Topic de CorailLubrique :

Ce soir, on se pose et on cause DYSPHORIE DE GENRE

Supprimé

"Des valeurs que, enfant, on peut associer à l’apanage des petits garçons. La masculinité, au sens social, a été pour moi un moyen d’affronter ce qui s’est passé. Dès l’enfance je me suis désintéressé de ce qu’on associait à la féminité"

C'est là que t'as tout faux, les valeurs ne sont pas l'apanage d'un sexe ou d'un autre. C'est les choses que tu vis et l'environnement dans lequel tu grandis qui te forge.
Homme ou femme, à partir du moment où tu connais des temps difficiles, tu deviens fort(e).

Au final, tout ce que tu cherches à faire, c'est satisfaire au regard des autres au travers du prisme de l'homme plutôt que de la femme, car moins confortable à assumer de ton point de vue, j'imagine, étant donné que c'est en adhérant aux valeurs que tu attribues au "mâle" qui t'ont permis d'affronter l'adversité, mais les valeurs n'ont pas de sexe, nul besoin d'être homme ou femme pour y adhérer, c'est tel que tu es conditionné qui te fait songer à de telles inepties.

Je trouve ça profondément navrant, un tel niveau de persuasion lié à un endoctrinement sociétal.
Que s'est-il donc passé pour que par la suite, tu n'aies pas réussi à t'élever au delà de telles considérations ? Déconstruis urgemment tes convictions, remet les en perspective.

Si Dieu existe, Il sera le seul à me juger et Il est le seul auquel j'accepterai de rendre humblement des comptes.

Solide
Jamais compris l'acharnement sur les trans, gay ect. Un manque d'esprit évident chez ces gens là, ils auront des comptes à rendre également.

Le 13 février 2020 à 21:51:21 Morgoth a écrit :
Je lis ce que je lis et je ne peux pas lire autre chose car je ne vois que ça chez toi.

"Je ne vois que ça". Tu vois, on progresse. Là, tu parles d'une opinion, et ça, je veux bien l'entendre.

Tu dis te haïr toi-même, pour ma part moi je m'aime bien et je n'en ai jamais fait un topic.

J'ai pas particulièrement de souci avec mon essence morale, avec mes compétences intellectuelles ni avec mes valeurs. J'ai effectivement un problème avec mon corps.

Si c'est le bonheur que tu cherches, pourquoi continuer à faire ce que tu as toujours fait en sachant que jusqu'à présent ça ne t'as pas réussi?

Là, on repart sur une pointe de condescendance que je vais éponger en te rassurant : ma vie (puisqu'elle semble t'intéresser ?) n'a jamais été linéaire, et je ne me suis jamais buté dans une seule direction comme un boeuf (puisque j'aurais jamais l'appareillage nécessaire pour être un taureau).

[21:52:26] <gavialdugange>

Si Dieu existe, Il sera le seul à me juger et Il est le seul auquel j'accepterai de rendre humblement des comptes.

Solide
Jamais compris l'acharnement sur les trans, gay ect. Un manque d'esprit évident chez ces gens là, ils auront des comptes à rendre également.

Mais Dieu n'existe pas alors on est tous a te juger

Le 13 février 2020 à 21:52:26 gavialdugange a écrit :

Si Dieu existe, Il sera le seul à me juger et Il est le seul auquel j'accepterai de rendre humblement des comptes.

Solide
Jamais compris l'acharnement sur les trans, gay ect. Un manque d'esprit évident chez ces gens là, ils auront des comptes à rendre également.

C'est un forum constitué en majorité de puceaux mal dans leur peau vous savez https://image.noelshack.com/fichiers/2018/09/7/1520163668-chatmonocle.png quand on ne s'aime pas soi même, difficile d'aimer les autres

Le 13 février 2020 à 21:51:55 Gaoaih a écrit :
"Des valeurs que, enfant, on peut associer à l’apanage des petits garçons. La masculinité, au sens social, a été pour moi un moyen d’affronter ce qui s’est passé. Dès l’enfance je me suis désintéressé de ce qu’on associait à la féminité"

C'est là que t'as tout faux, les valeurs ne sont pas l'apanage d'un sexe ou d'un autre. C'est les choses que tu vis et l'environnement dans lequel tu grandis qui te forge.
Homme ou femme, à partir du moment où tu connais des temps difficiles, tu deviens fort(e).

Au final, tout ce que tu cherches à faire, c'est satisfaire au regard des autres au travers du prisme de l'homme plutôt que de la femme, car moins confortable à assumer de ton point de vue, j'imagine.

Je trouve ça profondément navrant.

Si, par un jeu social, uchronique, les valeurs de masculinité avaient été associées à la femme... je ne pense pas que j'aurais été dysphorique. Effectivement il y a une dimension sociale navrante. Tu penses que je suis pas navré de cette situation ? Que je préférerais pas raccrocher un sourire sur mon visage en période de crise ? Bien sûr que c'est navrant.

Mais ce n'est pas une question binaire du "la force c'est pour les garçons, la faiblesse pour les filles". Ca a été un jeu complexe d'interactions mutuelles. Je vois ton idée, mais à mon avis, elle est trop simpliste pour rendre honneur à la complexité du bordel. Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe, mais les tenants et les aboutissants de ce genre de malaise le sont.

Mais Dieu n'existe pas alors on est tous a te juger

Quand on a rien d'autre à faire de sa vie c'est vrai que c'est passionnant de s'occuper de celle des autres

Le 13 février 2020 à 21:54:26 Tobblinga a écrit :

[21:52:26] <gavialdugange>

Si Dieu existe, Il sera le seul à me juger et Il est le seul auquel j'accepterai de rendre humblement des comptes.

Solide
Jamais compris l'acharnement sur les trans, gay ect. Un manque d'esprit évident chez ces gens là, ils auront des comptes à rendre également.

Mais Dieu n'existe pas alors on est tous a te juger

J'aurais pas passé du temps à écrire ce topic si c'était le jugement, que je craignais, kheyou.

Le jugement que je trouve illégitime, c'est celui qui passe par un prisme religieux. Parce que dans un référentiel religieux, la seule entité dont j'estime le jugement, c'est celui du Père.

Le 13 février 2020 à 21:56:29 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:51:55 Gaoaih a écrit :
"Des valeurs que, enfant, on peut associer à l’apanage des petits garçons. La masculinité, au sens social, a été pour moi un moyen d’affronter ce qui s’est passé. Dès l’enfance je me suis désintéressé de ce qu’on associait à la féminité"

C'est là que t'as tout faux, les valeurs ne sont pas l'apanage d'un sexe ou d'un autre. C'est les choses que tu vis et l'environnement dans lequel tu grandis qui te forge.
Homme ou femme, à partir du moment où tu connais des temps difficiles, tu deviens fort(e).

Au final, tout ce que tu cherches à faire, c'est satisfaire au regard des autres au travers du prisme de l'homme plutôt que de la femme, car moins confortable à assumer de ton point de vue, j'imagine.

Je trouve ça profondément navrant.

Si, par un jeu social, uchronique, les valeurs de masculinité avaient été associées à la femme... je ne pense pas que j'aurais été dysphorique. Effectivement il y a une dimension sociale navrante. Tu penses que je suis pas navré de cette situation ? Que je préférerais pas raccrocher un sourire sur mon visage en période de crise ? Bien sûr que c'est navrant.

Mais ce n'est pas une question binaire du "la force c'est pour les garçons, la faiblesse pour les filles". Ca a été un jeu complexe d'interactions mutuelles. Je vois ton idée, mais à mon avis, elle est trop simpliste pour rendre honneur à la complexité du bordel. Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe, mais les tenants et les aboutissants de ce genre de malaise le sont.

T'iras dire à ce genre de figure à quel point tu es complexe https://fr.wikipedia.org/wiki/Lioudmila_Pavlitchenko

edit : j'ai édité mon message au dessus

C'est un forum constitué en majorité de puceaux mal dans leur peau vous savez https://image.noelshack.com/fichiers/2018/09/7/1520163668-chatmonocle.png quand on ne s'aime pas soi même, difficile d'aimer les autres

Exact :oui:

Le 13 février 2020 à 21:58:21 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:56:29 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:51:55 Gaoaih a écrit :
"Des valeurs que, enfant, on peut associer à l’apanage des petits garçons. La masculinité, au sens social, a été pour moi un moyen d’affronter ce qui s’est passé. Dès l’enfance je me suis désintéressé de ce qu’on associait à la féminité"

C'est là que t'as tout faux, les valeurs ne sont pas l'apanage d'un sexe ou d'un autre. C'est les choses que tu vis et l'environnement dans lequel tu grandis qui te forge.
Homme ou femme, à partir du moment où tu connais des temps difficiles, tu deviens fort(e).

Au final, tout ce que tu cherches à faire, c'est satisfaire au regard des autres au travers du prisme de l'homme plutôt que de la femme, car moins confortable à assumer de ton point de vue, j'imagine.

Je trouve ça profondément navrant.

Si, par un jeu social, uchronique, les valeurs de masculinité avaient été associées à la femme... je ne pense pas que j'aurais été dysphorique. Effectivement il y a une dimension sociale navrante. Tu penses que je suis pas navré de cette situation ? Que je préférerais pas raccrocher un sourire sur mon visage en période de crise ? Bien sûr que c'est navrant.

Mais ce n'est pas une question binaire du "la force c'est pour les garçons, la faiblesse pour les filles". Ca a été un jeu complexe d'interactions mutuelles. Je vois ton idée, mais à mon avis, elle est trop simpliste pour rendre honneur à la complexité du bordel. Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe, mais les tenants et les aboutissants de ce genre de malaise le sont.

T'iras dire à ce genre de figure à quel point tu es complexe https://fr.wikipedia.org/wiki/Lioudmila_Pavlitchenko

edit : j'ai édité mon message au dessus

"Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe"

Le 13 février 2020 à 21:59:08 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:58:21 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:56:29 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:51:55 Gaoaih a écrit :
"Des valeurs que, enfant, on peut associer à l’apanage des petits garçons. La masculinité, au sens social, a été pour moi un moyen d’affronter ce qui s’est passé. Dès l’enfance je me suis désintéressé de ce qu’on associait à la féminité"

C'est là que t'as tout faux, les valeurs ne sont pas l'apanage d'un sexe ou d'un autre. C'est les choses que tu vis et l'environnement dans lequel tu grandis qui te forge.
Homme ou femme, à partir du moment où tu connais des temps difficiles, tu deviens fort(e).

Au final, tout ce que tu cherches à faire, c'est satisfaire au regard des autres au travers du prisme de l'homme plutôt que de la femme, car moins confortable à assumer de ton point de vue, j'imagine.

Je trouve ça profondément navrant.

Si, par un jeu social, uchronique, les valeurs de masculinité avaient été associées à la femme... je ne pense pas que j'aurais été dysphorique. Effectivement il y a une dimension sociale navrante. Tu penses que je suis pas navré de cette situation ? Que je préférerais pas raccrocher un sourire sur mon visage en période de crise ? Bien sûr que c'est navrant.

Mais ce n'est pas une question binaire du "la force c'est pour les garçons, la faiblesse pour les filles". Ca a été un jeu complexe d'interactions mutuelles. Je vois ton idée, mais à mon avis, elle est trop simpliste pour rendre honneur à la complexité du bordel. Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe, mais les tenants et les aboutissants de ce genre de malaise le sont.

T'iras dire à ce genre de figure à quel point tu es complexe https://fr.wikipedia.org/wiki/Lioudmila_Pavlitchenko

edit : j'ai édité mon message au dessus

"Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe"

Ou ses conséquences, pareil

Super intéressant merci l'op d'avoir prit le temps de poster tout ça !
J'ai une autre question par ailleurs, tu t'es intéressé à un peu de psychologie sociale, aux relations intergroupes, à la formation des perceptions, histoire de prendre un peu de recul sur tes convictions, de les mettre en perspective, ou t'as toujours eu le nez dedans sans jamais avoir été à la recherche de leviers te permettant d'avoir une vue d'ensemble du "phénomène" que tu vis ?

Le 13 février 2020 à 21:59:33 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:59:08 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:58:21 Gaoaih a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:56:29 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 21:51:55 Gaoaih a écrit :
"Des valeurs que, enfant, on peut associer à l’apanage des petits garçons. La masculinité, au sens social, a été pour moi un moyen d’affronter ce qui s’est passé. Dès l’enfance je me suis désintéressé de ce qu’on associait à la féminité"

C'est là que t'as tout faux, les valeurs ne sont pas l'apanage d'un sexe ou d'un autre. C'est les choses que tu vis et l'environnement dans lequel tu grandis qui te forge.
Homme ou femme, à partir du moment où tu connais des temps difficiles, tu deviens fort(e).

Au final, tout ce que tu cherches à faire, c'est satisfaire au regard des autres au travers du prisme de l'homme plutôt que de la femme, car moins confortable à assumer de ton point de vue, j'imagine.

Je trouve ça profondément navrant.

Si, par un jeu social, uchronique, les valeurs de masculinité avaient été associées à la femme... je ne pense pas que j'aurais été dysphorique. Effectivement il y a une dimension sociale navrante. Tu penses que je suis pas navré de cette situation ? Que je préférerais pas raccrocher un sourire sur mon visage en période de crise ? Bien sûr que c'est navrant.

Mais ce n'est pas une question binaire du "la force c'est pour les garçons, la faiblesse pour les filles". Ca a été un jeu complexe d'interactions mutuelles. Je vois ton idée, mais à mon avis, elle est trop simpliste pour rendre honneur à la complexité du bordel. Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe, mais les tenants et les aboutissants de ce genre de malaise le sont.

T'iras dire à ce genre de figure à quel point tu es complexe https://fr.wikipedia.org/wiki/Lioudmila_Pavlitchenko

edit : j'ai édité mon message au dessus

"Non pas que ma psyché soit particulièrement complexe"

Ou ses conséquences, pareil

Pas vraiment. Je suis du genre futé, mais je me vois pas comme un joyau raffiné paumé dans une gadoue sociale. Je suis pas du genre à me plaindre. Quand il fallait faire des tâches "de gars" (bosser sur les chantiers à porter des sacs de sel, ou aux champs pour gagner un peu de blé l'été) je fermais ma gueule. Je douillais peut-être un peu plus parce que j'étais un petit gabarit, mais dans ma cambrousse, j'avais pas de compte à rendre. Si je m'en donnais les moyens, je pouvais bosser avec les gars. Et je suis pas en train de larmoyer parce que c'était plus compliqué en tant que femme.

Je suis pas là pour te dire que je suis un flocon trop sensible ou trop spécial pour survivre dans cette société. Je pointe des trucs que j'ai constatés. On peut y accorder du crédit, se torcher avec, ou voir ça comme une aberration. Ca me gêne pas.

Le 13 février 2020 à 21:59:54 lulusaitout a écrit :
Super intéressant merci l'op d'avoir prit le temps de poster tout ça !

J'avoue c'est deter
Combattre la flemme de faire un pavé colossal pour se faire allumer par les pétainistes du fofo, ça ne manque pas de hardiesse :hap:

Tu n'es pas moins condescendante que moi. "On progresse" c'est une phrase de maître adressée à l'élève.

Ça ne me dérange pas que tu prononce des mots mais tu ne peux pas reprocher aux autres la condescendance si tu la pratique toi-même, la cohérence est nécessaire à la crédibilité.

Du reste il est curieux que tu n'acceptes de discuter qu'à partir du moment où il est question d'opinion. Le b-a-ba de la philosophie c'est d'abord de comprendre que les opinions ne valent rien.

Enfin c'est n'est pas parce que je dis ne voir qu'une chose qu'il s'agit d'une opinion de ma part. Peut être que si je ne vois qu'une chose c'est parce qu'il n'y a qu'une chose à voir.

Le 13 février 2020 à 22:02:27 Gaoaih a écrit :
J'ai une autre question par ailleurs, tu t'es intéressé à un peu de psychologie sociale, aux relations intergroupes, à la formation des perceptions, histoire de prendre un peu de recul sur tes convictions, de les mettre en perspective, ou t'as toujours eu le nez dedans sans jamais avoir été à la recherche de leviers te permettant d'avoir une vue d'ensemble du "phénomène" que tu vis ?

J'ai pas mal planché la socio. J'ai déjà donné des cours aux premières années de médecine en socio, psycho sociale, histoire de la médecine (et donc de la place du corps au fil du temps et des sociétés), du rapport à la santé, tant physique que psy... donc on peut dire que... à défaut d'être béton, j'ai eu des bouquins sous le nez pour réfléchir.

Bonsoir OP

J'ai une question

Considere tu la dysphorie de genre comme une sorte de syndrome post-traumatique qui pousserai à se réfugier dans l'autre genre ? Suite aux traumas possibles dans l'enfance, ect

J'ai du mal à le voir autrement en fait, qu'une modification profonde de la psyché en réponse à quelque chose de traumatisant vis a vis du genre

J'aurais aussi voulu savoir, pourquoi comme beaucoup d'autres gens qui à l'adolescence par exemple vont se forcer a se conformer à la norme sociale pour pas faire de vagues, pour ensuite a l'age adulte et avec l'arrivée de l'indépendance et de la liberté s'affirmer, dire au reste du monde je vous emmerde, acceptez moi tel que je suis, et laissez moi faire ce que je veux ?

certes tous tes proches n'accepteront pas, tu fera un tri, mais au moins tu pourra agir comme tu le souhaite sans hair ton corps, ect

Désolé si je semble condescendant, je me fais juste pas chier avec des formules de politesses ou à arrondir les angles.

Le 13 février 2020 à 22:04:49 CorailLubrique a écrit :

Le 13 février 2020 à 22:02:27 Gaoaih a écrit :
J'ai une autre question par ailleurs, tu t'es intéressé à un peu de psychologie sociale, aux relations intergroupes, à la formation des perceptions, histoire de prendre un peu de recul sur tes convictions, de les mettre en perspective, ou t'as toujours eu le nez dedans sans jamais avoir été à la recherche de leviers te permettant d'avoir une vue d'ensemble du "phénomène" que tu vis ?

J'ai pas mal planché la socio. J'ai déjà donné des cours aux premières années de médecine en socio, psycho sociale, histoire de la médecine (et donc de la place du corps au fil du temps et des sociétés), du rapport à la santé, tant physique que psy... donc on peut dire que... à défaut d'être béton, j'ai eu des bouquins sous le nez pour réfléchir.

Alors pourquoi une telle aversion pour le genre féminin ?

Données du topic

Auteur
CorailLubrique
Date de création
29 décembre 2019 à 20:42:36
Date de suppression
18 octobre 2021 à 16:33:43
Supprimé par
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