Ce soir, on se pose et on cause DYSPHORIE DE GENRE
SuppriméLe 29 décembre 2019 à 21:33:52 Aetheris a écrit :
Le 29 décembre 2019 à 21:32:29 Dark-Seouls a écrit :
Mais c’est pas des masses important, puisque la dysphorie tient moins de l’authenticité biologique (qui n’arrivera jamais, même avec transition, qu’on soit d’accord) que de l’authenticité sociale. D’être « perçu » comme tel.
Donc en gros, faudrait se forcer à se faire laver le cerveau pour vous permettre d'aller un peu mieux, en théorie.
je vois pas de quel lavage de cerveau tu parles mais bon
Bah le terrorisme moral autour de ces questions, dans les médias, sur le net, avec des absurdités au niveau logique et la promotion d'idéologies
Le fait de cibler les gosses pour les "sensibiliser" à ces causes
ça concerne très peu de personne, je suis pas contre le fait qu'ils reçoivent de l'aide, mais faut arrêter de nous forcer à ingurgiter les philosophies derrières
Ces cas ne justifient pas qu'on s'en prenne à l'identité, au genre, et à notre culture sur ces questions.
Merci d'avoir pu mettre au clair ce que j'ai bien du mal à exprimer (dans le sens inverse pour ma part) depuis pas mal d'années. Personnellement je pense que ma dysphorie vient en bonne partie de l'environnement dans lequel j'ai grandi et j'arrive à peu près à trouver des solutions aussi, j'ai décidé de ne pas transitionner et j'arrive à peu près à m'assumer socialement en tant qu'homme après des années de réflexion, de travail sur moi-même etc, j'ai du m'y conditionner, en fait. Et je sais que de ce point de vue là j'ai beaucoup de chance vu que chez énormément de personnes dysphoriques c'est au mieux inefficace, et au pire totalement impossible à envisager.
J'ai la même opinion sur la transition sur le long-terme, je pense malheureusement que ça n'est pas une solution suffisamment avancée de nos jours, et ça a ce côté "validation des stéréotypes" également
Ou c'est encore moi qui comprends rien au progrès qu'on nous force à tolérer ?
Je pense qu'une grande partie des dysphories sont en réalité causées par le mélange entre les genres, le manque de définition nette, l'égalisation des rôles... L'indifférenciation engendre la plupart des cas selon moi.
Le problème c'est que les progressistes tentent non pas d'aider ces gens malades, mais de normaliser leur cas, de répandre les causes qui les ont engendrés. Donc en créant encore plus de problème en fait, exigeant de changer toute la société au passage, inversant tout, détruisant tout car "c'est possible" d'inverser les genres et de les mélanger, comme s'il s'agissait d'un jeu, d'une course à l'originalité...
C'est irresponsable.
Le 29 décembre 2019 à 21:45:38 Dark-Seouls a écrit :
Je pense qu'une grande partie des dysphories sont en réalité causées par le mélange entre les genres, le manque de définition nette, l'égalisation des rôles... L'indifférenciation engendre la plupart des cas selon moi.Le problème c'est que les progressistes tentent non pas d'aider ces gens malades, mais de normaliser leur cas, de répandre les causes qui les ont engendrés. Donc en créant encore plus de problème en fait, exigeant de changer toute la société au passage, inversant tout, détruisant tout car "c'est possible" d'inverser les genres et de les mélanger, comme s'il s'agissait d'un jeu, d'une course à l'originalité...
C'est irresponsable.
Je pense que c'est surtout lié au fait que la déconstruction voulue des genres et de notre bagage culturelle se fasse à l'aveugle, sans maîtriser les tenants et aboutissants, dans une simple volonté de détruire l'acquis pour y construire du plus agréable.
Ca peut pas marcher, parce que la société - comme j'ai dit - s'embarrasse peu des ressentis personnels.
Mais ça séduit, parce que c'est pour beaucoup de marginaux la promesse d'un monde meilleur, d'un monde plus doux, plus tolérant. Mais à ramollir tout ça, on va tomber sur un os parce que toutes ces causes qui se veulent convergentes... finiront par dévoiler des incohérences/et des paradoxes... et il sera trop tard pour les gérer.
Le 29 décembre 2019 à 21:49:57 Larryzontale3 a écrit :
La dysphorie de genre est réelle mais j'ai toujours trouvé ça grave d'aller dans le sens du malade en acceptant un changement de sexe
Bah le souci c'est qu'on a pas de solution. La transition pour le moment c'est la seule bribe de solution qu'on ait, et malgré son imperfection et les soucis idéologiques qu'elle peut poser, le taux de suicide post-transition est quand même un peu plus faible il me semble.
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- CorailLubrique
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- 29 décembre 2019 à 20:42:36
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- 18 octobre 2021 à 16:33:43
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