Parlons du film La Plateforme sur Netflix ?

Qui a été surpris quand l'autre c'est fait chier dessus?

Je m'attendais pas du tout a ça!

Le 30 mars 2020 à 15:44:10 EmpereurQyburn a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:37:53 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:31:42 EmpereurQyburn a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:28:02 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:14:21 EmpereurQyburn a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:11:07 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:05:09 EmpereurQyburn a écrit :
Je suis d'accord avec Jim, il n'y a rien qui réfère directement à une représentation allégorique de l'Enfer. Ce n'est pas une représentation allégorique du tout, seulement une version schématisée des rapports hiérarchiques entre individus ayant les mêmes besoins.

Ba la dernière cellule n°333 ça fait clairement référence au diable

Et cela servirait à dire quoi ? Que le diable est celui qui mange le moins ?

Et pourquoi ce ne serait pas l'inverse, pourquoi le 3 ne serait pas le chiffre des 3 substances divines, avec le Père (le personnage principal) sauvant le Fils (l'enfant) à travers l'Esprit Saint (de la pana cotta), l'existence réelle et charnelle du fils étant en cela secondaire ?

C'est clairement moins évident que le 333*2 personnes par cellule = 666
ça veut dire que c'est la tour des enfers. On pourrait même retrouver les péchés capitaux, avec la gourmandise, la luxure, l'avarice, l'envie...

Mais, donc, pourquoi une tour des Enfers ? Pourquoi le Diable serait tout en haut ? Pourquoi le Diable nourrirait lui-même les hommes (ce n'est pas seulement qu'ils sont tentés : leur survie dépend de la plateforme) ?

Je ne disais pas cela pour débattre sur la meilleure interprétation, mais pour montrer qu'avec les interprétations théologiques on peut faire dire tout et n'importe quoi, et qu'il ne s'agit surtout pas d'évidences.

J'y connais vraiment rien en théologie moi
Je suppose que le diable n'est pas tangible, qu'il n'est nul part, qu'il représente juste la tentation.
Pour la cellule 333 c'est une EVIDENCE, ça ne peut pas être autre chose qu'une référence au diable par contre

S'il n'est nulle part pourquoi le 333 en serait une référence, puisque dans ce cas le nombre de la Bête évoquerait le nombre d'étages en tenant compte de la descente et de la remontée, et que donc 666 serait nécessairement l'étage 0 où les cuisiniers nourrissent la plateforme ?

Je viens de te donner un contre-exemple largement aussi plausible pourtant. S'il y avait une référence biblique évidente, elle serait de toute façon explicite : le dernier étage serait le 666ème, ou bien il y aura là au 333ème au moins un personnage pouvant évoquer une présence diabolique.

Il est nul part et partout à la fois. Il est censé être en chacun de nous. Et 666 ne fait pas référence au nombre d'étages, mais au nombre de détenus

Le 30 mars 2020 à 15:45:42 Asorias a écrit :
Qui a été surpris quand l'autre c'est fait chier dessus?

Je m'attendais pas du tout a ça!

Je m'attendais à ce qu'il lâche la corde au dernier moment pour le laisser tomber dans la fosse :-d

Le 30 mars 2020 à 15:50:05 EmpereurQyburn a écrit :
(ajout à l'interprétation christique : le personnage principal, le Père, rêve qu'il pénètre Marie, mais sans le faire réellement, comme par une immaculée conception, et par la suite retrouve le Fils)

pas mal

Le 30 mars 2020 à 15:52:57 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:50:05 EmpereurQyburn a écrit :
(ajout à l'interprétation christique : le personnage principal, le Père, rêve qu'il pénètre Marie, mais sans le faire réellement, comme par une immaculée conception, et par la suite retrouve le Fils)

pas mal

On a qu'à finir sur un compromis en disant que le but du film est de montrer comment le Christ apporte le salut malgré la part diabolique qu'il y a en chacun de nous.

Le 30 mars 2020 à 15:54:39 EmpereurQyburn a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:52:57 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:50:05 EmpereurQyburn a écrit :
(ajout à l'interprétation christique : le personnage principal, le Père, rêve qu'il pénètre Marie, mais sans le faire réellement, comme par une immaculée conception, et par la suite retrouve le Fils)

pas mal

On a qu'à finir sur un compromis en disant que le but du film est de montrer comme le Christ apporte le salut malgré la part diabolique qu'il y a en chacun de nous.

Je pense pas qu'on puisse interpréter l'intégralité du film avec des références religieuses.
Il y aussi une grosse part de politique.
Le début c'est le capitalisme, ceux qui sont en haut se goinfrent, et ceux en bas n'ont que les miettes.
La deuxième partie du film, c'est le socialisme, on massacre les capitalistes et ceux qui refusent le kolkhoze comme sous l'URSS de Staline.
Et on remarque qu'aucun des deux systèmes ne fonctionne. La variable humaine étant celle qui fait s'enrayer le mécanisme du "bien commun".

Le 30 mars 2020 à 15:55:21 Ventipulmin a écrit :
Vous prenez pas la tête, c'est un film très moyen, réalisé par des mecs pas très doués. Une perte de temps.

réfléchir ≠ se prendre la tête

Le 30 mars 2020 à 15:57:26 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:54:39 EmpereurQyburn a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:52:57 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:50:05 EmpereurQyburn a écrit :
(ajout à l'interprétation christique : le personnage principal, le Père, rêve qu'il pénètre Marie, mais sans le faire réellement, comme par une immaculée conception, et par la suite retrouve le Fils)

pas mal

On a qu'à finir sur un compromis en disant que le but du film est de montrer comme le Christ apporte le salut malgré la part diabolique qu'il y a en chacun de nous.

Je pense pas qu'on puisse interpréter l'intégralité du film avec des références religieuses.
Il y aussi une grosse part de politique.
Le début c'est le capitalisme, ceux qui sont en haut se goinfrent, et ceux en bas n'ont que les miettes.
La deuxième partie du film, c'est le socialisme, on massacre les capitalistes et ceux qui refusent le kolkhoze comme sous l'URSS de Staline.
Et on remarque qu'aucun des deux systèmes ne fonctionne. La variable humaine étant celle qui fait s'enrayer le mécanisme du "bien commun".

Et à la fin Jésus meurt sur la Croix et on fonde une théocratie égalitaire !

Le 30 mars 2020 à 16:03:18 EmpereurQyburn a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:57:26 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:54:39 EmpereurQyburn a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:52:57 JeanConFine a écrit :

Le 30 mars 2020 à 15:50:05 EmpereurQyburn a écrit :
(ajout à l'interprétation christique : le personnage principal, le Père, rêve qu'il pénètre Marie, mais sans le faire réellement, comme par une immaculée conception, et par la suite retrouve le Fils)

pas mal

On a qu'à finir sur un compromis en disant que le but du film est de montrer comme le Christ apporte le salut malgré la part diabolique qu'il y a en chacun de nous.

Je pense pas qu'on puisse interpréter l'intégralité du film avec des références religieuses.
Il y aussi une grosse part de politique.
Le début c'est le capitalisme, ceux qui sont en haut se goinfrent, et ceux en bas n'ont que les miettes.
La deuxième partie du film, c'est le socialisme, on massacre les capitalistes et ceux qui refusent le kolkhoze comme sous l'URSS de Staline.
Et on remarque qu'aucun des deux systèmes ne fonctionne. La variable humaine étant celle qui fait s'enrayer le mécanisme du "bien commun".

Et à la fin Jésus meurt sur la Croix et on fonde une théocratie égalitaire !

Jesus meurt sur la croix, mais jamais on fonde quoi que ce soit d'égalitaire

Le 30 mars 2020 à 13:12:12 Jean-Breton a écrit :

Le 30 mars 2020 à 13:11:27 JeanConFine a écrit :
Et donc le certificat homologué servirait à aller au paradis ?

une sortie de l'enfer pour aller au paradis

Je préfère ce qu'a dit un khey précédemment. Que c'est juste un macguffin qui évoque une administration absurde et kafkaïenne chère aux dystopies.

Le 30 mars 2020 à 16:16:52 RugbyBarbecue a écrit :

Le 30 mars 2020 à 13:12:12 Jean-Breton a écrit :

Le 30 mars 2020 à 13:11:27 JeanConFine a écrit :
Et donc le certificat homologué servirait à aller au paradis ?

une sortie de l'enfer pour aller au paradis

Je préfère ce qu'a dit un khey précédemment. Que c'est juste un macguffin qui évoque une administration absurde et kafkaïenne chère aux dystopies.

L'un n'empêche pas l'autre

Je trouve que la descente aux enfers manque de trash. On y voit la folie et un peu de gore mais rien de dérangeant pour le spectateur lambda habitué de nos jours à cette violence.

C'est de la violence mais contrôlé et je vois mal Netflix l'avoir freinée.

Les étages inférieur aux 200 sont étrangement serein par rapport aux supérieurs.

Le 30 mars 2020 à 16:43:10 Sh1nkyro2 a écrit :

Les étages inférieur aux 200 sont étrangement serein par rapport aux supérieurs.

Ils doivent être à moitié endormis avec l'énorme manque de bouffe

Le 30 mars 2020 à 16:43:10 Sh1nkyro2 a écrit :
Je trouve que la descente aux enfers manque de trash. On y voit la folie et un peu de gore mais rien de dérangeant pour le spectateur lambda habitué de nos jours à cette violence.

C'est de la violence mais contrôlé et je vois mal Netflix l'avoir freinée.

Les étages inférieur aux 200 sont étrangement serein par rapport aux supérieurs.

Les étages ou la bouffe ne parvient plus, je pense l’étage 100 et ceux dessous n’ont plus aucune différence selon moi, car il n’y a déjà plus à manger ils sont dans la même galère