de présenter trois ou quatre idées à la fois. Exemple :
"Un dénommé Pierre, grand brun aux tempes dégarnies dont les parents étaient professeurs de lettres détail notable qui faisait dire que ce garçon était sans doute animé d'une pensée poétique similaire à la sienne, s'était enquis auprès d'un officier dont il avait su attiré la sympathie,que non loin de leur emplacement, se déroulait un bal."
(Au passage, je n'ai pas pris la peine de corriger la narration. J'ai du mal à comprendre l'utilisation de certaines formules et la signification qu'elles ont. Tu devrais vraiment faire plus simple dans un premier temps !)
= Introduction de Pierre + Description de Pierre (et de ses parents) + La pensée de Pierre + Sa discussion avec un officier + Un bal qui se déroule. (5 choses en l'occurrence.)
Pour réorganiser ta phrase, j'aurais fait ça par exemple :
Un
dénommévoisin du quartier/ami de Paul/ un cousin éloigné (trop vague) Pierre était sans doute animé d'une pensée poétique similaire à la sienne. Peut-être la tenait-il de ses deux parents professeurs de lettres ? Le grand brun aux tempes dégarnies s'était enquis auprès d'un officier dont il avait su attiré la sympathie, que non loin de leur emplacement, se déroulait un bal.
Par ailleurs, j'ai beaucoup de mal avec la façon dont tu tires ce personnage de ton chapeau. Il tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. J'ai peut-être cette impression parce que ce n'est qu'un extrait, mais je ne comprends pas qui est Pierre et en quoi il se lie à ce qui est dit plus tôt. Tu ne peux pas présenter un personnage en disant "Un dénommé X" à moins de l'avoir déjà introduit juste avant : "De l'autre côté de la rue, un homme se baladait sans trop d'égard pour les militaires qui quadrillaient la zone. Un dénommé Pierre, il était en charge de la logistique chez..."
Le mot de la fin : Fais plus simple, plus segmenté et plus concis (dans un premier temps).
---------
Ce n'est que mon humble avis, donc prends tout ça avec un grain de sel !
Le 18 novembre 2020 à 13:43:45 ChanclaExpress a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 13:15:35 KupocV7 a écrit :
Sah j'ai besoin de retour sur ce passage que j'ai écrit cocoL'Etat s'était décidé,sous la poussée d'une volonté nouvelle de réveil patriotique, à construire la paix future en essayant d'introduire dans la jeunesse, les bases d'une fraternité retrouvée destinée à dépasser les individualités qui avait tendance à détruire ce beau projet d'unité.Ainsi il s'était retrouvé avec tous les autres marmots dans ces camps perdus du pays, baraquements de fortune que les derniers restes du budget de la nation avaient servi à construire.Les mauvaises langues avaient déjà pu dénoncer l''absurdité du projet, la période trop courte pendant laquelle les bambins seraient réunis ne donneraient pas les résultats escomptés.La dissimulation des conditions matérielles objectives de chacun sous l'uniforme ne ferait que rendre plus évidentes et violentes ces différences une fois sorti de cet état d'esprit voué dans l'opinion générale à être temporaire.Il s'en était allé donc gaiment répondre de force aux attentes de son pays, pour lui il ne s'agissait finalement que d'un ersatz tout à fait délicieux évoquant ces périodes de flottements de l'histoire que la guerre amène pour la jeunesse :ces trois petits mois passés feraient écho à ces années pendant lesquelles vagabondaient les âmes trop lâches et trop raccrochées à la vie pour espérer que la patrie constitua une idée qui justifiait leurs disparitions du monde des vivants L'amour se serait glissé le temps d'une permission pour laisser à l'amant le temps de sa fuite et l'accueil du mari affectant un sourire de joie en revenant du front pour essayer d'oublier les affres,chacun croisant l'autre sous un accord tacite qui se veut celui de la comédie générale que constitue cette mécanique impitoyable qu'est la guerre.En somme,un terrain de jeu immense réglé par la musique des feux d'artifices ou des canons selon comment on le perçoit.
L'imagination était bien sur toujours en deçà des résultats attendus : confinés dans ces battisses rectangulaires, enchainant les quelques courts théoriques et les exercices de gymnastique, les journées passaient une après l'autre sans qu'il est le temps de ressentir ces moments de flottement dont il avait tant fantasmé la venue.
Il arriva pourtant qu’une fois, alors que la sauce caramadesque n'avait toujours pas totalement prise,que les esprits se rejoignirent dans une même prière. Un dénommé Pierre, grand brun aux tempes dégarnies dont les parents étaient professeurs de lettres détail notable qui faisait dire que ce garçon était sans doute animé d'une pensée poétique similaire à la sienne, s'était enquis auprès d'un officier dont il avait su attiré la sympathie,que non loin de leur emplacement, se déroulait un bal.Cette fête populaire avait lieu dans ce village connu autrefois sous le nom de Nusschneke, village célèbre pour ses tapisseries en forme d'escargots dont les spirales en pâte feuilleté sont fourrées d'une pâte d'amande et dont le contour est caramélisé.Chacun scrutait la réponse de l'autre à cet invitation et comprenait bien que celui qui aurait décider de rester, risquerait de les trahir pour 30 deniers.Les premières mains levées furent hésitantes, mais bientôt tout le dortoir fut quasiment couvert des signes de ralliements. Seule une personne avait refusé de venir, prétextant qu'il avait lui même d'autres projets ce même soir, mensonge que les autres avaient vite approuvé pour ne pas perdre de temps mais préparant déjà la manière de rosser cet énergumène.
La route qui menait au village plongeait de la montagne vers les contrebas.Lors de cette escapade peu de compagnons de fortune se perdirent dans ces roches abruptes,les montées de sang promises lors de la soirée alimentaient les muscles vigoureux de cette jeunesse impétueuse, cet exutoire impromptu après des semaines harassantes d'ennui, animait les cœurs.Arrivé à l'entré du village, les vieux qui attendaient aux portes et qui étaient déjà en train de regarder les minettes danser et ne furent pas plus surpris de voir arriver une compagnie de personnes vêtues de leurs treillis, comme si l’événement était une tradition pastorale ou le solstice amenait à ses vierges pubères esseulées de la campagne de jeunes éphèbes tout aussi plein qu'elles de volupté.Une tradition de la fertilité allant bon train avec une joyeuseté des performances sexuelles de la jeunesse et qui devait nourrir le sol,promettant de prochaines récoles abondantes.
L'orchestre était composé d'un piano d'un saxophone et d'une petite station de percussions. Les instruments étaient tenus par des moustachus dont le haut arborait ses rayures rouges empruntées aux américains.Deux rangées distinctes,filles et garcons,s'étaient vite formées et une nouvelle fois les particules s'ordonnaient conjointement, respectant une géométrie et un empilement particulier. Il avait lui même trouvait sa partenaire d'une nuit une jolie blonde dont les joues étaient devenues écarlates au contact de ses mains sur sa taille.La minauderie pouvait commencer entre chaque couple.Des pas de danse aux chevelures flottantes et des jupes virevoltantes..Malgré la maladresse de certains la partition jouée semblait respecter les règles précises que le sémiologue s'efforce à déchiffrer, perdant par la même le contact avec ces moments de tendresse libidineuse.A mesure que la sueur de chacun perlait le long de leurs cous, les corps retrouvés leur unité quasi-biblique « que cela signifie une unité indéfectible de leur deux vies, le Seigneur lui-même le montre en rappelant quel a été, le dessein du Créateur, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. ». Sa dulcinée du Toboso prenait des teintes rosées tendant de plus en plus vers l'écrevisse à mesure que les corps se liquéfiaient tout en se vidant de leur eau. L’atmosphère était emplie d'une fureur ne se retrouvant que dans les dernières traces d'ivresse, celle ou le corps tends vers l'esprit en sur-analysant ses perceptions comme fruit de son corps avant celle de son esprit. Les pas s'enchevetraient de plus en plus, chacun suivait le tempo diabolique des trois temps. Enfin tous à l'unisson s’embrassèrent, goutant des lèvres de l'autre, la frénésie qui les avait saisi.
A la fin du morceau, les participants rhabillèrent leurs timidités sous de nouveaux habits et chacun s'en alla, la tête encore pleine des vapeurs suffocantes qu'avaient laissé dans le sol, les multiples coup de talons. De retour au baraquement, une rangée d’intendants se tenaient patiemment aux entrées par lesquelles nous nous étions engouffrées plus tot ; Ces visages exsangues nous fixaient de leur yeux que la nuit rendait uniformément jais, droits dans leurs bottes, les épaules légèrement en arrière redéfinissant les courbes de l'horizon qui se perdait à nos visions. Les hurlements se firent alors d'une seule et même voix. Eux qui étaient les fruits de la patrie, au lieu de murir, étaient rongés par le vice d'une vie trop longtemps laissée à la bassesse du désir. « Vous autres, fils de notre patrie, chaque geste que vous avez commis en cette nuit sont autant de couteaux plantés dans le cœur de la terre mère et vomissez votre bile noirâtre sur les premiers épis qui devaient germer sur ce sol nourricier et au combien vénéré » les métaphores s'enchainaient au rythme des voix passant d'une fréquence à une autre mais toute gardant malgré les mêmes trémolos la même férocité, la bouche clairsemée d'une écume se déposant à chaque nouvelle vague d'invectives faites à leurs égards.Pour ce qui resta de la nuit, elle fut consommée debout, les muscles se déliant tandis que le froid maintenait sa morsure pour les fixer. Ainsi fut inscrit dans sa mémoire le souvenir d'un soldat criard, geignant sa logorrhée patriotique sur les restes magnifiques des exactions de la jeunesse.
PAZ évidemment sur mes photes d'orthographe et sur ma syntaxe.
Je trouve tes phrases bien trop longues, selon moi c'est vraiment problématique.
Dans une seule phrase, il t'arrive de présenter trois ou quatre idées à la fois. Exemple :
"Un dénommé Pierre, grand brun aux tempes dégarnies dont les parents étaient professeurs de lettres détail notable qui faisait dire que ce garçon était sans doute animé d'une pensée poétique similaire à la sienne, s'était enquis auprès d'un officier dont il avait su attiré la sympathie,que non loin de leur emplacement, se déroulait un bal."
(Au passage, je n'ai pas pris la peine de corriger la narration. J'ai du mal à comprendre l'utilisation de certaines formules et la signification qu'elles ont. Tu devrais vraiment faire plus simple dans un premier temps !)
= Introduction de Pierre + Description de Pierre (et de ses parents) + La pensée de Pierre + Sa discussion avec un officier + Un bal qui se déroule. (5 choses en l'occurrence.)
Pour réorganiser ta phrase, j'aurais fait ça par exemple :
Un
dénommévoisin du quartier/ami de Paul/ un cousin éloigné (trop vague) Pierre était sans doute animé d'une pensée poétique similaire à la sienne. Peut-être la tenait-il de ses deux parents professeurs de lettres ? Le grand brun aux tempes dégarnies s'était enquis auprès d'un officier dont il avait su attiré la sympathie, que non loin de leur emplacement, se déroulait un bal.Par ailleurs, j'ai beaucoup de mal avec la façon dont tu tires ce personnage de ton chapeau. Il tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. J'ai peut-être cette impression parce que ce n'est qu'un extrait, mais je ne comprends pas qui est Pierre et en quoi il se lie à ce qui est dit plus tôt. Tu ne peux pas présenter un personnage en disant "Un dénommé X" à moins de l'avoir déjà introduit juste avant : "De l'autre côté de la rue, un homme se baladait sans trop d'égard pour les militaires qui quadrillaient la zone. Un dénommé Pierre, il était en charge de la logistique chez..."
Le mot de la fin : Fais plus simple, plus segmenté et plus concis (dans un premier temps).
---------
Ce n'est que mon humble avis, donc prends tout ça avec un grain de sel !
En sahent de sahent t'as raison
( d'ailleurs merci pour la pub Maxou je lirai ton extrait quand j'aurai le temps )
Le 18 novembre 2020 à 15:11:54 Darth_Golgoth a écrit :
Sinon y'a d'autres kheys pour me faire un retour sur mon premier chapitre que j'ai posté à la page 58 ? S'il vous plaît
( d'ailleurs merci pour la pub Maxou je lirai ton extrait quand j'aurai le temps )
Je le supprime demain matin je pense.
Le 18 novembre 2020 à 15:11:54 Darth_Golgoth a écrit :
Sinon y'a d'autres kheys pour me faire un retour sur mon premier chapitre que j'ai posté à la page 58 ? S'il vous plaît
( d'ailleurs merci pour la pub Maxou je lirai ton extrait quand j'aurai le temps )
Je viens de le lire.
J'ai bien aimé la progression du chapitre, c'était sympa ! Les seules choses qui m'ont sorti de la lecture sont les quelques tournures un peu maladroites ou trop lourdes. Par exemple, certaines répliques dans les dialogues ne fonctionnent pas très bien (question/réponse) ou l'usage de certains mots du genre "appareil reproducteur". J'imagine mal un inquisiteur parler d'appareil reproducteur par exemple.
L'ambiance est bonne, tu tiens le bon bout !
Pour résumer : "la structure et le récit se tiennent bien, c'est plutôt l'écriture qui me dérange un peu."
Le 18 novembre 2020 à 15:52:43 ChanclaExpress a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 15:11:54 Darth_Golgoth a écrit :
Sinon y'a d'autres kheys pour me faire un retour sur mon premier chapitre que j'ai posté à la page 58 ? S'il vous plaît
( d'ailleurs merci pour la pub Maxou je lirai ton extrait quand j'aurai le temps )Je viens de le lire.
J'ai bien aimé la progression du chapitre, c'était sympa ! Les seules choses qui m'ont sorti de la lecture sont les quelques tournures un peu maladroites ou trop lourdes. Par exemple, certaines répliques dans les dialogues ne fonctionnent pas très bien (question/réponse) ou l'usage de certains mots du genre "appareil reproducteur". J'imagine mal un inquisiteur parler d'appareil reproducteur par exemple.L'ambiance est bonne, tu tiens le bon bout !
Pour résumer : "la structure et le récit se tiennent bien, c'est plutôt l'écriture qui me dérange un peu."
Ça rejoint mon avis.
La troisième: La légèreté.
Il est deux heures pile du matin, ou t'avais-je donc laissé ? Quelque part en Janvier peut-être, bref. Tu es un autre à présent, tu en seras d’autres éventuellement, je ne sais pas. Laisse moi te raconter une autre histoire: la fois où je me suis suicidé. Tout commença un jour, un jour où je pris finalement conscience que tout avait commencé un jour, et que tout allait se terminer un jour, mais qu'entre-temps, il se passerait encore peut-être des jours. Tout à commencé, l’homme en baudruche fut gonflé.
“ça a commencé un jour...ça va se terminer un jour...cela va-t-il vraiment se terminer ? Ce qu’il se passe entre le début et la fin a-t-il la moindre importance ? Pour quelle raison cela aurait-il de l’importance… Cette raison serait-elle de plus suffisante ?”
Oui, après une certaine période dissertative (foireuse), tout à commencé. Tout a commencé, non pas quand je me suis rendu compte de l’absurdité de l’existence, mais quand je me suis rendu compte que j’étais le prisonnier de celle-ci, et que l’existence elle-même d’ailleurs en était une victime. Oui, tout a commencé. Et le suicide alors, il commence quand ? Et bien le suicide il arrive maintenant: Je prends une aiguille et je me pique avec. PAN ! l’homme en baudruche éclate, il ne reste plus rien. Je suis mort. Il ne reste plus rien. Non. Oui. Tout à commencé. Non. Tout ne s’est pas arrêté. Je suis désormais quelque part, j’existe ici.
Et ici aussi Puis ici
Et ici et là tiens.
Et là. Un peu à l’image de ces mots écrits à l’encre (numérique peut-être), corrompant peu à peu la pureté du papier(numérique…) blanc. Beau paradis, n’est-ce pas ? Je n’ai pas trouvé la paix, rassure-toi. La trouverai-je un jour ? Mais qu’est-ce qu’un jour à présent cher ami ? Ce fameux jour. Je ne veux plus la trouver la paix moi tiens, je veux la paix. Le néant tu sais. Malheureusement, le néant se posera lui aussi des questions méchantes après s’être rendu compte que tout à commencé un jour...je ne peux pas lui infliger ça, pas moi ! Je ne suis pas si méchant, pas si méchant…ami.
Il s’est passé une éternité, mais tu es encore en vie. Comme tu peux le lire, j’existe encore. J’ai découvert des petites astuces pour ne plus exister un peu, tu vas voir. La première, c’est l’ivresse, cela consiste à noyer ses pensées en pensant à un tas de conneries. Il faut en gros que tu penses à des trucs encore plus frivoles que les trucs frivoles qui t'angoissent, combattre la pensée par la pensée dit-on (je dis). Tu peux toujours boire au pire, mais dans mon cas, ça ne marche pas. La deuxième astuce n’est pas forcément volontaire, mais elle finit tant bien que mal par arriver, c’est la plus efficace en plus, il s’agit de l’oubli. “Oh, [nom Grec qui sonne ancien] l’oubli est le salut de l’esprit !”... On dirait une bonne punchline de tragédie Grecque que tu devais noter pour avoir des points en plus au collège hein ? (N’en fais pas trop, elle est de moi…) Ami, lecteur, quand ton existence est la seule chose qu’il te reste, l’oublier ne te fait plus exister. Pas con hein ? Hein ? Malheureusement, on oublie jamais vraiment, ami, je ne suis qu’un spectre en proie au souvenir, souvenir qui est la vie même. Tu sais, je ne suis désormais plus seulement sur cette feuille, mais aussi dans tes souvenirs, je suis en toi ami, je vis, mais ne recherche pas pour autant l’immortalité, je ne me sers pas de toi. Ami, lorsque tu chercheras à exister en paix, souviens toi de l’oubli, oublie toi, puis oublie moi. Pour un moment. Merci lecteur, ami. Et puis un jour, tout recommencera, mais toi aussi, tu pourras recommencer.
Commencement.
Le 18 novembre 2020 à 17:27:23 ChanelMane a écrit :
J'ai écrit une histoire courte, appréciez (ou pas).
Tu attends un commentaire ? Une relecture ? Une critique ? Précise. Parce que si c'est juste pour qu'on ait de quoi lire, je pense qu'on ne manque de rien en tout cas pour moi.
Le 18 novembre 2020 à 17:30:32 MaxouStirner1 a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 17:27:23 ChanelMane a écrit :
J'ai écrit une histoire courte, appréciez (ou pas).Tu attends un commentaire ? Une relecture ? Une critique ? Précise. Parce que si c'est juste pour qu'on ait de quoi lire, je pense qu'on ne manque de rien en tout cas pour moi.
Ce qui te plaît, n'hésite pas à dire tout et n'importe quoi te passant par la tête à la lecture de mon "truc".
Le 18 novembre 2020 à 17:31:41 ChanelMane a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 17:30:32 MaxouStirner1 a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 17:27:23 ChanelMane a écrit :
J'ai écrit une histoire courte, appréciez (ou pas).Tu attends un commentaire ? Une relecture ? Une critique ? Précise. Parce que si c'est juste pour qu'on ait de quoi lire, je pense qu'on ne manque de rien en tout cas pour moi.
Ce qui te plaît, n'hésite pas à dire tout et n'importe quoi te passant par la tête à la lecture de mon "truc".
J'allais dire un truc, mais j'ai oublié
Le 18 novembre 2020 à 17:43:25 MaxouStirner1 a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 17:31:41 ChanelMane a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 17:30:32 MaxouStirner1 a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 17:27:23 ChanelMane a écrit :
J'ai écrit une histoire courte, appréciez (ou pas).Tu attends un commentaire ? Une relecture ? Une critique ? Précise. Parce que si c'est juste pour qu'on ait de quoi lire, je pense qu'on ne manque de rien en tout cas pour moi.
Ce qui te plaît, n'hésite pas à dire tout et n'importe quoi te passant par la tête à la lecture de mon "truc".
J'allais dire un truc, mais j'ai oublié
Bien, bien
Le 18 novembre 2020 à 15:35:20 MaxouStirner1 a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 15:11:54 Darth_Golgoth a écrit :
Sinon y'a d'autres kheys pour me faire un retour sur mon premier chapitre que j'ai posté à la page 58 ? S'il vous plaît
( d'ailleurs merci pour la pub Maxou je lirai ton extrait quand j'aurai le temps )Je le supprime demain matin je pense.
Je le lirai dans la soirée alors !
Le 18 novembre 2020 à 15:52:43 ChanclaExpress a écrit :
Le 18 novembre 2020 à 15:11:54 Darth_Golgoth a écrit :
Sinon y'a d'autres kheys pour me faire un retour sur mon premier chapitre que j'ai posté à la page 58 ? S'il vous plaît
( d'ailleurs merci pour la pub Maxou je lirai ton extrait quand j'aurai le temps )Je viens de le lire.
J'ai bien aimé la progression du chapitre, c'était sympa ! Les seules choses qui m'ont sorti de la lecture sont les quelques tournures un peu maladroites ou trop lourdes. Par exemple, certaines répliques dans les dialogues ne fonctionnent pas très bien (question/réponse) ou l'usage de certains mots du genre "appareil reproducteur". J'imagine mal un inquisiteur parler d'appareil reproducteur par exemple.L'ambiance est bonne, tu tiens le bon bout !
Pour résumer : "la structure et le récit se tiennent bien, c'est plutôt l'écriture qui me dérange un peu."
Merci beaucoup d'avoir pris le temps de lire et de commenter !
Le retour fait vraiment plaisir et donne envie de progresser.
En effet il rejoint celui de Maxou et me rassure grandement
D'ici la fin du bouquin j'aurai progressé sur ce point, j'en suis certain, puisqu'on apprend en écrivant
D'ailleurs aujourd'hui 1700 mots et je conclus mon deuxième chapitre
J’ai posté deux nouvelles sur le forum, je serais d’avoir vos avis constructifs :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-64825284-1-0-1-0-la-chatte-de-schrodinger.htm
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-64895891-1-0-1-0-rupture-s.htm
Je sais que parmi vous, certains ont beaucoup à m’apprendre.
(Faites pas attention aux quelques fautes d’attention, j’ai tendance à ne pas me relire )
Données du topic
- Auteur
- --crazymarty--
- Date de création
- 2 octobre 2020 à 17:12:51
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