Ce thread EFFRAYANT sur le film Cuties/Mignonne de NETFLIX
Le 11 septembre 2020 à 12:40:34 puceaulitaire a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 11:59:24 Elyrian a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 11:57:06 puceaulitaire a écrit :
Elles dansent juste le twerk elles sucent pas des bites non plus..."Roh ça va, elle agite juste son cul devant moi, c'est bon enfant , et puis on dirait pas qu'elle a 11 ans, je lui en donne au moins 2 de plus"
Je me fout royalement de ce film, mais les justifications et les "arguments" de certains ici sont à mourir de rire !
Une pre ado qui danse ca n'a rien de sexuel sauf aux yeux d'un pedo non ?
Si elle dansait la macarena effectivement ça aurait pas été un problème
Le 11 septembre 2020 à 12:39:59 Hausdorff38 a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:37:24 WonderGOAT a écrit :
Non mais vous imaginez la direction des actrices de 11 ans sur le tournage ?"Plus obscène les filles, il faut que ça soit vraiment provoquant et indécent"
C'est pour ça que c'est incomparable avec un tiktok réalisé par une gamine pour elle-même
Là y a des adultes qui demandent à des petites filles de faire des danses érotiques
Rien de douteux t'inquiète
En effet, là y a des adultes et des psy pour les encadré, pour répondre à leurs interrogations, pour préciser les contextes, ect,...
Et de fait, si l'intention du réal était de dénoncer l'hypersexualisation des jeunes filles, et que le film est contre-productif (j'emploie tes mots) avec son intention de départ, l'effet à l'arrivée est l'apologie. Et c'est bien ça tout le problème. Alors tu peux toujours ergoter en disant que l'effet n'est pas l'intention du réal sauf qu'on s'en branle. Ce qui compte, c'est la façon dont le spectateur perçoit le film.
Et si ton film fait l'effet de faire l'apologie plutôt que de dénoncer, que ton intention de départ ou non soit noble, on s'en branle totalement. Le film, il va direction la poubelle. Voilà, c'est tout. Arrête de pinailler comme une vieille radoteuse.
Non, ça ne change pas rien. On ne s'en branle pas. L'apologie est un DISCOURS. Un spectateur ne produit pas de DISCOURS quand il regarde un film. Si le film rate sa cible, il ne devient pas forcément une apologie. Car il ne t'aura pas échappé que plusieurs personnes peuvent avoir des perceptions différentes vis à vis d'un film, et donc plusieurs interprétations. Il suffit pas que tu dises "ça fait l'apologie" pour que ça soit vrai, désolé.
Et tu te dis pas que si ton discours rate son sujet, c'est qu'il est caduque ?
Que tu l'as peut-être mal formulé ?
Et que le problème vient probablement de ta façon de l'exprimer et pas de la réceptivité de tes interlocuteurs ?
Parce que c'est trop facile de dire "mon intention était ceci cela" quand tes interlocuteurs (parce qu'on parle pas d'un mec isolé dans son coin qui comprendrait le film de travers) entendent tout l'inverse, pendant que toi, tu insinues qu'ils sont cons parce qu'ils ne comprennent pas ton intention de départ.
Au bout d'un moment, si plusieurs personnes relèvent l'absurdité de ton discours, c'est que ta façon de faire passer ton intention est mauvaise. Et donc oui, ton intention on s'en branle, ce qui compte, c'est bien le message à l'arrivée.
C'est plus compliqué que ça en fait. C'est juste une question d'humilité, de reconnaître que l'interprétation c'est quelque chose de complexe. Ton argument "plusieurs personnes ont dit que donc c'est vrai" est faux et mille fois démonté dans l'Histoire. Mais même sans aller là-dessus, c'est pas parce que "'plusieurs personnes" disent que telle oeuvre est mauvaise que cette oeuvre est effectivement mauvaise.
L'interprétation est une construction. Le message ne se trouve jamais pleinement dans une oeuvre, il est co-construit par le destinataire. L'interprétation dépend aussi du groupe culturel et social au sein duquel elle est formulée. Par exemple : quand on a redécouvert l'Antiquité il y a plusieurs siècles, alors que le catholicisme était hyper implanté, on était assez emmerdé avec les philosophes grecs. Mais on a interprété leur travail comme étant inspiré par Dieu, on a trouvé des traces dans le texte qui permettaient de justifier leur aspect catholique, pré-catholiques en fait. Cette interprétation ne se basait pas uniquement sur une croyance, mais sur des explications de texte, des justifications factuelles. Et cette interprétation était admise en large majorité par le groupe socio-culturel qui l'avait produite. Aujourd'hui, plus personne ne pense ça. Mais les traces factuelles dans les textes sont toujours là pourtant.
L'oeuvre ne contient jamais un Message Pur et Unique dans son entièreté.
Ce que je veux dire par là, c'est qu'il est extrêmement réducteur à mes yeux de réduire ce qu'EST une oeuvre à ce qu'en perçoivent les destinataires. De la même manière qu'il est réducteur de réduire ce qu'est une oeuvre à ce qu'elle contient, sans prendre en compte les perceptions des destinataires.
En clair je ne dis pas qu'il faut absolument s'en tenir aux intentions, je dis juste qu'il est triste de tirer des conclusions aussi définitives et absolues comme s'il n'y avait que ta vérité. Et toute cette réponse ne parle même pas du fait que tu supputes que la majorité des gens verront dans Mignonnes une apologie de l'hypersexualisation des enfants, car je ne suis pas d'accord avec ça. Mais je ne réponds pas à ça.
Voilà, j'ai essayé de te répondre sincèrement, je me suis fait chier en étant conscient que tu vas probablement juste beugler que je suis un abruti, un pédophile ou que j'ergote. Et je te rappelle à la base que cette question de l'intention est venue de TOI parce que tu n'as pas su employer les mots correctement, que je t'ai repris, que tu m'as ensuite reproché de ne pas employer les mots correctement. Donc un peu moins d'hypocrisie serait bienvenue.
C'est dommage pour le dernier paragraphe, ça partait pourtant bien. Je vois pas à quel moment je me suis mal exprimé, vu que c'est toi qui as commencé à employer des mots à contre-sens de leur définition. Je n'en démords pas pour le coup.
Moi je suis resté fidèle à ma logique tout au long de notre discussion. Le propos de Mignonnes est raté. Que l'intention de la réalisatrice eut été noble à un moment ou à un autre (et je n'ai jamais remis ça en question ou alors je te demande de prouver tes dires), ce qui me dérange foncièrement, c'est le message qui en résulte.
Tu me parles de subjectivité, alors si ça peut t'amener à mieux comprendre ma pensée, j'estime que sur un sujet aussi clivant et important, un réalisateur a le devoir moral d'exprimer clairement son point de vue, d'autant plus s'il est dans une logique de dénonciation. Il doit faire preuve d'exemplarité et de rigueur absolue. Si son propos n'est pas clair sur un sujet aussi important, c'est un film qui peut causer du tort.
Bah ok pour les mots si tu veux, on sera pas d'accord de toute façon. La réalisatrice a dit publiquement quelle était son intention. Que le film soit raté par rapport à son intention, c'est quelque chose qu'on peut totalement discuter et je n'ai absolument aucun problème avec ça. C'est une opinion totalement valable. Ton premier message disait que tout se déroulait "exactement comme prévu" etc... C'est à ce message que j'ai réagi initialement car il sous-entendait que le film savait très bien ce qu'il faisait de néfaste et qu'il faudrait être un PNJ pour ne pas le voir. Si ce n'est pas ton point de vue, ok.
Un film dénonçant un crime contre l'humanité (et il y a le choix dans le domaine) mais finalement interprété et perçu quasi unanimement comme en faisant l'apologie doit il être diffusé ?
Exactement. Si tu faisais un film qui était compris comme un film pro-nazi (même si ce n'était pas l'intention à la base), ils seraient les premiers à vouloir l'interdire car pour eux ce serait un film propagandiste. Je vois pas pourquoi ils abandonnent cette logique sous prétexte que le sujet leur paraît plus anodin car c'est également un sujet sérieux.
parce que toute la question, tout le problème réside dans le "était compris comme" c'est ça le truc.
Pour te la faire courte : ce film serait, à raison, interdit.
Plus on est exposé à une idée plus on risque de "l'approuver" c'est un concept ultra basique en sociologie je pense.On retrouve ça partout.
De la musique pourrie diffusée en boucle qui finit par être tolérable par la majorité au produit publicitaire random en passant par tous types de courants de pensée.Ce film met RÉELLEMENT en scène des gamines de 11ans en les hypersexualisant. Ce n'est pas "faux". C'est à la limite du snuff movie pour moi.
Tu t'es bien amusé à débattre mais maintenant stop. Rien que le scandale qui entoure ceux à l'origine de ce film devrait suffire à comprendre le danger de le diffuser (voir le message du khey plus haut).
J’ai fais mes études en sociologie et tu racontes 100% de conneries
En fait tu pars du principe que les gens sont des moutons sans cerveaux qui vont cautionner une idée parce qu’ils sont exposés à elle.
Sauf que dans « les gens », il y a toi.
Es-tu un mouton sans cerveau ?
Il y a un bien cognitif qui laisse penser qu’autrui n’est pas réel, ou bien moins réel que nous. Nous nous plaçons naturellement au centre de notre univers, nous nous pensons plus pertinent qu’autrui. C’est un schème de pensée normale pour un être humain.
Or, cela implique donc de penser à tord que les gens sont plus influençables que nous ne le sommes nous-mêmes. Pour parler du sujet dont on traite ici ; l’influence due à l’exposition à un concept. Or c’est complètement faux en fait.
Donc ce que tu racontes, c’est n’importe quoi. Les gens ne vont pas cautionner une idée parce qu’ils y sont exposés. Les gens vont cautionner une idée si elle est suffisamment défendue par le camp le plus nombreux.
C’est extrêmement différent en fait.
En l’occurrence ici, le camp le plus nombreux c’est ceux qui critiquent l’hypersexualisation des enfants. Car on est tous d’accord, et c’est marrant au final hein, qu’on soit pour ou contre le film, on est tous d’accord pour dire que l’hypersexualisation des enfants dans notre société est une mauvaise chose.
Donc jamais personne ne cautionnera l’hypersexualisation des enfants dans la société, en dehors des pedo évidemment, et ça qu’ils soient pour ou contre le film Cuties.
Le 11 septembre 2020 à 12:42:13 Wandpotter a écrit :
Après faut voir comment c'est filmé si c'est en mode gros plan sur les formes des gamines c'est chaud.
Par contre si c'est en plan large et qu'on voit pas grand chose ça passe.
Pourquoi vouloir voir ce film à la base ? Faut déjà avoir un esprit tordu désolé...
J'ai même pas pu finir la bande annonce
Le 11 septembre 2020 à 12:42:13 Wandpotter a écrit :
Après faut voir comment c'est filmé si c'est en mode gros plan sur les formes des gamines c'est chaud.
Par contre si c'est en plan large et qu'on voit pas grand chose ça passe.
T'as pas vu les extraits ?
Les gamines sont en mini short a plat ventre en mimant des coups de hanches de haut en bas contre le sol tout effectuant des va et vient avec sa main
Le tout avec des gros plans sur son cul (elle à 11 ans)
Un problème le facho ?
Le 11 septembre 2020 à 12:43:43 cancereux a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:37:35 Prinssi-Jean a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:29:26 cancereux a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:24:20 Prinssi-Jean a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:23:14 cancereux a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:19:17 Prinssi-Jean a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:17:02 Pet2Foune_bis a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:09:59 Hausdorff38 a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:06:09 Banque_route3 a écrit :
Tu dénonce comment sans montrer?La force de l'art c'est justement de suggérer beaucoup à partir de pas grand chose, pas besoin d'avoir une représentation brute de quelque chose pour le dénoncer
Y a un truc sympa qui s'appelle la subtilité
Sauf que tu critique l’hypersexualisation comment sans la montrer ?
Y a des concepts qu’on ne peut pas critiquer sans les montrer. Tu ne peux pas tout mettre en off, tu ne peux pas tout suggérer indirectement.
En l’occurrence les concepts complexes ne peuvent pas être montrer implicitement. Ils sont obligés d’être explicités.
Vas-y. Trouve moi CINQ exemples scénaristiques pour critiquer l’hypersexualisation des enfants sans montrer une seule image d’enfant hypersexualisé et je jure que je me range de ton côté dans ce débat et que je quitte le topic sans plus jamais réargumenter de ma vie sur ce sujet.
J’attends. Je vais rire.
Et attention hein. Il faut que tes exemples soient tous au moins aussi frappant et marquant que le film Cuties.
En l’occurrence ça veut dire que tes exemple souvent susciter 50 pages sur un topic.
Allez je suis vraiment gentille. Trouve moi juste UN SEUL exemple va.
Lolita de Kubrick. C'est juste suggéré. Mis à part la fameuse scène du cerceau (qui serait considérée comme super soft aujourd'hui) bah dans mes souvenirs y a pas de scènes explicites.
En plus l'actrice n'avait pas 11 ans
Bon après je viens de revisionner qq scènes sur youtube (je l'ai pas revu depuis 10 ans au moins) et y a quand même qq scènes explicites
Ouais mais y'a pas de vulgarité
Ah ben c'est clairement pas des "délires" de twerk et c'est beaucoup moins explicite que le extraits que j'ai vu de Mignonnes
Le 11 septembre 2020 à 12:37:35 Prinssi-Jean a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:29:26 cancereux a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:24:20 Prinssi-Jean a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:23:14 cancereux a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:19:17 Prinssi-Jean a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:17:02 Pet2Foune_bis a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:09:59 Hausdorff38 a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:06:09 Banque_route3 a écrit :
Tu dénonce comment sans montrer?La force de l'art c'est justement de suggérer beaucoup à partir de pas grand chose, pas besoin d'avoir une représentation brute de quelque chose pour le dénoncer
Y a un truc sympa qui s'appelle la subtilité
Sauf que tu critique l’hypersexualisation comment sans la montrer ?
Y a des concepts qu’on ne peut pas critiquer sans les montrer. Tu ne peux pas tout mettre en off, tu ne peux pas tout suggérer indirectement.
En l’occurrence les concepts complexes ne peuvent pas être montrer implicitement. Ils sont obligés d’être explicités.
Vas-y. Trouve moi CINQ exemples scénaristiques pour critiquer l’hypersexualisation des enfants sans montrer une seule image d’enfant hypersexualisé et je jure que je me range de ton côté dans ce débat et que je quitte le topic sans plus jamais réargumenter de ma vie sur ce sujet.
J’attends. Je vais rire.
Et attention hein. Il faut que tes exemples soient tous au moins aussi frappant et marquant que le film Cuties.
En l’occurrence ça veut dire que tes exemple souvent susciter 50 pages sur un topic.
Allez je suis vraiment gentille. Trouve moi juste UN SEUL exemple va.
Lolita de Kubrick. C'est juste suggéré. Mis à part la fameuse scène du cerceau (qui serait considérée comme super soft aujourd'hui) bah dans mes souvenirs y a pas de scènes explicites.
En plus l'actrice n'avait pas 11 ans
Bon après je viens de revisionner qq scènes sur youtube (je l'ai pas revu depuis 10 ans au moins) et y a quand même qq scènes explicites
Ouais mais y'a pas de vulgarité
Ah ben c'est clairement pas des "délires" de twerk et c'est beaucoup moins explicite que le extraits que j'ai vu de Mignonnes
C'est soft alors que ce film etait scandaleux pour beaucoup
Maintenant on a des enfants en position 4 pattes au ciné
C'est le meilleur moyen de constater un changement d'époque.
Le 11 septembre 2020 à 12:40:19 Prinssi-Jean a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:36:15 Hausdorff38 a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:35:30 MaAtoPa a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:33:11 Hausdorff38 a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:27:29 MaAtoPa a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:24:35 Hausdorff38 a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:15:13 Rablaza16 a écrit :
Ce forum bordelAu final vous devriez pas rager contre les musulmans vu que la charia est votre souhait le plus cher
Les ultra-conservateurs sont les premiers à vouloir abaisser la majorité sexuelle Confinin, les mariages forcés de gamines sont ultra fréquents dans de nombreux pays à majorité musulmane
Les ultra-conservateurs européens sont les premiers à gueuler sur le moindre truc qui pourrait exalter la sexualité des moins de 18 ans de quoi tu parles ?
Non, tu confonds avec le puritanisme. Ils sont contre la libéralisation des mœurs, mais pas contre le fait de marier une fille à 14 ans, et de consommer le mariage. Je parle du conservatisme religieux, je ne sais pas ce que pensent les néo-conservateurs pro-RN, ils sont sûrement contre, oui.
Genre ils sont contre baiser hors mariage mais baiser avec une fille de 11 ans si elle est mariée c'est ok pour eux ?
Oui.
Tu désignes qui par "ultra-conservateur" ?
En Europe ?
Une frange de la population musulmane, les quelques cathos bloqués à l'époque pré-Vatican II
Le 11 septembre 2020 à 12:32:09 NuggetMaster a écrit :
Tintinaubidet ben non, les premiers responsables de l'hypersexualisation c'est ceux qui font du commerce avec et qui profitent des failles qu'ils ont eux-mêmes créées chez les parents (relâcher la vigilance, faire croire que c'est trop compliqué pour comprendre...) pour mieux les exploiter chez les gossesEt fais pas trop le malin parce que tu pourras être le meilleur papa du monde il arrivera un moment charnière dans la vie de ton gosse où tout pourra basculer pour lui. Malgré le fait que tu restes attentif tout au long de sa vie il aura des tentations et s'il ne les réfrènes pas par lui meme ni toi ni l'éducation que tu auras pu lui donner n'y changeront quoi que ce soit
Quand on est parent je pense que la leçon numéro un est d'apprendre des autres et non leur faire la morale
Tu as tout à fait raison.
Je ne fais plus la morale aux autres. Les gens font ce qu’ils veulent avec leurs gosses.
La société est certes fautive, mais ce sont des êtres humains qui font la société.
Les parents ont la responsabilité de leurs gosses.
Une mère de famille n’a qu’à rester dans sa cuisine, ou y mettre son mari si elle gagne plus que lui.
Le 11 septembre 2020 à 01:27:47 Kapeur-Ski a écrit :
Les religieux prudes sont de sorti, c'est bien si ça vous choque dans un sens, c'est le but du film
Je ne suis ni religieux, ni progressiste.
Mais je n'ai pas envie de voir sur ma télé des gamines qui twerkent, miment du porn et boivent dans des préservatifs usagés.
Quand bien même je peux comprendre le fait de dénoncer l'hypersexualisation, y a des limites à ce que j'ai envie de voir dans un film tout public.
Pour le coup, ils ont réussi leur coup: choquer la population. Sauf qu'ils ont largement alimenté tous ceux qui vont utiliser ce film comme un prétexte à la banalisation de ce type de comportement, et de réalisateurs qui désormais, savent qu'ils peuvent être suffisamment explicites et borderline, quittes à montrer une gamine boire du s....e.
Le 11 septembre 2020 à 12:41:13 SkoverFR a écrit :
Déjà rien que le titre est douteux. Ils auraient appelé le film : "Déviance", "Hypersexualisation", ou autre mot ou terme qui dénonce en effet l'hypersexuation, ok. Mais là : Mignonnes.Ah
Mais
Le terme de mignonne est absolument pas connoté sexuellement parlant en fait.
Ce qui fait que le titre est bien trouvé d'ailleurs, on dit d'un bébé qu'il est mignon, ect,.. Là c'est pour marquer justement le rapport entre l'innocence de l'enfance, et ce que les enfants font
Cette société
Le 11 septembre 2020 à 12:43:03 dragonfive a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:40:34 puceaulitaire a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 11:59:24 Elyrian a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 11:57:06 puceaulitaire a écrit :
Elles dansent juste le twerk elles sucent pas des bites non plus..."Roh ça va, elle agite juste son cul devant moi, c'est bon enfant , et puis on dirait pas qu'elle a 11 ans, je lui en donne au moins 2 de plus"
Je me fout royalement de ce film, mais les justifications et les "arguments" de certains ici sont à mourir de rire !
Une pre ado qui danse ca n'a rien de sexuel sauf aux yeux d'un pedo non ?
Si elle dansait la macarena effectivement ça aurait pas été un problème
En quoi secouer son popotin c'est forcément sexuel ?
Le 11 septembre 2020 à 12:39:49 Outan-ourang a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:37:14 Eirton a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:33:33 Outan-ourang a écrit :
parce que toute la question, tout le problème réside dans le "était compris comme" c'est ça le truc.
Pour te la faire courte : ce film serait, à raison, interdit.
Plus on est exposé à une idée plus on risque de "l'approuver" c'est un concept ultra basique en sociologie je pense.On retrouve ça partout.
De la musique pourrie diffusée en boucle qui finit par être tolérable par la majorité au produit publicitaire random en passant par tous types de courants de pensée.Ce film met RÉELLEMENT en scène des gamines de 11ans en les hypersexualisant. Ce n'est pas "faux". C'est à la limite du snuff movie pour moi.
Tu t'es bien amusé à débattre mais maintenant stop. Rien que le scandale qui entoure ceux à l'origine de ce film devrait suffire à comprendre le danger de le diffuser (voir le message du khey plus haut).
Déjà tu ne me dis pas stop. Ensuite être exposé à une idée augmente le risque de l'approuver ok, encore faut-il définir l'idée et son côté néfaste. C'est bien là la question. Que tu estimes que ce film est néfaste c'est une chose, que ça soit une vérité absolue en est une autre. J'en ai absolument rien à foutre du film tu sais, je le défends même pas je m'en bats les couilles. Je supporte juste pas vos vérités absolues.
Dans certains domaines les conséquences sont trop importantes pour être négligées.
S'il y a un doute c'est qu'il n'y a pas de doute.Si le film montre une descente aux enfers de A à Z sans joyeuseté entre 2 alors cela ce discute mais là on ne parle que de morale à la fin.
Tu as fais mumuse avec ta rhétorique à 2 balles. Maintenant c'est fini.
Absolument rien ne permet de défendre ce film.Il suffit pas d'énoncer quelque chose pour ça devienne réel. Mais on peut faire comme si : ton discours est inepte, alors tu peux te torcher avec et aller emmerder quelqu'un d'autre.
La vérité se suffit à elle même et ton manque de répartie et d'arguments parle pour toi.
[12:43:36] <Pet2Foune_bis>
Et de fait, si l'intention du réal était de dénoncer l'hypersexualisation des jeunes filles, et que le film est contre-productif (j'emploie tes mots) avec son intention de départ, l'effet à l'arrivée est l'apologie. Et c'est bien ça tout le problème. Alors tu peux toujours ergoter en disant que l'effet n'est pas l'intention du réal sauf qu'on s'en branle. Ce qui compte, c'est la façon dont le spectateur perçoit le film.
Et si ton film fait l'effet de faire l'apologie plutôt que de dénoncer, que ton intention de départ ou non soit noble, on s'en branle totalement. Le film, il va direction la poubelle. Voilà, c'est tout. Arrête de pinailler comme une vieille radoteuse.
Non, ça ne change pas rien. On ne s'en branle pas. L'apologie est un DISCOURS. Un spectateur ne produit pas de DISCOURS quand il regarde un film. Si le film rate sa cible, il ne devient pas forcément une apologie. Car il ne t'aura pas échappé que plusieurs personnes peuvent avoir des perceptions différentes vis à vis d'un film, et donc plusieurs interprétations. Il suffit pas que tu dises "ça fait l'apologie" pour que ça soit vrai, désolé.
Et tu te dis pas que si ton discours rate son sujet, c'est qu'il est caduque ?
Que tu l'as peut-être mal formulé ?
Et que le problème vient probablement de ta façon de l'exprimer et pas de la réceptivité de tes interlocuteurs ?
Parce que c'est trop facile de dire "mon intention était ceci cela" quand tes interlocuteurs (parce qu'on parle pas d'un mec isolé dans son coin qui comprendrait le film de travers) entendent tout l'inverse, pendant que toi, tu insinues qu'ils sont cons parce qu'ils ne comprennent pas ton intention de départ.
Au bout d'un moment, si plusieurs personnes relèvent l'absurdité de ton discours, c'est que ta façon de faire passer ton intention est mauvaise. Et donc oui, ton intention on s'en branle, ce qui compte, c'est bien le message à l'arrivée.
C'est plus compliqué que ça en fait. C'est juste une question d'humilité, de reconnaître que l'interprétation c'est quelque chose de complexe. Ton argument "plusieurs personnes ont dit que donc c'est vrai" est faux et mille fois démonté dans l'Histoire. Mais même sans aller là-dessus, c'est pas parce que "'plusieurs personnes" disent que telle oeuvre est mauvaise que cette oeuvre est effectivement mauvaise.
L'interprétation est une construction. Le message ne se trouve jamais pleinement dans une oeuvre, il est co-construit par le destinataire. L'interprétation dépend aussi du groupe culturel et social au sein duquel elle est formulée. Par exemple : quand on a redécouvert l'Antiquité il y a plusieurs siècles, alors que le catholicisme était hyper implanté, on était assez emmerdé avec les philosophes grecs. Mais on a interprété leur travail comme étant inspiré par Dieu, on a trouvé des traces dans le texte qui permettaient de justifier leur aspect catholique, pré-catholiques en fait. Cette interprétation ne se basait pas uniquement sur une croyance, mais sur des explications de texte, des justifications factuelles. Et cette interprétation était admise en large majorité par le groupe socio-culturel qui l'avait produite. Aujourd'hui, plus personne ne pense ça. Mais les traces factuelles dans les textes sont toujours là pourtant.
L'oeuvre ne contient jamais un Message Pur et Unique dans son entièreté.
Ce que je veux dire par là, c'est qu'il est extrêmement réducteur à mes yeux de réduire ce qu'EST une oeuvre à ce qu'en perçoivent les destinataires. De la même manière qu'il est réducteur de réduire ce qu'est une oeuvre à ce qu'elle contient, sans prendre en compte les perceptions des destinataires.
En clair je ne dis pas qu'il faut absolument s'en tenir aux intentions, je dis juste qu'il est triste de tirer des conclusions aussi définitives et absolues comme s'il n'y avait que ta vérité. Et toute cette réponse ne parle même pas du fait que tu supputes que la majorité des gens verront dans Mignonnes une apologie de l'hypersexualisation des enfants, car je ne suis pas d'accord avec ça. Mais je ne réponds pas à ça.
Voilà, j'ai essayé de te répondre sincèrement, je me suis fait chier en étant conscient que tu vas probablement juste beugler que je suis un abruti, un pédophile ou que j'ergote. Et je te rappelle à la base que cette question de l'intention est venue de TOI parce que tu n'as pas su employer les mots correctement, que je t'ai repris, que tu m'as ensuite reproché de ne pas employer les mots correctement. Donc un peu moins d'hypocrisie serait bienvenue.
C'est dommage pour le dernier paragraphe, ça partait pourtant bien. Je vois pas à quel moment je me suis mal exprimé, vu que c'est toi qui as commencé à employer des mots à contre-sens de leur définition. Je n'en démords pas pour le coup.
Moi je suis resté fidèle à ma logique tout au long de notre discussion. Le propos de Mignonnes est raté. Que l'intention de la réalisatrice eut été noble à un moment ou à un autre (et je n'ai jamais remis ça en question ou alors je te demande de prouver tes dires), ce qui me dérange foncièrement, c'est le message qui en résulte.
Tu me parles de subjectivité, alors si ça peut t'amener à mieux comprendre ma pensée, j'estime que sur un sujet aussi clivant et important, un réalisateur a le devoir moral d'exprimer clairement son point de vue, d'autant plus s'il est dans une logique de dénonciation. Il doit faire preuve d'exemplarité et de rigueur absolue. Si son propos n'est pas clair sur un sujet aussi important, c'est un film qui peut causer du tort.
Bah ok pour les mots si tu veux, on sera pas d'accord de toute façon. La réalisatrice a dit publiquement quelle était son intention. Que le film soit raté par rapport à son intention, c'est quelque chose qu'on peut totalement discuter et je n'ai absolument aucun problème avec ça. C'est une opinion totalement valable. Ton premier message disait que tout se déroulait "exactement comme prévu" etc... C'est à ce message que j'ai réagi initialement car il sous-entendait que le film savait très bien ce qu'il faisait de néfaste et qu'il faudrait être un PNJ pour ne pas le voir. Si ce n'est pas ton point de vue, ok.
Un film dénonçant un crime contre l'humanité (et il y a le choix dans le domaine) mais finalement interprété et perçu quasi unanimement comme en faisant l'apologie doit il être diffusé ?
Exactement. Si tu faisais un film qui était compris comme un film pro-nazi (même si ce n'était pas l'intention à la base), ils seraient les premiers à vouloir l'interdire car pour eux ce serait un film propagandiste. Je vois pas pourquoi ils abandonnent cette logique sous prétexte que le sujet leur paraît plus anodin car c'est également un sujet sérieux.
parce que toute la question, tout le problème réside dans le "était compris comme" c'est ça le truc.
Pour te la faire courte : ce film serait, à raison, interdit.
Plus on est exposé à une idée plus on risque de "l'approuver" c'est un concept ultra basique en sociologie je pense.On retrouve ça partout.
De la musique pourrie diffusée en boucle qui finit par être tolérable par la majorité au produit publicitaire random en passant par tous types de courants de pensée.Ce film met RÉELLEMENT en scène des gamines de 11ans en les hypersexualisant. Ce n'est pas "faux". C'est à la limite du snuff movie pour moi.
Tu t'es bien amusé à débattre mais maintenant stop. Rien que le scandale qui entoure ceux à l'origine de ce film devrait suffire à comprendre le danger de le diffuser (voir le message du khey plus haut).
J’ai fais mes études en sociologie et tu racontes 100% de conneries
En fait tu pars du principe que les gens sont des moutons sans cerveaux qui vont cautionner une idée parce qu’ils sont exposés à elle.
Sauf que dans « les gens », il y a toi.
Es-tu un mouton sans cerveau ?Il y a un bien cognitif qui laisse penser qu’autrui n’est pas réel, ou bien moins réel que nous. Nous nous plaçons naturellement au centre de notre univers, nous nous pensons plus pertinent qu’autrui. C’est un schème de pensée normale pour un être humain.
Or, cela implique donc de penser à tord que les gens sont plus influençables que nous ne le sommes nous-mêmes. Pour parler du sujet dont on traite ici ; l’influence due à l’exposition à un concept. Or c’est complètement faux en fait.
Donc ce que tu racontes, c’est n’importe quoi. Les gens ne vont pas cautionner une idée parce qu’ils y sont exposés. Les gens vont cautionner une idée si elle est suffisamment défendue par le camp le plus nombreux.
C’est extrêmement différent en fait.
En l’occurrence ici, le camp le plus nombreux c’est ceux qui critiquent l’hypersexualisation des enfants. Car on est tous d’accord, et c’est marrant au final hein, qu’on soit pour ou contre le film, on est tous d’accord pour dire que l’hypersexualisation des enfants dans notre société est une mauvaise chose.
Donc jamais personne ne cautionnera l’hypersexualisation des enfants dans la société, en dehors des pedo évidemment, et ça qu’ils soient pour ou contre le film Cuties.
En tout cas la banalisation de la pédophilie est en marche que tu le veuille ou non, pas grand monde prendrais le temps de réfléchir comme tu le fais, surtout des enfants...et oui concrètement on est des moutons, on vis dans une société où les gens attendent qu'on leurs disent quoi penser
Le 11 septembre 2020 à 01:33:29 Pet2Foune_bis a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 01:29:20 LeRoiCramoisi a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 01:27:37 Pet2Foune_bis a écrit :
Premier extrait je vois des enfants qui dansent et qui s’amusent.Si vous y voyez du sexe, c’est que c’est sûrement vous les pedo
mais oui, cette scène:
https://twitter.com/GhostJim4/status/1303778934421680129
ne mime absolument pas du sexe bien hardcore.
Bah non. T’as jamais vu les gamins de 10 ans en 2020 ? Ils font pareil dans la rue tous, en se filmant sur Tik Tok
En fait vous critiquez un film, qui affiche à l’écran ce qui est observable tous les jours dans les rues.
Y a un petit problème quand même hein.
On doit pas traîner dans les mêmes rues alors
Le 11 septembre 2020 à 12:46:46 Eirton a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:39:49 Outan-ourang a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:37:14 Eirton a écrit :
Le 11 septembre 2020 à 12:33:33 Outan-ourang a écrit :
parce que toute la question, tout le problème réside dans le "était compris comme" c'est ça le truc.
Pour te la faire courte : ce film serait, à raison, interdit.
Plus on est exposé à une idée plus on risque de "l'approuver" c'est un concept ultra basique en sociologie je pense.On retrouve ça partout.
De la musique pourrie diffusée en boucle qui finit par être tolérable par la majorité au produit publicitaire random en passant par tous types de courants de pensée.Ce film met RÉELLEMENT en scène des gamines de 11ans en les hypersexualisant. Ce n'est pas "faux". C'est à la limite du snuff movie pour moi.
Tu t'es bien amusé à débattre mais maintenant stop. Rien que le scandale qui entoure ceux à l'origine de ce film devrait suffire à comprendre le danger de le diffuser (voir le message du khey plus haut).
Déjà tu ne me dis pas stop. Ensuite être exposé à une idée augmente le risque de l'approuver ok, encore faut-il définir l'idée et son côté néfaste. C'est bien là la question. Que tu estimes que ce film est néfaste c'est une chose, que ça soit une vérité absolue en est une autre. J'en ai absolument rien à foutre du film tu sais, je le défends même pas je m'en bats les couilles. Je supporte juste pas vos vérités absolues.
Dans certains domaines les conséquences sont trop importantes pour être négligées.
S'il y a un doute c'est qu'il n'y a pas de doute.Si le film montre une descente aux enfers de A à Z sans joyeuseté entre 2 alors cela ce discute mais là on ne parle que de morale à la fin.
Tu as fais mumuse avec ta rhétorique à 2 balles. Maintenant c'est fini.
Absolument rien ne permet de défendre ce film.Il suffit pas d'énoncer quelque chose pour ça devienne réel. Mais on peut faire comme si : ton discours est inepte, alors tu peux te torcher avec et aller emmerder quelqu'un d'autre.
La vérité se suffit à elle même et ton manque de répartie et d'arguments parle pour toi.
Tant mieux si ça parle pour moi, je te les offre tu peux te les mettre au cul ça t'enculera pour moi aussi
[12:45:56] <EquerreEtCompas>
Le 11 septembre 2020 à 01:27:47 Kapeur-Ski a écrit :
Les religieux prudes sont de sorti, c'est bien si ça vous choque dans un sens, c'est le but du filmJe ne suis ni religieux, ni progressiste.
Mais je n'ai pas envie de voir sur ma télé des gamines qui twerkent, miment du porn et boivent dans des préservatifs usagés.
Quand bien même je peux comprendre le fait de dénoncer l'hypersexualisation, y a des limites à ce que j'ai envie de voir dans un film tout public.Pour le coup, ils ont réussi leur coup: choquer la population. Sauf qu'ils ont largement alimenté tous ceux qui vont utiliser ce film comme un prétexte à la banalisation de ce type de comportement, et de réalisateurs qui désormais, savent qu'ils peuvent être suffisamment explicites et borderline, quittes à montrer une gamine boire du s....e.
Comment ça boivent dans un préservatif usagé ?
J'ai raté un épisode là, c'est sérieux ou c'ets du troll ?
Comment vous pouvez dire que ce film normalise la pédophilie alors qu'il ne traite pas de la pédophilie ?
il normalise la décadence et la dépravation chez les meufs mais pas la pédophilie
C’est pas parce que y’a une danse de 1 minute 40 que c’est un film Pedo, sachant que ça va dans le contexte du film
Effrayant que ça ne fasse pas scandale.
Bordel c'est de pire en pire.
Le moment où elles dansent sur scène avec gros plan sur leurs sexes..
Mais c'est normal qu'il y ai une normalisation de la pédophilie puisque les gens qui nous dirigent le sont
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