[Risitas] CÉLESTIN vs CÉLESTINE
Le 25 juillet 2020 à 17:52:30 WW3_JEICE a écrit :
Trop irréaliste, écriture trop enfantine, le malaise est palpable désolé je peux pas
Je suis désolé que ça te plaise pas. J'essaierai de rendre la sweet plus cohérente et de soigner l'écriture pour que ça vous plaise.
Le 26 juillet 2020 à 21:54:59 lenatak73 a écrit :
Allez hop hop hop et que ça saute
J'ai écrit la partie mais y'a pas les stickers ni les corrections. C'est prévu pour ce soir.
Le 27 juillet 2020 à 16:08:54 Shaq64173324 a écrit :
L'op est mort ou en vacance ou dans un cul ?
D'ailleurs en parlant de ça, ce sera plus galère pour moi d'écrire en Août donc le rythme des publications va s'accélérer dans ces dernières jours de juillet. Voilà pour pas que vous soyez étonnés.
Le 25 juillet 2020 à 17:52:30 WW3_JEICE a écrit :
Trop irréaliste, écriture trop enfantine, le malaise est palpable désolé je peux pas
Avis de fanfaron. Et encore l'auteur répond avec délicatesse.
Le 27 juillet 2020 à 21:05:41 Parallx a écrit :
Le 25 juillet 2020 à 17:52:30 WW3_JEICE a écrit :
Trop irréaliste, écriture trop enfantine, le malaise est palpable désolé je peux pasAvis de fanfaron. Et encore l'auteur répond avec délicatesse.
Il a pas totalement tort, je vois ce qu'il veut dire.
À la sortie du lycée, le soleil se couche dans un ciel crépusculaire alors que Célestin et Jérémy se dirigent jusqu'au snack droit devant eux. Le lampadaire surplombant l’enseigne crachote un orange pétard dès plus baveux.
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- J'aimerais bien monter sur Paris et intégrer MPSI à Saint-Louis ou Henri IV mais je doute d'avoir le niveau.
- Tu tournes autour de 16 de moyenne, il n'y a pas de raison qu’il te refuse.
- Sauf s'il y a des milliers de Célestins qui y candidatent. Là je serai fichu
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Plaisante Jérémy.
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- Et toi tu veux faire quoi l’année prochaine ?
- Peut-être prépa ou médecine ou un truc en sciences politiques. En fait j'ai pas encore décidé.
- Ça te stresse pas de ne pas savoir où aller alors que les candidatures commencent cette semaine ?
- J’essaie de ne pas trop y penser…
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Le téléphone de Célestin sonne. Un numéro inconnu.
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- J’ai bien le jeune Célestin à l'appareil ?
- Oui, Il y'a du nouveau dans l’enquête traitant de votre agression. De récents éléments nous indiquent que ce n'est peut-être pas Jean Santigliano qui vous a passé à tabac.
- Eh bien nous ne pouvons vous révéler tous les détails de l'enquête mais il est très important que vous restiez le plus éloigné possible de Jérémy Brusseau jusqu’à ce que nous intervenons. Il en va de votre sécurité
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Tout entier le corps du jeune homme est parcouru d’un terrible frisson. Être aussi proche de celui qui l'a tabassé le replonge dans ces longs jours d’insomnie qui avaient suivi ce traumatisme mais il doit garder son calme. Si Jérémy s’aperçoit de l’état de stress nouveau qui chamboule le jeune homme qui sait ce qui pourrait se passer.
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- 2 paquets d'œufs et de la farine, c'est… noté maman
- De quoi parlez-vous je ne mange pas d’œuf ça me donne des gaz.
- Oui je te les rapporte tout de suite. À tout de suite maman
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Célestin raccroche.
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- Oui… ça va seulement Je… je peux pas rester plus longtemps. Ma mère m'a demandé de faire des courses pour elle.
- Il y'a une supérette dans l'autre rue tu m'accompagnes au snack et après t'iras acheter tes trucs.
- J'aurais bien dit oui mais elle est pressée, je… je vais pas la faire attendre.
- Ce sera rapide ne t’inquiètes pas.
Célestin n'a qu'une envie, c'est de fuir. Le plus loin possible. Il garde son sourire de circonstance mais il sent les muscles de sa mâchoire se contracter dans une expression de crispation qui ne voile plus son mal être, il le sent mais Jérémy l’a-t-il senti également ? Le grand brun le défie du regard l’air de le jauger comme s'il tentait de démêler le vrai du faux. À sa montre, le cadran affiche 19h48. Merde il reste encore 5 minutes. Il accuse le coup. Il avait fallu que ce coup de fil complique tout. Si Célestin s’était montré moins résistant, ça serait terminé depuis longtemps mais il fallait cet énergumène se montre réfractaire.
Célestin tend sa main pour saluer Jérémy.
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- Faut vraiment que j'y aille.
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Jérémy lui sert la poigne chaleureusement. Bientôt Célestin se retourne et s’éloigne de son camarade, d'un, 2, 3 pas quand d'un coup on l'attrape au cou. L’avant-bras de l'agresseur lui compresse la trachée et le mouvement en arrière qu'on le force à adopter fait basculer son corps vers celui de l’autre homme. On le traine. Malgré toute l’énergie qu'il met à se détacher de cette entreprise il ne peut rien contre l'ardeur de cette contrainte. Il tente d’appeler au secours mais le peu d'air qu'il arrive encore à expirer ne peut suffire à attirer l'attention des quelques passants bien loin d'imaginer ce qui est en train de se dérouler à une centaine de mètres d'eux.
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- Je suis dans la ruelle à côté de la supérette. Je l'ai. Faites vite !!!
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Célestin se débat encore. Il attrape tellement fort le bras de Jérémy qu'il enfonce ses ongles dans sa chair sanguinolente.
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Les feux d'une berline noire les éclaire. Elles s’arrêtent à leur niveau. 2 individus sortent du véhicule, ils s’occupent de bander les yeux et la bouche de Célestin et de menotter ses mains. On lui prend son téléphone avant de le jeter à l’arrière du véhicule. L'un des individus regarde la plaie béante qu’a laissé Célestin sur le bras de Jérémy.
- J’ai fait ce que vous m'avez demandé de faire. J'ai plus rien à voir à faire avec vous.
- Eh, c'est pas toi qui donnes les ordres ici. T'as compris ?
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Dit sèchement l'un des hommes l'air menaçant.
Jérémy reste muet.
On remonte dans le véhicule. Dans un long crissement des pneus sur la route mouillée, la berline s'enfuit comme elle était venue alors que Jérémy le bras en sang reprend ses esprits planté au beau milieu de cette ruelle.
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Après les cours, Célestine rentre chez elle. Il est temps de réviser. elle ne se potasse jamais plus de 2 heures à part aujourd’hui où quelque chose semble différent. Ces nombreuses lectures ne suffisent pas à digérer les concepts récoltées sur son cahier comme si la connexion faite entre ses nerfs optiques et le reste de son système mémoriel était coupé ou au moins saturé d'autres stimuli inhabituelles. Plus que le travail, ce qui compte le plus est l'efficacité. Tant pis, rien ne sert de travailler aujourd’hui. Alors elle se plonge dans L’éducation Sentimentale qui trainait sur sa table de chevet. Frédéric, il aurait pu s’appeler Célestine. Elle se concentre pour plonger dans le récit, avant d'en être extirpé par elle-même, ou plutôt un morceau d'elle, celui qu'elle détestait le plus, celui qui était la moins malléable, celui qui était guidé par la pente naturelle de son caractère profond : sa sensibilité.
Ne pas y faire attention et la recouvrir, l'enfouir dans les tréfonds de son âme ne suffirait pas pour que ça passe, pas aujourd’hui.
'Dans la chambre d'à côté, la chambre de sa petite sœur, une musique grunge fait vrombir les murs de la maison alors que sa propriétaire tasse gauchement du tabac à rouler mélangé avec de l’herbe (ce qu'elle prend pour de l'herbe en vérité) dans une feuille Raw.
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- Tu vois pas que t'es dans ma chambre !? Barre-toi !
- Je venais simplement voir ce que tu faisais.
- C'est du tabac ?! Il ne m’était pas venu à l’esprit que tu avais cédé aux sirènes de l'addiction.
- Je fume juste pour décompresser, c’est tout.
- À croire que tu vis une existence de misère qui te pousse à l’évasion fumeuse.
- Putain mais ta g*eule qu'est-ce que t'y connais toi. T'as que tes bouquins dans ta vie. Partout où tu vas on t'harcèle. T’es qui pour me juger !?
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Ordonne Aurore d’un ton qui se veut agressif. Célestine sort en fermant délicatement la porte. Qu'il est loin le temps où elle avait encore des échanges cordiaux avec sa cadette.
Elle tape à la porte du bureau de son père. Il a préféré le télétravail à l'emploi sur site depuis qu’ils ont déménagé l’été dernier.
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- Oh Célestine… J'ai le rapport Bergman à finir avant demain je suis dans le rush. Quelque chose ne va pas ?
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Elle a entrouvert la porte et seule sa tête dépasse comme si elle se cachait.
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Elle dégage les dossiers qui se trouvaient sur le fauteuil devant le bureau de son père et y prend place.
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- Je voulais réviser mes cours mais je n'y arrive pas en raison de certains doutes qui m'agitent.
- Cette journée n’a été que séries de circonstances et d’imprévus malgré tous mes efforts que j'emploie à réduire les effets du hasard dans mon existence.
- Est-ce si difficile d’être cohérent ? Pourquoi suis-je la seule à y arriver ?
- Je ne vois pas bien où tu veux en venir…
- D’aucuns se complaisent dans les incertitudes jusqu’à ce qu'elles deviennent leur moteur mais un tel penchant ne peut représenter un mode de vie viable. On ne construit pas une civilisation pérenne sur le déséquilibre de l’incertitude.
- Tu te trompes. Il n'y a que ça dès incertitudes dans la vie, partout, tout le temps.
- C'est impossible, ce serait terriblement effrayant.
- Mais on ne se lève pas le matin en sachant ce qui va arriver dans notre quotidien.
- Et ça tombe toujours juste ?
- 95% du temps oui les 5 autres pourcentages représentent la marge d'erreur.
- Quand bien même tu dis vrai, il suffit d'une journée remplie d’inattendu pour changer ta vie pour toujours. Et pour preuve, ça t’est même arrivé aujourd’hui.
- À quoi bon se lier aux gens si un rien peut tout faire changer ?
- Célestine cette journée a peut-être été difficile pour toi mais je t’ai dit. Ce sont des choses qui arrivent. Il y'en aura d'autres, des jours où tout ira mal et à l'inverse tu en vivras d'autres où tout te sourira sans que tu t'y attendes
- Comment peut-on s'y résoudre ? Il n'y a plus grande richesse que le savoir et l'attendu.
- Peut-être pour toi les gens en général détestent les madame je sais tout.
- C'est comme ça que tu me voies ? Comme une madame je-sais-tout ?
- Ce n'est pas ce que je voulais dire…
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Aurore entre avec fracas dans le bureau.
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- Je trouve pas les médicaments de maman.
- Je viens t'aider… Ne bouge pas Célestine. Je reviens.
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Après avoir apporté les médicaments à sa femme. Le père de Célestine revient dans son bureau mais il s’aperçoit alors que sa fille n'est plus là. Il grommèle contre lui-même.
Un jour, on passe un devoir de SVT portant sur les climats de la Terre.
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- Je ramasse vos copies. N’oubliez pas de rapporter votre blouse la semaine prochaine. Vous allez disséquer une grenouille et pour les vegans ce sera une citrouille.
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Dans le couloir, on interpelle Célestine.
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- T'es vraiment la meilleure !!!
- Je savais pas que ça marcherait !
- Le contrôle de SVT, c'est toi qui as trouvé le moyen d'avoir les examens quelques heures avant les contrôles. Lana nous a tout raconter
- Grâce à toi on va tout déchirer maintenant
- La faille dans la base de données n'a pas été réparée ? Elle m’avait dit qu'elle la signalerait.
- Je pense pas que les profs soient au courant et heureusement…
- Il faut vraiment que le groupe de classe sur WhatsApp reste secret on doit éviter de se faire prendre.
- Célestine on va manger dehors tu viens avec nous ?
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Les regards qu'on lui porte ont changé, elle ne le saurait décrire mais c’est différent de d'habitude.
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- D'accord mais j’espère qu’ils ont du thé mentholé
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L'inattendu. Ce matin, Célestine s'est levée en pensant vivre une journée comme toute celle qu'elle avait vécu mais elle s’était trompée. Son père disait vrai, parfois les choses changeaient et c’était pour le mieux.
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Un SUV italien noir arrive près d'un entrepôt. 2 individus sortent Célestin du véhicule et le traînent jusqu’à l'habitation. Après l'avoir jeté sur une chaise on lui enlève les menottes et le bandeau qui voilait ses yeux. La pièce baigne dans l'obscurité.
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- Me faites pas de mal...Je… je vous en supplie laissez moi partir
- Bonjour Bambino, on m'a beaucoup parlé de toi.
- Qui êtes-vous, qu'est-ce que vous me voulez !?
- Nous ne te voulons… Giuliano allume la lumière je te prie. On ne voit rien
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Une fois la lumière allumée, on découvre une salon dont l'ambiance chaleureuse de par le bois de ses fondations et les différents portraits au mur rappelle les foyers secondaires de grande dynastie.
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- Je suis Vito Santigliano et voici Luigi et Giuliano.
- Santigliano ? Comme Jean Santigliano ? Vous êtes de sa famille !?
- Je suis son oncle. Tu es au courant, la police ne lui lâche pas les côtes alors je me devais de l'aider, lien de famille oblige. Je suis sûr que tu ferais la même chose pour un des tiens.
- Je… je lui veux aucun mal je vous assure.
- Je le sais bien sinon tu ne saurais pas reçu ici. La méthode a peut-être été un peu rugueuse nous en sommes désolés. Giuliano sers un peu de Balvenie au garçon.
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Célestin décline timidement.
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- Mon neveu a lâchement été accusé de ton agression après que son pendentif ait été retrouvé dans ce cinéma. La police lui a collé une mesure d’éloignement, il ne peut donc pas rentrer en contact avec toi, on a donc été obligé de s'en occuper et d'employer une méthode plus complexe pour te ramener jusqu’à nous.
- C'est lui qui a ramené le pendentif à la police il nous devait bien ça. Il devait simplement nous permettre de faciliter ta prise en te gardant sur le site du lycée jusqu’à tard dans la soirée pour qu'on puisse prendre le relais sans attirer l’attention.
- J'aurais du me douter… C’était étonnant qu'il ait besoin de moi en mathématiques…
- Je ne vais pas y aller par 8 chemins. Quelqu’un a voulu faire porter le chapeau à mon neveu d'un crime qu'il n'a pas commis et nous allons tout mettre en œuvre pour savoir qui c'est.
- Depuis quelques semaines nous avons constaté qu'un individu te suit à la trace.
- Luigi je t'ai déjà dit que je préférais que ce soit moi qui fasse les effets d'annonce.
- Tu as toujours besoin de te mettre en avant c'est pas croyable.
- Attendez mais comment vous savez qu'il en a après moi !? Vous…. Vous m’avez suivi !?
- C'est nous qui posons les questions
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Rappelle à l'ordre Giuliano.
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- C'est… c’est l'ex de ma copine.
- C'est bien ce qu’il nous semblait. Mon neveu a interrogé le guichetier de ce cinéma. Il a indiqué qu'un individu ressemblant trait pour trait à ce Pete a été vu juste après ton agression.
- Alors c'est lui ? C'est lui qui m'a tabassé ?
- Il faut pas pousser mémé dans les orties pour savoir que c’est lui.
- Ce n'est pas la bonne expression Vito.
- Pourquoi vous dîtes pas tout ça à la police !?
- Disons que nous préférons faire à notre façon…
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Célestin reste silencieux, un peu perdu avant de prendre la parole d'une voix plus grave que sa tonalité normale.
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- Qu'est-ce que vous attendez de moi ?
- La police a vraisemblablement déjà cherché à te contacter pour t'interroger
- Une fois… mais les souvenirs de cette agression sont tellement flous que je n'ai pas pu les aider
- Ils vont chercher à t'interroger une deuxième fois. Je veux que tu leur dises clairement que Jean n'a rien à voir avec ton agression. De près comme de loin. Tu feras pareil avec ta proviseure. Tu diras ensuite à la police que tu te rappelles du visage de ton agresseur, que c’est Pète Anderson, tu en es sûr et certain.
- Je veux que tu nous facilites la tâche. Nous n’avons pas toutes les preuves en notre possession et l'année scolaire de mon neveu continue sans qu'il ne puisse la suivre correctement, ce serait très dommageable pour chacun d’entre nous que cette situation persiste.
- Je sais pas si je peux faire ça…
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Giuliano jette un verre par terre.
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- Je crois t’as pas bien compris. C'est pas une demande qu’on te fait c'est un ordre, Vito a été gentil avec toi te méprends pas on est pas des diplomates. On te dit faire quelque chose tu le fais.
- Du calme Giuliano, tu lui fais peur. Mon garçon, tu as le choix. On a toujours le choix dans la vie. Il faut simplement qu’on sache si tu es avec nous ou contre nous, tu comprends ?
- Allez ça va pour ce soir. On a pas encore fêté l’épiphanie ce n'est pas le moment de parler affaire, hein mon garçon ? La mama a préparé le repas tu veux manger avec nous avant de partir ?
- Très bien. On te ramène chez ta copine ou chez toi ? 07 rue des trois arbres, c'est bien ça ?
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Déclarait Vito le visage souriant. À l’entente de son adresse, Célestin est subitement engourdi. Alors c’était vrai, il avait bien été suivi. Qu’est-ce que ces hommes savaient d’autres de lui ?
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- Je veux simplement partir d’ici…
- Tu penses bien qu’on ne peut pas te laisser tout de suite. Cet endroit doit rester secret. Tu repartiras comme tu es arrivé.
- Faites… faites comme vous voulez
- Bien on va te ramener à un pâté de campagne de chez toi
- Fais bonne route mon garçon. Je t'aurais bien dit que j’aimerais rediscuter avec toi mais il n'est jamais bon d’avoir affaire à moi 2 fois.
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Déclare sentencieux, Monsieur Vito Santigliano assis dans son fauteuil de cuir noir aussi imposant que lui. C’est la dernière image que voit Célestin avant qu’on lui mette le bandeau sur les yeux. On le met dans le SUV et on repart. Le trajet a duré une vingtaine de minutes peut-être d'avantage avant que le véhicule ne s’arrête enfin.
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- Tiens ton portable. Tu enlèves ton bandeau 5 minutes après notre départ. 5 minutes pas une de moins. N'oublie pas ce que t'as dit Vito.
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Le véhicule est parti, Célestin ne risque plus rien mais la pression que lui ont mis ses hommes est telle que comme le cœur qui met quelques minutes à retrouver son rythme normal malgré la fin d'une activité à très haute intensité, l'état d'alerte de son système sensitif le pousse à garder son bandeau sur les yeux 5, 10, 15 minutes après que ses bandits aient disparu. S’il pouvait il fondrait en larmes mais l’état de choc l’empêche de pleurer.
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QUE FAIRE ?
- Choix A : suivre le plan des Santigliano
- Choix B : affronter Pète
- Choix C : en parler à Lana
- Choix D : révéler à la police tout ce qui s’est passé
Choix A on trahis pas la MAFIA
Célestin futur mafieu
Le 28 juillet 2020 à 11:12:30 TopinamBOURRE12 a écrit :
Choix A bien-sûr
Non
Données du topic
- Auteur
- KataIeya
- Date de création
- 9 juillet 2020 à 10:30:15
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