[Officiel] Les Infirmiers/ères du 18-25
Le 18 octobre 2022 à 15:03:27 :
Oui pas de soucis
Le 18 octobre 2022 à 16:08:36 :
C'est refermé et propre, tu peux y aller
Merci les kheys !
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.Raconte :mojito: :parasol:
J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
les infirmiers du faux rhum
Je ne suis pas du tout infirmier mais je pratique un sport qui nécessite de savoir désinfecter une plaie (la randonnée).
En effet en rando, surtout en itinérance, on n'est pas à l'abri de glisser et de se blesser par exemple sur des pierres.
Vous savez probablement comment désinfecter une plaie.
Vous accepteriez de m'expliquer
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
>A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
Raconte :mojito: :parasol:
J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.
Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.
Le 20 octobre 2022 à 11:24:58 :
les infirmiers du faux rhumJe ne suis pas du tout infirmier mais je pratique un sport qui nécessite de savoir désinfecter une plaie (la randonnée).
En effet en rando, surtout en itinérance, on n'est pas à l'abri de glisser et de se blesser par exemple sur des pierres.
Vous savez probablement comment désinfecter une plaie.
Vous accepteriez de m'expliquer
Tu dois avoir des tutos sur YT
Le 20 octobre 2022 à 11:24:58 :
les infirmiers du faux rhumJe ne suis pas du tout infirmier mais je pratique un sport qui nécessite de savoir désinfecter une plaie (la randonnée).
En effet en rando, surtout en itinérance, on n'est pas à l'abri de glisser et de se blesser par exemple sur des pierres.
Vous savez probablement comment désinfecter une plaie.
Vous accepteriez de m'expliquer
Pour réaliser une antisepsie, tu peux trouver en pharmacie de quoi faire un protocole biseptine (tu trouves les produits en unidoses): une dosette de savon sur une compresse, puis tu rinces avec une pipette de NaCl (de l'eau quoi), tu sèches puis tu mets un coup de biseptine (spray ou sur une compresse) avant de mettre un pansement .
Après, comme le dit le VDD, tu dois avoir des vidéos sur YT pour t'expliquer plus longuement
Le 20 octobre 2022 à 11:35:22 :
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
> Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
>> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
> >A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
>
> Raconte :mojito: :parasol:
J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.
Toujours touchy de suggérer à un médecin ses prescriptions dès qu'il commence à avoir un peu de bouteille. Me suis faite envoyer chier un jour pour avoir simplement demandé à un vieux de la veille s'il voulait transfuser sa patiente car elle avait 6 d'hémoglobine. Ma démission a suivi.
Ça me fait bien rigoler quand je me souviens des internes de semestre 1 avec lesquels j'ai pu bosser qui me demandaient carrément comment prescrire tel produit (et je parle pas de se servir du logiciel mais bien des posologies, etc.) et me demander quoi faire face à telle situation.
On sait d'où vous partez les gars, et chier sur les IDE dès que vous avez un peu de maturité c'est indécent, vous étiez bien contents de nous trouver quand vous avez commencé et que vous ne saviez même pas prescrire de l'acupan et quoi faire face à telle situation plutôt simple...
Le 21 octobre 2022 à 08:45:57 :
Le 20 octobre 2022 à 11:35:22 :
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
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> Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
>> Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
> >> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
> > >A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
> >
> > Raconte :mojito: :parasol:
>
> J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
> Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
> L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.
OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.
Toujours touchy de suggérer à un médecin ses prescriptions dès qu'il commence à avoir un peu de bouteille. Me suis faite envoyer chier un jour pour avoir simplement demandé à un vieux de la veille s'il voulait transfuser sa patiente car elle avait 6 d'hémoglobine. Ma démission a suivi.
Ça me fait bien rigoler quand je me souviens des internes de semestre 1 avec lesquels j'ai pu bosser qui me demandaient carrément comment prescrire tel produit (et je parle pas de se servir du logiciel mais bien des posologies, etc.) et me demander quoi faire face à telle situation.On sait d'où vous partez les gars, et chier sur les IDE dès que vous avez un peu de maturité c'est indécent, vous étiez bien contents de nous trouver quand vous avez commencé et que vous ne saviez même pas prescrire de l'acupan et quoi faire face à telle situation plutôt simple...
Quand je bossais en psy j'ai eu une interne en psychiatrie qui, elle, m'a un jour dit que c'était les infirmiers qui lui avaient le plus appris
Salut les larbins !
IDE depuis 4 ans et en recherche de reconversion depuis 5 🙊
Je suis rentré en IFSI tellement motivé, j’étais pourtant pas un lapin de 6 semaines, j’en ai fait des boulots difficiles mais on m’a jamais autant humilié qu’en stages. Je suis un homme et d’expérience, l’armée c’était un camp de boy scouts à côté.
Jamais vu autant autant d’inhumanité et d’absence de bienveillance que dans ce milieu. Des stéphanie de 25 ou 50 ans et 45 kg qui, dans le service, te maltraitent et te crachent à la gueule alors que dans le civil elles oseraient pas le centième de ça.
Un milieu très toxique, c’est inimaginable quand tu connais personne qui en vient.
Force et honneur aux IDE et AS qui on su rester décents !
Le 21 octobre 2022 à 11:19:05 :
Salut les larbins !IDE depuis 4 ans et en recherche de reconversion depuis 5 🙊
Je suis rentré en IFSI tellement motivé, j’étais pourtant pas un lapin de 6 semaines, j’en ai fait des boulots difficiles mais on m’a jamais autant humilié qu’en stages. Je suis un homme et d’expérience, l’armée c’était un camp de boy scouts à côté.
Jamais vu autant autant d’inhumanité et d’absence de bienveillance que dans ce milieu. Des stéphanie de 25 ou 50 ans et 45 kg qui, dans le service, te maltraitent et te crachent à la gueule alors que dans le civil elles oseraient pas le centième de ça.
Un milieu très toxique, c’est inimaginable quand tu connais personne qui en vient.Force et honneur aux IDE et AS qui on su rester décents !
Persoent je bosse en prison pour m'autoriser à être désagréable envers les repris de justice, à l'hôpital public j'avais trop d'empathie (surtout en renutrition).
Mais mes collègues - hormis la médecin hématologue dont je parlais plus haut - ont toujours été plutôt sympathiques donc ce que tu me décris me surprend
Je parlais surtout du statut d’élève/stagiaire, si tu as bien lu. Avec les collègues, c’est un peu différent : tout se fait par derrière, dans l’hypocrisie la plus totale 🙂
De toutes façons, une fois diplômé, je me suis juré que plus jamais je courbais l’échine devant ce genre d’attitude. Y a intérêt à avoir une bonne raison pour me chier dans les bottes.
PersoENT, Je déconseille à tous les jeunes et aspirants IDE de faire ce métier. Conditions de merdes, salaires de merde, tâches répétitives et peu stimulantes intellectuellement (t’es là pour exécuter, les toubibs s’en foutent de ton avis sur les prises en charge). globalement 0 reconnaissance voire mépris de la part de la hiérarchie, des docs, des patients et des familles.
PS : les gens qui imaginent que tous les établissements privés ressemblent à l'hôpital américain de Neuilly alors que c’est le Bengladesh. Vaut mieux se faire opérer et soigner dans le public.
Perspectives d’évolution quasi nulles : plus aucun établissement financent de vraies formations à moins de sucer les cadres pendant des années.
Pratiques avancées MDR 🤣, financer deux ans d’études supplémentaires pour revenir au même poste avec 50e de plus par mois.
Pour vivre correctement de son travail aujourd’hui, faut soigner l’argent pas les gens malheureusement.
Le 21 octobre 2022 à 08:45:57 :
Le 20 octobre 2022 à 11:35:22 :
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
> Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
>> Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
> >> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
> > >A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
> >
> > Raconte :mojito: :parasol:
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> J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
> Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
> L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.
OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.
Toujours touchy de suggérer à un médecin ses prescriptions dès qu'il commence à avoir un peu de bouteille. Me suis faite envoyer chier un jour pour avoir simplement demandé à un vieux de la veille s'il voulait transfuser sa patiente car elle avait 6 d'hémoglobine. Ma démission a suivi.
Ça me fait bien rigoler quand je me souviens des internes de semestre 1 avec lesquels j'ai pu bosser qui me demandaient carrément comment prescrire tel produit (et je parle pas de se servir du logiciel mais bien des posologies, etc.) et me demander quoi faire face à telle situation.On sait d'où vous partez les gars, et chier sur les IDE dès que vous avez un peu de maturité c'est indécent, vous étiez bien contents de nous trouver quand vous avez commencé et que vous ne saviez même pas prescrire de l'acupan et quoi faire face à telle situation plutôt simple...
Alors j'ai déjà eu 2-3 médecins cons voire nuts mais bizarrement je ne me suis jamais fait envoyer chier pour avoir suggéré un traitement.
Le 21 octobre 2022 à 15:34:51 :
Perspectives d’évolution quasi nulles : plus aucun établissement financent de vraies formations à moins de sucer les cadres pendant des années.
Pratiques avancées MDR 🤣, financer deux ans d’études supplémentaires pour revenir au même poste avec 50e de plus par mois.Pour vivre correctement de son travail aujourd’hui, faut soigner l’argent pas les gens malheureusement.
Je suis pas extrêmement positif vis à vis du métier, mais je trouve que tu généralises "légèrement". Je sors justement d'une formation IDE expert en dialyse dont j'en suis très content, j'ai appris énormément de choses malgré plus de 3 ans de pratiques dans ce service. Le métier est pas stimulant si tu décides qui ne l'est pas, j'apprends toujours des choses perso.
Pour l'évolution c'est encore une fois une question d'investissement. J'viens d'être formé justement par d'ancien infirmier qui bosse maintenant chez Fresenius autant te dire que les mecs sont archi biens.
IPA ca vient juste de naitre il faut laisser le temps aux choses de se mettre en places c'est une bonne évolution du métier.
Le 21 octobre 2022 à 09:31:55 :
Le 21 octobre 2022 à 08:45:57 :
Le 20 octobre 2022 à 11:35:22 :
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
> Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
>> Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
> >> Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
> > >> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
> > > >A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
> > >
> > > Raconte :mojito: :parasol:
> >
> > J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
> > Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
> > L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.
>
> OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.
Toujours touchy de suggérer à un médecin ses prescriptions dès qu'il commence à avoir un peu de bouteille. Me suis faite envoyer chier un jour pour avoir simplement demandé à un vieux de la veille s'il voulait transfuser sa patiente car elle avait 6 d'hémoglobine. Ma démission a suivi.
Ça me fait bien rigoler quand je me souviens des internes de semestre 1 avec lesquels j'ai pu bosser qui me demandaient carrément comment prescrire tel produit (et je parle pas de se servir du logiciel mais bien des posologies, etc.) et me demander quoi faire face à telle situation.On sait d'où vous partez les gars, et chier sur les IDE dès que vous avez un peu de maturité c'est indécent, vous étiez bien contents de nous trouver quand vous avez commencé et que vous ne saviez même pas prescrire de l'acupan et quoi faire face à telle situation plutôt simple...
Quand je bossais en psy j'ai eu une interne en psychiatrie qui, elle, m'a un jour dit que c'était les infirmiers qui lui avaient le plus appris
On leur apprend énormément et c'est réciproque.
Les AS sont également d'excellentes alliées.
Le 21 octobre 2022 à 16:57:54 :
Le 21 octobre 2022 à 08:45:57 :
Le 20 octobre 2022 à 11:35:22 :
Le 18 octobre 2022 à 18:17:18 :
Le 18 octobre 2022 à 10:04:42 :
> Le 18 octobre 2022 à 01:25:11 :
>> Le 17 octobre 2022 à 18:34:07 :
> >> Le 17 octobre 2022 à 13:40:19 :
> > >> Le 17 octobre 2022 à 12:06:22 :
> > > >A la lingerie, c'est vraiment pas les couteaux les plus affûtés du tiroir.
> > >
> > > Raconte :mojito: :parasol:
> >
> > J'ai été testée COVID + le 14. Ajd, après une semaine de vacances, je prends mon nouveau poste. Je rapporte mes anciennes tenues à la lingerie sur consigne de mon ancienne cadre (qui sait que j'ai le COVID). Je tombe sur un abruti qui commence à me prendre la tête comme quoi je viens sans le papier de ma nouvelle attestation et que je dois l'apporter pour faire le retour (ah ? Personne ne m'en a parlé). Dans la conversation je balance que de toute manière j'ai le COVID donc la question est réglée vu que je ne prends pas mon poste aujourd'hui (sur décision de l'encadrement vu que ma présence n'est pas indispensable pour faire tourner le service, sinon je suis en capacité de bosser). Qu'est ce que je n'ai pas dit 😂 grosse prise de tête derrière entre lui et moi. Son propos "vous avez le COVID vous n'avez rien à faire à l'hôpital" à plusieurs reprises comme s'il était mon daron et que c'était sa petite personne qui décidait de ça), avec comme réponse de ma part derrière sur le même ton "littéralement toute mon équipe a travaillé avec le COVID, la loi et la sécurité sociale valident ça" (et honnêtement j'ai tellement vu les gens bosser avec le COVID que j'avais même pas la notion comme quoi le maintien en poste dépendait du caractère indispensable de ta présence en service si t'étais ok et en capacité de bosser).
> > Complètement soulée vu que de toute manière il refuse de reprendre mes tenues, je les ai laissées dans le bureau de mon ancienne cadre qui va se charger de les rendre pour moi (sans le papier de ma nouvelle attestation ou je ne sais quoi).
> > L'art de faire des histoires pour que de la merde. L'hôpital public dans toute sa splendeur.
>
> OK, le sous-fifre qui abuse de ses 2 grammes de pouvoir sans comprendre le pourquoi des règles.
T'as toujours quelqu'un comme ça qui sur joue du peu de pouvoir qu'ils ont. J'ai une petite pensée pour la dame de la cantine dans ma clinique, une plaie...
Dans mon ancien hosto c'était un problème avec certains agents d'accueil...infâmes avec les familles, horribles avec les collègues.
de m'incruster dans la conversation.
Quand je bossais en hématologie il y avait une médecin qui me prenait de haut et nous rabaissait, AS et IDE, dès qu'on n'était pas du même avis qu'elle.
J'ai longtemps bossé en psychiatrie donc je connais quand-même pas trop mal les effets secondaires des benzos et un jour elle a prescrit du Stilnox (à l'époque il était pas encore stupéfiant) à une femme de plus de 80 ans qui avait vraisemblablement un début d'Alzheimer et qui dormait mal.
J'ai suggéré qu'on utilise plutôt un neuroleptique elle m'a insulté carrément.
OK elle a fait plus d'études que moi (nous) mais elle est pas intelligente pour autant.
"Je connais les benzos, je suis médecin t'es qui pour critiquer mes décisions ?"
Je suis juste celui qui va appliquer ta prescription connasse, mon avis compte.
OK je suis pas médecin mais je suis pas con pour autant.Une authentique petite merde cette hématologue, ravi de ne plus bosser avec.
Toujours touchy de suggérer à un médecin ses prescriptions dès qu'il commence à avoir un peu de bouteille. Me suis faite envoyer chier un jour pour avoir simplement demandé à un vieux de la veille s'il voulait transfuser sa patiente car elle avait 6 d'hémoglobine. Ma démission a suivi.
Ça me fait bien rigoler quand je me souviens des internes de semestre 1 avec lesquels j'ai pu bosser qui me demandaient carrément comment prescrire tel produit (et je parle pas de se servir du logiciel mais bien des posologies, etc.) et me demander quoi faire face à telle situation.On sait d'où vous partez les gars, et chier sur les IDE dès que vous avez un peu de maturité c'est indécent, vous étiez bien contents de nous trouver quand vous avez commencé et que vous ne saviez même pas prescrire de l'acupan et quoi faire face à telle situation plutôt simple...
Alors j'ai déjà eu 2-3 médecins cons voire nuts mais bizarrement je ne me suis jamais fait envoyer chier pour avoir suggéré un traitement.
Non mais laisse tomber, ce type se prenait pour Dieu, à la fois cardiologue et réanimateur, pire combo ever.
Je me souviendrai longtemps son "on ne transfuse pas sur un chiffre" (dans ce cas ton patient à 3 d'hémoglobine parfois tu l'y laisses ???) pour finalement me faire transfuser la patiente quelques heures plus tard.
J'ai appris de sacrés trucs sur cet endroit quelques temps après. Je n'ai pas senti l'endroit quasi d'emblée. Sachant ce que j'ai appris derrière, mon instinct ne m'avait pas trompée...
Et oui, je fais gaffe à ce que je dis quand je m'adresse à un médecin que je connais pas ou mal tant que je n'ai pas jugé de son degré de susceptibilité et son ouverture d'esprit depuis ce fameux épisode.
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- --crazymarty--
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- 14 juin 2013 à 16:07:57
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