Topic de CorailLubrique :

Ce soir, on se pose et on cause DYSPHORIE DE GENRE

Supprimé

Généralement je méprise tout ce genre de sujet et les gens qui en parlent à cause de la tendance actuelle à transformer ça en idéologie absurde et dangereuse pour pas mal de gosses paumés, mais tas la tête sur les épaules et tes lucide. Je veux pas dire ça de façon blessante l'op mais jai de la peine pour toi car ça doit pas être facile à vivre. Mais bon déjà tu as lair assez posé et réfléchi, jespere que tu arriveras à te trouver un équilibre définitif et un bien-être concret.

Force a toi et a ton copain pour son cancer.

Le 13 février 2020 à 22:04:05 Morgoth a écrit :
Tu n'es pas moins condescendante que moi. "On progresse" c'est une phrase de maître adressée à l'élève.

Ça ne me dérange pas que tu prononce des mots mais tu ne peux pas reprocher aux autres la condescendance si tu la pratique toi-même, la cohérence est nécessaire à la crédibilité.

Du reste il est curieux que tu n'acceptes de discuter qu'à partir du moment où il est question d'opinion. Le b-a-ba de la philosophie c'est d'abord de comprendre que les opinions ne valent rien.

Enfin c'est n'est pas parce que je dis ne voir qu'une chose qu'il s'agit d'une opinion de ma part. Peut être que si je ne vois qu'une chose c'est parce qu'il n'y a qu'une chose à voir.

Si tu es le seul, ou l'un des seuls, à ne voir qu'une chose, c'est peut-être qu'il y a autre chose à voir et que tu ne promènes pas tes yeux au bon endroit.

On peut faire une joute de philo, si tu veux. Mais ça serait malhonnête de ta part (je ne dis pas que tu le fais, mais ça le serait de pousser le bouchon dans cette direction) d'asséner que j'ai créé ce topic pour ça.

Je suis pas condescendant. J'estime toutes les opinions, j'estime même les désaccords pourvu qu'ils soient fondés. Mais j'ai pris avec toi une posture plus rigide, c'est vrai. Et si tu te demandes pourquoi, relis le premier post que tu m'as adressé. Tu comprendras peut-être la différence de traitement.

Le 13 février 2020 à 22:05:58 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:04:49 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:02:27 Gaoaih a écrit :
J'ai une autre question par ailleurs, tu t'es intéressé à un peu de psychologie sociale, aux relations intergroupes, à la formation des perceptions, histoire de prendre un peu de recul sur tes convictions, de les mettre en perspective, ou t'as toujours eu le nez dedans sans jamais avoir été à la recherche de leviers te permettant d'avoir une vue d'ensemble du "phénomène" que tu vis ?

J'ai pas mal planché la socio. J'ai déjà donné des cours aux premières années de médecine en socio, psycho sociale, histoire de la médecine (et donc de la place du corps au fil du temps et des sociétés), du rapport à la santé, tant physique que psy... donc on peut dire que... à défaut d'être béton, j'ai eu des bouquins sous le nez pour réfléchir.

Alors pourquoi une telle aversion pour le genre féminin ?

Je ne déteste pas le genre féminin, au contraire. Je trouve que la féminité englobe de vraies, belles valeurs. Je n'ai aucune haine pour la femme : ni sur le plan physique, ni sur le plan social. C'est une simple question d'identification. Ce sont de belles valeurs auxquelles je ne m'identifie pas. :(

"Faut se dire, mes kheyous, que « fille masculine » a un retentissement social très particulier. On imagine une fille négligée, avec les cheveux rasés, avec la parole vulgaire, qui est dans une haine de la féminité."

Ton raisonnement n'est vraiment basé que sur l'imaginaire du sujet cible, c'est incroyable.

" Je trouve que c’est une valeur magnifique, mais qui ne s’endosse que si on s’y identifie vraiment."
C'est quoi, la "vraie" féminité ? Celle définit par les méchants oppresseurs blancs ? Ta féminité est telle que tu la définis, c'est à toi de rendre ça socialement à ton goût

persoent et de manière constitutive ------> palu

Le 13 février 2020 à 22:05:45 Utasinoraptor a écrit :
Bonsoir OP

J'ai une question

Considere tu la dysphorie de genre comme une sorte de syndrome post-traumatique qui pousserai à se réfugier dans l'autre genre ? Suite aux traumas possibles dans l'enfance, ect

J'ai du mal à le voir autrement en fait, qu'une modification profonde de la psyché en réponse à quelque chose de traumatisant vis a vis du genre

J'ai répondu à cette partie dans mon post initial. :oui:

J'aurais aussi voulu savoir, pourquoi comme beaucoup d'autres gens qui à l'adolescence par exemple vont se forcer a se conformer à la norme sociale pour pas faire de vagues, pour ensuite a l'age adulte et avec l'arrivée de l'indépendance et de la liberté s'affirmer, dire au reste du monde je vous emmerde, acceptez moi tel que je suis, et laissez moi faire ce que je veux ?

Je sais pas, je ne suis pas eux. Si je lis entre les lignes de ton paragraphe, je pense qu'on pense à peu près la même chose : effet d'action-réaction. La pression familiale et sociale est dissipée par l'indépendance, et c'est le moment de cracher toute la frustration qu'on a pu te mettre dans le bide.

certes tous tes proches n'accepteront pas, tu fera un tri, mais au moins tu pourra agir comme tu le souhaite sans hair ton corps, ect

Désolé si je semble condescendant, je me fais juste pas chier avec des formules de politesses ou à arrondir les angles.

Pas de souci.

j'ai lu et j'ai bandé, maintenant je veux la photo https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Le 13 février 2020 à 22:08:38 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:05:58 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:04:49 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:02:27 Gaoaih a écrit :
J'ai une autre question par ailleurs, tu t'es intéressé à un peu de psychologie sociale, aux relations intergroupes, à la formation des perceptions, histoire de prendre un peu de recul sur tes convictions, de les mettre en perspective, ou t'as toujours eu le nez dedans sans jamais avoir été à la recherche de leviers te permettant d'avoir une vue d'ensemble du "phénomène" que tu vis ?

J'ai pas mal planché la socio. J'ai déjà donné des cours aux premières années de médecine en socio, psycho sociale, histoire de la médecine (et donc de la place du corps au fil du temps et des sociétés), du rapport à la santé, tant physique que psy... donc on peut dire que... à défaut d'être béton, j'ai eu des bouquins sous le nez pour réfléchir.

Alors pourquoi une telle aversion pour le genre féminin ?

Je ne déteste pas le genre féminin, au contraire. Je trouve que la féminité englobe de vraies, belles valeurs. Je n'ai aucune haine pour la femme : ni sur le plan physique, ni sur le plan social. C'est une simple question d'identification. Ce sont de belles valeurs auxquelles je ne m'identifie pas. :(

Mais y'a pas une liste de valeurs pour la femme, seulement des fantasmes des uns et des autres. A l'inverse, j'imagine que tu kiffes tout ce qui est hyper viril, les militaires, etc, car c'est des vraies valeurs de masculinité tel que tout le monde se les conçoit de manière totalement unanime ?

Edit : Il est de ton devoir de t'édifier, pas de satisfaire à des impératifs de genre imaginaire

Ah ouais, c’est compliqué. J’espère que tu vas pouvoir trouver une réponse à tes interrogations. Se faire opérer est irréversible, je ne saurais qu’appuyer ta décision à ce propos, surtout vu ta situation. En espérant que ça aille mieux un jour.

Le 13 février 2020 à 22:08:48 Gaoaih a écrit :
"Faut se dire, mes kheyous, que « fille masculine » a un retentissement social très particulier. On imagine une fille négligée, avec les cheveux rasés, avec la parole vulgaire, qui est dans une haine de la féminité."

Ton raisonnement n'est vraiment basé que sur l'imaginaire du sujet cible, c'est incroyable.

Avec un petit pluriel, je suis d'accord avec toi. Aux sujets cibles.

Et bien sûr. Bien sûr. Parce qu'on vit dans une société, et que l'interaction avec les gens est palpable dans toutes les strates qui t'entourent : familiale, sociale, professionnelle, administrative. On peut prendre de la distance face au regard des autres, mais quand le regard des autres pèse lourd, quand il crée un malaise par répétition... ça devient galère. C'est très difficile, quand quelque chose "cloche" dans l'oeil des sujets-cibles, de s'émanciper du regard des autres. Les autres font partie de ton monde (disons, de mon monde) social. Et impossible de garder un rapport équilibré au monde si on ne trouve pas l'équilibre avec ce regard.

" Je trouve que c’est une valeur magnifique, mais qui ne s’endosse que si on s’y identifie vraiment."
C'est quoi, la "vraie" féminité ? Celle définit par les méchants oppresseurs blancs ? Ta féminité est telle que tu la définis, c'est à toi de rendre ça socialement à ton goût

"Je ne dispute jamais du mot pourvu qu'on m'avertisse du sens qu'on lui donne". Y a pas de "vraie" féminité : je parle de la féminité socialement attendue. Si on appelle "féminité" la manière que j'ai d'exister avec deux chromosomes X et mes comportements, même s'ils sont aux antipodes des attentes... alors je vois pas de mal à ce qu'on appelle ça "ma féminité".

C'est bon à savoir que quand on est malade et qu'on se prend pour une femme on a le droit d'etre raciste en plus, protégé par la modération :)
Dans presque toutes les autres sociétés tu finis crevé sous un pont. Protection made in patriarcat blanc et on se sent rebel :)

Le 13 février 2020 à 22:10:44 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:08:38 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:05:58 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:04:49 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:02:27 Gaoaih a écrit :
J'ai une autre question par ailleurs, tu t'es intéressé à un peu de psychologie sociale, aux relations intergroupes, à la formation des perceptions, histoire de prendre un peu de recul sur tes convictions, de les mettre en perspective, ou t'as toujours eu le nez dedans sans jamais avoir été à la recherche de leviers te permettant d'avoir une vue d'ensemble du "phénomène" que tu vis ?

J'ai pas mal planché la socio. J'ai déjà donné des cours aux premières années de médecine en socio, psycho sociale, histoire de la médecine (et donc de la place du corps au fil du temps et des sociétés), du rapport à la santé, tant physique que psy... donc on peut dire que... à défaut d'être béton, j'ai eu des bouquins sous le nez pour réfléchir.

Alors pourquoi une telle aversion pour le genre féminin ?

Je ne déteste pas le genre féminin, au contraire. Je trouve que la féminité englobe de vraies, belles valeurs. Je n'ai aucune haine pour la femme : ni sur le plan physique, ni sur le plan social. C'est une simple question d'identification. Ce sont de belles valeurs auxquelles je ne m'identifie pas. :(

Mais y'a pas une liste de valeurs pour la femme, seulement des fantasmes des uns et des autres. A l'inverse, j'imagine que tu kiffes tout ce qui est hyper viril, les militaires, etc, car c'est des vraies valeurs de masculinité tel que tout le monde se les conçoit de manière totalement unanime ?

Edit : Il est de ton devoir de t'édifier, pas de satisfaire à des impératifs de genre imaginaire

Même pas. J'ai déjà bossé sur les chantiers, par exemple, mais je suis pas à cheval sur le virilisme, je suis pas dans une recherche de validation de ma masculinité. Si j'avais effectivement de la barbe, je la raserais, si j'avais un corps masculin, je pense que je prendrais moins de temps à le muscler et à le travailler qu'actuellement. Y a pas besoin de verser dans ces extrêmes pour ressentir une dissonance.

Je suis pas Buck Angels, si tu veux.

Bordel le lien sur la femme soldat soviétique qui a tué 300 personnes m'a vraiment donné la nausée.
C'est vraiment le pire régime de l'univers l'URSS.

Je sacrifie mon pseudo mais voilà ce que j'en pense :
https://altcensored.com/watch?v=ZoPyi7yGjSo

Le 13 février 2020 à 22:15:25 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:10:44 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:08:38 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:05:58 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:04:49 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:02:27 Gaoaih a écrit :
J'ai une autre question par ailleurs, tu t'es intéressé à un peu de psychologie sociale, aux relations intergroupes, à la formation des perceptions, histoire de prendre un peu de recul sur tes convictions, de les mettre en perspective, ou t'as toujours eu le nez dedans sans jamais avoir été à la recherche de leviers te permettant d'avoir une vue d'ensemble du "phénomène" que tu vis ?

J'ai pas mal planché la socio. J'ai déjà donné des cours aux premières années de médecine en socio, psycho sociale, histoire de la médecine (et donc de la place du corps au fil du temps et des sociétés), du rapport à la santé, tant physique que psy... donc on peut dire que... à défaut d'être béton, j'ai eu des bouquins sous le nez pour réfléchir.

Alors pourquoi une telle aversion pour le genre féminin ?

Je ne déteste pas le genre féminin, au contraire. Je trouve que la féminité englobe de vraies, belles valeurs. Je n'ai aucune haine pour la femme : ni sur le plan physique, ni sur le plan social. C'est une simple question d'identification. Ce sont de belles valeurs auxquelles je ne m'identifie pas. :(

Mais y'a pas une liste de valeurs pour la femme, seulement des fantasmes des uns et des autres. A l'inverse, j'imagine que tu kiffes tout ce qui est hyper viril, les militaires, etc, car c'est des vraies valeurs de masculinité tel que tout le monde se les conçoit de manière totalement unanime ?

Edit : Il est de ton devoir de t'édifier, pas de satisfaire à des impératifs de genre imaginaire

Même pas. J'ai déjà bossé sur les chantiers, par exemple, mais je suis pas à cheval sur le virilisme, je suis pas dans une recherche de validation de ma masculinité. Si j'avais effectivement de la barbe, je la raserais, si j'avais un corps masculin, je pense que je prendrais moins de temps à le muscler et à le travailler qu'actuellement. Y a pas besoin de verser dans ces extrêmes pour ressentir une dissonance.

Je suis pas Buck Angels, si tu veux.

Dommage. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Un psychotique se prend pour le messie : on l'enferme
Un psychotique se prend pour le sexe opposé : on le transforme

Tu as une maladie psychiatrique, va te faire soigner et cesse de nous enivrer de tes imbécilités vides de sens.

Le débat sur la transexualité n'a lieu que sur les personnes génétiquement et/ou morphologiquement hermaphrodites. Toi tu es juste un psychotique qui enrichit la médecine esthétique qui on le sait est toujours pleine de bons sentiments et jamais abusive et lobbyiste :)

Le 13 février 2020 à 22:20:19 Sypur-Chypur a écrit :
Un psychotique se prend pour le messie : on l'enferme
Un psychotique se prend pour le sexe opposé : on le transforme

Tu as une maladie psychiatrique, va te faire soigner et cesse de nous enivrer de tes imbécilités vides de sens.

Le débat sur la transexualité n'a lieu que sur les personnes génétiquement et/ou morphologiquement hermaphrodites. Toi tu es juste un psychotique qui enrichit la médecine esthétique qui on le sait est toujours pleine de bons sentiments et jamais abusive et lobbyiste :)

1) Je ne vois pas le rapport entre tes deux premières lignes et le reste.
2) T'as aucune raison d'engueuler la distillerie qui t'a fourni la liqueur avec laquelle tu t'enivres.
3) Je ne vois pas à quel moment j'ai enrichi la médecine esthétique, vu que j'ai jamais ne serait-ce que commencé à prendre des hormones.

Il répond à tous les posts, sauf le mien. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Quelle injustice, moi qui me croyait compréhensif et tolérant. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Le 13 février 2020 à 22:13:46 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:08:48 Gaoaih a écrit :
"Faut se dire, mes kheyous, que « fille masculine » a un retentissement social très particulier. On imagine une fille négligée, avec les cheveux rasés, avec la parole vulgaire, qui est dans une haine de la féminité."

Ton raisonnement n'est vraiment basé que sur l'imaginaire du sujet cible, c'est incroyable.

Avec un petit pluriel, je suis d'accord avec toi. Aux sujets cibles.

Et bien sûr. Bien sûr. Parce qu'on vit dans une société, et que l'interaction avec les gens est palpable dans toutes les strates qui t'entourent : familiale, sociale, professionnelle, administrative. On peut prendre de la distance face au regard des autres, mais quand le regard des autres pèse lourd, quand il crée un malaise par répétition... ça devient galère. C'est très difficile, quand quelque chose "cloche" dans l'oeil des sujets-cibles, de s'émanciper du regard des autres. Les autres font partie de ton monde (disons, de mon monde) social. Et impossible de garder un rapport équilibré au monde si on ne trouve pas l'équilibre avec ce regard.

" Je trouve que c’est une valeur magnifique, mais qui ne s’endosse que si on s’y identifie vraiment."
C'est quoi, la "vraie" féminité ? Celle définit par les méchants oppresseurs blancs ? Ta féminité est telle que tu la définis, c'est à toi de rendre ça socialement à ton goût

"Je ne dispute jamais du mot pourvu qu'on m'avertisse du sens qu'on lui donne". Y a pas de "vraie" féminité : je parle de la féminité socialement attendue. Si on appelle "féminité" la manière que j'ai d'exister avec deux chromosomes X et mes comportements, même s'ils sont aux antipodes des attentes... alors je vois pas de mal à ce qu'on appelle ça "ma féminité".

La seule chose que tu vas faire après ta transition, c'est satisfaire socialement aux codes sociaux du trans', pas de l'homme, ni de la femme. Et ça, ça va te faire tomber en dépression après la lune de miel de la transition et éventuellement te conduire au suicide (+40% de taux de suicide chez les trans, c'est pas pour rien).
La société te fait croire que tu as le choix, mais tu ne l'as pas.

Pour prendre un exemple de fiction, car je n'en ai pas de réel sous la main, tu dois cheminer telle une Arya Stark, qui a rejeté les codes sociaux qui était attendu d'elle et refusé de devenir une dame pour s'élever, s'édifier, telle qu'elle le projetait.
Je doute que t'aies vraiment la maturité pour effectuer une transition, comme je doute que tu aies la sagesse suffisante pour avoir pris du recul sur tes cognitions, tant les codes et attendus sociaux sont les seuls clé de voûte de ton raisonnement.

(Mon compte a été ban, j'en ai pris un autre)

Le 13 février 2020 à 22:24:24 gaesij a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:13:46 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:08:48 Gaoaih a écrit :
"Faut se dire, mes kheyous, que « fille masculine » a un retentissement social très particulier. On imagine une fille négligée, avec les cheveux rasés, avec la parole vulgaire, qui est dans une haine de la féminité."

Ton raisonnement n'est vraiment basé que sur l'imaginaire du sujet cible, c'est incroyable.

Avec un petit pluriel, je suis d'accord avec toi. Aux sujets cibles.

Et bien sûr. Bien sûr. Parce qu'on vit dans une société, et que l'interaction avec les gens est palpable dans toutes les strates qui t'entourent : familiale, sociale, professionnelle, administrative. On peut prendre de la distance face au regard des autres, mais quand le regard des autres pèse lourd, quand il crée un malaise par répétition... ça devient galère. C'est très difficile, quand quelque chose "cloche" dans l'oeil des sujets-cibles, de s'émanciper du regard des autres. Les autres font partie de ton monde (disons, de mon monde) social. Et impossible de garder un rapport équilibré au monde si on ne trouve pas l'équilibre avec ce regard.

" Je trouve que c’est une valeur magnifique, mais qui ne s’endosse que si on s’y identifie vraiment."
C'est quoi, la "vraie" féminité ? Celle définit par les méchants oppresseurs blancs ? Ta féminité est telle que tu la définis, c'est à toi de rendre ça socialement à ton goût

"Je ne dispute jamais du mot pourvu qu'on m'avertisse du sens qu'on lui donne". Y a pas de "vraie" féminité : je parle de la féminité socialement attendue. Si on appelle "féminité" la manière que j'ai d'exister avec deux chromosomes X et mes comportements, même s'ils sont aux antipodes des attentes... alors je vois pas de mal à ce qu'on appelle ça "ma féminité".

La seule chose que tu vas faire après ta transition, c'est satisfaire socialement aux codes sociaux du trans', pas de l'homme, ni de la femme. Et ça, ça va te faire tomber en dépression après la lune de miel de la transition et éventuellement te conduire au suicide (+40% de taux de suicide chez les trans, c'est pas pour rien).
La société te fait croire que tu as le choix, mais tu ne l'as pas.

Pour prendre un exemple de fiction, car je n'en ai pas de réel sous la main, tu dois cheminer telle une Arya Stark, qui a rejeté les codes sociaux qui était attendu d'elle et refusé de devenir une dame pour s'élever, s'édifier, telle qu'elle le projetait.
Je doute que t'aies vraiment la maturité pour effectuer une transition, comme je doute que tu aies la sagesse suffisante pour avoir pris du recul sur tes cognitions, tant les codes et attendus sociaux sont les seuls clé de voûte de ton raisonnement.

(Mon compte a été ban, j'en ai pris un autre)

Je veux bien, mais... à quel moment tu as lu que je comptais transitionner ?

Le 13 février 2020 à 22:25:58 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:24:19 CheekBuster a écrit :
Il répond à tous les posts, sauf le mien. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Quelle injustice, moi qui me croyait compréhensif et tolérant. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Je lis un max de post mais j'en rate quelques uns par page, déso. J'essaie de jongler avec les MPs aussi.

Y'a pas de soucis, c'était du taquinage. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Prends soin de toi, et surtout, ne fait rien de définitif sur ton corps. Tant qu'on a pas de vraies bites ni de vrais vagins, c'est comme faire de la chirurgie esthétique dans les années 60, c'est casse-gueule. https://image.noelshack.com/fichiers/2019/30/3/1563998081-jesus-jaune-mix-main.png

Données du topic

Auteur
CorailLubrique
Date de création
29 décembre 2019 à 20:42:36
Date de suppression
18 octobre 2021 à 16:33:43
Supprimé par
Auteur
Nb. messages archivés
813
Nb. messages JVC
785
En ligne sur JvArchive 103