[No Fake] J'ai retiré EXCALIBUR à DisneyLand Paris
Allé hop hop hop la sweet esclave
S'il te plaît....
Le 05 avril 2018 à 19:36:57 PaysanInfame a écrit :
Moi tout de suite, je refuse catégoriquement.
Mais Clarisse, cette folle, me colle sa main sur le visage et accepte la proposition sans même réfléchir.
Comme je continue à refuser obstinément, Clarisse commence à m’engueuler, en me disant qu’on ne peut je cite : « jamais rien faire avec moi » que « je me moque toujours de ce qu’elle a envie de faire » et que « pour une fois je pourrais faire un effort pour lui faire plaisir »
De quoi tu parles putain on se connaît depuis quelques heures tout au plus
Une folle, c’est une folle. Cette fois c’est sûr, elle est complètement timbrée.
Je l’aime bordel
Et là les kheys nofake, l’employée qui semblait très satisfaite de nous avoir, nous invite à la suivre jusqu’aux coulisses. PutainOn la suit sous les regards chargés d’étoiles des enfants. Elle n’arrête pas de nous remercier d’avoir accepté. Mon coeur tapait fort dans ma poitrine et lorsque j’ai compris où elle nous emmenait, j’ai bien failli m’évanouir.
On allait tout droit vers l’hôtel Disney. Le grand hôtel tout rose qui ressemble à un gros gâteau en forme de château.
« Ca ne vous dérange pas de prendre quelques photos avec les enfants ? Il risque d’y en avoir beaucoup dans le hall »
« Non pas du tout, au contraire on les adore ! » répond Clarisse d’un air parfaitement niais.
Mais bordel je m’en contre fous des enfants, je veux rentrer chez moi, je veux rentrer chez moi avec mon épée moi, c’est tout, c’est tout ce que je demande
Le 05 avril 2018 à 20:00:56 Liquid-DnB a écrit :
17/20 sur l'écriture mais note générale de 12 pour le certifié no fake alors que c'est un fake.
100% no fake
Je suis incapable d'imaginer quoi que ce soit, j'ai la même imagination qu'un petit poisson rouge.
Comment pourrais-je écrire ça si ça n'avait pas eu lieu
N'en déplaise aux esclaves de Disneyland
On approchait de l’immense hôtel. Lorsqu’on est rentré à l’intérieur, j’ai cru changer de monde. En bon prolo eco+ que je suis, je n’avais jamais vu un luxe aussi ostentatoire. Bordel j’avais même honte de marcher sur le tapis avec mes vieilles godasses.
Je me dis qu’ici il faut sûrement savoir se tenir pour passer inaperçu. Alors j’adopte une posture digne et essaie de marcher d’une façon distinguée. Je me dis que j’ai pas intérêt à péter parce que dans un lieu comme celui là, les gens ne pètent sûrement jamais.
Dans le hall, c’était déjà la cohue. Un parfum de myrtille embaumait les lieux, une petite musique extrêmement énervante rythmait les allées et venues des clients. Nous étions entourés d’une cacophonie humaine et surtout, de gosses. Des gosses, il y en avait partout. A droite à gauche à l’étage, au rez de chaussé.
Et le pire c’est qu’ils étaient parfaitement intrépides.
Un nombre incalculable de familles sont venues poser avec nous, ce qui semblait ravir l’employée ( je ne me souviens même plus de son nom ) qui nous regardait poser avec les enfants d’un oeil attendri.
Tout le monde est fou là bas.
Après un bon quart d’heure passé à prendre la pose avec une multitude de familles, on a suivi l’employée le long d’un couloir qui semblait infini. Il était éclairé d’une lumière orangée très apaisante. La température était agréable, le couloir était beau, on goûtait enfin au calme. Clarisse m’avait pris la main et on avançait côte à côte derrière cette femme qui nous emmenait dieu sait-où.
Au bout d’un certain moment, on arrive dans une grande, très grande salle que j’imaginais être un salle de réception.
J’en sais trop rien. La dernière fois que j’ai vu une pièce aussi impressionnante et aussi spacieuse, c’était dans Harry Potter.
C’était très beau, tout était caresses pour les yeux, si je n’avais pas eu une épée qui me rentrait à moitié dans le fion, j’aurais presque pu verser une larme.
Une grande table était dressée au centre de la pièce, façon buffet.
Dans un coin de la grande salle, précisément celui où nous nous rendions, il y avait un petit chariot. Sur ce chariot, il y avait des dizaines de gâteaux tous plus beaux les uns que les autres.
Dans mon ventre il y avait un grand vide. Je me suis dis que personne ne m’en voudrais si je mangeais un de ces gâteaux mais j’avais tort.
L’employée nous dit de patienter un moment, elle veut appeler certains de ses collègues pour nous présenter.
Moi il était hors de question que je patiente. J’avais faim, trop faim. Et ces gâteaux m’appelaient. Je fais signe à Clarisse, puis m’approche du chariot d’argent.
L’odeur du sucre me chatouillait les narines. Du façon ou d’une autre, j’allais me péter le bide, ça je pouvais le garantir. Ici la plupart des gens étaient en costume et il n’y avait que très peu de clients du parc. Une aubaine, personne ne faisait attention à moi.
Discrètement je temps le bras vers le chariot et m’empare d’un premier gâteau, une chouquette à la crème. C’était fabuleux, je l’ai mangée en moins de dix secondes. Comme personne ne m’avait vu je me suis dit que je pouvais continuer. Je jette un coup d’oeil rapide au buffet et là mon regard tout comme une mouche, se pose et se fige sur un gâteau en forme de tête de Mickey. Il avait l’air absolument délicieux. La forme, le nappage, la consistance, tout était parfait. Le pâtissier devait être un maître renommé.
Pourquoi y'a pas de chute cette fois...
SWEET
Le 05 avril 2018 à 23:34:22 Diegothon a écrit :
Pourquoi y'a pas de chute cette fois...
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- PaysanInfame
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- 2 avril 2018 à 19:22:48
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