Ce soir, on se pose et on cause DYSPHORIE DE GENRE
SuppriméLe 13 février 2020 à 22:25:38 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:24 gaesij a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:13:46 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:08:48 Gaoaih a écrit :
"Faut se dire, mes kheyous, que « fille masculine » a un retentissement social très particulier. On imagine une fille négligée, avec les cheveux rasés, avec la parole vulgaire, qui est dans une haine de la féminité."Ton raisonnement n'est vraiment basé que sur l'imaginaire du sujet cible, c'est incroyable.
Avec un petit pluriel, je suis d'accord avec toi. Aux sujets cibles.
Et bien sûr. Bien sûr. Parce qu'on vit dans une société, et que l'interaction avec les gens est palpable dans toutes les strates qui t'entourent : familiale, sociale, professionnelle, administrative. On peut prendre de la distance face au regard des autres, mais quand le regard des autres pèse lourd, quand il crée un malaise par répétition... ça devient galère. C'est très difficile, quand quelque chose "cloche" dans l'oeil des sujets-cibles, de s'émanciper du regard des autres. Les autres font partie de ton monde (disons, de mon monde) social. Et impossible de garder un rapport équilibré au monde si on ne trouve pas l'équilibre avec ce regard.
" Je trouve que c’est une valeur magnifique, mais qui ne s’endosse que si on s’y identifie vraiment."
C'est quoi, la "vraie" féminité ? Celle définit par les méchants oppresseurs blancs ? Ta féminité est telle que tu la définis, c'est à toi de rendre ça socialement à ton goût"Je ne dispute jamais du mot pourvu qu'on m'avertisse du sens qu'on lui donne". Y a pas de "vraie" féminité : je parle de la féminité socialement attendue. Si on appelle "féminité" la manière que j'ai d'exister avec deux chromosomes X et mes comportements, même s'ils sont aux antipodes des attentes... alors je vois pas de mal à ce qu'on appelle ça "ma féminité".
La seule chose que tu vas faire après ta transition, c'est satisfaire socialement aux codes sociaux du trans', pas de l'homme, ni de la femme. Et ça, ça va te faire tomber en dépression après la lune de miel de la transition et éventuellement te conduire au suicide (+40% de taux de suicide chez les trans, c'est pas pour rien).
La société te fait croire que tu as le choix, mais tu ne l'as pas.Pour prendre un exemple de fiction, car je n'en ai pas de réel sous la main, tu dois cheminer telle une Arya Stark, qui a rejeté les codes sociaux qui était attendu d'elle et refusé de devenir une dame pour s'élever, s'édifier, telle qu'elle le projetait.
Je doute que t'aies vraiment la maturité pour effectuer une transition, comme je doute que tu aies la sagesse suffisante pour avoir pris du recul sur tes cognitions, tant les codes et attendus sociaux sont les seuls clé de voûte de ton raisonnement.(Mon compte a été ban, j'en ai pris un autre)
Je veux bien, mais... à quel moment tu as lu que je comptais transitionner ?
J'ai lu trop vite, navré, mais hormis le premier paragraphe, le reste est valable
Mais du coup, t'es juste dans un relatif mal-être et tu comptes y rester car d'aucun suggère les attendus sociaux d'une femme, plutôt que de cheminer pour t'accepter..?
Salut l'auteur. J'ai lu un livre, "métaphysique du sexe" de Julius Evola. https://ia801301.us.archive.org/0/items/EvolaFR/Julius%20Evola%20-%201958%20-%20M%C3%A9taphysique%20du%20sexe.pdf
C'est une vision un peu mystique et surnaturelle de la sexualité, ça sort clairement des sentiers battus.
A un moment, il explique que les hommes et les femmes ont un "pourcentage" de masculinité et de féminité en eux.
Un extrait ici :
Evola part d'un contenu mythique, celui des dieux et des déesses, pour définir la masculinité et la féminité. Il s'inspire des thèses d'Otto Weininger, auxquelles ce livre devait constituer une introduction. Le sexe intérieur d'un individu serait le résultat d'un dosage de masculinité et de féminité, auquel le sexe physique ne correspondrait pas toujours. La normalité ne se situerait pas à égale distance de la masculinité et de la féminité, mais de la conformité maximale au Type. Aussi ce qui est « typique » serait non pas le plus fréquent, mais au contraire très rare. Il condamne l'homosexualité en tant que contraire au caractère magique de l'amour sexuel. Cependant l'usage que fait Evola du mot « virilité » ne doit pas s'entendre comme un « machisme » typiquement méditerranéen. Il méprise l'image occidentale de l'homme à la virilité exacerbée. Il le compare, dans La Doctrine de l’éveil (1943), à un « crustacé », c'est-à-dire à un type humain dur à l'extérieur, et mou à l'intérieur70. À cette « sexualisation tronquée et vide », il oppose la virilité spirituelle, dotée d'une supériorité innée55.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola#M%C3%A9taphysique_du_sexe
Je me doute que ça ne va pas t'apporter grand chose, mais bon, ça peut peut être t'apporter un nouveau regard sur ta siutation.
Le 13 février 2020 à 22:28:00 Caca_martyrise a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:19 CheekBuster a écrit :
Il répond à tous les posts, sauf le mien.Quelle injustice, moi qui me croyait compréhensif et tolérant.
Tu n'es pas le seul. La lâcheté est un signe reconnaissable de ces gens-la.
Je pense prendre à bras le corps la majorité des posts, qu'ils aillent ou non dans mon sens. Je pense que tu veux que je sois lâche. Pas que je le suis vraiment. Je reste dispo pour discuter.
Le 13 février 2020 à 22:28:20 gaesij a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:25:38 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:24 gaesij a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:13:46 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:08:48 Gaoaih a écrit :
"Faut se dire, mes kheyous, que « fille masculine » a un retentissement social très particulier. On imagine une fille négligée, avec les cheveux rasés, avec la parole vulgaire, qui est dans une haine de la féminité."Ton raisonnement n'est vraiment basé que sur l'imaginaire du sujet cible, c'est incroyable.
Avec un petit pluriel, je suis d'accord avec toi. Aux sujets cibles.
Et bien sûr. Bien sûr. Parce qu'on vit dans une société, et que l'interaction avec les gens est palpable dans toutes les strates qui t'entourent : familiale, sociale, professionnelle, administrative. On peut prendre de la distance face au regard des autres, mais quand le regard des autres pèse lourd, quand il crée un malaise par répétition... ça devient galère. C'est très difficile, quand quelque chose "cloche" dans l'oeil des sujets-cibles, de s'émanciper du regard des autres. Les autres font partie de ton monde (disons, de mon monde) social. Et impossible de garder un rapport équilibré au monde si on ne trouve pas l'équilibre avec ce regard.
" Je trouve que c’est une valeur magnifique, mais qui ne s’endosse que si on s’y identifie vraiment."
C'est quoi, la "vraie" féminité ? Celle définit par les méchants oppresseurs blancs ? Ta féminité est telle que tu la définis, c'est à toi de rendre ça socialement à ton goût"Je ne dispute jamais du mot pourvu qu'on m'avertisse du sens qu'on lui donne". Y a pas de "vraie" féminité : je parle de la féminité socialement attendue. Si on appelle "féminité" la manière que j'ai d'exister avec deux chromosomes X et mes comportements, même s'ils sont aux antipodes des attentes... alors je vois pas de mal à ce qu'on appelle ça "ma féminité".
La seule chose que tu vas faire après ta transition, c'est satisfaire socialement aux codes sociaux du trans', pas de l'homme, ni de la femme. Et ça, ça va te faire tomber en dépression après la lune de miel de la transition et éventuellement te conduire au suicide (+40% de taux de suicide chez les trans, c'est pas pour rien).
La société te fait croire que tu as le choix, mais tu ne l'as pas.Pour prendre un exemple de fiction, car je n'en ai pas de réel sous la main, tu dois cheminer telle une Arya Stark, qui a rejeté les codes sociaux qui était attendu d'elle et refusé de devenir une dame pour s'élever, s'édifier, telle qu'elle le projetait.
Je doute que t'aies vraiment la maturité pour effectuer une transition, comme je doute que tu aies la sagesse suffisante pour avoir pris du recul sur tes cognitions, tant les codes et attendus sociaux sont les seuls clé de voûte de ton raisonnement.(Mon compte a été ban, j'en ai pris un autre)
Je veux bien, mais... à quel moment tu as lu que je comptais transitionner ?
J'ai lu trop vite, navré, mais hormis le premier paragraphe, le reste est valable
Mais du coup, t'es juste dans un relatif mal-être et tu comptes y rester car d'aucun suggère les attendus sociaux d'une femme, plutôt que de cheminer pour t'accepter..?
J'ai que ça en tête, l'idée de trouver un jour la paix. Y a des facteurs qui aggravent ça. Notamment le bordel que c'est en ce moment depuis qu'on m'a diag des lésions utérines qui me rendent (peut-être) stérile. Donc qui foutent en lambeau la perspective de garder mon corps en bonne santé et de profiter du pouvoir précieux de mon corps pour porter la vie. Depuis que ça, ça a volé en éclats, j'ai un peu plus de mal à tenir à flots que d'habitude et effectivement, je suis dans une période plutôt creuse. Mais y a des moments où ça reste une gronde de second plan, sans trop interférer avec le reste.
Le 13 février 2020 à 22:22:10 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:20:19 Sypur-Chypur a écrit :
Un psychotique se prend pour le messie : on l'enferme
Un psychotique se prend pour le sexe opposé : on le transformeTu as une maladie psychiatrique, va te faire soigner et cesse de nous enivrer de tes imbécilités vides de sens.
Le débat sur la transexualité n'a lieu que sur les personnes génétiquement et/ou morphologiquement hermaphrodites. Toi tu es juste un psychotique qui enrichit la médecine esthétique qui on le sait est toujours pleine de bons sentiments et jamais abusive et lobbyiste
1) Je ne vois pas le rapport entre tes deux premières lignes et le reste.
2) T'as aucune raison d'engueuler la distillerie qui t'a fourni la liqueur avec laquelle tu t'enivres.
3) Je ne vois pas à quel moment j'ai enrichi la médecine esthétique, vu que j'ai jamais ne serait-ce que commencé à prendre des hormones.
1) Ces deux lignes évoquait l'injuste différence de traitement entre les gens comme toi et les psychotiques reconnus. Soit juste consciente de la chance que tu as.
2) Je t'engueule pas.
3) Et tu comptes prendre des hormones puis t'arrêter là ? On sait tous quelle est la destination de ce chemin
Sache que malgré mes mots qui peuvent être tranchants j'ai une grand admiration pour toi qui a du grandir et vivre avec une psyché perturbée et une société non-compatissante.
Mais vraiment, essaie de réfléchir à d'autres "solutions" plus saines et réelles.
Car tu pourras prendre toutes les hormones que tu veux et tu persuader de ce tu veux, tu seras jamais un homme, jamais.
Le 13 février 2020 à 22:28:53 MagicienDeter11 a écrit :
Salut l'auteur. J'ai lu un livre, "métaphysique du sexe" de Julius Evola. https://ia801301.us.archive.org/0/items/EvolaFR/Julius%20Evola%20-%201958%20-%20M%C3%A9taphysique%20du%20sexe.pdfC'est une vision un peu mystique et surnaturelle de la sexualité, ça sort clairement des sentiers battus.
A un moment, il explique que les hommes et les femmes ont un "pourcentage" de masculinité et de féminité en eux.Un extrait ici :
Evola part d'un contenu mythique, celui des dieux et des déesses, pour définir la masculinité et la féminité. Il s'inspire des thèses d'Otto Weininger, auxquelles ce livre devait constituer une introduction. Le sexe intérieur d'un individu serait le résultat d'un dosage de masculinité et de féminité, auquel le sexe physique ne correspondrait pas toujours. La normalité ne se situerait pas à égale distance de la masculinité et de la féminité, mais de la conformité maximale au Type. Aussi ce qui est « typique » serait non pas le plus fréquent, mais au contraire très rare. Il condamne l'homosexualité en tant que contraire au caractère magique de l'amour sexuel. Cependant l'usage que fait Evola du mot « virilité » ne doit pas s'entendre comme un « machisme » typiquement méditerranéen. Il méprise l'image occidentale de l'homme à la virilité exacerbée. Il le compare, dans La Doctrine de l’éveil (1943), à un « crustacé », c'est-à-dire à un type humain dur à l'extérieur, et mou à l'intérieur70. À cette « sexualisation tronquée et vide », il oppose la virilité spirituelle, dotée d'une supériorité innée55.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola#M%C3%A9taphysique_du_sexe
Je me doute que ça ne va pas t'apporter grand chose, mais bon, ça peut peut être t'apporter un nouveau regard sur ta siutation.
C'est gentil, je m'y intéresserai, merci
Le 13 février 2020 à 22:32:53 alicelablanche a écrit :
C’est une maladie mentale comme toutes maladies mentales se soigne.
faudrait que tu ailles vite aider les psychiatres afin de les aider à trouver le remède à certaines pathologies alors
tu es trans ?
Le 13 février 2020 à 22:29:03 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:28:00 Caca_martyrise a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:19 CheekBuster a écrit :
Il répond à tous les posts, sauf le mien.Quelle injustice, moi qui me croyait compréhensif et tolérant.
Tu n'es pas le seul. La lâcheté est un signe reconnaissable de ces gens-la.
Je pense prendre à bras le corps la majorité des posts, qu'ils aillent ou non dans mon sens. Je pense que tu veux que je sois lâche. Pas que je le suis vraiment. Je reste dispo pour discuter.
Oui bien sur. C'est ce qu'ils disent tous. Quand tu discutes cordialement sur n'importe quel topic dans 90% des cas on "oublie" malencontreusement pas tes posts. Quand ça devient dérangeant, bizarrement une fois sur deux ça répond plus et ça bégaie. Le hasard sans doute.
Rien à voir avec la volonté. C'est pas ma volonté qui évite les posts.
Le 13 février 2020 à 22:32:26 Sypur-Chypur a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:22:10 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:20:19 Sypur-Chypur a écrit :
Un psychotique se prend pour le messie : on l'enferme
Un psychotique se prend pour le sexe opposé : on le transformeTu as une maladie psychiatrique, va te faire soigner et cesse de nous enivrer de tes imbécilités vides de sens.
Le débat sur la transexualité n'a lieu que sur les personnes génétiquement et/ou morphologiquement hermaphrodites. Toi tu es juste un psychotique qui enrichit la médecine esthétique qui on le sait est toujours pleine de bons sentiments et jamais abusive et lobbyiste
1) Je ne vois pas le rapport entre tes deux premières lignes et le reste.
2) T'as aucune raison d'engueuler la distillerie qui t'a fourni la liqueur avec laquelle tu t'enivres.
3) Je ne vois pas à quel moment j'ai enrichi la médecine esthétique, vu que j'ai jamais ne serait-ce que commencé à prendre des hormones.1) Ces deux lignes évoquait l'injuste différence de traitement entre les gens comme toi et les psychotiques reconnus. Soit juste consciente de la chance que tu as.
2) Je t'engueule pas.
3) Et tu comptes prendre des hormones puis t'arrêter là ? On sait tous quelle est la destination de ce cheminSache que malgré mes mots qui peuvent être tranchants j'ai une grand admiration pour toi qui a du grandir et vivre avec une psyché perturbée et une société non-compatissante.
Mais vraiment, essaie de réfléchir à d'autres "solutions" plus saines et réelles.Car tu pourras prendre toutes les hormones que tu veux et tu persuader de ce tu veux, tu seras jamais un homme, jamais.
Ce qui me blesse, c'est pas ton opinion. On est encore en droit de penser ce qu'on veut.
Ce qui me blesse, c'est que tout ce que tu me prêtes comme valeur ou comme volonté (prendre des hormones, changer mon corps, refuser mon sexe) est faux. Tu me l'associes parce que tu t'attends à ce que je pense de cette manière. Tu t'es pas donné la peine (et je veux bien comprendre que ça soit long, je comprends juste pas qu'on veuille discuter avec moi en se basant sur des pré-acquis erronés) de lire ce que je pensais vraiment avant de venir discuter.
Le 13 février 2020 à 22:32:27 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:28:53 MagicienDeter11 a écrit :
Salut l'auteur. J'ai lu un livre, "métaphysique du sexe" de Julius Evola. https://ia801301.us.archive.org/0/items/EvolaFR/Julius%20Evola%20-%201958%20-%20M%C3%A9taphysique%20du%20sexe.pdfC'est une vision un peu mystique et surnaturelle de la sexualité, ça sort clairement des sentiers battus.
A un moment, il explique que les hommes et les femmes ont un "pourcentage" de masculinité et de féminité en eux.Un extrait ici :
Evola part d'un contenu mythique, celui des dieux et des déesses, pour définir la masculinité et la féminité. Il s'inspire des thèses d'Otto Weininger, auxquelles ce livre devait constituer une introduction. Le sexe intérieur d'un individu serait le résultat d'un dosage de masculinité et de féminité, auquel le sexe physique ne correspondrait pas toujours. La normalité ne se situerait pas à égale distance de la masculinité et de la féminité, mais de la conformité maximale au Type. Aussi ce qui est « typique » serait non pas le plus fréquent, mais au contraire très rare. Il condamne l'homosexualité en tant que contraire au caractère magique de l'amour sexuel. Cependant l'usage que fait Evola du mot « virilité » ne doit pas s'entendre comme un « machisme » typiquement méditerranéen. Il méprise l'image occidentale de l'homme à la virilité exacerbée. Il le compare, dans La Doctrine de l’éveil (1943), à un « crustacé », c'est-à-dire à un type humain dur à l'extérieur, et mou à l'intérieur70. À cette « sexualisation tronquée et vide », il oppose la virilité spirituelle, dotée d'une supériorité innée55.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola#M%C3%A9taphysique_du_sexe
Je me doute que ça ne va pas t'apporter grand chose, mais bon, ça peut peut être t'apporter un nouveau regard sur ta siutation.
C'est gentil, je m'y intéresserai, merci
Par contre je te préviens, Evola est un auteur très spécial : contre révolutionnaire, fasciste, magicien, païen...
Et c'est complexe à lire.
Le 13 février 2020 à 22:34:07 Caca_martyrise a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:29:03 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:28:00 Caca_martyrise a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:19 CheekBuster a écrit :
Il répond à tous les posts, sauf le mien.Quelle injustice, moi qui me croyait compréhensif et tolérant.
Tu n'es pas le seul. La lâcheté est un signe reconnaissable de ces gens-la.
Je pense prendre à bras le corps la majorité des posts, qu'ils aillent ou non dans mon sens. Je pense que tu veux que je sois lâche. Pas que je le suis vraiment. Je reste dispo pour discuter.
Oui bien sur. C'est ce qu'ils disent tous. Quand tu discutes cordialement sur n'importe quel topic dans 90% des cas on "oublie" malencontreusement pas tes posts. Quand ça devient dérangeant, bizarrement une fois sur deux ça répond plus et ça bégaie. Le hasard sans doute.
Je réponds (et je veux bien prendre les autres connectés à témoin) aux posts qui me brossent dans le sens du poil autant qu'à ceux qui veulent le rosser la croupe. Oubliant parfois certains d'entre eux, d'un camp comme de l'autre.
Le 13 février 2020 à 22:34:07 Caca_martyrise a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:29:03 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:28:00 Caca_martyrise a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:19 CheekBuster a écrit :
Il répond à tous les posts, sauf le mien.Quelle injustice, moi qui me croyait compréhensif et tolérant.
Tu n'es pas le seul. La lâcheté est un signe reconnaissable de ces gens-la.
Je pense prendre à bras le corps la majorité des posts, qu'ils aillent ou non dans mon sens. Je pense que tu veux que je sois lâche. Pas que je le suis vraiment. Je reste dispo pour discuter.
Oui bien sur. C'est ce qu'ils disent tous. Quand tu discutes cordialement sur n'importe quel topic dans 90% des cas on "oublie" malencontreusement pas tes posts. Quand ça devient dérangeant, bizarrement une fois sur deux ça répond plus et ça bégaie. Le hasard sans doute.
Rien à voir avec la volonté. C'est pas ma volonté qui évite les posts.
T'es vachement aggressif, j'ai lu la plupart de ses posts et en vrai il répond de manière constructive.
Le 13 février 2020 à 22:32:11 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:28:20 gaesij a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:25:38 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:24 gaesij a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:13:46 CorailLubrique a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:08:48 Gaoaih a écrit :
"Faut se dire, mes kheyous, que « fille masculine » a un retentissement social très particulier. On imagine une fille négligée, avec les cheveux rasés, avec la parole vulgaire, qui est dans une haine de la féminité."Ton raisonnement n'est vraiment basé que sur l'imaginaire du sujet cible, c'est incroyable.
Avec un petit pluriel, je suis d'accord avec toi. Aux sujets cibles.
Et bien sûr. Bien sûr. Parce qu'on vit dans une société, et que l'interaction avec les gens est palpable dans toutes les strates qui t'entourent : familiale, sociale, professionnelle, administrative. On peut prendre de la distance face au regard des autres, mais quand le regard des autres pèse lourd, quand il crée un malaise par répétition... ça devient galère. C'est très difficile, quand quelque chose "cloche" dans l'oeil des sujets-cibles, de s'émanciper du regard des autres. Les autres font partie de ton monde (disons, de mon monde) social. Et impossible de garder un rapport équilibré au monde si on ne trouve pas l'équilibre avec ce regard.
" Je trouve que c’est une valeur magnifique, mais qui ne s’endosse que si on s’y identifie vraiment."
C'est quoi, la "vraie" féminité ? Celle définit par les méchants oppresseurs blancs ? Ta féminité est telle que tu la définis, c'est à toi de rendre ça socialement à ton goût"Je ne dispute jamais du mot pourvu qu'on m'avertisse du sens qu'on lui donne". Y a pas de "vraie" féminité : je parle de la féminité socialement attendue. Si on appelle "féminité" la manière que j'ai d'exister avec deux chromosomes X et mes comportements, même s'ils sont aux antipodes des attentes... alors je vois pas de mal à ce qu'on appelle ça "ma féminité".
La seule chose que tu vas faire après ta transition, c'est satisfaire socialement aux codes sociaux du trans', pas de l'homme, ni de la femme. Et ça, ça va te faire tomber en dépression après la lune de miel de la transition et éventuellement te conduire au suicide (+40% de taux de suicide chez les trans, c'est pas pour rien).
La société te fait croire que tu as le choix, mais tu ne l'as pas.Pour prendre un exemple de fiction, car je n'en ai pas de réel sous la main, tu dois cheminer telle une Arya Stark, qui a rejeté les codes sociaux qui était attendu d'elle et refusé de devenir une dame pour s'élever, s'édifier, telle qu'elle le projetait.
Je doute que t'aies vraiment la maturité pour effectuer une transition, comme je doute que tu aies la sagesse suffisante pour avoir pris du recul sur tes cognitions, tant les codes et attendus sociaux sont les seuls clé de voûte de ton raisonnement.(Mon compte a été ban, j'en ai pris un autre)
Je veux bien, mais... à quel moment tu as lu que je comptais transitionner ?
J'ai lu trop vite, navré, mais hormis le premier paragraphe, le reste est valable
Mais du coup, t'es juste dans un relatif mal-être et tu comptes y rester car d'aucun suggère les attendus sociaux d'une femme, plutôt que de cheminer pour t'accepter..?J'ai que ça en tête, l'idée de trouver un jour la paix. Y a des facteurs qui aggravent ça. Notamment le bordel que c'est en ce moment depuis qu'on m'a diag des lésions utérines qui me rendent (peut-être) stérile. Donc qui foutent en lambeau la perspective de garder mon corps en bonne santé et de profiter du pouvoir précieux de mon corps pour porter la vie. Depuis que ça, ça a volé en éclats, j'ai un peu plus de mal à tenir à flots que d'habitude et effectivement, je suis dans une période plutôt creuse. Mais y a des moments où ça reste une gronde de second plan, sans trop interférer avec le reste.
Ok, ben bonne chance du coup, chemine, voyage, nul besoin de cantonner son spectre de la normalité et de ce qu'est être une femme normale en Europe, lorsqu'il y a tant d'expression et de reflets de la normalité en fonction d'où l'on se trouve, tant de singularités, sans que le genre ne soit une composante absolument indispensable à leurs expressions
Je sais pas, un autre exemple : https://fr.wikipedia.org/wiki/Femme_pirate
Le 13 février 2020 à 22:32:39 CheekBuster a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:28:00 Caca_martyrise a écrit :
Le 13 février 2020 à 22:24:19 CheekBuster a écrit :
Il répond à tous les posts, sauf le mien.Quelle injustice, moi qui me croyait compréhensif et tolérant.
Tu n'es pas le seul. La lâcheté est un signe reconnaissable de ces gens-la.
En effet, pas obligatoire d'y répondre, mais par contre c'est une preuve de plus de la sélection des messages.
Le 13 février 2020 à 22:33:58 grimalbide8 a écrit :
t'es pas au bon endroit pour parler de ça l'OP
tu es trans ?
Il n'y a pas vraiment de meilleur endroit que ça. Sur les forums trans, tout est politisé, tout est catégorisé. Y a même une étiquette bien léchée qu'on te colle sur le front si tu fais un écart : "problématique".
Je peux pas non plus parler sur les réseaux sociaux et l'associer à ma véritable identité.
Je peux pas me contenter de murmurer ça dans un cabinet de psy, parce qu'un interlocuteur unique et payé n'a pas grand chose à voir avec une foultitude de gens, dans leur diversité d'opinion, à laquelle se confronter.
Données du topic
- Auteur
- CorailLubrique
- Date de création
- 29 décembre 2019 à 20:42:36
- Date de suppression
- 18 octobre 2021 à 16:33:43
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