L'abomination civilisationnelle qu'est le TATOUAGE
Je sais par avance que c'est un cri dans le désert que je lance, car ceux déjà marqués par leurs gribouillis infâmes n'ont, de toute évidence, plus les capacités cognitives pour comprendre ce pavé.
Le tatouage parlons-en.
Comment cet artisanat tribal et régressif a-t-il pu s' imposer au point de devenir la norme chez les paltoquets immatures qui affluent de tous milieux pour s'en affubler ? Quel est le profil socio-cognitif du tatoué, quelles en sont les conséquences civilisationnelles.
Il y a encore 30 ans, quand la France avait encore une monnaie, et que Twitter et autres Quicoubeuh n'etaient pas encore inventés, le tatouage était une marque d'exclusion sociale. Jamais dans l'histoire de notre société il n'en a été autrement. Non Jean-Pigment, avant que tu t'excites, le tatouage était soit réservé aux peuplades polynésiennes porteuses de pagnes, ou aux français marginaux, de type Prisonniers, légionnaires, marin. Hormis ces professions, se gribouiller la peau est un flagrant manque de vitalité neuronale.
Le tatoué est impressionable, il ferait n'importe quoi pour se conformer au groupe. Preuve en est, son tatouage si personnel sera souvent un modèle issu d'une mode du moment. C'est en quelque sorte le ventre-mou de la société, cet espèce d'organisme gluant, passif, ne servant que de marche-pied aux puissants. Mi paillasson-Mi humanoïde, le tatoué, souvent de cette classe moyenne sans capital (Économique et Culturel), ne va pas hésiter à souscrire un crédit Sofinco à 5.8% pour marquer "No pain No gain" ; ou quelque ineptie sur son épiderme. Le tatoué est souvent servile, lâche, et se plaindra souvent de sa condition de pauvre, sans faire le lien avec ses incapacités naturelles et ses habitudes de consommation.
Vous me direz alors: tant mieux Tsurugimi3, au moins ça te permet de trier plus facilement les gens entre fréquentables et larves.
Malheureusement non. D'une part parce-que d'autres marques servent à identifier ces gnous, tel le port de sneakers ou l'usage de ces anglicismes abracadabrantesques, et d'autre part parce-que la généralisation de cette pratique, transformant humains et goules, change un peu plus notre civilisation en nécropole.
Autrefois bastion moral, le corps, offert par Dieu, devient un terrain de jeu où l'on peut se permettre de gribouiller ce qu'un enfant de 9 ans normalement constitué hesiterait à griffonner dans la marge de sa copie Clairefontaine.
Ces machins puérils, au faire leur propre introspection, d'écrire leurs peines, leurs mémoires, ressentent plutot le besoin vulgaire de montrer leurs secrets aux yeux de tous sur leur peau
J'anticipe des a présent les réponses des gribouillés:
-qu'est ce que ça peut te faire ? = On vit dans une société où les comportement individuels influent entre eux, donc oui, vos infamies épidermiques me concernent
-T'es un rageux = Non, je ne suis même plus révolté, simplement triste.
-T'es un puceau desco = Non, 20cm régulièrement utilisés, cadre sup
L'op a oublié de dire que c'était juste moche aussi.
J'imagine pas la gueule de votre peau plein de tatouage à 60 piges
Enjoy votre cancer
Le 11 avril 2023 à 13:19:21 :
L'op a oublié de dire que c'était juste moche aussi.J'imagine pas la gueule de votre peau plein de tatouage à 60 piges
Enjoy votre cancer
Aussi, mais ça a la rigueur c'est leur problème
Le 11 avril 2023 à 13:19:54 :
C'est majoritairement des cassos, c'est un marqueur social. Le seul tatoué dans mon entourage est un ancien SDF alcoolique
D'autres témoignages accablants ?
Zero tatouage
Peau 100% virile et civilisée
Et toi ent ?
Le 11 avril 2023 à 13:26:15 :
Pour montrer leur appartenance à la communauté des desséchés spirituels, moins on existe en contenu intérieur, plus on compense cette béance en fictivités narcissique extérieures
Non mais mon histoire personnelle est tellement riche que je suis obligé de graver ça sur mon épiderme
Pour rappel, le fait de se tatouer est positivement corrélé aux troubles mentaux
Tattoos indicate slutty behavior
Being tattooed is associated with greater numbers of lifetime sexual partners (Heywood 2012), earlier sexual initiation, higher frequency of sexual intercourse and increased preference for oral sex (Nowosielski 2012). In adolescents, tattoos also correlate with the likelihood of having unprotected sex (Yen, 2012), but not in adults (Nowosielski 2012).
Heywood: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22153289
Nowosielski: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22616886
Yen: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22726901
Tattoos indicate lack of foresight
Tattoos indicate impulsiveness (Kim, 1991). In students, tattooing is associated with risk-taking behaviors, including smoking and cannabis use (Heywood, 2012). Participants with tattoos or body piercings were more likely to have engaged in risk-taking behaviors and at greater degrees of involvement than those without either. These included gateway drug use, hard drug use, sexual activity, and suicide.
Gateway drug use was associated with younger age of both tattooing and body piercing. Hard drug use was associated with number of body piercings (Carroll 2002). In Croatian prisoners, tattoos correlated with lower IQs and those possessing them demonstrated significantly higher levels of impulsiveness than the non-tattooed group (Pozgain 2004). An overview of autopsy reports also revealed that persons with tattoos appear to die earlier than those without. A negative tattoo may suggest a predisposition to violent death, but is eclipsed by the presence of any tattoo (Carson 2014).
Kim: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1781185
Heywood: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22153289
Carroll: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12042538
Pozgain: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15119003
Carson: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24926092
Impulsiveness, increased risk taking behavior, increased change of death = Lack of foresight
Body modifications = mental illness
There are links between tattoos and psychiatric disorders such as depression (Heywood, 2012), eating disorders (Carroll, 2002), borderline personality disorder (Raspa, 1990), neuroticism (Pozgain, 2004) and increased risk of suicide (Carroll, 2002). Seven or more piercings, or intimate piercings, described higher risk behaviors and emotional distress (Owen 2013). In high school students, tattoos correlate with suicidal idealization, suicidal attempts, and depression (Yen 2012).
Raspa: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2333825
Owen: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23938068
Le tatouage est un acte de détresse et de perte de repère identitaire. En gros c'est une conséquence de notre société apatride et consumériste.
Il y a un très bon bouquin là-dessus qui résume tout.
Le 11 avril 2023 à 13:19:54 SugarWeather a écrit :
C'est majoritairement des cassos, c'est un marqueur social. Le seul tatoué dans mon entourage est un ancien SDF alcoolique
Non malheureusement c'est répandu dans toutes les couches de la société même si les formes du tatouage sont évidemment plus vulgaires chez les ploucs
Données du topic
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- Tsurugimi3
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- 11 avril 2023 à 13:16:40
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