[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?
B1.
Enfin le retour du grand chef
Le meilleur moyen de se défaire d'un ennemi, c'est de s'en faire un ami.
Henri IV
Arc 2 Chapitre 9
4)Retrouver Gwendoline et l’enlever
C) Prévenir Hubert
D) Intervenir vous-mêmes
Samedi 15 Août 2026
- Voilà ce qu’on va faire. Ce soir. On retrouve la Gwendoline, et on la capture.
- Mais si Gwendoline n’est pas là, Lucas ne pourras pas récupérer le «matos ».
- C’est débile mais ça marche.
- De mon côté je préviendrais Hubert, et j’irais avec lui sur place.
- Évidemment, imagine les images.
- Mais on prévient quand même la police.
- Et entre le moment où on capture Gwendoline et ou Lucas viens récupérer le matos ? Elle on la cache où ? Et nous, on fait quoi ?
- Le plus simple serait de la planquer chez elle, dans sa propre habitation. On n’aura pas à la déplacer, et à nous déplacer.
- Nous deux on surveille Gwendoline, et on s’assure que Lucas ne puisse rien récupérer. Du coup, on vient pas avec toi.
- Et moi et Hubert, sûrement en compagnie de la police, on sécurise les lieux.
- Elle se faisait sauter dans la pièce à côté de la loge, non ?
- On sait pas à quoi elle ressemble.
- Sinon, on demande au premier type venu, on lui dit que c’est pour une interview.
Vous retournez à l’accueil, et demandez qui est Gwendoline, On vous à dit qu’elle serait intéressante à interviewer. L’hôte d’accueil vous donne son nom, et prénom, ainsi qu’une photo.
- Reste plus qu’à la retrouver.
Vous passez au peigne fin les stands, et l’intégralité du hall, pour finir par la trouver au stand de crêpes.
- Célestin, il te reste plus qu’à lui demander quand elle finit.
- T’es jeune, ça sera plus crédible.
- Mais elle va croire que je veux la baiser !
Bob et Michel vous poussent vers la queue, affichant des sourires niais.
Vous arrivez finalement à hauteur de Gwendoline.
- Salut mon grand, alors, qu’est-ce que tu veux ?
« Bordel, Célestin, t’as défouraillé Louise et Anaïs, c’est pas un petit flirt qui va te freiner, si ? Et même si elle dit non, la vie s’arrêtera pas. Aller, de la bravoure ! »
- Une crêpe au nutella, avec du sucre glace.
- Okay. Il te faut autre chose ?
- Hum … à quelle heure tu finis ?
« C’est bon, c’est fait, la suite ne dépends plus de moi … »
- Hihi … 19h. Je sortirais par derrière, sur le second parking.
- Elle est comment ta voiture ?
- Mon cocktail préféré c’est le cosmo.
Vous retournez vers Bob et Michel, et leur annoncez la suite des évènements. Vous attendez patiemment 19h, tandis que vos collègues partent prévenir le commissariat le plus proche. Vous en profitez pour prévenir Hubert. À quelques minutes de la fin du service, les techniciens reviennent enfin du commissariat.
- Les flics se bougent. Ils déploient pour demain un dispositif de sécurité. Seuls nous seront autorisés à y accéder.
- On va t’équiper, micro et caméra, avant que tu prenne un verre avec elle.
L’équipement habituel installé, vous cherchez sur le parking la clio verte. Vous ne cherchez pas longtemps. Gwendoline sort du salon d’exposition. Vous venez vers elle .
- Au fait, tu m’as pas dit ton nom ?
Gwendoline entame la discussion, et vous lui répondez, afin qu’elle continue. Vous montez dans la clio verte, et derrière vous, le SUV blanc de Bob vous suit.
« Parfait »
Vous recevez un message.
« T’inquiètes pas pour nous, fais ce qu’il faut, assures-toi juste de rentrer chez elle ce soir. Après, tu nous ouvrira. »
Arrivés au bar, vous commandez, et écoutez, tout en portant attention à ce que vos appareils soient bien allumés, tout ce que Gwendoline a à vous dire. Vous tentez de lui soutirer le maximum d’information. Vous étiez en terrasse, et voyiez tout le long Bob et Michel, dans le SUV, au coin de la rue.
Finalement, vous remontez dans la clio verte, et rentrez chez elle.
Elle pointa la numéro 5 dans la rue Viroflay.
- Plus qu’à trouver une place.
Vous voyez Bob et Michel se garer derrière vous. Gwendoline ouvre la porte, et se dirige vers l’ascenseur, ses talons résonnant dans le vide de la cage d’escalier. Par dépit, vous laissez votre portefeuille pour bloquer la porte, en espérant que vos acolytes le récupéreront bien. Sinon, vous serez bon pour passez faire une déclaration de perte de vos papiers.
Vous montez au quatrième, et entrez chez Gwendoline. C’est un petit studio, sombre, éclairé par les derniers rayons de soleil, mourants.
- Tu m’excuseras, je dois passer aux toilettes. Installes-toi.
Vous attendez que Gwendoline ai fermé la porte des toilettes, et ouvrez celle de son appartement. Sur le palier, Bob et Michel vous ont suivis.
- Entrez, entrez, discrètement.
- On lui coupe toute les communications. Prends son téléphone, son PC.
Vous cherchez, et débranchez le pc, puis récupérez le téléphone, dans son sac. La chasse d’eau se fit entendre, la porte s’ouvrit, et Gwendoline sortit, resserrant la ceinture sur sa jupe.
Elle s’arrêta e voyant Bob et Michel.
- Qu’est-ce que vous faites ici, et qui êtes vous ?
Bob sorti le pistolet que vous aviez gardé de Marignan, prêté par Dominique. Le regard de Gwendoline ne changea pas, mais vous la sentiez d’un coup plus tendue.
- On n’est venu tuer personne. On viens juste empêcher Lucas de récupérer le matériel.
- Je vois pas de quoi vous parlez. Il n’est censé venir que demain à 10h.
- Oui, exactement. On vient l’empêcher.
- Qui vous en a parlé ? Comment se fait-il que vous soyez au courant ?
- Vous lui avez soutiré les informations ?
- Plus ou moins. Quoi qu’il en soit, tu es maintenant notre prisonnière, et on te gardera sous notre surveillance jusqu’à demain, après avoir déjoué l’attentat.
- … Vous comptez passer la nuit ici ?
- Moi qui pensais qu’on aurait une soirée ensemble avec Célestin …
- Après, c’est toujours possible, hein, c’est juste qu’on sera là pour vous regarder. On pourrais même enregistrer la sextape.
- Bon sinon, elle est où la bombe ?
Vous vous levez, et cherchez sous le lit. Plusieurs bonbonnes de gaz, et quelques bâtons de dynamite s’y trouvaient.
- Hé bé. C’est pas du gâteau, comme bombe.
- Fallait bien faire sauter tout le bâtiment.
- Elle est coopérative quand même. Je sens qu’on pourrait bien s’entendre.
- La prochaine fois vous viendrais sans arme de poing, je préférerais.
- Oui, mais là, tu vois dans la configuration …
- Vous saviez pas, c’est pas grave.
- Vous trouvez pas qu’il fait faim un peu ?
Vous commandez des pizzas, et passez la soirée, puis la nuit ensemble, dans son appartement.
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Dimanche 16 Août 2026
Le lendemain matin, avant que vous ne partiez pour le siège du parti Héritage, toujours sous la surveillance de Bob et Michel, qui comme à leur habitude vous avaient équipé, elle viens vous glisser quelques mots à l’oreille.
- T’es toujours ouvert, pour un coup d’un soir ?
« LETZZZZZGOOOOOO ! T ES LE MEILLEUR CELESTIN https://image.noelshack.com/fichiers/2022/10/6/1647059363-post-le-stick-ou-cancer.png »
- Alors je te donne mon numéro. Et avant qu’on se revoit : je suis pas une femme …
Vous sortez, le numéro écrit sur un post-it, et réfléchissez.
« Si c’est pas une femme, c’est donc un homme. Un trap mignon.Est-ce que j’ai envie de taper du trap mignon ? »
Vous vous clarifiez l’esprit, et prenez la direction du siège du parti, qui n’est qu’à une dizaine de minutes à pieds. Là, un petit dispositif de sécurité est déployé. Les portes sont fermées, des gardes sont postés autour. Vous ne le voyez pas, mais supposez qu’un sniper est posté quelque part. Hubert vous attends.
- Bonjour Hubert, merci d’être venu.
- C’est tout naturel. Un peu d’action de temps à autre. Quelle heure est-il ?
- Si j’ai bien compris, un certain Lucas doit venir exploser les locaux, et avant cela, récupérer une bombe artisanale chez une certaine Gwendoline ?
- Nous avons mis Gwendoline hors d’état de nuire. Ne reste plus qu’à attendre Lucas, et à l’arrêter.
- Il me semble qu’il y avait un hôtel de police dans les parages, non ?
- Il a du être supprimé. Je connais pas ce quartier.
Vous recevez un appel. Michel.
- Alors. Le Lucas vient de passer. On a fait les morts, il est remonté. Il devrait venir vers vous dans quelques instants.
Hubert vous passa un gilet pare-balles que vous enfiliez.
Vous raccrochez. Les minutes passent.
10h.
Rien.
10h05.
La ville est morbidement calme.
10h10.
Le silence pèse. Hubert s’allume une cigarette.
10h15.
Soudain, un corps chute du toit, juste devant vos pieds, giclant de sang.
- Le tireur d’élite … il est sur le toit ! Il nous a vu, il est sur le toit !
https://www.youtube.com/watch?v=E8K9nFjKrWA
Vous rentrez. Dans les locaux, la brigade d’intervention se rue vers les escaliers. Vous les suivez.
Arrivés à l’avant dernier étage, des coups de feu s’échangent, entre le vasistas et la cage d’escalier.
Le chef de brigade divise ses hommes en duo, prenant les autres ouvertures du toit d’assaut, pour encercler Lucas.
Il vous intime, en tant que civils de rester à l’abri. Hubert vous regarde.Vous n’alliez rester à végéter. Vous trouvez un vasistas encore libre, et montez sur le toit. Un vent chaud, vous ébouriffe la figure, faisant voler la cravate d’Hubert.
- Vous voyez, le problème de ces braves agents, c’est que leur équipement est beaucoup plus lourd que celui de notre attaquant. Tandis que nous, avec de simple gilets pare-balles, et une arme de poing, nous sommes bien plus léger.
- Oui. Donc plus aptes à le poursuivre ?
- J’ai fait quelques entraînements aux Etats-Unis.
Hubert vous tendis une arme de poing, et un chargeur de rechange.
- Ne le tuez pas, je vous prie.
- Par contre, moi, au niveau cardio …
- Vous savez sauter ? Bien sauter ?
Lucas, lentement recule devant les forces de police. Puis, d’un coup, il se lance sur les toits, évitant les balles. Vous suivez la brigade d’intervention sur les toits, discrètement.
Lucas arrive sur le toit de l’hôtel Ami, et devant le vide, avant de tomber au bas de la rue, s’arrête net. Il regarde les policiers, et s’avance, mains en l’air vers eux.
Avant de se retourner, prendre de l’élan, et sauter au-dessus du vide, pour atterrir en face, sur le toit d’un bâtiment plus en contrebas.
Hubert se dirigea vers le chef de brigade d’intervention.
- Je vous avait sommé de rester à l’abri.
- C’est ce que nous avons fait. Maintenant, si je peux me permettre, avec leur équipement, aucun de vos homme, même les plus entraînés ne parviendrais à sauter aussi loin.
Le capitaine réfléchit, puis admit que Hubert avait certainement raison.
- Nous pouvons le prendre en chasse.
- Vous aurez mon appui, mais je ne prends aucune responsabilité s’il vous arrive quoi que ce soit. Vous faites ça de votre plein gré, à vos risques et périls.
Hubert se positionna, et vous fîtes de même.
- Amortissez en pliant les genoux, et en roulant.
Hubert parti, courut de toute sa force, et sauta. Il atterri de l’autre côté, en roulade. Vous déglutissez. Vous prenez votre élan. La peur se saisit de vous, et d’un poussée d’adrénaline, vous vous envolez au-dessus du vide. La sueur perle sur votre front, tandis que vous admirez la rue en-dessous de vos pieds.
Les tuiles se rapprochent à une vitesse phénoménale. Vos orteils touchent le toit. Vos genoux se plient. Vous rentrez la tête, et les épaules, courbez le dos.
Les tuiles parcourent votre dos, rentrent dans vos vertèbres, et entre vos côtes, puis, vous vous redressez.
Hubert vous inspecte.
- J’ai mal au dos, et c’était désagréable, mais je m’en remettrais.
- Bien. Nous avons un Lucas à retrouver. Je l’ai vu monter sur les autres immeubles. Il doit s’y cacher.
Vous grimpez entre les immeubles, le plus discrètement possible. Hubert aperçois Lucas. Il se repose, reprends son souffle. Vous approchez, discrètement. Vous vous faites le plus silencieux possible. Vous devenez ombre derrière les cheminées.
Lucas se relève, change de chargeur dans sa mitraillette, et cherche un endroit pour descendre. Hubert s’approche encore de lui, et, le plaque au sol. Ils roulent tout deux vers le vide. Hubert est le premier à lâcher, et immédiatement après, à se relever.
Lucas se relève au bord du précipice, et avant même d’être debout, tire sur Hubert, qui se réfugie de l’autre versant du toit.
Il prends la fuite. Vous sortez de derrière votre cheminée, et le prenez en chasse, suivit d’Hubert.
Vous parcourez les toits, tirant dès que l’occasion vous en est donnée, vers les jambes de Lucas. Certaines balles l’effleurent.
Entre chaque saut, vous tirez.
Il se retourne, fait partir une rafale. Vous vous abritez. Il repart. De saut en saut. De toits en toits. Chaque tuile, chaque soudure, chaque muret, une occasion de chute, une pierre d’achoppement. Les balles fusent, dans les deux sens. De sauts en sauts, de toits en toits. Vous atterrissez, roulez, vous relevez. Les cheminées, passent en bourrasques près de vos jambes, vos bras, votre visage. De sauts en sauts, de toits en toits.
- Continuez à le coursez, je vais le prendre par derrière, on le coincera dans le coin !
À un immeuble de la fin de la rue, Hubert s’éloigne, et coupe l’angle pour bloquer l’autre aile du bâtiment. Lucas le voit, et comprends immédiatement qu’il ne sert plus à rien de courir. Il se retourne, et braque sa mitraillette vers vous.
Vous courez vers l’abri le plus proche sous les rafales. Un mur en béton. Le balles sifflent au-dessus de votre tête. Elle s’éclatent sur le béton, dans un nuage de poussière.
Vous voyez Hubert sortir de sa cachette, braquer Lucas. Il est immédiatement repéré, et la rafale viens s’abattre sur son abri. Vous attendez patiemment que la pluie se calme. Puis, enfin, le clic caractéristique.
Vous sortez. Le vent souffle sur Paris, apportant les bonnes odeurs des restaurants préparant leur mets raffinés. En bas, vous pouvez voir les gens, pressés de vaquer à leur occupations, s’immobiliser, en voyant la silhouette de Lucas, la vôtre, et certainement celle de Hubert, dessinées par le soleil bientôt au zénith.
Vous pointez votre arme vers Lucas, qui, les bras au ciel, le regard plongé dans la lumière attends sa libération de martyr.
Vous appuyez sur la gâchette.
La balle part.
Traverse l’air de la ville Lumière, renvoie un rayon de soleil dans vos yeux, l’espace d’un instant, avant de disparaître dans la jambe droite de Lucas, répandant un spasme dans tout son corps. Suivie d’une seconde balle, tirée par Hubert, se figeant dans la jambe gauche, créant une deuxième onde.
Lentement, l’assaillant maintenant neutralisé s’écrasa su le zinc chaud, sa chute résonnant dans tout le métal.
D’un pas victorieux, vous l’approchez, le tenant toujours en joue.
- Je n’y serais pas arrivé sans vous. On forme une bonne équipe.
- Pour des raisons juridiques, c’est moi qui ai tiré. Les deux coups.
- Vous ne possédez pas de port d’armes, si ?
- Je prendrais sur moi la suite de l’affaire, en ce qui concerne l’enquête.
- Je vous rends votre arme, du coup.
Vous soufflez, fiers de vous, et désarmez Lucas, avant de l’éloigner du bord du toit. La brigade d’intervention arrive par les fenêtres. La capitaine viens vous féliciter.
- Beau boulot. Totalement inconscient, mais beau boulot quand même. Je pense qu’on aura tous droit à une cérémonie d’honneurs, et surtout une cérémonie d’hommage pour notre collègue.
- ça arrive, ce sont les risques du métiers. Malheureusement.
- Ah, d’ailleurs. Capitaine, attendez.
Vous sortez votre téléphone, et appelez Michel, sur haut parleur.
- Aaaaaaaallo ? Vous l’avez eu ?
- Ouais. J’ai ici avec moi le capitaine de brigade d’intervention.
- Tu veux lui dire avec qui tu es ?
- Ah, Gwendoline. C’est l’acolyte du tireur fou. Lucas était censé récupérer la bombe chez elle. On l’a empêché. Elle est là, avec nous, on est chez elle.
- C’est des bâtons de dynamite et des bonbonnes de gaz, rien d’électronique autour.
- Gwen, les flics viennent t’arrêter.
- C’est le jeu. De toute façon j’étais pas super enthousiaste à cette idée, je suis contente que ça se termine ainsi.
- Oui. C’est Mélissa la folle.
Michel raccroche. Le capitaine envoie la moitié de sa brigade ramener le tireur là doit il doit être, et prends l’autre moitié pour vous suivre chez Gwendoline. Vous retrouvez le chemin, Bob vous ouvre. La brigade entre, et arrête, sans efforts Gwendoline. Vous donnez un coup de main pour remballer la bombe dans un camion de la brigade.
- Pour l’instant, je vous laisse rentrez chez vous, mais ne soyez pas surpris, si par le suite il y a une enquête. Surtout pour vous.
Le capitaine pointa Hubert.
- Port d’armes illégal. Mais je pense que vous pouvez vous en tirer, pour service rendu à la nation.
- Je saurais me débrouiller. Merci de votre prévenance capitaine.
- Si jamais vous avez besoin d’aide lors des enquêtes, ou autres …
Le capitaine prit des post-it, et écrit son nom, prénom et numéro de téléphone dessus.
- Sur ce messieurs, bonne journée.
Les camions de la Brigade s’éloignèrent.
- On s’est fait un copain là, non ?
- C’est dommage pour Gwen, on s’entendait bien.
- Elle va prendre une ou deux années, et elle ressortira. Mais oui, elle est sympa.
- Elle … hum … oui. Elle est sympa.
- ça reste une criminelle, par association.
- Je pense que son court séjour en prison la fera réfléchir.
Vous restez là, tout les quatre, pendant un instant, à digérer ce qu’il vient de se passer.
- ça vous tente un petit resto ?
Vous passez un bon midi, au milieu de vos collègues, et après avoir bien mangé, et restitué à Bob et Michel leurs enregistrements, vous retournez chez vous, prendre un repos bien mérité.
« Bon. Lundi, ça va déferler. Les autres journaux vont vouloir m’interviewer comme jamais. De mon côté, gérard va vouloir que je ponde des articles à la pelle. Et Bob et Michel vont certainement vouloir prendre mes commentaires sur les enregistrements… faut que je me prépare psychologiquement. Par contre, je vais pas rester chez moi, cloîtré comme un abruti. »
A) Voir Louise, ça fait un petit moment.
B) Voir Anaïs et Jean, eux aussi, ça fait un petit moment.
C) Voir Charles, même si vous aurez certainement pas grand-chose à vous dire.
D) Voir bob et Michel, comment ils dérushent le tout.
E) Voir votre nouveau coupain, le capitaine de brigade.
Dangerosité : orange
Nombre de morts : 36
Cette sweet était délicieuse
Vote À, on a beaucoup de testo à cash
On fait que ca du week end du coup ?
Belle reprise l'op !
La p'tite surprise Gwendoline m'a bien fait rire !
J'hésite entre la A et la D, après ce gros coup Célestin mérite bien un peu de bon temps après tout !
Allez je vote A
Par contre le coup de '"Dangerosité : orange" ça m'intrigue un peu
Le 03 janvier 2024 à 12:44:42 :
Belle reprise l'op !
La p'tite surprise Gwendoline m'a bien fait rire !J'hésite entre la A et la D, après ce gros coup Célestin mérite bien un peu de bon temps après tout !
Allez je vote A
Par contre le coup de '"Dangerosité : orange" ça m'intrigue un peu
Le 03 janvier 2024 à 14:02:42 :
Le 03 janvier 2024 à 12:44:42 :
Belle reprise l'op !
La p'tite surprise Gwendoline m'a bien fait rire !J'hésite entre la A et la D, après ce gros coup Célestin mérite bien un peu de bon temps après tout !
Allez je vote A
Par contre le coup de '"Dangerosité : orange" ça m'intrigue un peu
C'était plutôt dans le sens où j'avais l'impression que les choix étaient plutôt tranquille / sans prise de risque.
Mais la avec la Dangerosité orange je suis pas rassuré
Données du topic
- Auteur
- exumorefic
- Date de création
- 16 avril 2023 à 20:39:32
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