[PLAN-CUL] Mes PIRES anectodes
Bruxelles, 2013
En mode gros puceau je débarque en Belgique pour un stage, j'habite dans un kot = une maison étudiante, en gros 12 chambres pour une colocations méga décadente
Bien installé dans ma chambre/trou à rat de 10 mètres carrés, je commence à faire le tour du quartier et en rentrant, je croise une des colocs, une espagnole
Assez introverti j'arrive quand même à discuter en espagnol puis en anglais, elle sourit, très réceptive BREF ça change des françaises
deux semaines plus tard, alors que j'arrivais pas vraiment à la cerner, soirée sur la terasse, au moins 30 personnes j'ai un peu de mal à m'intégrer , alors je picole à un rythme de moscovite
je vais chercher un pull dans ma chambre ET LA je croise l'espagnole, elle était super jolie dans son body rouge bordel
http://aphrodite.shopeo.com/pictures/0965/0077/IMG_1584.jpg_big.jpeg
on discute elle voit que je suis bien bourré, je parle espagnol comme un demi dieu grace à l'alcool, je lui dis qu'elle me plait, et dans un élan de sincérité je lui dit que j'ai jamais eu de "amiga" ni de "relacion sexual"
plus tard dans la soirée, je l'embrasse, elle m'amène dans sa chambre et je lui masse les seins
elle vérifie l'état de la branche, ça semblait lui convenir elle prend les choses en main, en cow girl un peu, je viens dans sa shnek sans prévenir en moins de 2 min
pas de remords ni de vergognent je la rebaise sur un rythme régulier jusqu'à ce qu'elle me friendzone du jour au lendemain et qu'elle déménage
arrivé à la fin de mon stage elle m'appelle et me dit qu'elle est enceinte
qu'elle va avorter
qu'elle veut discuter
Je suis retourné en france en l'esquivant, comme le pire des fdp, en espérant qu'elle ait vraiment avorté
[11:31:57] <Fried-Chicken>
Bruxelles, 2013
En mode gros puceau je débarque en Belgique pour un stage, j'habite dans un kot = une maison étudiante, en gros 12 chambres pour une colocations méga décadente
Bien installé dans ma chambre/trou à rat de 10 mètres carrés, je commence à faire le tour du quartier et en rentrant, je croise une des colocs, une espagnole
Assez introverti j'arrive quand même à discuter en espagnol puis en anglais, elle sourit, très réceptive BREF ça change des françaisesdeux semaines plus tard, alors que j'arrivais pas vraiment à la cerner, soirée sur la terasse, au moins 30 personnes j'ai un peu de mal à m'intégrer , alors je picole à un rythme de moscovite
je vais chercher un pull dans ma chambre ET LA je croise l'espagnole, elle était super jolie dans son body rouge bordel
http://aphrodite.shopeo.com/pictures/0965/0077/IMG_1584.jpg_big.jpeg
on discute elle voit que je suis bien bourré, je parle espagnol comme un demi dieu grace à l'alcool, je lui dis qu'elle me plait, et dans un élan de sincérité je lui dit que j'ai jamais eu de "amiga" ni de "relacion sexual"plus tard dans la soirée, je l'embrasse, elle m'amène dans sa chambre et je lui masse les seins
elle vérifie l'état de la branche, ça semblait lui convenir elle prend les choses en main, en cow girl un peu, je viens dans sa shnek sans prévenir en moins de 2 min
pas de remords ni de vergognent je la rebaise sur un rythme régulier jusqu'à ce qu'elle me friendzone du jour au lendemain et qu'elle déménagearrivé à la fin de mon stage elle m'appelle et me dit qu'elle est enceinte
qu'elle va avorter
qu'elle veut discuter
Je suis retourné en france en l'esquivant, comme le pire des fdp, en espérant qu'elle ait vraiment avorté
C'étais du coté de Versailles début première.
Avec des potes on avait l'habitude de trainer près d'un bar
Un jour on c'est rôtis la gueule à coup de rouge dans la rue une journée d'été, on discuté même avec des clodos.
Puis sortant du bar, une gente demoiselle de couleur charbon se dirige vers moi et entame la discussion (elle était avec ses amies également, donc une vrai discussion d'alcoolique s'engage) : 26 ans, 1m75, 5,5/10 et encore, avec l'ethanol dans mon sang, ça devait être moins.
Au fur et à mesure elle devient de plus en plus tactile, elle me caresse et m'embrasse le cou. A ce moment je sentis ma 3 ème jambe se lever et mes couilles pris presque la parole à ma place tellement elles avaient envies de montrer la puissance de l'homme blanc avec 2 semaines d'abstinence.
Je pris donc les devants et pour vous la faire courte : elle habitait à 300m maximum du bar et elle m'invita.
C'étais une véritable chambre de bonne, sans réel charme, et déjà, une odeur particulière se dégagé de l'appartement.
Le seuil franchis, elle m'attaqua : embrassade, caresse, elle me chope la queue avec une poigne de fer la gourgandine, me malaxant les couilles avec l'autres mains, je m'allonge sur son semblant de lit et j'eus le droit à une pipe, pas ouf (elle avait de grandes dents), mais rien à foutre, je m'apprêter à livrer un véritable safari.
Pas le temps pour le cuni, je lui enleva ce qui lui resté, et j'avoue ne pas avoir remarquer tout de suite l'odeur qui se dégagea de ses partis intimes.
Je rentra donc ma bite en elle (oui les kheys, without capote) et lui donnant des coups de reins en missio d'une violence rare.
Sauf qu'il y avait un petit problème, plus je lui bourré le berlingot, plus l'odeur qui reflété son hygiène monté à mon nez, je reculais donc de plus en plus la tête, une fois arrivé en extension max (vraiment la tête à fond en arrière) l'odeur était trop insupportable, j'ai hurlé (pas en jouissant malheureusement) quelque chose du genre "sa pue le manioc bordel !" les yeux encore vitreux et l'haleine d'un cirrhotique en fin de vie.
La meuf outré, se retire tel le bouchon d'une bouteille et gueula, je pris mes affaires (en oubliant mes chaussures et mon caleçon) et m'enfuiya à toute vitesse, escaladant l'immense barrière torse nu avec un jean et m'éclatant la gueule par terre à l'atterrissage.
Jamais je ne l'ai revu, RAS au dépistage. Ce qui m'a fais le plus chier c'est l'irritation de mes couilles, grosses et insatisfaites, contre mon jean.
L'OP sweet
Le 10 février 2019 à 22:37:53 Oo-foxlite-oO a écrit :
Je certifie cette histoire :C'étais du coté de Versailles début première.
Avec des potes on avait l'habitude de trainer près d'un bar
Un jour on c'est rôtis la gueule à coup de rouge dans la rue une journée d'été, on discuté même avec des clodos.
Puis sortant du bar, une gente demoiselle de couleur charbon se dirige vers moi et entame la discussion (elle était avec ses amies également, donc une vrai discussion d'alcoolique s'engage) : 26 ans, 1m75, 5,5/10 et encore, avec l'ethanol dans mon sang, ça devait être moins.
Au fur et à mesure elle devient de plus en plus tactile, elle me caresse et m'embrasse le cou. A ce moment je sentis ma 3 ème jambe se lever et mes couilles pris presque la parole à ma place tellement elles avaient envies de montrer la puissance de l'homme blanc avec 2 semaines d'abstinence.
Je pris donc les devants et pour vous la faire courte : elle habitait à 300m maximum du bar et elle m'invita.
C'étais une véritable chambre de bonne, sans réel charme, et déjà, une odeur particulière se dégagé de l'appartement.
Le seuil franchis, elle m'attaqua : embrassade, caresse, elle me chope la queue avec une poigne de fer la gourgandine, me malaxant les couilles avec l'autres mains, je m'allonge sur son semblant de lit et j'eus le droit à une pipe, pas ouf (elle avait de grandes dents), mais rien à foutre, je m'apprêter à livrer un véritable safari.
Pas le temps pour le cuni, je lui enleva ce qui lui resté, et j'avoue ne pas avoir remarquer tout de suite l'odeur qui se dégagea de ses partis intimes.
Je rentra donc ma bite en elle (oui les kheys, without capote) et lui donnant des coups de reins en missio d'une violence rare.Sauf qu'il y avait un petit problème, plus je lui bourré le berlingot, plus l'odeur qui reflété son hygiène monté à mon nez, je reculais donc de plus en plus la tête, une fois arrivé en extension max (vraiment la tête à fond en arrière) l'odeur était trop insupportable, j'ai hurlé (pas en jouissant malheureusement) quelque chose du genre "sa pue le manioc bordel !" les yeux encore vitreux et l'haleine d'un cirrhotique en fin de vie.
La meuf outré, se retire tel le bouchon d'une bouteille et gueula, je pris mes affaires (en oubliant mes chaussures et mon caleçon) et m'enfuiya à toute vitesse, escaladant l'immense barrière torse nu avec un jean et m'éclatant la gueule par terre à l'atterrissage.
Jamais je ne l'ai revu, RAS au dépistage. Ce qui m'a fais le plus chier c'est l'irritation de mes couilles, grosses et insatisfaites, contre mon jean.
A 16 ans t'as sauté une femme de 26 ans ?
Bordel j'ai lu tout le topic et si c'est no fake je trouve très bizarre le fait que vous baisez que des meuf de tinder pour la plupart, vous aimez trop la facilité !
j'en ai déjà baiser 5-6 sur tinder dont 2 qui avaient débouché sur des relations (courte) mais honnêtement j'ai un bon corps et une belle geul donc mon terrains de chasse principal c'est vraiment les boîte de nuit ! C'est trop facil parfois je fais même pas le premier pas.
J'ai stop tinder car l'impression qu'on est réduit à de la marchandise et puis bon on sait jamais sur qui on va tomber, aucun mérite !
Je fais parti de ceux qui préfèrent le challenge et qui préfèrent aller pecho au culot dans un lieux propice (ou pas)
Le 11 février 2019 à 15:00:40 Obsidian-Fury a écrit :
Bordel j'ai lu tout le topic et si c'est no fake je trouve très bizarre le fait que vous baisez que des meuf de tinder pour la plupart, vous aimez trop la facilité !j'en ai déjà baiser 5-6 sur tinder dont 2 qui avaient débouché sur des relations (courte) mais honnêtement j'ai un bon corps et une belle geul donc mon terrains de chasse principal c'est vraiment les boîte de nuit ! C'est trop facil parfois je fais même pas le premier pas.
J'ai stop tinder car l'impression qu'on est réduit à de la marchandise et puis bon on sait jamais sur qui on va tomber, aucun mérite !
Je fais parti de ceux qui préfèrent le challenge et qui préfèrent aller pecho au culot dans un lieux propice (ou pas)
Je plussoie fortement...
Rien ne vaut un bar ou une boîte !!!
Le 10 février 2019 à 11:31:57 Fried-Chicken a écrit :
Bruxelles, 2013
En mode gros puceau je débarque en Belgique pour un stage, j'habite dans un kot = une maison étudiante, en gros 12 chambres pour une colocations méga décadente
Bien installé dans ma chambre/trou à rat de 10 mètres carrés, je commence à faire le tour du quartier et en rentrant, je croise une des colocs, une espagnole
Assez introverti j'arrive quand même à discuter en espagnol puis en anglais, elle sourit, très réceptive BREF ça change des françaisesdeux semaines plus tard, alors que j'arrivais pas vraiment à la cerner, soirée sur la terasse, au moins 30 personnes j'ai un peu de mal à m'intégrer , alors je picole à un rythme de moscovite
je vais chercher un pull dans ma chambre ET LA je croise l'espagnole, elle était super jolie dans son body rouge bordel
http://aphrodite.shopeo.com/pictures/0965/0077/IMG_1584.jpg_big.jpeg
on discute elle voit que je suis bien bourré, je parle espagnol comme un demi dieu grace à l'alcool, je lui dis qu'elle me plait, et dans un élan de sincérité je lui dit que j'ai jamais eu de "amiga" ni de "relacion sexual"plus tard dans la soirée, je l'embrasse, elle m'amène dans sa chambre et je lui masse les seins
elle vérifie l'état de la branche, ça semblait lui convenir elle prend les choses en main, en cow girl un peu, je viens dans sa shnek sans prévenir en moins de 2 min
pas de remords ni de vergognent je la rebaise sur un rythme régulier jusqu'à ce qu'elle me friendzone du jour au lendemain et qu'elle déménagearrivé à la fin de mon stage elle m'appelle et me dit qu'elle est enceinte
qu'elle va avorter
qu'elle veut discuter
Je suis retourné en france en l'esquivant, comme le pire des fdp, en espérant qu'elle ait vraiment avorté
Un khey solide
Le 10 février 2019 à 22:37:53 Oo-foxlite-oO a écrit :
Je certifie cette histoire :C'étais du coté de Versailles début première.
Avec des potes on avait l'habitude de trainer près d'un bar
Un jour on c'est rôtis la gueule à coup de rouge dans la rue une journée d'été, on discuté même avec des clodos.
Puis sortant du bar, une gente demoiselle de couleur charbon se dirige vers moi et entame la discussion (elle était avec ses amies également, donc une vrai discussion d'alcoolique s'engage) : 26 ans, 1m75, 5,5/10 et encore, avec l'ethanol dans mon sang, ça devait être moins.
Au fur et à mesure elle devient de plus en plus tactile, elle me caresse et m'embrasse le cou. A ce moment je sentis ma 3 ème jambe se lever et mes couilles pris presque la parole à ma place tellement elles avaient envies de montrer la puissance de l'homme blanc avec 2 semaines d'abstinence.
Je pris donc les devants et pour vous la faire courte : elle habitait à 300m maximum du bar et elle m'invita.
C'étais une véritable chambre de bonne, sans réel charme, et déjà, une odeur particulière se dégagé de l'appartement.
Le seuil franchis, elle m'attaqua : embrassade, caresse, elle me chope la queue avec une poigne de fer la gourgandine, me malaxant les couilles avec l'autres mains, je m'allonge sur son semblant de lit et j'eus le droit à une pipe, pas ouf (elle avait de grandes dents), mais rien à foutre, je m'apprêter à livrer un véritable safari.
Pas le temps pour le cuni, je lui enleva ce qui lui resté, et j'avoue ne pas avoir remarquer tout de suite l'odeur qui se dégagea de ses partis intimes.
Je rentra donc ma bite en elle (oui les kheys, without capote) et lui donnant des coups de reins en missio d'une violence rare.Sauf qu'il y avait un petit problème, plus je lui bourré le berlingot, plus l'odeur qui reflété son hygiène monté à mon nez, je reculais donc de plus en plus la tête, une fois arrivé en extension max (vraiment la tête à fond en arrière) l'odeur était trop insupportable, j'ai hurlé (pas en jouissant malheureusement) quelque chose du genre "sa pue le manioc bordel !" les yeux encore vitreux et l'haleine d'un cirrhotique en fin de vie.
La meuf outré, se retire tel le bouchon d'une bouteille et gueula, je pris mes affaires (en oubliant mes chaussures et mon caleçon) et m'enfuiya à toute vitesse, escaladant l'immense barrière torse nu avec un jean et m'éclatant la gueule par terre à l'atterrissage.
Jamais je ne l'ai revu, RAS au dépistage. Ce qui m'a fais le plus chier c'est l'irritation de mes couilles, grosses et insatisfaites, contre mon jean.
La plus drôle pour l'instant
Le 09 février 2019 à 23:51:21 PecheJaune__ a écrit :
Honnêtement j'en ai une, je pense que je battrais tout le forum. Tous mes potes ses foutent de ma gueule à propos de ça (même si j'assume sans problème) encore aujourd'hui alors que ça fait plus d'un an, mais je peux pas la raconter ici car justement c'est tellement chelou que je me ferai cramer
->MP
Le 11 février 2019 à 12:22:07 Dalcyf- a écrit :
Le 10 février 2019 à 22:37:53 Oo-foxlite-oO a écrit :
Je certifie cette histoire :C'étais du coté de Versailles début première.
Avec des potes on avait l'habitude de trainer près d'un bar
Un jour on c'est rôtis la gueule à coup de rouge dans la rue une journée d'été, on discuté même avec des clodos.
Puis sortant du bar, une gente demoiselle de couleur charbon se dirige vers moi et entame la discussion (elle était avec ses amies également, donc une vrai discussion d'alcoolique s'engage) : 26 ans, 1m75, 5,5/10 et encore, avec l'ethanol dans mon sang, ça devait être moins.
Au fur et à mesure elle devient de plus en plus tactile, elle me caresse et m'embrasse le cou. A ce moment je sentis ma 3 ème jambe se lever et mes couilles pris presque la parole à ma place tellement elles avaient envies de montrer la puissance de l'homme blanc avec 2 semaines d'abstinence.
Je pris donc les devants et pour vous la faire courte : elle habitait à 300m maximum du bar et elle m'invita.
C'étais une véritable chambre de bonne, sans réel charme, et déjà, une odeur particulière se dégagé de l'appartement.
Le seuil franchis, elle m'attaqua : embrassade, caresse, elle me chope la queue avec une poigne de fer la gourgandine, me malaxant les couilles avec l'autres mains, je m'allonge sur son semblant de lit et j'eus le droit à une pipe, pas ouf (elle avait de grandes dents), mais rien à foutre, je m'apprêter à livrer un véritable safari.
Pas le temps pour le cuni, je lui enleva ce qui lui resté, et j'avoue ne pas avoir remarquer tout de suite l'odeur qui se dégagea de ses partis intimes.
Je rentra donc ma bite en elle (oui les kheys, without capote) et lui donnant des coups de reins en missio d'une violence rare.Sauf qu'il y avait un petit problème, plus je lui bourré le berlingot, plus l'odeur qui reflété son hygiène monté à mon nez, je reculais donc de plus en plus la tête, une fois arrivé en extension max (vraiment la tête à fond en arrière) l'odeur était trop insupportable, j'ai hurlé (pas en jouissant malheureusement) quelque chose du genre "sa pue le manioc bordel !" les yeux encore vitreux et l'haleine d'un cirrhotique en fin de vie.
La meuf outré, se retire tel le bouchon d'une bouteille et gueula, je pris mes affaires (en oubliant mes chaussures et mon caleçon) et m'enfuiya à toute vitesse, escaladant l'immense barrière torse nu avec un jean et m'éclatant la gueule par terre à l'atterrissage.
Jamais je ne l'ai revu, RAS au dépistage. Ce qui m'a fais le plus chier c'est l'irritation de mes couilles, grosses et insatisfaites, contre mon jean.
A 16 ans t'as sauté une femme de 26 ans ?
Effectivement, mais j'ai toujours attiré les plus vieilles que moi
J'ai d'autres anecdotes, étant donné que j'étais dans un lycée de fille ( 75% du lycée était des femmes) et en ST2S, j'ai d'autres anecdotes, mais c'elle là est marquante
L'auteur a juste abandonné son propre topic
Le 11 février 2019 à 15:00:40 Obsidian-Fury a écrit :
Bordel j'ai lu tout le topic et si c'est no fake je trouve très bizarre le fait que vous baisez que des meuf de tinder pour la plupart, vous aimez trop la facilité !j'en ai déjà baiser 5-6 sur tinder dont 2 qui avaient débouché sur des relations (courte) mais honnêtement j'ai un bon corps et une belle geul donc mon terrains de chasse principal c'est vraiment les boîte de nuit ! C'est trop facil parfois je fais même pas le premier pas.
J'ai stop tinder car l'impression qu'on est réduit à de la marchandise et puis bon on sait jamais sur qui on va tomber, aucun mérite !
Je fais parti de ceux qui préfèrent le challenge et qui préfèrent aller pecho au culot dans un lieux propice (ou pas)
Puisque que tu es dans le jugement je vais faire de même.
Tu trouves que tu as du mérite d’aller serrer des meuf desinhibées par l’alcool ou les sunstances ou avec 1g dans chaque bras ?
Il est où le challenge la dedans?
Ou alors tu avais absolument envi de crier à un forum de Pulco à quel point tu es bg et que ta vie sociale est épanouie pour chercher de l’attention, bravo à toi c’est bien mon grand
Le 12 février 2019 à 08:37:23 jmlespatesobeur a écrit :
Le 11 février 2019 à 15:00:40 Obsidian-Fury a écrit :
Bordel j'ai lu tout le topic et si c'est no fake je trouve très bizarre le fait que vous baisez que des meuf de tinder pour la plupart, vous aimez trop la facilité !j'en ai déjà baiser 5-6 sur tinder dont 2 qui avaient débouché sur des relations (courte) mais honnêtement j'ai un bon corps et une belle geul donc mon terrains de chasse principal c'est vraiment les boîte de nuit ! C'est trop facil parfois je fais même pas le premier pas.
J'ai stop tinder car l'impression qu'on est réduit à de la marchandise et puis bon on sait jamais sur qui on va tomber, aucun mérite !
Je fais parti de ceux qui préfèrent le challenge et qui préfèrent aller pecho au culot dans un lieux propice (ou pas)
Puisque que tu es dans le jugement je vais faire de même.
Tu trouves que tu as du mérite d’aller serrer des meuf desinhibées par l’alcool ou les sunstances ou avec 1g dans chaque bras ?
Il est où le challenge la dedans?
Ou alors tu avais absolument envi de crier à un forum de Pulco à quel point tu es bg et que ta vie sociale est épanouie pour chercher de l’attention, bravo à toi c’est bien mon grand
Données du topic
- Auteur
- MarreDuBanCest
- Date de création
- 3 février 2019 à 11:00:24
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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