[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?
Ma théorie c'est que ça a un rapport avec notre cher Bacar, et probablement avec Louise. Visiblement y'a des gens qui ont des intérêts plus loin que la présidentielle et qui avaient intérêt à ce que Célestin meurt. Si c'est eux qui ont mandaté Louise, ils ont probablement entamé les poursuites sur Bacar quand ils ont vu que Célestin avait survécu, pour le pousser à essayer de le tuer.
Très bonne suite au passage, ça fait plaisir de te voir de retour l'op, tu comptes te remettre à poster plus régulièrement ?
Je vote G au passage, c'est intéressant cette histoire de numéro !
Le 14 avril 2024 à 17:04:05 :
Ma théorie c'est que ça a un rapport avec notre cher Bacar, et probablement avec Louise. Visiblement y'a des gens qui ont des intérêts plus loin que la présidentielle et qui avaient intérêt à ce que Célestin meurt. Si c'est eux qui ont mandaté Louise, ils ont probablement entamé les poursuites sur Bacar quand ils ont vu que Célestin avait survécu, pour le pousser à essayer de le tuer.Très bonne suite au passage, ça fait plaisir de te voir de retour l'op, tu comptes te remettre à poster plus régulièrement ?
Je vote G au passage, c'est intéressant cette histoire de numéro !
le plus régulièrement possible. Par exemple, ce week-end ça risque d'être compromis, je passe sur belfort m'acheter un nouveau skate. je pourrais faire ça dimanche, si j'ai le courage.
Le 15 avril 2024 à 12:34:24 :
VOTE G
+
Super sweet avec toujours une très bonne qualité d'écriture qui permet de se remettre directement dans le récit malgré le délais entre chaque chapitre ( )
Non plus sérieusement j'aime énormément ta plume l'OP et je pense sincèrement que ta fic est bien trop sous-cotée
merci, merci
elle est sous-côté parce que je poste une fois l'an, ahi
Le chemin semble tout tracé, vote G
Mais curieux de ce passage avec Bacar, faut garder l'œil ouvert et le bon !
Joli chapitre Exu !!
Le Bakar qui parvient à se battre quasi d'égal à égal avec une vampire malgré ses bastos dans le buffet.
Un khey déter à n'en pas douter.
Hector est vraiment touchant, malgré sa vengeance particulièrement malsaine et glauque envers son ancien amour
Sinon je vais voter C
Mais le charme velu de l'infirmière simiesque est quasi imbattable
Mais rappelez vous ce sticker et ne vous précipitez pas
« La vie de l'homme n'est qu'une succession d'espoirs vains et de peurs sans fondement. »
Montesquieu
Arc 2 Chapitre 12
G) Contacter le numéro que vous a filé l’infirmière
Vendredi 19 Septembre 2026
Il était presque midi. Vous prenez votre téléphone, et composez le numéro que vous avait donné l’infirmière la veille. Vous entendez la tonalité de l’autre côté, avant d’entendre décrocher.
Vous entendez dans le téléphone une voix lointaine. L’infirmière semble se déplacer vers la voix.
La voix était rauque et anxieuse.
- Oui bonjour, alors, vous allez rire, hein, mais. Heu. Voilà, je suis actuellement à l’hôpital, et on m’a donné ce numéro de téléphone.
- Oui, le singe que j’ai dressé pour en faire une infirmière.
- Oui, exactement. Je … c’est surprenant.
- Oui, pris comme ça, évidemment.
- Mais, à qui ais-je l’honneur, et que me voulez-vous donc ?
- Voilà, mon nom c’est Gustave, vous pouvez m’appeler Gus, simplement.
- Je sais. Et c’est justement pour ça que je viens vers vous. Vous êtres le journaliste du globe, n’est-ce pas ?
- Suite à la mort de Pierrick Nemmour, j’aimerais que vous passiez chez moi. J’ai quelque chose à vous montrer. J’hésitais jusque là, de peur des représailles, mais, j’ai pris mon courage à deux mains.
- Je préfère que vous veniez seul. Mais je comprendrais si vous venez accompagné d’une autre personne.
- Et quand êtes-vous disponible ?
- Tout les soirs en semaine, et les lundi. Le plus tôt possible. 17 rue Marcel Lamant. À Ivry.
- Je sors de l’hôpital ce week-end. Lundi, ça vous va ?
Vous raccrochez, et souriez à Hector.
- à ton avis, qu’est-ce que ça peut bien être ?
- Aucune idée. Mais à mon avis, on est loin d’être arrivés au bout des surprises.
Vous rallumez la télé. Rien d’exceptionnel, si ce n’est l’affaire Bacar Trouer, et un autre homme, un inconnu, tué, ce matin, au fond d’une ruelle. Par contre, les militants intersectionnels contre la lutte raciale menacent de faire des émeutes.
- Bon, en tout cas, ce type là t’en es débarrassé.
- Oui … faut voir maintenant comment réagiront les autres.
- Melissa Ssani, Joe Maurice Mécontent, Flavien Roussi, et Bacar Trouer sont tout les quatre ensembles sur un complot. Je ne sais pas encore quoi, mais s’il manque l’un des leurs, personne ne sait comment ils vont réagir.
- Jean me l’a dit, il a réussi à trouver et entrer dans leur groupes WhatsApp privés avant de se faire attraper.
- Intéressant. Et pourquoi tu ne lui demande pas plus de services, à ton copain ?
Lundi 22 Septembre 2026
Tôt le matin, vous aviez été réveillé par la lumière Vous quittiez votre lit. Vous veniez d’échapper à la mort. Une fine pluie, annonçant un hiver rude s’abattait sur la ville. Vous pensez à Louise. Vous n’avez plus eu la moindre nouvelle depuis la dernière fois. Depuis qu’elle vous a planté un couteau par derrière. Vous prenez la ligne de métro aérien, direction la station la plus proche de chez vous.
Vous regardez les autres passagers différemment.
Des morts en sursit.
Comme vous.
Alors, puisque la mort est inévitable, vous voulez vivre. Encore. Plus fort. Et sans compromis. On a essayé de vous poussez dans les bras d’Hadès. Et cela ne fera que renforcer votre détermination. Maintenant, il ne s’agissait plus d’un simple travail de journaliste. Ni même de descendre pour le compte d’une autre, tout les candidats aux présidentielles. Maintenant c’était une affaire personnelle.
Vous n’aurez de répit qu’en sachant qu’aucun de ces pourris ne pourra de votre vivant accéder au trône.
Vous regardez par la fenêtre. Derrière un nouveau bâtiment, se révéla le quartier de Marignan. Et Marignan était en feu. Encore. Mais plus que d’habitude. Aux moins deux fois plus.
Lorsque vous sortez, au pied de votre immeuble, vous voyez que, rue Giffard, les traffics ont repris. Et à votre étonnement, vous trouvez Hubert en discussion avec les dealers. Il vous aperçoit, et vous salue.
- Bien. On m’a bien soigné. Et vous ?
- Mieux que vous, j’imagine. Pourrais-je vous parler, en privé ?
Vous vous éloignez du groupe de dealer.
- Alors, voilà, la branche russophone de votre journal souhaite interviewer notre nouveau président, Sergeï Madinov souhaiterais que, si votre média l’interview, ce soit vous qui l’exécutiez.
- Heuu, je dois en parler à Gérard.
- Bien entendu. Rappelez-moi quand la décision est arrêtée Sur ce, je vais vous laisser. Messieurs de cartels, bonne journée.
Vous remontez à votre 10ème étage, et pendant qu’une éclaircie se dégage, après un peu de repos, vous partez en direction de l’adresse que vous a indiqué Gus.
Dans le métro, Vanessa monte avec vous.
- Salut. J’espère que tu vas bien.
- Bien, bien. Je viens t’apporter les nouvelles.
- Larry, de Mc n Feast, repasse à l’attaque. Il est en pleine campagne de décrédibilisation à mon égard. Sur les réseaux, commencent à naître des rumeurs comme quoi je serais venue détruire le mode de vie des français.
- Non, enfin, pas via les réseaux. Ça, on s’en occupe. J’ai peur qu’il y ai des liens entre Larry et la classe dirigeante. Donc les autres candidats.
- Tu te souviens des golems de la république ?
- … on est en train de chercher un moyen d’inverser le processus.
- Encore quelques petites choses. Phillippe Henri m’a contacté. Il souhaite se rapprocher de moi, pour une raison ou une autre.
- Je vais devoir creuser sur lui ?
Vous voyez ses mains, nerveuses.
- Qu’est-ce qui t’occupes l’esprit ?
- L’église. Le recteur-archiprêtre souhaite donner sa bénédiction aux candidats.
- Jusque là, seul moi et Macaron n’avons pas encore été sous les saintes mains de l’archiprêtre.
- … d’accord, et quelle importance ça a ?
- C’est presque une obligation maintenant que tout le monde est passé.
- Tu peux dire que tant que Macaron n’y passe pas, alors, tu n’y passera pas non plus.
- Et même. Quels sont les effets d’une cathédrale sur un vampire ?
- C’est … ça n’est pas létal, mais c’est un endroit de douleur. Le lieu en lui-même peut causer maux de têtes, nausées, et évanouissements. L’eau bénite, des brûlures. L’imposition des mains… Personne ne s’y est encore risqué. Et je e te parles pas de l’effet des crucifix.
- … Mais avec la combi en silicone, tu pourrais y aller sans problème, non ?
- Oui, éventuellement. Mais de nuit.
Vanessa se leva, et, comme la dernière fois, relevant votre tête de ses doigts délicats, déposa un langoureux baiser sur vos lèvres.
- J’ai hâte que tu sois à nouveau en forme.
Elle disparu dans les multiples ombres du quai, vous laissant là, rougissant. Vous vous ressaisissez. Vous aviez un contact à voir. Vous prenez la direction de l’adresse indiquée, et, arrivé devant la maison, vous entendez plusieurs poules caqueter. Une pancarte indique « Sonnez, mais n’ouvrez pas, sinon les poules vont sortir ». Vous appuyez sur la sonnette. Vous regardez la façade de la maison, et apercevez une silhouette à la fenêtre de l’étage. Juste à côté, vous voyez l’ombre d’Hector, accroupie.
Le personnage ouvre la porte du rez-de-chaussée.
- B-bonjour, je… j’arrive, hein, laissez moi juste rentrer les poules.
Les poules rentrées dans le poulailler dans le jardin arrière, il vous ouvre.
- J’espère que vous aimez les champignons.
Vous entrez dans la maison, et à la demande de votre hôte, vous déchaussez, pour garder l’intérieur propre. L’intérieur est d’un cachet un peu ancien, mais, accueillant. Chaleureux, avec poutres apparentes, et pierres de taille.
La cuisine, était ouverte, en décoché, plus haute d’un demi-étage, sur le salon, aux vieux fauteuils de cuirs. Une table basse s’interposait entre ces meubles sûrement plus vieux que vous. Vous pouviez presque sentir peser dans cette maison le poids des générations.
- Vous voulez d’abord me donner vos révélations, ou passer directement au repas ?
- Heu, passons directement aux révélations, si vous n’y voyez pas d’inconvénient.
Gus parti à l’étage, et, après quelques minutes, en ressorti avec un magnétoscope. Puis, il parti dans le jardin, récupérer une poule, qu’il ramena dans ses bras, la caressant. Il vit votre mine interrogative.
- Je suis soigneur dans un zoo. Le singe qui vous a donné mon numéro de téléphone, Mariette, est une vieille femelle, proche de la mort. Le zoo n’en voulait plus, comme elle m’aimait bien, et était prompte à l’apprentissage, je lui ait appris ce métier. J’ai aussi, fût un temps, possédé un crocodile placide, au fond de mon jardin. Maintenant, j’y élève mes poules. Et ...cette poule ne peut plus pondre.
- Comme les images valent mille mots, je vais vous laisser regarder ce qui se trouve dans ce magnétoscope.
Vous prenez le magnétoscope, et ouvrez la galerie. Vous y voyez Pierrick Nemmour, nu, souriant, dans ce qui semble être le jardin de Gus.
- J’avais besoin d’argent. Il payait grassement.
- Il est exhibitionniste ? Quel est le rapport avec la poule ?
Vous continuez a parcourir la galerie. Plusieurs photo de Pierrick, à poil, dans le jardin de Gus. On l’aperçoit même sur une des photos, tentant désespérément de cacher son visage. Puis, on aperçoit Pierrick à proximité du poulailler.
Puis, le dernier document, une vidéo, de quelques secondes. Pierrick tient une poule au dessus de son entrejambe au garde à vous. La suite est une suite de cri de souffrance et d’étonnement de l’animal.
Vous relever les yeux sur Gus, qui est rouge de honte.
- C-c’est elle. Il en a pris plusieurs comme ça, mais celle-ci était sa favorite. Il… il me la détruite. Elle ne pond plus. Elle s’isole, et, je suis la seule personne en qui elle a confiance.
- Mais … mais c’est terrible … pauvre poule … Pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt ? Pourquoi ne pas l’avoir révélé plus tôt ?
- Les représailles. J’avais peur des représailles … Mais maintenant qu’il est mort, je n’ai plus rien à craindre.
- … Ce … c’est une affaire complète ça … Et, il ne s’en prenait qu’au poules ?
- Il y avait d’autres personnes avec lui ?
- Un autre type, oui. Imbuvable. Néo-nazi, et je crois qu’il est aussi candidat aux présidentielles.
- Il s’adonnait aussi à ce genre de pratique ?
- Non, il … ils venaient tout les deux, Pierrick faisait son affaire pendant que Phillippe restait lire le journal avec moi dans le salon, ou le jardin. Puis il repartaient. Généralement, prendre le repas de midi.
- … Je pense que je vais avoir du mal à manger, moi.
- Heuuu, l-laissez-moi quelques minutes pour digérer l’information.
Gus se lève, remettre la poule au poulailler, et revient, sortir des assiettes, servir des parts, et les poser sur la table du salon. Vous mangez de bon coeur. C’était bon. Un petit risotto au champignons et au jambon. Vous finissez, et en redemandez même un peu.
- Je … en tout cas, merci de m’avoir écouté.
- C’est mon travail. Maintenant, je vais avoir besoin d’emmener au minimum une copie de ces photos et vidéos.
- P-prenez le magnétoscope. Je ne veux plus de ça chez moi. Et, si vous publiez quoi que ce soit, protégez mon anonymat.
- C’est moi qui vous remercie. Je vais y aller, discuter de tout cela avec la rédaction. Et, à l’occasion, si le coeur vous en dit, on pourrait boire un coup ensemble.
Vous voyez les yeux de Gus s’illuminer.
Vous lui serrez la main, emportez le magnétoscope, et quittez les lieux. Profitant des espaces à l’abir du soleil sur le chemin, Hector apparaissait puis disparaissait d’entre les ombres.
- Quelle révélation. Je n’aurais jamais cru une telle chose de quelqu’un comme lui.
Hector disparut, en l’absence d’ombre à proximité, Et réapparut dès qu’il put se mettre à l’abri des rayons du soleil.
- Paris n’excuse pas les déviances. Ni même la maltraitance animale.
- Oui, évidemment … Mais disons que … ça ne me surprends presque plus.
- C’est que tu es devenu insensible.
Vous arrivez, après plusieurs minutes de métro et un braquage évité, à la rédaction. Vous passez devant votre bureau, plein de fleurs, et de petits cadeaux. Vous passez devant le bureau de Charles, qui, souriant, vous souhaite un bon retour. Puis, passez devant le bureau de Louise. Vide. Non pas juste de la personne, mais aussi de toute trace de vie. Les affaires qu’elle avait si bien organisées, si bien rangés au carré, avaient disparu de son bureau. Il était vierge de toute activité. Comme si elle n’avait jamais été là. Enfin, vous toquez à la porte de Gérard.
- Entrez ! Aaaaaaaahhh, Célestin ! Tu es revenu parmi nous !
- Bonjour Gérard, comment allez-vous ?
- Mais, maintenant que je te vois en pleine forme, ça illumine ma journée ! Et toi ?
- Bien, bien. Je me rétablit, doucement.
- Alors, que me vaut le plaisir de ta visite ?
- Et bien, voilà. Je… j’ai un contact personnel qui m’a demandé de faire une interview du nouveau président de Russie. Il paraît que la branche russophone du média à fait une demande, mais que le président ne souhaite n’être interviewé que par moi.
- Ah, je savais qu’il avait refusé, mais pas que c’était toi qu’il voulait. Et bien, soit, tu t’en chargeras.
- Autre chose … vous vous souvenez de Pierrick Nemmour ?
- Ah, oui. Tragique mort. Je l’aimais bien ce type. Le seul qui pouvait vraiment tenir une ligne crédible face au wokistanais là. Il nous aurait débarrassé de cette racaille BCBG à paillettes. D’ailleurs, c’est aussi l’un des seul dont la mémoire reste inviolée. Presque un martyr. Il faut en faire un martyr. Il nous servira de symbole pour résiste aux migrants et transexuels. DU coup, c’était pour quoi ?
A) Euh, rien.
B) Improviser un truc au sujet de la veuve.
C) Euh, rien, mais publier le scandale dans un autre journal
D) Euh, rien, mais passer directement chez l’imprimeur, pour publier sans l’accord de Gérard
E) Il enculait des poules, vous saviez ? Moi non.
Dangerosité : Jaune
Nombre de morts : 36
Données du topic
- Auteur
- exumorefic
- Date de création
- 16 avril 2023 à 20:39:32
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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