[CELESTIN] C'est quoi ce torchon Célestin ?
Ha non mais je vous rassure il a juste pas mal de taf
Je sais pas quand il reprendra mais il est pas mort et il est obstiné donc il reviendra
Soyez patient
A) Voir Louise, ça fait un petit moment.
B) Voir Anaïs et Jean, eux aussi, ça fait un petit moment.
C) Voir Charles, même si vous aurez certainement pas grand-chose à vous dire.
D) Voir bob et Michel, comment ils dérushent le tout.
E) Voir votre nouveau coupain, le capitaine de brigade.
A) lll
B) ll
C) l
D) l
E)
« Il est impossible d’aimer une seconde fois ce qu’on a véritablement cessé d’aimer. »
François de la Rochefoucaud
Arc 2 Chapitre 10
A) Voir Louise, ça fait un petit moment.
Dimanche 16 Août 2026
Vous hésitez. Rapidement, vous envoyez différents messages à vos plus proches amis. Louise, Anaïs et Jean, et Charles. Connaissant Bob et Michel, ils doivent être en train de cravacher comme des malades, comme à leur habitude. Vous ne voulez pas passer une nuit à entendre parler de codecs et d’algorithmes de compression de videos.
Anaïs et Jean répondent en premier. Ils se sont prévus une sorti en amoureux ce soir.
Puis, c’est Charles qui répond, en vous appelant.
- Ouais, beau gosse, comment ça va ? Tu veux passer une chouette soirée, tu cherche de la compagnie ?
Le son du téléphone est interrompu de tirs de balles, et comme si Charles vous appelait de l’extérieur.
- ça va, oui, et toi ? Et ouais, je cherche à savoir si t’étais libre ce soir, pour, je sais pas, un bon fifa. Mais en fait, j’ai plus l’impression que c’est toi qui aurait besoin d’aide, là.
- Oh, ça ? Non, c’est rien. Des kékés qui veulent que je déménage parce que gênerais leurs affaires …
- D’accord … tu pense t’en sortir tout seul ?
- Et ben bonne soirée, tu comprendras, mais c’est pas vraiment comme ça que je conçois une soirée détendu.
- Y’a pas de soucis beau gosse ! À plus !
Il raccroche. Vous recevez un message de Louise.
« Je fais rien ce soir, tu peux passer chez moi si tu veux. Je nous ferais à manger … »
« On mange quoi ? »
« Mon amour … »
« J’arrive »
Vous Attrapez le premier métro, et direction chez Louise. Sorti du métro, vous passez chez le fleuriste le plus proche, et claquez une petite fortune pour un beau bouquet de roses.
Vous sonnez à la porte de l’immeuble, montez les marches quatre à quatre, sourire aux lèvres, le bouquet caché derrière le dos. Louise vous ouvre.
Dans une petite robe rouge chic, serrée aux cuisses, elle vous accueille, rayonnante. La grande fenêtre de son appartement projette derrière elle comme une aura de lumière.
Sans savoir ce qu’il vous prends, vous lui attrapez délicatement la main, et y déposez un doux baiser, agrandissant le sourire de votre dame. Puis, pour terminer votre entrée, vous révélez le bouquet de roses.
- Aaaaaahhh, Célestin, il ne fallait paaaaas …
- Mais si, voyons, ça me fait plaisir.
Louise déballe les roses, sort un vase qu’elle remplit d’eau, et y glisse précautionneusement les fleurs. Vous humez un bon poulet finir de griller. Une salade de tomates et mozarella attend patiemment son heure sur le plan de travail de la cuisine, le tout accompagné de bonnes spaghetti au pesto.
- Tu sais même pas si c’est de l’espagnol ou de l’italien.
- Et si ! J’ai un oncle italien, il m’a appris quelques mots. Il pensais que ça pourrais m’aider à draguer des française, que de leur parler deux trois mots d’italiens.
Louise posa deux assiettes sur sa table basse, éclairée par le crépuscule. Décidément, pensiez-vous, elle l’avait très bien choisi son appartement. Le votre baignait dans une pénombre déprimante toute la journée.
Vous vous asseyez en face d’elle.
- Et bien, ton oncle avait raison.
- Vraiment ? J’aimerais bien le revoir. Ça fait longtemps maintenant.
Vous vous rapprochez de la table, et tendez vos mains. Comprenant votre geste, Louise y pose les siennes. Vous les retournez, et révélez les poignets. Lentement, vous passez vos doigts sur les lignes rouges et rugueuses lacérant la peau parfaite de ses bras.
- … Je n’en vois pas de nouvelles.
Louise ouvre une bouteille de rouge qu’elle avait apporté avec les assiettes, et sert les verres. La nuit est tombée. Les lumières s’allument. Alors que les gens du jour et de la nuit se croisent, vous croisez les yeux de Louise, et trinquez.
Vous buvez une gorgé de vin. Il est bon. Puis vous décidez d’attaquer le repas.
- Et pas que le poulet, toute la cuisine est bonne.
La soirée continue, entre politesses, regards chaleureux, et tendres, et taquineries. À la fin du repas, Louise vous propose de sortir marcher un peu, dans la fraîcheur de la nuit, afin de digérer.
- Je connaît un petit quartier charmant, d’ailleurs. Si tu veux …
- Je suis toujours partant pour une balade dans des allées romantiques.
Louise prit quelques affaire, un petit sac, vérifia si tout était bien en ordre dans la cuisine, pendant que vous admiriez encore la précision de la décoration.
La petite mini rouge vous emmène en périphérie de la ville, jusqu’à la rue Irénée Blanc. Une petite rue pavée, coincée entre les grillages touffus des maisons de briques, aux balcons de fer finement forgés. Les anciens lampadaires éclairaient d’une lumière jaune nostalgique les fenêtres et les pierres taillées de leur encadrements.
Le quartier était calme, vous étiez seuls, vos rires et les talons de Louise résonnant dans la coquette rue.
Louise prit votre bras, ralentissant votre pas déjà rapide.
- Dis-moi, Célestin, pour toi, quel est le plus important ? L’amitié ou l’amour ?
« Wah la question. Attends, réflechissement Célestin. Si tu réponds l’amitié, elle va te friendzoner à vie. Quoique, vu ce qu’on a déjà vécu ensemble … mais ça voudrais dire pour elle, que pour moi, elle compte moins que mes amis. Mais. Analysons, vite, vite, si je réponds l’amour. Ça veut dire que je compte en faire ma femme, et que donc, pour moi, elle est déjà à mes côtés, et je suis déjà prêt à lui passer la bague au doigt. Mais, est-ce que ça ferais pas un peu, genre mec en chien ? Et du coup, soumis au bon désir de madame à faire l’amour ? Non, il doit y avoir une solution … ou alors, je la baratine, en mode philosophe grec. Genre l’amitié ça peut devenir de l’amour, mais pas forcément sexuel… »
- Est-ce que ça serait pas un peu la même chose ? L’amitié, c’est une forme d’amour, simplement dénué d’aspect sexuel.
Louise vous fait tourner dans un petit passage piéton, entre deux maisons, encore plus intime. La plaque énonce Rue Camille Bombois.
https://www.youtube.com/watch?v=U-iHnbPb60Y
- N’est-ce pas. Tu pensais pouvoir me piéger ?
- Je savais que tu t’en dépêtrerais.
Vous vous arrêtez. Louise sort une rose de son sac, sans le refermer. Elle glisse la rose dans vos cheveux, vous levez les yeux pour voir ce qu’elle fait, et sur le toit, en face, vous apercevez brièvement dans la lune, Hector, veillant sur vous deux. Louise ne l’a pas vue. Vous lui souriez. Le vampire vous sourie en retour, et disparaît dans l’ombre.
Louise passe ses bras autour de votre taille. Vous faites de même. Elle rapproche son visage du votre, ses pieds tendus sur la pointe, pour arriver à votre hauteur, malgré ses talons. Ses lèvres se posent sur les vôtres. Vous vous laissez guider dans le tango des lèvres et des langues. Vous passez vos mains dans le dos, rapidement sur les fesses, puis revenez en haut, sur les omoplates, puis sur la taille.
Vous sentez les mains de Louise quitter votre dos, mais ses bras sont toujours autour de votre taille. Vous n’en avez cure, vous voulez passer le meilleur baiser de votre vie.
Une goutte, froide viens rouler sur votre bras, nu. Vous ouvrez légèrement les yeux.
Sur toute la longueur du poupin visage de Louise, le mascara a coulé, laissant de noirs sillons, comme des tranchées brûlées au milieu d’un champ de blé fertile. Elle entre-ouvre les yeux, laissant couler, sans un mots une rivière de larmes noires, gouttant, tâchant d’une tristesse abyssale vos bras, puis s’écrasant dans l’anonymat éternel de la pierre.
Vos lèvre ne se quittent pas.
D’un coup, une immense douleur vous saisi dans le dos. Profonde, tranchante.
Vous quittez les lèvres douces, et les bras fragiles de Louise, poussant un cri de douleur. Quelque chose sort, s’extrait de votre dos, empirant vos souffrances.
Vous voyez alors le grand couteau de cuisine dans la main de Louise. Avant que vous ne puissiez faire quoi que ce soit d’autre, elle replante le couteau dans votre ventre. Ses larmes se mêlant à votre sang. Vous vous effondrez.
Louise sort son téléphone, et prend rapidement une photo.
- Je vous laisse 30 secondes ensemble, et vous vous entretuez !
- Célestin, je … - je … pardon, pardon, pardon, pardon, pardon …
Louise disparaît, laissant tomber le couteau et la rose.
- Non mais, attends, reviens, hey ho !!
Hector se lance à sa poursuite.
- Laisse-la filer, aide-moi plutôt à rester vivant …
- COMMENT CA ? ELLE TE POIGNARDE ET TU LA LAISSES FILER ?
- Hector, on est dans l’urgence là, il s’agit plus de régler ses comptes, mais de survivre …
- On doit t’emmener à l’hôpital le plus proche.
- Moi non plus, et je ne saurais en voler une…
- On va devoir appeler quelqu’un …
- … Il risque de pas venir à temps. Tu te viderais de ton sang.
Hector déchire ses vêtements, pour tant bien que mal confectionner un bandage de fortune. Les plaies étaient profondes, le sang ne les remplissait pas, vous ressentiez le froid au plus profond de votre être, dans tout votre abdomen, dans vos poumons. Vous toussez. Quelque chose bloque votre respiration. Vous toussez, encore, et encore, sortant des crachats écarlates.
- Morbleu, c’est mauvais. Et elle t’a pas loupé, bien profond.
- Célestin, avant qu’on appelle … je peux te sortir de là. Sans qu’on ai besoin d’en parler à personne. Louise semble, pour une raison ou une autre te vouloir mort.
- … Si tu le veux, je peux te faire passer de mon côté de la vie …
- Tu veux me transformer en vampire ?
- Je te le propose. Ainsi, Louise te pensera mort, et tu pourra savoir pourquoi. Si tu appelle quelqu’un, alors, le secret ne pourrat être gardé bien longtemps. Si tu arrives à l’hôpital à temps.
A) Appeler Bob et Michel
B) Appeler Charles
C) Appeler votre nouveau coupain, le capitaine de brigade
D) Appeler Jean
E) Appeler les secours, tout simplement
F)Appeler Gérard
G) Appeler Stéphane
H) Appeler Magalie, de la compta
I) Laisser Hector vous vampiriser.
Dangerosité : Violette
nombre de morts : 36
L’auteur qui revient et lache des bombes
A) Appeler Bob et Michel
Pas sur qu'ils soient dispos, surtout si ils ont focus le travail.
B) Appeler Charles
Il est clairement en train de 30v1 des gitans, il ne répondra pas (pas oublier non plus qu'on lui a pas répondu la dernière fois qu'il nous a sollicité au labo)
C) Appeler votre nouveau coupain, le capitaine de brigade
Choix pas mauvais si ce n'est qu'on ne sait pas ce qu'il répondra.
D) Appeler Jean
Il viendra à notre secours, sans hésiter, mais à quelle vitesse... Possible qu'il sorte un pro gamer move du cul en hackant le système de dispatch des ambulances ou un truc du genre nonobstant
E) Appeler les secours, tout simplement
Choix le plus censé, à moins que l'opax sadique nous informe que les services sont surchargés
F)Appeler Gérard
le directeur du journal? pour qu'il nous régénére avec sa secretion blanchâtre ?
G) Appeler Stéphane
plus la ref
H) Appeler Magalie, de la compta
Least obvious troll, ou bien un plot twist légendaire
I) Laisser Hector vous vampiriser.
Arc légendaire mais attention, incompatible avec le journalisme (pas sortir de nuit etc...)
Je vote E pour l'instant et un peu par logique, mais l'opax veux clairement un arc vampire.
Données du topic
- Auteur
- exumorefic
- Date de création
- 16 avril 2023 à 20:39:32
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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