L'abomination civilisationnelle qu'est le TATOUAGE

Le 11 avril 2023 à 13:45:38 :

Le 11 avril 2023 à 13:44:08 :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-71852935-1-0-1-0-4000e-net-et-les-fins-de-mois-sont-difficiles.htm
C'est pas toi le 0 tout avec zero capacité d'epargne

Merci de ne pas confondre troll manifeste et essai sociologique

Essaie de te rassurer comme tu peux
ça crache sur Uber Eat mais ça en consomme https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-72117158-1-0-1-0-ubeur-eat-ou-le-crime-civilisationnel.htm

Cette rage

Ils font ce qu'ils veulent de leur corp nan?
Si le tatouage c'est vraiment ta première préoccipation en ces temps, c'est que t'a un vrai problème

Le 11 avril 2023 à 13:45:38 :

Le 11 avril 2023 à 13:44:08 :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-71852935-1-0-1-0-4000e-net-et-les-fins-de-mois-sont-difficiles.htm
C'est pas toi le 0 tout avec zero capacité d'epargne

Merci de ne pas confondre troll manifeste et essai sociologique

Laisse-moi deviner, le troll manifeste c'est bien ce topax ?

Le 11 avril 2023 à 13:44:52 :

Le 11 avril 2023 à 13:43:02 :

Le 11 avril 2023 à 13:16:40 :
Je sais par avance que c'est un cri dans le désert que je lance, car ceux déjà marqués par leurs gribouillis infâmes n'ont, de toute évidence, plus les capacités cognitives pour comprendre ce pavé.

Le tatouage parlons-en.

Comment cet artisanat tribal et régressif a-t-il pu s' imposer au point de devenir la norme chez les paltoquets immatures qui affluent de tous milieux pour s'en affubler ? Quel est le profil socio-cognitif du tatoué, quelles en sont les conséquences civilisationnelles.

Il y a encore 30 ans, quand la France avait encore une monnaie, et que Twitter et autres Quicoubeuh n'etaient pas encore inventés, le tatouage était une marque d'exclusion sociale. Jamais dans l'histoire de notre société il n'en a été autrement. Non Jean-Pigment, avant que tu t'excites, le tatouage était soit réservé aux peuplades polynésiennes porteuses de pagnes, ou aux français marginaux, de type Prisonniers, légionnaires, marin. Hormis ces professions, se gribouiller la peau est un flagrant manque de vitalité neuronale.

Le tatoué est impressionable, il ferait n'importe quoi pour se conformer au groupe. Preuve en est, son tatouage si personnel sera souvent un modèle issu d'une mode du moment. C'est en quelque sorte le ventre-mou de la société, cet espèce d'organisme gluant, passif, ne servant que de marche-pied aux puissants. Mi paillasson-Mi humanoïde, le tatoué, souvent de cette classe moyenne sans capital (Économique et Culturel), ne va pas hésiter à souscrire un crédit Sofinco à 5.8% pour marquer "No pain No gain" ; ou quelque ineptie sur son épiderme. Le tatoué est souvent servile, lâche, et se plaindra souvent de sa condition de pauvre, sans faire le lien avec ses incapacités naturelles et ses habitudes de consommation.

Vous me direz alors: tant mieux Tsurugimi3, au moins ça te permet de trier plus facilement les gens entre fréquentables et larves.

Malheureusement non. D'une part parce-que d'autres marques servent à identifier ces gnous, tel le port de sneakers ou l'usage de ces anglicismes abracadabrantesques, et d'autre part parce-que la généralisation de cette pratique, transformant humains et goules, change un peu plus notre civilisation en nécropole.

Autrefois bastion moral, le corps, offert par Dieu, devient un terrain de jeu où l'on peut se permettre de gribouiller ce qu'un enfant de 9 ans normalement constitué hesiterait à griffonner dans la marge de sa copie Clairefontaine.

Ces machins puérils, au faire leur propre introspection, d'écrire leurs peines, leurs mémoires, ressentent plutot le besoin vulgaire de montrer leurs secrets aux yeux de tous sur leur peau

J'anticipe des a présent les réponses des gribouillés:

-qu'est ce que ça peut te faire ? = On vit dans une société où les comportement individuels influent entre eux, donc oui, vos infamies épidermiques me concernent

-T'es un rageux = Non, je ne suis même plus révolté, simplement triste.

-T'es un puceau desco = Non, 20cm régulièrement utilisés, cadre sup

Devant un Maori, un Tongien, Un NZ ou un Polynésien de 100kg tout en muscle et tatoué par coutume, tu ferais moins le malin je pense Titouan

Ou alors tu aurais pu lire et comprendre que je mettais dans une autre catégorie les cultures ou le tatouage est normale.

Le tatouage c'est le tatouage. À une époque pas si lointaine on se scarifiait et on se tatouait aussi dans les contrées européennes, notamment Celtes, Germaniques etc.
Donc bon. Ton topic c'est juste pr troller et expliquer que t'aimes pas les tatouages mais le reste ne tient pas la route. Paz nonobstant.

Le 11 avril 2023 à 13:48:08 :

Le 11 avril 2023 à 13:44:52 :

Le 11 avril 2023 à 13:43:02 :

Le 11 avril 2023 à 13:16:40 :
Je sais par avance que c'est un cri dans le désert que je lance, car ceux déjà marqués par leurs gribouillis infâmes n'ont, de toute évidence, plus les capacités cognitives pour comprendre ce pavé.

Le tatouage parlons-en.

Comment cet artisanat tribal et régressif a-t-il pu s' imposer au point de devenir la norme chez les paltoquets immatures qui affluent de tous milieux pour s'en affubler ? Quel est le profil socio-cognitif du tatoué, quelles en sont les conséquences civilisationnelles.

Il y a encore 30 ans, quand la France avait encore une monnaie, et que Twitter et autres Quicoubeuh n'etaient pas encore inventés, le tatouage était une marque d'exclusion sociale. Jamais dans l'histoire de notre société il n'en a été autrement. Non Jean-Pigment, avant que tu t'excites, le tatouage était soit réservé aux peuplades polynésiennes porteuses de pagnes, ou aux français marginaux, de type Prisonniers, légionnaires, marin. Hormis ces professions, se gribouiller la peau est un flagrant manque de vitalité neuronale.

Le tatoué est impressionable, il ferait n'importe quoi pour se conformer au groupe. Preuve en est, son tatouage si personnel sera souvent un modèle issu d'une mode du moment. C'est en quelque sorte le ventre-mou de la société, cet espèce d'organisme gluant, passif, ne servant que de marche-pied aux puissants. Mi paillasson-Mi humanoïde, le tatoué, souvent de cette classe moyenne sans capital (Économique et Culturel), ne va pas hésiter à souscrire un crédit Sofinco à 5.8% pour marquer "No pain No gain" ; ou quelque ineptie sur son épiderme. Le tatoué est souvent servile, lâche, et se plaindra souvent de sa condition de pauvre, sans faire le lien avec ses incapacités naturelles et ses habitudes de consommation.

Vous me direz alors: tant mieux Tsurugimi3, au moins ça te permet de trier plus facilement les gens entre fréquentables et larves.

Malheureusement non. D'une part parce-que d'autres marques servent à identifier ces gnous, tel le port de sneakers ou l'usage de ces anglicismes abracadabrantesques, et d'autre part parce-que la généralisation de cette pratique, transformant humains et goules, change un peu plus notre civilisation en nécropole.

Autrefois bastion moral, le corps, offert par Dieu, devient un terrain de jeu où l'on peut se permettre de gribouiller ce qu'un enfant de 9 ans normalement constitué hesiterait à griffonner dans la marge de sa copie Clairefontaine.

Ces machins puérils, au faire leur propre introspection, d'écrire leurs peines, leurs mémoires, ressentent plutot le besoin vulgaire de montrer leurs secrets aux yeux de tous sur leur peau

J'anticipe des a présent les réponses des gribouillés:

-qu'est ce que ça peut te faire ? = On vit dans une société où les comportement individuels influent entre eux, donc oui, vos infamies épidermiques me concernent

-T'es un rageux = Non, je ne suis même plus révolté, simplement triste.

-T'es un puceau desco = Non, 20cm régulièrement utilisés, cadre sup

Devant un Maori, un Tongien, Un NZ ou un Polynésien de 100kg tout en muscle et tatoué par coutume, tu ferais moins le malin je pense Titouan

Ou alors tu aurais pu lire et comprendre que je mettais dans une autre catégorie les cultures ou le tatouage est normale.

Le tatouage c'est le tatouage. À une époque pas si lointaine on se scarifiait et on se tatouait aussi dans les contrées européennes, notamment Celtes, Germaniques etc.
Donc bon. Ton topic c'est juste pr troller et expliquer que t'aimes pas les tatouages mais le reste ne tient pas la route. Paz nonobstant.

Sachant que l'OP est un 0 tout incapable de tenir un budget

Le 11 avril 2023 à 13:43:25 :

Le 11 avril 2023 à 13:40:33 RockyBhaiENT a écrit :

Le 11 avril 2023 à 13:38:56 :

Le 11 avril 2023 à 13:35:56 RockyBhaiENT a écrit :

Le 11 avril 2023 à 13:34:08 :
Pour résumer c'est le fait qu'on évolue aujourd'hui au paroxysme de la société de l'apparence dans laquelle l'homme objet asservi à la production marchande s'est lui même fait marchandise et se voit propulsé sur un marché de valeurs narcissiques égotiques dépossédé de son être générique qui produit donc des êtres perdus paumés et malheureux en compensation narcissique de leur vide existentiel dont le tatouage est une des formes visibles

Eh ouais Cousin

Cousin Marx Hegel c'est la trajectoire de l'histoire
Le point de vue matérialiste qui comprend que la conscience des êtres est engendrée par les rapports de production dans lesquels ils évoluent permet de tout relier méthodologiquement

C'est un système de pensée bien ficelé certes mais réducteur

Pourquoi

La preuve le topic au lieu de rester sur une analyse de critique historique part sur une guerre d'égo comme prévu

Exa mais le topax prête à ça en même temps

Le 11 avril 2023 à 13:27:58 :
Le tatouage est un acte de détresse et de perte de repère identitaire. En gros c'est une conséquence de notre société apatride et consumériste.

Il y a un très bon bouquin là-dessus qui résume tout.

nom du bouquin ça m’intéresse

Le 11 avril 2023 à 13:47:21 :
C'est qui le plus viril entre un peau pure de la défense et un légionnaire tatoué

C'est qui le plus intelligent entre un neuropsychiatre et un éboueur

Tu te sens pertinent ?

J'aimerais beaucoup connaitre la proportion de tatouées chez les filles de 18-30 ans

Franchement je pense qu'on dépasse les 50%.

Le 11 avril 2023 à 13:47:41 :
Cette rage

Ils font ce qu'ils veulent de leur corp nan?
Si le tatouage c'est vraiment ta première préoccipation en ces temps, c'est que t'a un vrai problème

Réponse anticipée

Le 11 avril 2023 à 13:47:21 :
C'est qui le plus viril entre un peau pure de la défense et un légionnaire tatoué

Sauf que le tatouage chez les soldats ne datent pas de la mode des années 2010.

Le 11 avril 2023 à 13:48:09 :
Marqueur de cassosserie et de "je veux prouver au monde que j'ai une identité et du vécu".

Tout comme l'OP et beaucoup d'anti-tatouage qui veulent se trouver une vertu et une identité dans le fait de ne pas le faire et de venir faire la leçon aux autres.
C'est typique du sous-homme qui dans sa frustration et par son inaction se découvre vertueux alors qu'il est juste une grosse merde.

Le 11 avril 2023 à 13:48:08 :

Le 11 avril 2023 à 13:44:52 :

Le 11 avril 2023 à 13:43:02 :

Le 11 avril 2023 à 13:16:40 :
Je sais par avance que c'est un cri dans le désert que je lance, car ceux déjà marqués par leurs gribouillis infâmes n'ont, de toute évidence, plus les capacités cognitives pour comprendre ce pavé.

Le tatouage parlons-en.

Comment cet artisanat tribal et régressif a-t-il pu s' imposer au point de devenir la norme chez les paltoquets immatures qui affluent de tous milieux pour s'en affubler ? Quel est le profil socio-cognitif du tatoué, quelles en sont les conséquences civilisationnelles.

Il y a encore 30 ans, quand la France avait encore une monnaie, et que Twitter et autres Quicoubeuh n'etaient pas encore inventés, le tatouage était une marque d'exclusion sociale. Jamais dans l'histoire de notre société il n'en a été autrement. Non Jean-Pigment, avant que tu t'excites, le tatouage était soit réservé aux peuplades polynésiennes porteuses de pagnes, ou aux français marginaux, de type Prisonniers, légionnaires, marin. Hormis ces professions, se gribouiller la peau est un flagrant manque de vitalité neuronale.

Le tatoué est impressionable, il ferait n'importe quoi pour se conformer au groupe. Preuve en est, son tatouage si personnel sera souvent un modèle issu d'une mode du moment. C'est en quelque sorte le ventre-mou de la société, cet espèce d'organisme gluant, passif, ne servant que de marche-pied aux puissants. Mi paillasson-Mi humanoïde, le tatoué, souvent de cette classe moyenne sans capital (Économique et Culturel), ne va pas hésiter à souscrire un crédit Sofinco à 5.8% pour marquer "No pain No gain" ; ou quelque ineptie sur son épiderme. Le tatoué est souvent servile, lâche, et se plaindra souvent de sa condition de pauvre, sans faire le lien avec ses incapacités naturelles et ses habitudes de consommation.

Vous me direz alors: tant mieux Tsurugimi3, au moins ça te permet de trier plus facilement les gens entre fréquentables et larves.

Malheureusement non. D'une part parce-que d'autres marques servent à identifier ces gnous, tel le port de sneakers ou l'usage de ces anglicismes abracadabrantesques, et d'autre part parce-que la généralisation de cette pratique, transformant humains et goules, change un peu plus notre civilisation en nécropole.

Autrefois bastion moral, le corps, offert par Dieu, devient un terrain de jeu où l'on peut se permettre de gribouiller ce qu'un enfant de 9 ans normalement constitué hesiterait à griffonner dans la marge de sa copie Clairefontaine.

Ces machins puérils, au faire leur propre introspection, d'écrire leurs peines, leurs mémoires, ressentent plutot le besoin vulgaire de montrer leurs secrets aux yeux de tous sur leur peau

J'anticipe des a présent les réponses des gribouillés:

-qu'est ce que ça peut te faire ? = On vit dans une société où les comportement individuels influent entre eux, donc oui, vos infamies épidermiques me concernent

-T'es un rageux = Non, je ne suis même plus révolté, simplement triste.

-T'es un puceau desco = Non, 20cm régulièrement utilisés, cadre sup

Devant un Maori, un Tongien, Un NZ ou un Polynésien de 100kg tout en muscle et tatoué par coutume, tu ferais moins le malin je pense Titouan

Ou alors tu aurais pu lire et comprendre que je mettais dans une autre catégorie les cultures ou le tatouage est normale.

Le tatouage c'est le tatouage. À une époque pas si lointaine on se scarifiait et on se tatouait aussi dans les contrées européennes, notamment Celtes, Germaniques etc.
Donc bon. Ton topic c'est juste pr troller et expliquer que t'aimes pas les tatouages mais le reste ne tient pas la route. Paz nonobstant.

Y'a pas si longtemps que ça on pratiquait le cannibalisme dans les contrées européenes.

Continue je t'écoute

Le 11 avril 2023 à 13:51:50 :

Le 11 avril 2023 à 13:48:09 :
Marqueur de cassosserie et de "je veux prouver au monde que j'ai une identité et du vécu".

Tout comme l'OP et beaucoup d'anti-tatouage qui veulent se trouver une vertu et une identité dans le fait de ne pas le faire et de venir faire la leçon aux autres.
C'est typique du sous-homme qui dans sa frustration et par son inaction se découvre vertueux alors qu'il est juste une grosse merde.

Tu ne peux rien faire sauf tenter d'attaquer ma personne de manière hyper prévisible, ce qui prouve que tu es du mauvais côté de la raison, de la morale, et de la vérité.