[FIC] Les SENTIERS de la DRAGUE
Le 29 octobre 2018 à 21:04:14 -PARADlSTA- a écrit :
Toystealer Toystealer
29 octobre 2018 Ã 20:58:45
Alerte
GarciaPerso je l'aime bien (un gueulard qui sait pousser ses joueurs j'ai l'impression) mais ça j'ai vraiment pas compris
Il fait jouer Radonjic à gauche, Payet à gauche, fait un milieu Sanson Lopez... Il peut être bon mais fait des compos à chier parfois
CHAPITRE 05 - NUIT BLANCHE
★ RESUMÉ DES ÉPISODES PRÉCÉDENTS (ÉPISODE 51) ★
Toi, Silvain Mistit, un étudiant en langue Étrangère de 18 ans, t'es mis en tête de sortir avec la Belle fille de ta promo, celle qui occupe toutes tes pensées, Lola. Après un mois à flâner, tu as décidé de reprendre ton game en main mais tout ne va pas se passer comme prévu...
Cela fait désormais 3 semaines que tu as quitté la maison des Moore un soir d'Octobre. Depuis, ta vie n'est rythmée que par Elle.
Après un début de soirée riche en émotions, Lola et toi roulez sur le bitume parisien couverts par la magnifique lumière lunaire. Profitant de ces moments précieux, vous vous amusez, vous taquinez l'un l’autre jusqu’à ce que votre voiture ne rende l’âme. 3 fêtards vous emmènent alors près des berges où leurs amis ont organisé un petit event.
Entre musique électro, psychotropes et alcool, ta tête et celle de ta compagne d'un soir perdent rapidement tout sens de la raison. Vous vous lancez même dans une dangereuse course de jet-ski.
Noyé, Lola te vient en aide, te sauvant in extremis d'une mort certaine. Revenant sur les moments que vous avez passés ensemble, vous en venez aux souvenirs de votre passé. Ce moment à cœur ouvert te pousse à l’embrasser fougueusement dans les flots de la Seine. Plus rien ne compte désormais à part Elle.
★ PERSONNAGES PRINCIPAUX ★
- Part 14 – Dans ses yeux (1/3)
________________________ https://youtu.be/emL8w-vx7fo ________________________
Ton cœur battait à la chamade pendant que tu parcourais les courbes de ta compagne d'un soir. Elle avait envie de toi, tu avais envie d'elle. Pendant que tu mordillais son cou, tu brandis son haut, aggrippant d'un mouvement de poignet le tissu dans ta main. Mis à nu, tu contemplais enfin le sublime corps de la jeune fille. Frissonnant par le contact de la glaciale eau sur l'embrasement de ses courbes, sa peau légère s'hérissa de milliers de copeaux. Elle était plus vulnérable que jamais, trahie par ses couinements de biche qu'elle peinait à dissimuler sous tes caresses prononcées. Tu parcourais le creux de son bassin.
D’abord crispées, ses pattes se devoilèrent tandis que tes mains glissaient jusqu’à la partie la plus brûlante de sa chair. Elle s'abandonnait à toi, pendant un instant du moins. L'instant d'après, elle reprit les rênes de cette danse charnelle. La sauvage jeune femme te chevaucha alors. Elle était à son aise malgré les vagues qui venaient de vous frapper. Pendant que sa chevelure tentaculaire épousait l’arrière de ta tête, elle enflammait tes lippes d'un sulfureux baiser. Elle joua d'abord avec ta lèvre supérieure avant de croquer rageusement ton pendant inférieur. Savoureux, presque douloureux, le goût sucré du sang qui perlait désormais le bout de ta langue dévoilait la plaie qu'elle venait de te faire. Tantôt affectueuse tantôt animal, elle frotta alors son pied sous ton entrejambe déjà marqué par l'effet que l’experte jeune femme te faisait. Pourtant, la dextérité de son gros orteil réussissait encore à décupler l'afflux sanguin abbreuvant ta couche bientôt saturée. Lola le sentit et te libéra. Coinçant ta braguette entre deux de ses phalanges, elle délivra, d’un simple mouvement de cheville, ton membre de sa prison en jean.
Tu ne pouvais plus l'embrasser, trop occupé à profiter des plaisirs que son pied continuait de t'offrir sous ces flots. Son sourire sulfureuse se dessinait sur le creux de ses lèvres pendant qu'elle contemplait tes yeux fermés d'une extase délicieuse. Même si elle connaissait déjà la réponse, elle te demanda malicieuse :
« Ça te plaît ? »
Tes râles révélaient ta réponse. Ravie de t'avoir domptée, elle descendit lentement de toi, replongea dans l’eau avant de coincer sous ses cuisses ton membre dressé. Elle gémit. Tu étais en mauvais état, balloté par le vertige de cette nymphe et par la sempiternelle transcendance de l’excitation qui frôlait la démence comme si chacune de ses entreprises brisait toujours plus les limites du possible. La part de toi contre elle battait frénétiquement contre le creux de ses cuisses voluptueuses.
« C’est vraiment moi qui te procure autant d'effet ? Te questionnait-elle.
- Qui d'autre.
Tu ne résisterais plus longtemps, tes flots allaient prendre le pas sur ton esprit affaibli du poids du désir qui s'emparait de chacun de tes membres. Un nouveau frisson de ses jambes autour de la taille aurait suffi à te faire craquer. Plus entrepreneuse que jamais, la jeune fille fit glisser ses bas jusqu’à ses frêles chevilles. Elle enlassa ton cou avant de te cheuvaucher à nouveau. Tu sentais l’extrémité de ta colonne de chair caressée quelque chose de particulièrement chaud. Comparable au contact sucré de délicieux coussinets, cette agréable sensation laissa place à un sursaut de lucidité. Oui, les choses sérieuses allaient commencer.
Fâce à face, vos regards étaient plongés l’un dans l’autre partageant l’extrême tension qui liait vos corps. L’éclat particulièrement orangé de la lune ce soir-là plongeait la peau de la jeune femme dans de magnifiques couleurs chatoyantes. Tu aurais voulu lui dire à cet instant à quel point elle était belle mais aucun mot ne put sortir de ta bouche. Tu caressais alors sa joue brûlante pour marquer cet instant dans une réalité palpable. Sous ta paume, Lola savourait cet ultime préliminaire. Sans lâcher ton regard, elle plongea peu à peu dans l'eau. Ton membre érigé vers les cieux épousait alors son intimité. Malheureusement, ce seul contact te fit terriblement gémir.
- T'as déjà éjaculé ? T'es même pas entré.
- Non c'est pas ça, t’inquiète pas continue.
Tu baisas son cou pour la rassurer, elle reprit alors son entreprise quand tu lâchas un nouveau cri.
- C'est ma bite ! Elle me fait un mal de chien !
Quelque chose te brûlait dans ton bas ventre, sans que tu ne saches la cause exacte de ce mal soudain.
- Oh c’est dommage, j'aurais pu te faire oublier cette douleur en 2 minutes.. te sussura alors Lola de sa voix la plus aguicheuse au plus près de ton lobe.
Tu souffrais le martyr mais l’appel de la jouissance était trop fort. S'abandonner dans Lola n'avait pas de prix, même pas une potentielle ablation du sexe.
- C'est pas si grave, tu peux continuer je t'assure.
- Dans quelques secondes, tu ne penseras plus qu’à moi..
Mais dès qu’elle reprit son entreprise le mal s’amplifiait. Pire, tu souffrais tellement que tu la balanças instinctivement loin de ta bite. Elle s’écrasa à quelques mètres dans un splash particulièrement audible.
- Y a un truc dans ma bite !!!
- Je le sens y a un truc, genre un poisson dans ma bite, putain ça fait tellement mal bordel !!
La douleur était telle que la perspective d'une nuit avec Lola ne suffit pas à l’adoucir. Tu sentais quelques chose trifouiller toujours plus ardemment tes entrailles. Tu sortis precipitemment de la Seine pendant que Lola regardait médusée tes beuglements et gesticulations désincarnées.
- Lola, je t'en supplie. Fais quelque chose !
- On a ni voiture ni moyen de locomotion, qu'est-ce que tu veux que je fasse !? Je sais même pas s'il y a encore des bus à cette heure.
- Je sens même plus mon sexe, c'est horrible ! pleurnichais-tu.
Le moindre contact avec ton membre te faisait mal, rien qu'enfiler ton caleçon fut une épreuve terrible. L'impression qu’on t'arrachait la peau à chaque action. Tu gardais tes 2 mains au niveau de ton bas ventre pour tenter tant bien que mal de calmer la douleur. Cette manœuvre te permettait également de jeter un voile sur cette terrible plaie empêchant Lola de l'apercevoir.
- Laisse-moi regarder. Ça ne doit pas être si horrible que ça.
Chancelant, tu redoutais évidemment sa réaction mais devant son insistance tu t’exécutas finalement. Le teint de la jeune femme naturellement rougie par la baignade passa au blafard dès qu'elle posa les yeux sur ton bas ventre. Ses globes oculaires feignaient même de sortir de leur orbite, ça ne rassurait pas sur l'ampleur des dégâts.
- Y’a vraiment un problème, c’est bien ça hein !? J'ai l'impression d'avoir un tonneau entre mes cuisses, j'ai envie de mourir !
Ton membre, en plus d'avoir doublé de taille, se distinguait d'une forme ovoïde disgracieuse. Malgré ton caleçon - étiré à l’extrême - on voyait une sacrée partie de chair. Lola restait bouche bée devant cette gigantesque immondice coincée entre l’écoeurement de ses sourcils froncés et la fascination de ses yeux écarquillés.
- C'est normal que ça m'excite ?
Tu claquas des doigts devant elle.
- Reviens avec moi je peux même plus marcher !
L'air hébété de sa bouche entrouverte laissa échapper :
- T’es…t'es sûr qu’on peut rien tenter, là tout de suite ?
- Lola, avec tout mon respect, si ça ne tenait qu'à moi je te prendrais matin, midi, soir, sous la douche, en cours, en pleine rue, mais si y a bien un moment où je peux vraiment pas, c'est là .
Ca fait plus de 2 mois qu'il est pas passé
Il est juste venu en éclair y'a quelques jours sur notre vieux mp, il est bien occupé
Puis le forum l'intéresse plus, ce qui est compréhensible vu le niveau depuis 1 an.
Le 30 octobre 2018 à 20:15:00 ChefDumas a écrit :
Ca fait plus de 2 mois qu'il est pas passéIl est juste venu en éclair y'a quelques jours sur notre vieux mp, il est bien occupé
Puis le forum l'intéresse plus, ce qui est compréhensible vu le niveau depuis 1 an.
Le topic validaient n’est lock que depuis 4 mois
CHAPITRE 05 - NUIT BLANCHE
- Part 14 - Dans ses yeux (2/3)
__________________________ https://youtu.be/t-olf3xtixU __________________________
Plus facile à dire qu’à faire. Tu sentais progressivement les palpitations de ton cœur résonner dans l’ensemble de ton pénis hypertrophié. C’était douloureux, horrible, honteux surtout près de Lola qui ne pouvait s'empêcher de regarder ce ballon de rugby de chair et de sang gonfler minute après minute. Heureusement, les clignotants d'un des véhicules de la RATP se profilèrent à l'horizon.
- Désolé, ce véhicule est réservé au bipède.
- Viens on va s'asseoir là -bas.
Contraint de limiter au maximum tes déplacements, Lola t'aida à te placer sur un des strapontins du bus installé côté fenêtre. Elle posa son tissu sous toi puis tenta de prendre ta température en posant l’arrière de sa main sur ton front. Elle devenait ton infirmière, encore. Malgré tout l'alcool et comprimés euphorisants qu'elle s’était enfilée, ses gestes gardaient toute la grâce et la délicatesse dont elle faisait preuve habituellement. Seule sa douceur réussissait à t'apaiser.
Vous étiez la principale attraction du train, les quelques personnes présentes vous regardaient l'air grogui. En temps normal tu aurais tout fait pour cacher cette plaie horrible mais la fièvre qui s'emparait de ton être t’épuisait déjà assez.
- Et bien ma petite vous êtes gâtée avec un tel appareil entre vos mains !
- C'est pas ce que vous croyez.
- Tu vois Géraldine, c’est comme ça que finisse les acteurs de Dorcel à force de tirer sur leur bite.
Au bord de l’évanouissement, la voix suave de la jeune femme constituait le seul phare te guidant dans l'ombrage du tournis.
- Silvain, on est bientôt arrivés. Tiens bon, d'accord ?
Te demanda-t-elle affectueusement. Elle était tellement compréhensive. Mais tu ne te faisais pas d'illusion. Ça devait être le pire instant charnel qu'elle ait vécu. Incapable, impuissant, tu avais encore merdé. Pourquoi continuer, si, quoi que tu fasses, tu arrivais à cette même issue fatale ?
Fatigué de tout, tu tournais de l’œil pendant que ton front se perlait bientôt de sueur. Balbutiant quelques bribes de mots tu laissais échapper du bout des lèvres :
- Désolé pour tout ça.
Lola sourit.
- Bon dieu mais son engin grossit encore !
- Eh salopez pas mon bus avec votre truc là , c’est bibi qui va devoir nettoyer !
Bibi n'aura rien à nettoyer puisque vous étiez enfin arrivés devant les urgences. Plus proche du mort que du vivant, Lola peinait à te porter jusqu’à la porte d'entrée du service. Ces lieux ne s’éloignaient pas du décor habituel d’hôpital teinté d'un blanc froid à la différence près qu'un silence de cimetière s’était empiré de ces murs. L’allée était vide, seule une femme d'un certain âge feignait d'assurer la permanence des lieux mais sa posture nonchalante, le crissement aigu de ces dents sous un chewing-gum à la clorophile et le sifflement de ses lèvres donnait l’impression inverse. Le peu d’entrain qui la caracterisait se portait sur le limage des ongles de sa main droite.
- C'est pour une urgence ? Interrompit-elle, mastiquant toujours plus bruyamment son bout de caoutchouc
- Non pour du tricot pauvre conn…
- Cornemuse, il voulait dire cornemuse. On s'est baigné dans la Seine et quelque chose est entré dans son sexe. Il était pris de douleur mais maintenant, il ne peut même plus marcher. Il est brûlant.
- Oui bah remplissez ça et allez attendre là -bas, il y a du monde avant vous.
- Je ne vois pourtant personne..
- Vous connaissez mieux mon métier que moi maintenant ! Soit vous respectez les consignes, soit vous allez panser le truc horrible de votre petit copain ailleurs
Lola exaspérée, tapa du poing sur la table. Elle avait frappé tellement fort que la secrétaire avait sursauté de son siège faisant tomber, par la même occasion, sa lime. Elle avait même réussi à te sortir durant quelques secondes de ton état végétatif.
- ÉCOUTEZ-MOI, VOUS ALLEZ FAIRE VOTRE TRAVAIL ET M'APPELEZ UN MÉDECIN DE SUITE, QUELQU’UN A BESOIN D'AIDE ALORS AIDEZ-LE. SINON JE VOUS FAIS VIRER POUR NÉGLIGENCE !
Un long silence suivit l’énervement de Lola. La secrétaire exécuta finalement les ordres de la jeune fille qui devait sûrement savoir que le moindre signe d’autorité faisait perdre tout le dédain à cette race de gens qu’on appelle bureaucrate.
On te prit enfin en charge, t'emmenant dans une des cabines de ces urgences. Le médecin ne voulut pas que Lola t'accompagne, c’est en tout cas ce que tu semblais entendre. Les vapes dans lequel tu baignais jouait sur ta compréhension, tu n'avais plus conscience de rien. Seules les paroles du médecin résonnaient encore en toi.
- On va vous prendre en charge et appeler votre famille. Asseyez-vous ici.
Puis c’est le trou noir.
Quand tu rouvris les yeux, tu étais pris d'un puissant mal de tête. Il s’était emparé de l’ensemble de ta tempe gauche. En regardant autour de toi, tu compris qu'on t’avait mis dans ces cabines ambulatoires bien plus adaptées au coupe budgétaire dont souffrait l’hôpital public. Peu éclairé, tu étais seul dans cette salle bien trop grande pour ne pas paraître immense.
À part ce mal de tête qui cognait bruyamment la paroi de ton crâne, tu ne sentais plus rien même pas ton membre. Ton entrejambe était couvert de sparadra et de coton. Il semblait encore légèrement boursouflé mais bien loin de l’hypertrophie de ton arrivée. Les fibres de ce pansement avaient absorbé quelques gouttes de sang comme en attestait la tâche près de ta cuisse gauche. Tu pressas ton index sur son embout, aucune sensation. La porte de la pièce grinçait alors. Tu pensais voir le médecin entrer mais ce fut un visage bien plus familier qui pointa le bout de son nez.
Données du topic
- Auteur
- -PARADISTA-
- Date de création
- 18 novembre 2017 Ã 13:22:05
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