Topic de Everett-Jones :

Tuto - passer de no life à yes life

Bonne chance, après y a pas mal de redites.
Je ne souhaite à personne d'avoir à la fois passion et attachement pour une meuf même à long terme mais que ça ne marche pas au quotidien, c'est horrible de devoir se séparer alors que tout le reste suit.
Le changement de pp est brutal

Le 13 novembre 2021 à 14:35:30 Everett-Jones a écrit :
Je ne souhaite à personne d'avoir à la fois passion et attachement pour une meuf même à long terme mais que ça ne marche pas au quotidien, c'est horrible de devoir se séparer alors que tout le reste suit.

courage clé !
c'est une période compliquée pour tout le monde en ce moment
Ca n'aide clairement pas quand on se retrouve face aux affres de la vie et des relations

Le 23 novembre 2021 à 19:27:05 :

Le 13 novembre 2021 à 14:35:30 Everett-Jones a écrit :
Je ne souhaite à personne d'avoir à la fois passion et attachement pour une meuf même à long terme mais que ça ne marche pas au quotidien, c'est horrible de devoir se séparer alors que tout le reste suit.

courage clé !
c'est une période compliquée pour tout le monde en ce moment
Ca n'aide clairement pas quand on se retrouve face aux affres de la vie et des relations

Merci, ça va j'ai retrouvé une meuf mais difficile d'oublier l'ancienne.

Affectivement, on était faits pour être ensemble mais rationnellement, non et c'est ça qui plombe.

Dans cette vidéo, le sociologue Stéphane Edouard interviewe un French dreamer qui ne sait pas ce que c'est que la vraie douleur ou l'aventure.

https://www.youtube.com/watch?v=KDsnkkj6Xmc

Néanmoins, Stéphane dit un truc très intéressant et qui résonne en moi : la force motrice qui pousse à vraiment agir et se remettre en question est l'extrême douleur.

Effectivement, c'est quand j'ai vraiment compris que j'avais une vie de merde car j'ai failli y passer avec un épisode dépressif majeur que ça ne pouvait plus durer. Ceci a donc été l'étincelle pour me remettre à la muscu, trouver mes premiers taffes et même reprendre mes études bien que par correspondance.

J'ai donc fait quelques progrès même si j'ai encore eu des PLS en étant très isolé socialement par la suite, polymédicamenté et me prendre un rateau royal par la fille que j'aimais.

Nouvelle étincelle : entrée en fac, muscu à fond, lecture intensive, me faire de nouveaux potes et enfin baiser.

Le niveau de douleur chez l'ancien moi devenait trop insoutenable, j'allais crever et je ne le voulais pas. Le réveil a donc été salutaire.

J'ai donc su maximiser mes qualités et minimiser mes défauts. Je suis aujourd'hui à des années-lumière de ma période no-life : j'ai un talent monétisable, je connais les femmes, j'ai plus de culture, plus d'amis fiables, je m'assume et dans un pays étranger qui plus est etc. Mon prochain défi est de trouver la meilleure partenaire possible et de me reproduire.

Ton topic de me donne de l'espoir

Le 04 décembre 2021 à 04:04:06 :
Ton topic de me donne de l'espoir

C'est le but : inspirer :ok:

Pour plaire à un maximum de femmes, disons entre 25 et 55 ans, il faut cumuler les clichés de leur inconscient collectif. C'est-à-dire :
-Avoir un pouvoir d'achat supérieur à la moyenne en étant CSP+ avocat, médecin, pilote etc et le montrer. D'autres métiers plus flous passent tant que vous avez de bons revenus, même si moins évidents dans la séduction immédiate
-Rouler en SUV allemand noir
-Vivre dans un grand appartement avec peu de mur, high tech, minimaliste, quelques oeuvres d'art épurées et absconses et où est diffusée une musique sophistiquée que la femme de base n'écouterait jamais d'elle-même
-Porter des costumes noirs et une Rolex
-Connaître les meilleures adresses de la grande ville dans laquelle on vit
-Disposer d'un réseau de notables terre à terre mais aussi de gens plus bohème à hautes prétentions artistiques
-Faire 1m80 minimum
-Avoir une silhouette athlétique sans non plus être accro au Fitness
-Pouvoir partir en vacances à l'étranger (exemple : Venise, Rome...) sur un coup de tête

En clair, être une sorte de Patrick Bateman modernisé.

Votre caractère n'aura plus vraiment d'importance dans la séduction à ce niveau, de même que la beauté de votre visage tant que vous êtes soigné (avoir une coupe qui va avec la forme du visage, pas de poils disgracieux, pas de pâleur...).

Néanmoins, sortons des clichés pour nuancer tout ça. On peut tout à fait séduire des femmes potables sans avoir tout ça. Moi-même, je n'ai rien de tout ça à part la silhouette athlétique et la connaissance de bonnes adresses de ma ville.

Il s'agit uniquement de comprendre l'inconscient collectif féminin et d'en jouer. Pour le comprendre, il suffit de lire l'énorme succès littéraire 50 Nuances de Grey où tout est cité.

Hélas, la majorité des femmes fantasment sur le fait de devenir la femme objet d'un beau gosse riche, même si elles s'en défendent.

Approchez-vous même pas près de ce qui est cité plus haut et vous aurez des clés immédiates dans la séduction avec de nombreuses femmes.

A vous de voir à quel niveau vous souhaitez accéder.

si tu cherches la sagesse ? il y a encore du chemin
Bordel j’ai lu que le premier poste mais t’es tombé amoureux de plus de fille au collège que moi de toutes ma vie et de très loin. Incroyable

Le 09 décembre 2021 à 09:50:12 :
Bordel j’ai lu que le premier poste mais t’es tombé amoureux de plus de fille au collège que moi de toutes ma vie et de très loin. Incroyable

Oui j'étais fleur bleue et ça n'aidait absolument pas.

everett jones qui est en réalité un homme ayaaa
everett jones qui est en réalité un homme ayaaa

Le 10 décembre 2021 à 08:33:04 :
everett jones qui est en réalité un homme ayaaa

C'était pas une évidence ?

TUTO : PASSER DE NO LIFE A YES LIFE
Vous pouvez passer directement au tuto, mais je vous conseille tout de même de lire mon vécu car vous comprendrez mieux ma légitimité pour conseiller :ok:

J'espère que mon histoire et le tuto pourront aider les descos du coin et autres paumés :)

MON HISTOIRE (pavé à suivre)

Phase I - Enfance

Mes parents se sont séparés avant ma naissance. Pendant longtemps, je n'ai pas eu de contact avec mon père, même pas une photo à disposition. Je suis de cette génération où les femmes peuvent faire des « bébés toutes seules. » :hap: Par contre, j'ai toujours connu mon beau-père.

Petite enfance assez cool. Je suis un enfant timide mais précoce et très curieux. Je m'intéresse aux dinosaures et envisage de devenir paléontologue plus tard. A la maternelle, je suis pas un des gamins les plus populaires mais j'ai quand même pas mal de copains et de copines. Je suis élevé par ma mère, sa meilleure amie et mes grands-parents. On va dire que malgré l'absence de figure paternelle forte (un grand-père macho mais c'est tout), je suis entouré d'amour et j'évolue dans un bon cadre, propice à l'épanouissement. Mon beau-père est présent de temps à autre et se montre cool avec moi. Je mate beaucoup la télé, je commence à lire un peu à l'âge de 5 ans et pas mal à l'âge de 6 ans. Toutefois, je fais pas mal de cauchemars récurrents dans lesquels je me fais bouffer par une marionnette atroce. Mon plus vieux cauchemar encore en mémoire doit remonter à l'âge de 3 ans.

Vers l'âge de 7 ans, les choses commencent à changer. Mon petit frère naît et là, mon beau-père passe de mec cool à mec tyrannique :pf: Le genre à trouver des punition à la c*n sans jamais rien expliquer, châtiments physiques compris. Moi qui n'avait pas trop besoin d'autorité puisque j'étais un enfant calme et poli, ça a fait tout drôle. Je commence à devenir un gamin anxieux et les cauchemars sont toujours là, je développe des tics. Malgré tout ça, j'excelle à l'école. C'est même moi qui apprend des trucs à la maîtresse parfois :pf: Je reste un gamin qui a la soif d'apprendre, tout en faisant pas mal de dessins, constructions Lego perso etc. Et niveaux potes, j'en ai de moins en moins mais des bons. Je perds mon arrière grand-père. Un vrai bonhomme d'un autre temps, paysan, militaire et pompier. Première fois que je suis confronté à la mort. En CE2, je tombe amoureux d'une fille. Je l'invite même à mon anniversaire… Mais il ne se passe rien, elle me trouve trop « sérieux. »

En CM1, je manque pas mal l'école à cause d'un staphylocoque doré. Pour passer le temps, je joue à la console, mate la tv et des films (j'étais un gros télévore). En CM2, je ne sais pas ce qui arrive, mais mes notes commencent à baisser légèrement. Je passe d'un 19 de moyenne récurrent à un 15,5.

Globalement, je n'ai pas eu une enfance trop médiocre. Les points négatifs étant l'absence du père et les vexations répétées de mon beau-père comme me foutre ses crottes de nez au visage, sa salive, me soulever de tout mon poids par les cheveux etc...

Phase II - Adolescence

J'entre en 6e. Bien entendu, le beau-père est toujours casse-bonbon. Même si j'ai encore d'excellentes notes parfois, ma moyenne baisse à 14 j'ai aussi des cartons, parallèlement). Je commence à faire le con sévère car j'ai de mauvaises fréquentations. Vous savez, ces jeunes crétins qui se foutent de tout. En classe, j'ai de plus en plus de mal à me concentrer et mon esprit vagabonde sans cesse. Je me fais des orgies de bonbons :pf: Il faut aussi savoir que la meilleure amie de ma mère qui m'a aussi élevée en partie meurt. C'était comme une seconde mère, d'autant plus que c'est cruel car elle et ma mère se sont embrouillées pendant un temps et il y avait un projet de réconciliation...

En 5e, j'ai ma première copine. C'était une catho tradi avec le look qui va avec mais osef :hap: Je l'ai séduit en tchatchant et en faisant un peu le fou. Donc je connais mes premiers smacks et la relation dure un mois. Elle décide ensuite de casser en envoyant une copine messagère :) Je suis effondré et je pleure en rentrant chez moi pour faire une PLS. D'autant plus qu'elle était amoureuse d'un autre qui en avait rien à foutre d'elle (surtout que c'était un peu la honte de se maquer avec une fille « pas du tout à la mode »). Je tombe amoureux d'une autre fille mais après la rencontre pour voir si je suis à son goût, j'apprends par la suite qu'elle a dit que je suis une « horreur.» :pf: Là, le peu de confiance que j'avais en moi s'évapore. Les notes continuent à baisser, je passe à 13 de moyenne.

La 4e. Moment terrible où les choses commencent vraiment à basculer. Je deviens très anxieux, renfermé, terriblement concerné par mon apparence et porte des survêts Lacoste, Sergio Tacchini, des Air Max car c'est la mode. Je voulais me « fondre dans la masse » (ce que j'ai dit à un pote, sic). Surtout que je commence à être très complexé par ma taille. J'étais dans une classe de redoublants en plus et certains avaient déjà des corps d'homme. Y avait même un type d'1m93 et costaud :pf: Oui oui, en 4e. Surtout que moi, j'étais en-dessous du mètre 60 pour 40 kg tout mouillé. La majorité de la classe me méprise car j'ai 0 énergie, et mon attitude renfermée fout le malaise. Je suis comme éteint, à tel point que des profs s'en inquiètent. En classe, j'ai énormément de mal à suivre et mon esprit vagabonde souvent. J'ai des crises de panique au tableau et tout le monde se moque de moi :ouch: Mes moyennes chutent à 11. Je traîne avec les plus oufs de la classe car ce sont les seuls qui m'acceptent (tout en me taillant sévère). En fait, il y avait un mec simplet dans la classe et le groupe s'est acharné sur lui. J'ai décidé de suivre (avec culpabilité) pour pas être moi-même la victime. Je suis mis à pied trois jours à cause d'une histoire avec lui. Quant aux filles, je me retrouve dans la classe de celle qui m'avait traité d'horreur, avec un gros malaise :) Hors de question de draguer avec mon manque d'énergie et ma confiance en moi anéantie, surtout que mon beau-père est plus horrible que jamais. Il me confisque même mes sapes pour que je mette celles de mon petit frère et me paye la honte au collège :pf: Je précise aussi que je ne fais que regarder la tv ou jouer à la console, n'ayant plus la force de lire. Autre détail, le fou de la classe organisait des espèces de Fight Club. Je voulais pas me battre contre un type mais lui s'est pas gêné et m'a salement pété la gueule. Je suis entré en classe la gueule défoncée (bon, pas autant que dans Irréversible) et la prof m'a même pas envoyé à l'infirmerie, elle s'est même permise de me descendre :pf:

J'entre en 3e. Suite à l'histoire avec le type, l'établissement disloque notre groupe qui a eu l'histoire de harcèlement et le leadeur part dans un autre collège (on y reviendra). Je me retrouve donc isolé dans la classe. Même si j'ai d'anciennes connaissances, c'est plus pareil. Je traîne avec un groupe « alternatif », enfin disons carrément bouche-trous. Je tombe amoureux d'une fille populaire avec qui je suis à côté en classe. Le courant passe bien. Elle m'écrit même sur ma trousse « bisou où tu veux », autant vous dire que j'avais la demi-dure :hap: Mais là, catastrophe, le groupe populaire de la classe lui monte la tête en disant que je suis un fou et un psychopathe (j'en avais un peu l'attitude chelou à ne montrer aucune émotion). Elle décide d'un coup de me mépriser. Confiance en moi : very low. Je passe ma 3e avec 11 de moyenne et difficultés en Maths, sans conviction. Je me fais toutefois pote avec un des yes life de la classe, ce qui me permet d'incruster une partie du groupe dominant, mais ça me taille ponctuellement. J'ai mon brevet, sans trop briller. Je revois par hasard l'ancien leadeur organisateur de fight club en rue et il décide de reprendre contact. Le salaud a pris au moins 12 cm :pf : Je suis encore complexé par ma taille car en fin de 3e, je devais faire à peine 1m64. Le beau-père est moins pénible car je suis presque aussi volumineux que lui même si les histoires avec sa personne ne sont pas terminées.

Vacances en Corse. Je pars deux semaines au Club Med où je rencontre de jolies filles. Mais étant trop lâches pour traîner avec des gens de mon âge, je traîne avec ceux qui ont deux ans de moins (pour être le plus grand aussi) :hap: Je tombe amoureux d'une tennisgirl mais qui en préfère un autre. PLS. Je jette ensuite mon dévolu sur une grande hollandaise avec qui le courant passe bien. Mais PLS de nouveau, je dois partir le lendemain :) J'entre ensuite en centre aéré pour ado dans une ville de prolos (chez mes grand-parents). Là, une fille pas trop dégueu veut sortir avec moi. Mais je le sens pas et je ne donne pas suite sèchement. Elle décide de se venger et envoie une amie me cracher de l'eau au visage :pf:

J'entre en seconde, à 1m66 :hap: Je ne sais pas ce qui m'est arrivé, mais je regagne d'un coup un peu de confiance en moi. Je tchatche avec des filles. J'obtiens même un rencard avec une jolie antillaise. Le rencard se passe pas trop mal. Puis elle décide de ne pas donner suite. Nouvelle PLS, mais heureusement que je n'étais pas amoureux. Plus tard, j'ai appris qu'elle s'était faite doigter dans un coin par une racaille :hap: Je reperds confiance en moi et passe à 10,5 de moyenne. Avec le leadeur de 4e devenu grand, on se fréquente beaucoup. On commence la musculation ensemble (pas sérieuse), on va régulièrement au centre commercial, on mate des clips de Britney Spears, Michael Jackson, Justin Timberlake (il est dans un délire fan de stars et je finis par être contaminé)... Je traîne avec le peu de garçons de ma classe, ce sont juste des bouche-trous. Je fais ma première fête pour le réveillon. Mais je n'intéresse aucune nana, je passe assez inaperçu. En mai, je décide de sécher les cours pour partir seul au festival de Cannes 2005, hyper deg du lycée. La première nuit est dure, je dors sous un buisson avec les moustiques. Le fameux pote me rejoint plus tard et on pionce sur la plage. Dure confrontation du réelle, tous les soûlards et tarés sont en notre présence. On assiste même à des bastons avec des cailleras. Mais malgré tout, on est contents car on voit des gens connus. Je retourne en classe plus deg que jamais et décide carrément de ne plus y aller avant la fin. J'ai totalement décroché. Ma seconde est tout de même validée. On me suggère de m'inscrire dans un autre lycée mais je ne donne pas suite.

Phase III - Descente aux enfers

JE DEVIENS OFFICIELLEMENT DESCO (nous sommes en septembre 2005). J'arrête la muscu (j'avais pas pris grand chose de toute manière). Mon quotidien se résume à glander sur les forums dont celui-ci, suivre les Feux de l'Amour (si si), regarder E ! Entertainment (la chaîne sur les stars anglo-saxonnes), jouer aux jeux vidéo. Je ne fréquente plus trop les anciennes connaissances, à part le fan de star qui me rabaisse allègrement. Mon grand-père est atteint d'un cancer au poumon et va mal. Il est amaigri et des fois je le ramasse par terre. Moments pénibles. Je pars toutefois me changer les idées en Angleterre un mois pour apprendre l'anglais, dans deux familles d'accueil successives. Le but était déjà de changer d'air puis de mieux parler la langue de Shakespeare pour faciliter un futur voyage aux USA tenter ma chance dans l'acting oue le mannequinat :hap: J'avais ce genre d'ambition à cause de mon pote. Faut dire que c'était tout trouver pour me faire fantasmer d'autres choses dans ma vie de merde. Mon niveau d'anglais monte pas mal, mais retour du réel. Il faut rentrer chez soi. Mon grand-père va de plus en plus mal à cause de son cancer du poumon. C'est la fin, il meurt. Gros coup dur, vu que même s'il y avait pas une grande complicité, c'était pas un inconnu pour autant (j'allais chez mes grands-parents quand c'était possible les week ends et vacances pour échapper au beau-père). Confiance en moi anéantie, je deviens même parano. J'ai l'impression que les gens ne font que me fixer en rue pour se moquer de moi :pf: Le pire étant les bus scolaires aux feux. J'en arrive même à prendre le train à 6h30 du matin pour ne croiser personne, pour aller chez ma grand-mère ou revenir chez moi. Bref, archétype du desco asocial. Je squatte des RPG à fond, ou des jeux chronophages comme Animal Crossing. Je me frite avec mon beau-père qui faisait le chaud à table. Maintenant, je peux rivaliser.

" Je rencontre " une fille sur un forum et on commence une « relation » virtuelle sur MSN. Je développe même des sentiments. Mais elle m'envoie des photos bidon, sort des histoires abracadabrantes et on me fait même croire qu'elle est morte :pf: Encore pas de chance. Je consulte psychologue et psychiatre. Mais ça n'arrange rien à mon malheur car je parle peu et j'ai du mal à identifier mes soucis profonds. Je reprends un peu le sport avec des pompes et des footings.

Je monte à Paris un jour en 2007 et je tombe sur une superbe fille dans le métro. Le genre fille de l'est archi-mignonne avec des traits parfaits et tout. Je la fixe et elle me fixe aussi quand je sors du wagon (elle a du se dire « mais c'est qui ce cas social qui me dévisage?). Bref, malheureux car je sais que je ne la reverrai jamais. ET POURTANT, en consultant un site de mannequinat, devinez sur qui je tombe ? :hap: Je l'ai reconnu à cause d'un grain de beauté à la même localisation. Plus tard, je prendrai contact avec elle sur Facebook, même si j'ai mis plusieurs années à lui avouer qui j'étais. On y reviendra sur les filles de l'est. Peu après, je décide de partir tenter ma chance aux US en bossant illégalement, comme un ouf, rien à perdre. Je me fais refouler à la douane de l'aéroport aux US pour une histoire de billet de correspondance que j'avais pas (on la leur fait pas, j'ai fini par craquer, surtout vue la pression et mon côté asocial peureux). Je rentre donc chez moi en traversant des hordes de racailles, retour du réel. Je dors même dans mon grenier pour pas que ma famille me croise mais ça fail :pf: Grosse PLS. Puis un mois plus tard, le coup de grâce : ma grand-mère que j'aimais beaucoup meurt elle aussi d'un cancer. Je l'ai accompagné jusqu'à la fin. Je suis effondré.

Quelques mois après, trop déprimé, je décide de suivre un traitement psychiatrique. Mais je tiens trois jours avec cette polymédication de mer*e qui flingue plus qu'autre chose. J'arrête le traitement d'un coup et là, c'est la PLS littérale : je n'ai plus goût à rien, l'énergie psychique et physique au plus bas. J'ai envie de mettre fin à mes jours et je finis hospitalisé.

Après ce choc, je décide de me reprendre en main. Reprise du lycée mais par correspondance au Cned pour préparer le Bac L (celui que je sentais le mieux). Retour à la muscu, je commence mon premier taffe comme plongeur en resto (on me garde pas car je suis trop lent) et je suis avec une espèce de gros beauf qui me taille. Je fais ensuite un taffe d'aide-déménageur. Chaud mais jouable et je gagne ma première vraie paye de plus de 1000 euros. Je pète un peu les plombs niveau look et je décide de me teindre en blond platine, avec un look Rock ringardos (je tiens deux mois comme ça). Je deviens une espèce de paria et on se moque ouvertement de moi en rue. En plus je marche bizarre avec mes grosses pompes. Je fais les vendange : une portugaise beauf a l'air de s'intéresser à moi mais je ne tente rien car me plaît pas. Une autre fille sympa qui me plait mieux a l'air intéressée. Mais après quelques échanges sur MSN par la suite, elle ne donnera pas suite justement. Encore un échec. Je m'énerve et tombe sur des articles parlant du succès sexuel du bad boy (je suis toujours puceau bien entendu). Je décide de porter un masque de trou du cul, je me dégote des stéroïdes anabolisants, d'autant plus que je reprends contact avec une fille de maternelle via Facebook. J'ai donc mon second vrai rencard et je me conduis comme un conna*d. Mais bizarrement, elle est ok pour un second rdv. J'arrête les stéroïdes car il y a plus d'inconvénients que d'avantages. Je cherchais la demer à tout le monde, ça allait mal finir. Je suis passé du type effacé au surconfiant, sans aucune maîtrise. Je revois la fille un mois plus tard et je vois qu'elle est moins bien sapée. Je sens que c'est mal parti. Je suis moins conna*d et à la fin, je tente de l'embrasser. Elle me sort un « nan la bise ! Rien d'autre. » Sur cet énième échec, je décide de ne plus la revoir. Trop humiliant. Entre-temps, mon pote a réussi à sortir avec la fille qui lui faisait fantasmer depuis longtemps, par un gros coup de chance en plus. La petite bourge à la vie dorée, mais mon pote ne m'en fait pas profiter (faut dire que je suis encore asocial, ça parle même dans mon dos en salle de muscu). Une arrière-grande tante (que je connaissais bien) meurt. Ouais, ça commence à faire beaucoup.

La solitude me pèse plus que jamais. Je réussis toutefois à faire venir un contact fille de MSN chez moi. La meuf est passée d'un road trip australien de 11 mois à chez moi, dans une ville de province moyenne chez un mec louche :rire: Le courant passe pas trop mal et ça finit dans mon lit… Sauf qu'elle est pas à mon goût, du coup, c'est mort pour coucher avec elle. Mais j'ai un nouveau smack et des câlins, tout en ayant la demi-dure. J'ajoute des filles de l'est au hasard sur mon Facebook et je sympathise avec certaines. Une fille me dit même qu'elle est amoureuse de moi. Puis je commence à être virtuellement romantique, et je sens qu'elle s'éloigne. En stalkant son FB, je sentais qu'un truc clochait avec un kéké de son coin (je pigeais pas le lituanien, mais forte intuition). Elle finit par m'avouer qu'elle s'est faite dépuceler par son kéké :pf: PLS. Je réussis quand même à lui faire accepter de me rencontrer à Londres où elle commence ses études. Je suis toutefois très isolé car mon pote a changé de ville. Je reprends un traitement psy car la solitude est insupportable. Je tiens 4 mois comme ça, mais j'ai des effets secondaires gênants, comme pioncer 12 heures par jour ou avoir une jambe presque paralysée après le sport :pf: Je décide d'arrêter d'un coup comme la dernière fois, avec les risques que ça comporte. Mais heureusement, ça s'est beaucoup mieux passé.

Je rencontre une fille à l'épreuve du bac. J'obtiens un rencard, je vais en boîte (une petite) pour la première fois et ça ne me plaît pas. Je l'invite dans ma chambre et on sent qu'elle attend un truc physique. Mais pareil, elle n'est toujours pas à mon goût et je fais rien. J'obtiens mon bac L sans briller, juste le minimum syndical. La rencontre avec la lituanienne se rapproche, je déprime dans mon coin à rien glander (même pas de muscu) en attendant. Je vide des bières et je glande sur le PC. Je tente malgré tout un peu de drague après avoir vu le film réalisé par Soral. Que des échecs. Je ne tremble pas, mais ça se voit que je suis mal à l'aise et que je manque d'intelligence sociale.

Arrive enfin la rencontre à Londres. Je parle anglais couramment. Le feeling passe, les échanges sont fluides. Puis baisse d'énergie. Mon anglais devient médiocre et je parle de moins en moins :pf: Elle finit par me trouver zarbe. Je tente de la serrer et elle me repousse en rigolant. Au final, il ne s'est rien passé. Le comble du malaise a été quand elle a amené sa petite soeur de 12 ans au dernier rendez-vous :hap: Je précise qu'elle fait 1m83 (la grande, pas la petite hein) et moi, me suis arrêté à 1m70 :hap: Je suis vénère, archi-vénère :hap: Je décide de m'enfiler plein d'ebooks sur la drague et la séduction et de vraiment changer car j'en avais marre de tous ces échecs. Il se trouve aussi que je vais entrer en fac, en filière poubelle mais osef.

Phase V - Délivrance

Je continue donc à étudier dans ma fac-poubelle licence-poubelle sans briller. Je rencontre ma première vraie copine à un arrêt de tram en l'abordant (elle avait un sac Prague, bon opener je suis rodé en drague). C'est une demi-séfarade campagnarde qui fait du cheval. Je m'aperçois bien vite que c'est une bien-pensante hystérique mais malgré tout, la relation dure 10 mois (on a couché ensemble qu'au bout de 6 mois, pas possible avant vu qu'elle était trop occupée pour se voir, beaucoup de tâches à la campagne). J'ai parfois eu des coups de blues brefs et intenses durant cette période.

On finit par rompre et j'ai les boules, donc j'aborde une meuf le jour-même qui devient ma nouvelle copine ! C'est une Maghrébine pas trop expérimentée mais tant mieux. Je squatte dans sa chambre étudiante tous les dimanches et lundis en bouffant du couscous de sa mère :) Je précise qu'ayant eu des copines, j'ai arrêté la drague et du coup je passais pour un mec moins louche à la fac même si souvent en retrait à avoir des relations amicales très sélectives.

2013. J'obtiens ma licence de com mais je veux changer. Je demande une passerelle en Master 1 Psychologie du Travail car j'envisage un job dans les RH. La fac accepte. Je rencontre un khey du forum (pas le premier). Il m'emmène à Albertville où j'ai vécu deux ans étant très jeune, ça fait bizarre d'y retourner. Le mec est sympa mais dépressif, on a beaucoup de délires en commun.

Je commence à me mettre sérieusement au permis et j'ai mon code du premier coup. Par contre, la conduite est un enfer car me donner des instructions me fait boguer et je fais masse de conneries. Mon oncle moniteur me donne des cours particuliers gratos et plus tard, j'aurai mon permis du second coup. Conducteur régulier (sauf en Pologne, on y viendra) et pas d'accident depuis. Je précise que je n'avais pas besoin de voiture avant, je prenais surtout les transports en commun et je vivais dans une ville bien desservie.

Je valide mon premier semestre de M1 Psychologie mais je me fais descendre par mon prof tuteur pour le mémoire. Un crypto-dépressif. Mes idées sur le charisme ne passaient pas, donc il a fini par me proposer de faire un mémoire sur le genre au travail. C'était la goutte d'eau, je me casse de la fac à bac + 3,5.

Malgré tout, je fais mon stage de RH dans une association sportive avec un gros turnover. J'y reste 3 mois et ça se passe plutôt bien, c'est limite moi qui bosse le plus car le département com ne branle pas grand chose. Il y a parfois quelques anicroches avec le patron, un franc mac multimillionnaire d'1m60 :hap: On va dire qu'outre les petits boulots saisonniers, c'est ma première vraie expérience pro même si non rémunérée.

Eté 2014, je décide de faire la moitié de la France en stop pour aller en Bretagne (où j'allais l'été étant gosse avec de bons souvenirs), en passant voir des connaissances dans deux grandes villes. La tente dans le sac à dos en faisant parfois du camping sauvage, je me suis donc exécuté. 10% des gens m'ayant pris étaient assez bizarres, dont un pecno me regardant avec un air zarbe et une jeune meuf roulant à 160 (interdit en Bretagne limité à 110 sur l'autoroute) tout en pianotant sur son portable et en me répondant uniquement avec des interjections :pf: Je fais une demande de RSA que j'obtient car 25 ans :hap:

Très intéressé par le monde du bio, je m'inscris dans une école payante de naturopathie. C'est une formation intensive sur un an avec certification reconnue à la clé. Je rencontre des meufs sympas qui sont dans un état d'esprit orthorexique et alternatif. Même si comme souvent, les 3/4 de la classe ne m'aime pas beaucoup car je suis très exclusif dans mes relations, glacial avec les autres. Je comprends que c'est mon caractère profond et qu'il n'y a pas à en avoir honte. Les cours sont épuisants et il faut s'accrocher contrairement à ce qu'on croit. Beaucoup de théories mais on fait quand même de l'anat-physio pure et dure, de la biochimie etc. Je réussis l'examen national sans trop de difficulté. Je fais une monodiète de 6 jours au jus de pomme bio pour l'expérience.

Début 2016, je me lance comme naturopathe libéral dans ma ville natal mais je bide. Seules des connaissances me sollicitent. Je revois un gars du net avec qui je discutais régulièrement depuis 2007 (et qui m'a aidé à rencontré mon premier plan cul sur MSN au passage). Le gars est costaud et assez brutal, il aime la baston sous vodka donc pas toujours trop rassuré avec lui. On part au festival de Cannes (déjà retourné avec ma Maghrébine) en squattant chez un éboueur qu'on a sollicité dans la rue puis chez un pote de mon ancienne école qui a déménagé là-bas. C'est un Parisien donc je vais le voir chez lui également (le costaud).

1 mois de plonge en resto + commis de cuisine midi et soir en août 2016. Super éprouvant, je n'avais jamais autant enchaîné en étant seul dans un endroit souterrain en plus. Je me rends compte que je ne peux pas être un trimard.

Mars 2017. Avec un khey du forum, on décide de partir en road trip à Wroclaw en Pologne (avec Tinder international, il a sympathisé avec une meuf de ce coin). On va la voir et on est très surpris par le calme et le fait de ne pas croiser de rouilleurs. Dans la foulée, on visite Krakow où j'ai un peu une révélation. Retour à Wroclaw puis dans la foulée, Berlin et Prague. Jamais autant voyagé d'un coup. Juste après, j'arrête mon activité de naturopathe libéral.

Je sens que ça tourne en rond avec ma Maghrébine et le fait que je ne puisse pas assumer la relation me les casse, on s'est caché de sa famille musulmane pendant près de 5 ans (je les ai déjà croisé mais ils ne savaient pas qui j'étais). Je mets un terme à cette relation, non sans tristesse.

Me voilà libre sexuellement et je retourne en Pologne en vacances où j'ai des expériences sympas :) Même si la Polonaise de base n'est pas facile pour des raisons culturelles (pas eu de révolution sexuelle dans ce pays, beaucoup de cathos tradis et accès à l'IVG difficile).

Je m'intéresse aussi pas mal au monde du contenu web SEO et de la crypto-monnaie. Vu que je sais rédiger, je ponds des articles en amateur sur divers sujets.

Dès que je peux, je fais un séjour en Pologne (surtout entre Cracovie et Varsovie). Je rencontre un Français au parcours atypique qui me propose une colloc. Je retourne en France puis j'accepte quand j'ai suffisamment d'argent et enfin, je vais vivre à Cracovie en supprimant mon RSA (j'avais de l'argent de côté). Nous sommes fin 2018.

Je fais pas mal de rencontres, dont des Français louches. J'ai d'ailleurs été témoin d'une histoire d'escroquerie à laquelle j'ai du rendre compte aux autorités. Je rencontre des meufs mais rien de concret à part des flirts. Il faut croire qu'il y a une vraie dimension de saisonnalité en Pologne, elles sont plus chaudes l'été mais focus sur leurs études et taffe en-dehors.

Grâce à mon colloc, je trouve un taffe de téléopérateur (isolation à 1 euro). Je deviens rapidement le plus performant de la boîte car avec la drague etc, j'ai développé ma tchatche. Mais il y a un hic. La boîte est très mal gérée par des Orientaux qui ne vivent même pas en Pologne. Je reçois mon premier salaire mais pas le second, ce qui me fout dans la merde financièrement (d'ailleurs ça m'a poussé à m'intéresser à la "liberté financière). Vous souvenez-vous de la Polonaises croisée dans le métro parisien en 2007 et avec qui je reparlais sur Facebook ? Il se trouve qu'elle revenait dans sa ville natale de Wroclaw (elle travaille à Hong Kong). J'ai donc pu la rencontrer là-bas. Mais putain, c'est une géante d'1m80 :rire: Le courant passe pas trop mal. Pas intimidé par cette géante, en plus ancien mannequin. Limite, je m'en bats les steaks mais je ne tente rien, manquait un truc.

Il faut savoir qu'entre-temps, j'ai rencontré une jolie Polonaise peu expérimentée, cultivée, introvertie, bref le rêve pour moi. Je l'ai rencontré sur la place publique pendant qu'elle bossait et en plus, en faisant une démo devant un khey (el famoso BG timide d'1m90 qui n'est pas une légende) et des potes :rire: Mais c'est le drame, je dois la quitter par manque de flouze et retour en France. En plus, la relation avec mon colloc s'était dégradée.

Je reviens donc dans ma ville natale déprimante et en plus, dans la chambre où je passais le plus clair de mon temps quand j'étais desco. Je picole régulièrement avec mon pote rebeu, en sortant les mêmes délires en boucle depuis 2005 (ceux qui connaissent la vie de petite ville de province comprendront). C'est celui qui faisait des fight club en 4e, qui était dans le délire stars, devenu gros baiseur et yes life puis a fini galérien sous médocs.

C'est la dépression mais hors de question de reprendre des médocs donc c'est vie saine à part la picole de temps en temps, j'essaye de faire venir un maximum de potes. Je fais les vendanges pour me refaire du fric mais elles sont particulièrement difficiles cette année-là car en sous-nombre et elles s'étalent. Je suis rincé.

Je n'en peux plus et décide de rebondir pour préserver ma santé mentale. Je cherche intensément un travail à Cracovie grâce à des groupes Facebook. J'ai 5 réponses sur 10 et 3 entreprises sont intéressées. Ce sera dans une multinationale du web. Nous sommes en décembre 2019 et je repars à Krakow pour Noël.

Ma Polonaise avec qui j'ai communiqué presque quotidiennement entre temps me dit qu'elle m'a attendu et on entame une relation. J'ai un Air BnB sympa pendant 6 semaines en attendant mon taffe dans lequel il faut fournir un tas de paperasse.

J'entre dans cette boîte et me forme. Le taffe est assez usant mais bien payé pour la Pologne (930 euros/mois net, salaire moyen 750 euros net en Pologne). N'étant plus trop friqué en attendant le premier salaire, je dois vivre un mois dans un hostel. Pas top mais grâce à la crise du covid et après un autre Air BnB, je trouve un petit studio pas cher proche du centre.

Hélas, j'ai fait un burnout mi-2020 à cause de la pression au taffe. Ceci a créé pas mal de tensions avec ma meuf. Je suis allé à un mariage polonais notamment mais aucune énergie, je tirais bien la gueule donc c'était un peu l'affiche et ça a agacé ma meuf.

Malgré ça, on est partis en vacs dans le nord de la Pologne à Gdansk et dans le sud à Zakopane en été, c'était vraiment super.

Malheureusement, il a vite fallu reprendre la routine du taffe en septembre et les nouvelles mesures de restrictions n'ont pas arrangé les choses. Vraiment con car je vivais tout proche du plein-centre.

J'ai appris qu'un bon pote a failli mourir, ça m'a vraiment mis un coup et ma copine n'a pas pris ça au sérieux, ce qui m'a énervé. Je voyais aussi qu'elle n'avait pas l'air heureuse avec moi et il y avait de plus en plus de tensions. Autre grand coup quand un ami est vraiment mort. Je refais un burnout.

C'en est trop, je décide de me séparer de ma meuf qui est estomaquée et ne comprend pas mon choix. S'en sont suivies de multiples crises de larmes, recoucher ensemble à de multiples reprises et tentatives de reconnexion mais en vain.

Coup de grâce : le jour de mon anniversaire, j'ai appris 7 ans après que mon meilleur ami du collège était mort dans un accident de voiture. Je l'avais recontacté par messages plusieurs fois mais dans le vent, je sais pourquoi maintenant. Je pensais juste qu'il me ghostait.

Bref, une accumulation de claques en 6 mois. Je change souvent d'apparts, de taffe (dur de trouver une planque) et je couche avec pas mal de meufs. Jamais eu autant de succès que cette année. Mais au final, je pense beaucoup à mon ex polonaise. La pauvre est sous AD depuis la rupture et je culpabilise. Toutefois, la vie ensemble n'est pas possible.

J'ai fini par sortir avec une nana de 20 ans, une conservatrice de village polonais. J'en ai bientôt 33. Voilà, on verra où ça mène.

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Everett-Jones
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25 août 2016 à 15:50:54
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