[Risitas X] Eve & Célestin

CHAPITRE 18 - LE DIABLE AU CORPS

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Le matin qui suivit.

.

- Qu'est-ce qui t'as pris de l'inviter ici, sans demander la permission à Hector qui plus est...

- Hector a bon dos... La seule personne gênée par Josiane, c'est toi.

- Je ne la connais même pas. Simplement, on n'a pas à inviter quelqu'un dans une maison où on est juste invité, ça paraît logique.

- Je fais ce que je veux et la seule personne qui peut me faire une remarque, c'est Hector

- Je savais que j'aurais dû épouser Estelle. Elle n'était pas aussi bornée et elle savait cuisiner...

- Bah rappelle-la ça me fera des vacances.

.

S'agaçait Annelle. On sonna à la porte.

.

- Salut petite foufoune !

- Qu'est-ce qui t'as pris de rapporter tout ça !? C'est toi l'invitée !

.

S'étonnait-elle devant l'immense barquette de fruits et les paquets que tenaient Josiane.

.

- Tu rigoles, j'allais pas venir les mains vides et c'est seulement quelques fruits qu'il me restait du marché d'y hier, des confitures et... Une bonne bouteille de rosé pour oublier nos affreux maris de bon matin

.

Qu'est ce qu'elle amusait Annelle, la Josiane. Sa bouche débitait plus vite que sa tête ne pensait mais elle n'avait jamais cru nécessaire de gommer ce trait fâcheux malgré toutes les déconvenues que ça avait pu créer durant toute sa vie.

Joseph traînait des pieds pour accueillir Josiane mais il se fit violence, l'idée même que sa femme lui fasse une nouvelle remarque l'horripilait. Il découvrit, surpris, le corps abondant de Josiane, ça débordait de partout sans qu'on puisse distinguer ses jambes de ses mollets, ou son ventre de ses cuisses. Tout était dans tout et formait un spectre ovoïde et dégoulinant. Il y'avait aussi ses énormes seins qui auraient mis fin à la famine en Afrique noire et ses hanches lourdes qui mettraient bas une triplé de vachette.

.

- Ça doit être le fameux Joseph. Annie m'a beaucoup parlé de toi !

- Merci cela me fait plaisir.

.

Se satisfaisait Hector.

.

- Oh ça ne me ravirait pas si j'étais toi.

- Arrête, tu vas lui faire peur

.

Les 2 femmes gloussaient sans porter d'attention supplémentaire à Joseph déjà agacé. On s'installait à table quand tu les rejoignais d'une lenteur d'allure dont se moquerait un vieillard boiteux. Tu déambulais à la manière d'un bébé qui avait sa couche remplie. Les événements de la veille étaient marqués par la douleur intense qui harcelait ton pénis t'obligeant à éviter la douleur à ton pénis était telle que tu évitais le moindre contact entre tes cuisses et ton entrejambe.

.

- Voici mon fils Célestin.

- Mais il est tout mignon ce petit homme mais qu'est-ce qui lui prend de marcher comme un pingouin ?

- Je... Je me suis foulé le cheville

- Ah les choses au pied, il faut pas les laisser traîner. Tu sais René, le férailleur il s'était fait une saleté à son gros doigt. Oh c'était pas beau à voir mais il voulait faire le gaillard alors il a évité le médecin. Maintenant il peut plus mettre de botte sans pleurer comme une vierge ! Méfie toi... Méfie toi

.

Te prévenais Josianne en engloutissant des oeufs dures mal ecalés.

.

- Je me mefierai...

.

Eve descendit enfin. Rarement tu l'avais vu si enjouée si tôt dans la journée. Depuis petits, elle n'avait jamais vraiment été du matin.

.

- J'en connais une qui a bien dormi

- Je vous le fais pas dire. C'est ma meilleure nuit depuis bien longtemps. Papa n'est pas là ?

- Il est encore rentré tard dans la nuit. Laissons-le se reposer.

.

Eve acquiesçait et salua d'un léger geste Josiane comme si sa présence en ces lieux ne l'étonnait pas.

.

- Tu ne manges pas beaucoup.

- Ouais je me sens balloné alors que je n'ai rien mangé hier soir.

- C'est vrai que ton ventre est drôlement gonflé chérie.

.

Eve se leva et resserrait son tee short vers l'arrière pour mouler son ventre apparent. Elle posait devant vous autres amusé de voir ce renflement sur son tout petit corps.

.

- Faudrait pas que tu nous apprennes que t'es enceinte.

- Son père en tomberait raide mort

.

Elle appuyait dessus de son index. Un léger bruit spongieux se faisait entendre à chaque pression.

.

- C'est trop bizarre, c'est comme s'il y avait du liquide dedans

- ...

.

On s'amusait devant les pitreries de ta cousine qui continuait à jouer avec son nouveau tam tam vaseux. Bientôt elle complétait sa rythmique d'une chorégraphie ridicule entre inspiration de tribus zoulou et danse du ventre. Entre gêne et sourire, tu te dis qu'elle était belle à faire la clown avec son gros bidon dont tu étais indirectement responsable.

.

___________

.

Le reste de la journée fut dans la veine de la mâtinée, bien étrange. Ton état de fatigue t'avait poussé à rester à la maison. Ça n'était plus arrivé depuis des jours. Capucine t'avait bien proposé de la voir en début d'après-midi mais ton pénis n'était pas en état. Il ne s'était pas remis de ce qui s'était passé la nuit dernière. Est-ce que ça recommencerait ce soir ? Tu devais l'éviter à tout prix. Ça ne t'avait pas tué hier mais ça pourrait te tuer aujourd'hui. Si Eve ou la chose en elle, se réveillait encore, tu serais obligé de l'arrêter.

Tu t'étais shooté aux boissons énergisantes toute la soirée malgré les rappels à l'ordre de ta mère. Pourtant il te fallut qu'une heure à remuer dans ton lit pour déjà sentir la fatigue te prendre. Mais tu ne pouvais pas dormir. Ce qui t'avait perdu hier c'était la surprise mais tu ne laisserais pas faire cette fois. Il en valait de ta vie. Quelques jouissance ne valaient pas le prix de ton coeur. Pourtant les minutes passaient et tu sentais le sommeil t'harceler.

.

- "Anti fatigue 24h" mon cul oui.

.

C'est alors que la bruit de ta plonger se fit entendre. En alerte, tu galeras à trouver l'interrupteur. La lumière s'alluma enfin au moment où la porte s'entrouvrit dans un grincement venu l'au delà. Une cheville nue s'engouffra dans un mouvement étrange, elle glissa alors pour engouffrer le reste de son corps dans ta chambre. Tu t'étais levé du lit d'un geste et accolé au mur.

Elle était nue comme hier. Mais cette fois tu pouvais tout voir. Elle se tenait dans un posture droite à la manière d'une reine. Sur son torse maigre poussaient 2 melons d'un beige parfait contrastant avec l'aréole rosée plus étalée que la normale. Sa taille marquée donnait naissance à ses hanches généreuses alors que la ligne de séparation entre son ventre adipeux et ses cuisses dirigea ton retard sur son pubis glabre. Tétanisé devant ce corps que tu avais tant façonné dans ton esprit, dessiné, griffonné, retravaillé pour qu'il colle à la vision rêvée que tu en avais, tu saisis que c'était encore plus magnifique que tout ce que tu avais imaginé. Et tu ne pus croire qu'on ne pouvait avoir un corps plus beau.

Eve d'un pas lent et robotique se dirigea vers le lit. Quand elle fut assez proche, grimpa telle une panthère reine dans son habitat naturel mais quelque chose la dérangea. Elle tapota sur le lit avant de comprendre que tu n'y étais pas.

Sa tête se tourna vers toi. Son regard d'un blanc d'horreur croisa le tien.

Pourtant elle continua à passer au crible le lit de ses 2 pattes alertées par l'absence de sa proie. Elle se redressa alors et elle rasa les murs de la chambre en y les caressant de ses mains comme pour se repérer. Son regard vitreux t'interpella.

.

- (C'est comme si elle ne voyait pas.)

.

Elle bousculait les quelques livres de chevet, quand elle ne manquait pas de trébucher sur tes snickers. Tu n'avais pas bougé de ta place, le cœur battant à la chamade craignant que le moindre mouvement ne la mette en alerte.

Eve renifla alors une fois, puis une autre. On aurait dit un chien professionnel. Elle suivait une odeur. À chaque nouveau pas elle renouvelait ses reniflements audibles. Et à chaque pas elle se rapprochait de ta position.

Alors qu'elle était maintenant à quelques centimètres, elle continuait à renifler. Ses yeux blancs infernaux recroisèrent les tiens terrifiés. Elle y plongea que tu eus l'impression qu'elle te voyait.

L'instant d'après, elle agrippa férocement ton entrejambe. Le piège venait de se refermer, pourtant tu voulus fuir comme s'il n'était pas trop tard. Tu ne pus avancer de deux mètres sans tomber. Eve t'attrapait tellement ardemment ta jambe que c'était impossible de t'échapper. Te revoilà comme hier futale baissé par ta cousine affalée sur toi. Ses joues étaient rougies comme quand elle était sur le point de faire une bêtise et elle grognait pleine d'excitation. Ses mimiques tu les avais vu des milliers de fois, alors peut-être que c'était bien la personne qui t'avait accompagné à chaque instant de ta vie qui sur toi. Tu avais tellement voulu recevoir de l'amour de celle qui t'avait bouleversé tes entrailles et tu y étais maintenant. Alors pourquoi continuer à se battre, peut-être valait-il mieux s'abandonner à elle qu'importe où ça te mènera. Tu n'avais pas peur de t'éteindre. Y'avait-il mort plus belle que d'un organisme dans la bouche de ta cousine ?

.

- Mais qu'est ce que je raconte. Je veux pas mourir !

- bluihhfhbgghjj

.

Tu mouvais ton bassin pour tenter d'écarter Eve de ta bite mais ses ventouses qui lui servaient de lèvres refusait de lâcher la pression.

.

- Tu vas t'arrêter s*lope !

.

Même si elle continuait ses mouvements experts de ses deux mains et de sa langue infernale tu n'abandonnerais pas. Pas cette fois. Tu bloquas sa tête entre tes 2 plâtres et la balança dans tous les sens.

.

- Lâche ça je t'ai dit ! Lâche !

.

Tu l'entendais grogner comme un berger allemand pendant que sa bave s'écrasait sur tes chaussettes. Une de ses succions divines te fit jouir, évidemment.

.

- Même en te balançant dans tous les sens tu peux pas t'empêcher de continuer hein ?

.

Elle ne quittait pas son biberon malgré ton énervement croissant. Tu la trainais dans ta chambre pour la faire abandonner mais rien n'y faisait.

.

- Je compte jusqu'à 3. Si t'as pas cesser de sucer je vais vraiment m'énerver... Bordel mais faut vraiment que t'arrêtes

- gloups gloups.

- 1 !

.

Elle tirait encore sur dessus.

.

- 2 !

- Grrrrrrr

- 3!!!!!

.

Tu balançais ton bassin d'avant en arrière ce qui eu pour effet de marteler son crâne contre le mur de ta chambre alors que ta bite épousait encore ses joues. Les murs vibraient à chaque coup, tu eus l'impression que la maison allait s'écrouler. Les grognements d'Eve se metamorphosaient en cri de douleur ou de plaisir, tu ne pus le savoir.

.

- Lâche !!!!

.

De toute la force de ton bassin tu écrasas l'arrière de sa tête sur ton tiroir. La bouche d'Eve lâcha enfin la pression alors qu'elle se retrouvait au sol, étourdie. De sa main végétative elle tira sur le tiroir qui tomba dans un fracas à la hauteur de l'intensité du coup qu'elle se prit, s'écrasa sur sa tête.

.

- Eve !

.

Tu te précipitas vers elle soulever le tiroir et enleva les caleçons et autres tee shirts qui étaient tombé sur elle. Ses yeux semblaient revenus à la normale même si elle semblait s'être réveillée de l'éternité.

.

- Ça va... ?

- J'ai... j'ai mal à la tête... Pourquoi je suis dans ta chambre ?

- C'est une très longue histoire...

.

Regarder ton bas ventre eut l'effet du gifle.

.

- Et pourquoi t'es à moitié à poil !???

- ...

- Et pourquoi JE suis à poil !?

[03:44:13] <QI_Lingus69>
Super sweet khey par contre elle s'est fait censurée, t'as pensé a prendre un screenshot ?

Je fais toujours en sorte d'avoir une save. Il vaut mieux avec ces administrateurs tellement attachés à la liberté d'expression

CHAPITRE 18 - LE DIABLE AU CORPS

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Le matin qui suivit.

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- Qu'est-ce qui t'as pris de l'inviter ici, sans demander la permission à Hector qui plus est...

- Hector a bon dos... La seule personne gênée par Josiane, c'est toi.

- Je ne la connais même pas. Simplement, on n'a pas à inviter quelqu'un dans une maison où on est juste invité, ça paraît logique.

- Je fais ce que je veux et la seule personne qui peut me faire une remarque, c'est Hector

- Je savais que j'aurais dû épouser Estelle. Elle n'était pas aussi bornée et elle savait cuisiner...

- Bah rappelle-la ça me fera des vacances.

.

S'agaçait Annelle. On sonna à la porte.

.

- Salut petite foufoune !

- Qu'est-ce qui t'as pris de rapporter tout ça !? C'est toi l'invitée !

.

S'étonnait-elle devant l'immense barquette de fruits et les paquets que tenaient Josiane.

.

- Tu rigoles, j'allais pas venir les mains vides et c'est seulement quelques fruits qu'il me restait du marché d'y hier, des confitures et... Une bonne bouteille de rosé pour oublier nos affreux maris de bon matin

.

Qu'est ce qu'elle amusait Annelle, la Josiane. Sa bouche débitait plus vite que sa tête ne pensait mais elle n'avait jamais cru nécessaire de gommer ce trait fâcheux malgré toutes les déconvenues que ça avait pu créer durant toute sa vie.

Joseph traînait des pieds pour accueillir Josiane mais il se fit violence, l'idée même que sa femme lui fasse une nouvelle remarque l'horripilait. Il découvrit, surpris, le corps abondant de Josiane, ça débordait de partout sans qu'on puisse distinguer ses jambes de ses mollets, ou son ventre de ses cuisses. Tout était dans tout et formait un spectre ovoïde et dégoulinant. Il y'avait aussi ses énormes seins qui auraient mis fin à la famine en Afrique noire et ses hanches lourdes qui mettraient bas une triplé de vachette.

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- Ça doit être le fameux Joseph. Annie m'a beaucoup parlé de toi !

- Merci cela me fait plaisir.

.

Se satisfaisait Hector.

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- Oh ça ne me ravirait pas si j'étais toi.

- Arrête, tu vas lui faire peur

.

Les 2 femmes gloussaient sans porter d'attention supplémentaire à Joseph déjà agacé. On s'installait à table quand tu les rejoignais d'une lenteur d'allure dont se moquerait un vieillard boiteux. Tu déambulais à la manière d'un bébé qui avait sa couche remplie. Les événements de la veille étaient marqués par la douleur intense qui harcelait ton pénis t'obligeant à éviter la douleur à ton pénis était telle que tu évitais le moindre contact entre tes cuisses et ton entrejambe.

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- Voici mon fils Célestin.

- Mais il est tout mignon ce petit homme mais qu'est-ce qui lui prend de marcher comme un pingouin ?

- Je... Je me suis foulé le cheville

- Ah les choses au pied, il faut pas les laisser traîner. Tu sais René, le férailleur il s'était fait une saleté à son gros doigt. Oh c'était pas beau à voir mais il voulait faire le gaillard alors il a évité le médecin. Maintenant il peut plus mettre de botte sans pleurer comme une vierge ! Méfie toi... Méfie toi

.

Te prévenais Josianne en engloutissant des oeufs dures mal ecalés.

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- Je me mefierai...

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Eve descendit enfin. Rarement tu l'avais vu si enjouée si tôt dans la journée. Depuis petits, elle n'avait jamais vraiment été du matin.

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- J'en connais une qui a bien dormi

- Je vous le fais pas dire. C'est ma meilleure nuit depuis bien longtemps. Papa n'est pas là ?

- Il est encore rentré tard dans la nuit. Laissons-le se reposer.

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Eve acquiesçait et salua d'un léger geste Josiane comme si sa présence en ces lieux ne l'étonnait pas.

.

- Tu ne manges pas beaucoup.

- Ouais je me sens balloné alors que je n'ai rien mangé hier soir.

- C'est vrai que ton ventre est drôlement gonflé chérie.

.

Eve se leva et resserrait son tee short vers l'arrière pour mouler son ventre apparent. Elle posait devant vous autres amusé de voir ce renflement sur son tout petit corps.

.

- Faudrait pas que tu nous apprennes que t'es enceinte.

- Son père en tomberait raide mort

.

Elle appuyait dessus de son index. Un léger bruit spongieux se faisait entendre à chaque pression.

.

- C'est trop bizarre, c'est comme s'il y avait du liquide dedans

- ...

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On s'amusait devant les pitreries de ta cousine qui continuait à jouer avec son nouveau tam tam vaseux. Bientôt elle complétait sa rythmique d'une chorégraphie ridicule entre inspiration de tribus zoulou et danse du ventre. Entre gêne et sourire, tu te dis qu'elle était belle à faire la clown avec son gros bidon dont tu étais indirectement responsable.

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Le reste de la journée fut dans la veine de la mâtinée, bien étrange. Ton état de fatigue t'avait poussé à rester à la maison. Ça n'était plus arrivé depuis des jours. Capucine t'avait bien proposé de la voir en début d'après-midi mais ton pénis n'était pas en état. Il ne s'était pas remis de ce qui s'était passé la nuit dernière. Est-ce que ça recommencerait ce soir ? Tu devais l'éviter à tout prix. Ça ne t'avait pas tué hier mais ça pourrait te tuer aujourd'hui. Si Eve ou la chose en elle, se réveillait encore, tu serais obligé de l'arrêter.

Tu t'étais shooté aux boissons énergisantes toute la soirée malgré les rappels à l'ordre de ta mère. Pourtant il te fallut qu'une heure à remuer dans ton lit pour déjà sentir la fatigue te prendre. Mais tu ne pouvais pas dormir. Ce qui t'avait perdu hier c'était la surprise mais tu ne laisserais pas faire cette fois. Il en valait de ta vie. Quelques jouissance ne valaient pas le prix de ton coeur. Pourtant les minutes passaient et tu sentais le sommeil t'harceler.

.

- "Anti fatigue 24h" mon cul oui.

.

C'est alors que la bruit de ta plonger se fit entendre. En alerte, tu galeras à trouver l'interrupteur. La lumière s'alluma enfin au moment où la porte s'entrouvrit dans un grincement venu l'au delà. Une cheville nue s'engouffra dans un mouvement étrange, elle glissa alors pour engouffrer le reste de son corps dans ta chambre. Tu t'étais levé du lit d'un geste et accolé au mur.

Elle était nue comme hier. Mais cette fois tu pouvais tout voir. Elle se tenait dans un posture droite à la manière d'une reine. Sur son torse maigre poussaient 2 melons d'un beige parfait contrastant avec l'aréole rosée plus étalée que la normale. Sa taille marquée donnait naissance à ses hanches généreuses alors que la ligne de séparation entre son ventre adipeux et ses cuisses dirigea ton retard sur son pubis glabre. Tétanisé devant ce corps que tu avais tant façonné dans ton esprit, dessiné, griffonné, retravaillé pour qu'il colle à la vision rêvée que tu en avais, tu saisis que c'était encore plus magnifique que tout ce que tu avais imaginé. Et tu ne pus croire qu'on ne pouvait avoir un corps plus beau.

Eve d'un pas lent et robotique se dirigea vers le lit. Quand elle fut assez proche, grimpa telle une panthère reine dans son habitat naturel mais quelque chose la dérangea. Elle tapota sur le lit avant de comprendre que tu n'y étais pas.

Sa tête se tourna vers toi. Son regard d'un blanc d'horreur croisa le tien.

Pourtant elle continua à passer au crible le lit de ses 2 pattes alertées par l'absence de sa proie. Elle se redressa alors et elle rasa les murs de la chambre en y les caressant de ses mains comme pour se repérer. Son regard vitreux t'interpella.

.

- (C'est comme si elle ne voyait pas.)

.

Elle bousculait les quelques livres de chevet, quand elle ne manquait pas de trébucher sur tes snickers. Tu n'avais pas bougé de ta place, le cœur battant à la chamade craignant que le moindre mouvement ne la mette en alerte.

Eve renifla alors une fois, puis une autre. On aurait dit un chien professionnel. Elle suivait une odeur. À chaque nouveau pas elle renouvelait ses reniflements audibles. Et à chaque pas elle se rapprochait de ta position.

Alors qu'elle était maintenant à quelques centimètres, elle continuait à renifler. Ses yeux blancs infernaux recroisèrent les tiens terrifiés. Elle y plongea que tu eus l'impression qu'elle te voyait.

L'instant d'après, elle agrippa férocement ton entrejambe. Le piège venait de se refermer, pourtant tu voulus fuir comme s'il n'était pas trop tard. Tu ne pus avancer de deux mètres sans tomber. Eve t'attrapait tellement ardemment ta jambe que c'était impossible de t'échapper. Te revoilà comme hier futale baissé par ta cousine affalée sur toi. Ses joues étaient rougies comme quand elle était sur le point de faire une bêtise et elle grognait pleine d'excitation. Ses mimiques tu les avais vu des milliers de fois, alors peut-être que c'était bien la personne qui t'avait accompagné à chaque instant de ta vie qui sur toi. Tu avais tellement voulu recevoir de l'amour de celle qui t'avait bouleversé tes entrailles et tu y étais maintenant. Alors pourquoi continuer à se battre, peut-être valait-il mieux s'abandonner à elle qu'importe où ça te mènera. Tu n'avais pas peur de t'éteindre. Y'avait-il mort plus belle que d'un organisme dans la bouche de ta cousine ?

.

- Mais qu'est ce que je raconte. Je veux pas mourir !

- bluihhfhbgghjj

.

Tu mouvais ton bassin pour tenter d'écarter Eve de ta bite mais ses ventouses qui lui servaient de lèvres refusait de lâcher la pression.

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- Tu vas t'arrêter s*lope !

.

Même si elle continuait ses mouvements experts de ses deux mains et de sa langue infernale tu n'abandonnerais pas. Pas cette fois. Tu bloquas sa tête entre tes 2 plâtres et la balança dans tous les sens.

.

- Lâche ça je t'ai dit ! Lâche !

.

Tu l'entendais grogner comme un berger allemand pendant que sa bave s'écrasait sur tes chaussettes. Une de ses succions divines te fit jouir, évidemment.

.

- Même en te balançant dans tous les sens tu peux pas t'empêcher de continuer hein ?

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Elle ne quittait pas son biberon malgré ton énervement croissant. Tu la trainais dans ta chambre pour la faire abandonner mais rien n'y faisait.

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- Je compte jusqu'à 3. Si t'as pas cesser de sucer je vais vraiment m'énerver... Bordel mais faut vraiment que t'arrêtes

- gloups gloups.

- 1 !

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Elle tirait encore sur dessus.

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- 2 !

- Grrrrrrr

- 3!!!!!

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Tu balançais ton bassin d'avant en arrière ce qui eu pour effet de marteler son crâne contre le mur de ta chambre alors que ta bite épousait encore ses joues. Les murs vibraient à chaque coup, tu eus l'impression que la maison allait s'écrouler. Les grognements d'Eve se metamorphosaient en cri de douleur ou de plaisir, tu ne pus le savoir.

.

- Lâche !!!!

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De toute la force de ton bassin tu écrasas l'arrière de sa tête sur ton tiroir. La bouche d'Eve lâcha enfin la pression alors qu'elle se retrouvait au sol, étourdie. De sa main végétative elle tira sur le tiroir qui tomba dans un fracas à la hauteur de l'intensité du coup qu'elle se prit, s'écrasa sur sa tête.

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- Eve !

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Tu te précipitas vers elle soulever le tiroir et enleva les caleçons et autres tee shirts qui étaient tombé sur elle. Ses yeux semblaient revenus à la normale même si elle semblait s'être réveillée de l'éternité.

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- Ça va... ?

- J'ai... j'ai mal à la tête... Pourquoi je suis dans ta chambre ?

- C'est une très longue histoire...

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Regarder ton bas ventre eut l'effet du gifle.

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- Et pourquoi t'es à moitié à poil !???

- ...

- Et pourquoi JE suis à poil !?

Le 07 septembre 2022 à 08:08:55 :
CHAPITRE 18 - LE DIABLE AU CORPS

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Le matin qui suivit.

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- Qu'est-ce qui t'as pris de l'inviter ici, sans demander la permission à Hector qui plus est...

- Hector a bon dos... La seule personne gênée par Josiane, c'est toi.

- Je ne la connais même pas. Simplement, on n'a pas à inviter quelqu'un dans une maison où on est juste invité, ça paraît logique.

- Je fais ce que je veux et la seule personne qui peut me faire une remarque, c'est Hector

- Je savais que j'aurais dû épouser Estelle. Elle n'était pas aussi bornée et elle savait cuisiner...

- Bah rappelle-la ça me fera des vacances.

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S'agaçait Annelle. On sonna à la porte.

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- Salut petite foufoune !

- Qu'est-ce qui t'as pris de rapporter tout ça !? C'est toi l'invitée !

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S'étonnait-elle devant l'immense barquette de fruits et les paquets que tenaient Josiane.

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- Tu rigoles, j'allais pas venir les mains vides et c'est seulement quelques fruits qu'il me restait du marché d'y hier, des confitures et... Une bonne bouteille de rosé pour oublier nos affreux maris de bon matin

.

Qu'est ce qu'elle amusait Annelle, la Josiane. Sa bouche débitait plus vite que sa tête ne pensait mais elle n'avait jamais cru nécessaire de gommer ce trait fâcheux malgré toutes les déconvenues que ça avait pu créer durant toute sa vie.

Joseph traînait des pieds pour accueillir Josiane mais il se fit violence, l'idée même que sa femme lui fasse une nouvelle remarque l'horripilait. Il découvrit, surpris, le corps abondant de Josiane, ça débordait de partout sans qu'on puisse distinguer ses jambes de ses mollets, ou son ventre de ses cuisses. Tout était dans tout et formait un spectre ovoïde et dégoulinant. Il y'avait aussi ses énormes seins qui auraient mis fin à la famine en Afrique noire et ses hanches lourdes qui mettraient bas une triplé de vachette.

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- Ça doit être le fameux Joseph. Annie m'a beaucoup parlé de toi !

- Merci cela me fait plaisir.

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Se satisfaisait Hector.

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- Oh ça ne me ravirait pas si j'étais toi.

- Arrête, tu vas lui faire peur

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Les 2 femmes gloussaient sans porter d'attention supplémentaire à Joseph déjà agacé. On s'installait à table quand tu les rejoignais d'une lenteur d'allure dont se moquerait un vieillard boiteux. Tu déambulais à la manière d'un bébé qui avait sa couche remplie. Les événements de la veille étaient marqués par la douleur intense qui harcelait ton pénis t'obligeant à éviter la douleur à ton pénis était telle que tu évitais le moindre contact entre tes cuisses et ton entrejambe.

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- Voici mon fils Célestin.

- Mais il est tout mignon ce petit homme mais qu'est-ce qui lui prend de marcher comme un pingouin ?

- Je... Je me suis foulé le cheville

- Ah les choses au pied, il faut pas les laisser traîner. Tu sais René, le férailleur il s'était fait une saleté à son gros doigt. Oh c'était pas beau à voir mais il voulait faire le gaillard alors il a évité le médecin. Maintenant il peut plus mettre de botte sans pleurer comme une vierge ! Méfie toi... Méfie toi

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Te prévenais Josianne en engloutissant des oeufs dures mal ecalés.

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- Je me mefierai...

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Eve descendit enfin. Rarement tu l'avais vu si enjouée si tôt dans la journée. Depuis petits, elle n'avait jamais vraiment été du matin.

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- J'en connais une qui a bien dormi

- Je vous le fais pas dire. C'est ma meilleure nuit depuis bien longtemps. Papa n'est pas là ?

- Il est encore rentré tard dans la nuit. Laissons-le se reposer.

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Eve acquiesçait et salua d'un léger geste Josiane comme si sa présence en ces lieux ne l'étonnait pas.

.

- Tu ne manges pas beaucoup.

- Ouais je me sens balloné alors que je n'ai rien mangé hier soir.

- C'est vrai que ton ventre est drôlement gonflé chérie.

.

Eve se leva et resserrait son tee short vers l'arrière pour mouler son ventre apparent. Elle posait devant vous autres amusé de voir ce renflement sur son tout petit corps.

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- Faudrait pas que tu nous apprennes que t'es enceinte.

- Son père en tomberait raide mort

.

Elle appuyait dessus de son index. Un léger bruit spongieux se faisait entendre à chaque pression.

.

- C'est trop bizarre, c'est comme s'il y avait du liquide dedans

- ...

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On s'amusait devant les pitreries de ta cousine qui continuait à jouer avec son nouveau tam tam vaseux. Bientôt elle complétait sa rythmique d'une chorégraphie ridicule entre inspiration de tribus zoulou et danse du ventre. Entre gêne et sourire, tu te dis qu'elle était belle à faire la clown avec son gros bidon dont tu étais indirectement responsable.

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Le reste de la journée fut dans la veine de la mâtinée, bien étrange. Ton état de fatigue t'avait poussé à rester à la maison. Ça n'était plus arrivé depuis des jours. Capucine t'avait bien proposé de la voir en début d'après-midi mais ton pénis n'était pas en état. Il ne s'était pas remis de ce qui s'était passé la nuit dernière. Est-ce que ça recommencerait ce soir ? Tu devais l'éviter à tout prix. Ça ne t'avait pas tué hier mais ça pourrait te tuer aujourd'hui. Si Eve ou la chose en elle, se réveillait encore, tu serais obligé de l'arrêter.

Tu t'étais shooté aux boissons énergisantes toute la soirée malgré les rappels à l'ordre de ta mère. Pourtant il te fallut qu'une heure à remuer dans ton lit pour déjà sentir la fatigue te prendre. Mais tu ne pouvais pas dormir. Ce qui t'avait perdu hier c'était la surprise mais tu ne laisserais pas faire cette fois. Il en valait de ta vie. Quelques jouissance ne valaient pas le prix de ton coeur. Pourtant les minutes passaient et tu sentais le sommeil t'harceler.

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- "Anti fatigue 24h" mon cul oui.

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C'est alors que la bruit de ta plonger se fit entendre. En alerte, tu galeras à trouver l'interrupteur. La lumière s'alluma enfin au moment où la porte s'entrouvrit dans un grincement venu l'au delà. Une cheville nue s'engouffra dans un mouvement étrange, elle glissa alors pour engouffrer le reste de son corps dans ta chambre. Tu t'étais levé du lit d'un geste et accolé au mur.

Elle était nue comme hier. Mais cette fois tu pouvais tout voir. Elle se tenait dans un posture droite à la manière d'une reine. Sur son torse maigre poussaient 2 melons d'un beige parfait contrastant avec l'aréole rosée plus étalée que la normale. Sa taille marquée donnait naissance à ses hanches généreuses alors que la ligne de séparation entre son ventre adipeux et ses cuisses dirigea ton retard sur son pubis glabre. Tétanisé devant ce corps que tu avais tant façonné dans ton esprit, dessiné, griffonné, retravaillé pour qu'il colle à la vision rêvée que tu en avais, tu saisis que c'était encore plus magnifique que tout ce que tu avais imaginé. Et tu ne pus croire qu'on ne pouvait avoir un corps plus beau.

Eve d'un pas lent et robotique se dirigea vers le lit. Quand elle fut assez proche, grimpa telle une panthère reine dans son habitat naturel mais quelque chose la dérangea. Elle tapota sur le lit avant de comprendre que tu n'y étais pas.

Sa tête se tourna vers toi. Son regard d'un blanc d'horreur croisa le tien.

Pourtant elle continua à passer au crible le lit de ses 2 pattes alertées par l'absence de sa proie. Elle se redressa alors et elle rasa les murs de la chambre en y les caressant de ses mains comme pour se repérer. Son regard vitreux t'interpella.

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- (C'est comme si elle ne voyait pas.)

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Elle bousculait les quelques livres de chevet, quand elle ne manquait pas de trébucher sur tes snickers. Tu n'avais pas bougé de ta place, le cœur battant à la chamade craignant que le moindre mouvement ne la mette en alerte.

Eve renifla alors une fois, puis une autre. On aurait dit un chien professionnel. Elle suivait une odeur. À chaque nouveau pas elle renouvelait ses reniflements audibles. Et à chaque pas elle se rapprochait de ta position.

Alors qu'elle était maintenant à quelques centimètres, elle continuait à renifler. Ses yeux blancs infernaux recroisèrent les tiens terrifiés. Elle y plongea que tu eus l'impression qu'elle te voyait.

L'instant d'après, elle agrippa férocement ton entrejambe. Le piège venait de se refermer, pourtant tu voulus fuir comme s'il n'était pas trop tard. Tu ne pus avancer de deux mètres sans tomber. Eve t'attrapait tellement ardemment ta jambe que c'était impossible de t'échapper. Te revoilà comme hier futale baissé par ta cousine affalée sur toi. Ses joues étaient rougies comme quand elle était sur le point de faire une bêtise et elle grognait pleine d'excitation. Ses mimiques tu les avais vu des milliers de fois, alors peut-être que c'était bien la personne qui t'avait accompagné à chaque instant de ta vie qui sur toi. Tu avais tellement voulu recevoir de l'amour de celle qui t'avait bouleversé tes entrailles et tu y étais maintenant. Alors pourquoi continuer à se battre, peut-être valait-il mieux s'abandonner à elle qu'importe où ça te mènera. Tu n'avais pas peur de t'éteindre. Y'avait-il mort plus belle que d'un organisme dans la bouche de ta cousine ?

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- Mais qu'est ce que je raconte. Je veux pas mourir !

- bluihhfhbgghjj

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Tu mouvais ton bassin pour tenter d'écarter Eve de ta bite mais ses ventouses qui lui servaient de lèvres refusait de lâcher la pression.

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- Tu vas t'arrêter s*lope !

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Même si elle continuait ses mouvements experts de ses deux mains et de sa langue infernale tu n'abandonnerais pas. Pas cette fois. Tu bloquas sa tête entre tes 2 plâtres et la balança dans tous les sens.

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- Lâche ça je t'ai dit ! Lâche !

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Tu l'entendais grogner comme un berger allemand pendant que sa bave s'écrasait sur tes chaussettes. Une de ses succions divines te fit jouir, évidemment.

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- Même en te balançant dans tous les sens tu peux pas t'empêcher de continuer hein ?

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Elle ne quittait pas son biberon malgré ton énervement croissant. Tu la trainais dans ta chambre pour la faire abandonner mais rien n'y faisait.

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- Je compte jusqu'à 3. Si t'as pas cesser de sucer je vais vraiment m'énerver... Bordel mais faut vraiment que t'arrêtes

- gloups gloups.

- 1 !

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Elle tirait encore sur dessus.

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- 2 !

- Grrrrrrr

- 3!!!!!

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Tu balançais ton bassin d'avant en arrière ce qui eu pour effet de marteler son crâne contre le mur de ta chambre alors que ta bite épousait encore ses joues. Les murs vibraient à chaque coup, tu eus l'impression que la maison allait s'écrouler. Les grognements d'Eve se metamorphosaient en cri de douleur ou de plaisir, tu ne pus le savoir.

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- Lâche !!!!

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De toute la force de ton bassin tu écrasas l'arrière de sa tête sur ton tiroir. La bouche d'Eve lâcha enfin la pression alors qu'elle se retrouvait au sol, étourdie. De sa main végétative elle tira sur le tiroir qui tomba dans un fracas à la hauteur de l'intensité du coup qu'elle se prit, s'écrasa sur sa tête.

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- Eve !

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Tu te précipitas vers elle soulever le tiroir et enleva les caleçons et autres tee shirts qui étaient tombé sur elle. Ses yeux semblaient revenus à la normale même si elle semblait s'être réveillée de l'éternité.

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- Ça va... ?

- J'ai... j'ai mal à la tête... Pourquoi je suis dans ta chambre ?

- C'est une très longue histoire...

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Regarder ton bas ventre eut l'effet du gifle.

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- Et pourquoi t'es à moitié à poil !???

- ...

- Et pourquoi JE suis à poil !?

Nickel tu gères

[19:08:24] <Farine2Ble>
Khey je crois qu'il manque l'avant dernière partie, je me trompe ?

Normalement tout est bon khey. Tu parles de quel chapitre ?

Le 07 septembre 2022 à 16:48:39 :
Ahi le twist

Le 07 septembre 2022 à 21:03:21 :

[19:08:24] <Farine2Ble>
Khey je crois qu'il manque l'avant dernière partie, je me trompe ?

Normalement tout est bon khey. Tu parles de quel chapitre ?

C'est ma faute autent pour moi ! Tout a l'air en ordre

Édit : SWEET

[23:45:36] <palazefu>
On est d'accord que y'a un sticker que t'as fais qui est inspiré du cri ?

Je l'ai pris de risibank mais je pense que c'est inspiré de ça oui

[02:15:50] <Farine2Ble>

Le 07 septembre 2022 à 21:03:21 :

[19:08:24] <Farine2Ble>
Khey je crois qu'il manque l'avant dernière partie, je me trompe ?

Normalement tout est bon khey. Tu parles de quel chapitre ?

C'est ma faute autent pour moi ! Tout a l'air en ordre

Édit : SWEET

Ça tombe bien elle sort tout de sweet

Elle tira ta couette jusqu'à qu'elle puisse s'y emmitoufler pour se protéger de tes yeux lubriques.

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- Remonte-moi ce pantalon. Je veux pas voir ton truc gigoter de partout...

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Tu rangeas tant bien que mal ton gourdin dans ton jean prêt à craquer. Eve se tenait le front qui la faisait souffrir le martyr.

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- Comment je me suis retrouvé ici ?

- Tu ne te rappelles de rien ?

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Elle agita la tête pour décliner.

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- Promets moi de ni crier, ni me taper quand je te dirais tout, d'accord ?

- Je te promets que dalle, accouche.

- Ça... risque de te faire un choc. Je dis ça pour toi.

- Célestin.

- ...

- Je suis à deux doigts de te péter les dents alors tu vas me dire pour quelles raisons on était tous les deux à poil avant que je m'énerve vraiment...

- Je ressens beaucoup de mauvaises ondes de ta part

- Je vais te faire mal. Vraiment je vais te casser en deux.

- Bon ça va ça va...

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Tu déglutis ta salive cherchant une bonne façon, s'il y en avait une, pour lui lâcher cette bombe.

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- Tu sais la chose que tu voulais pas faire... Et bah on l'a fait...

- Comment ça ?

- La chose que tu voulais pa...

- Je t'ai pas demandé de répéter, je vois pas de quoi tu parl... Attends, ne me dis pas que... Non non non... Tu m'as quand même pas fait ça ???

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Eve engouffrait une main dans son vêtement de fortune vérifiant quelque chose au niveau dans la partie inférieure de son corps.

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- Ah mais non non ! Il y a méprise.

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Eve se relâcha dans un soulagement certain.

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- Si on avait couché ensemble, je t'aurais tué

- Couché ensemble !? T'es folle... Tu m'as juste sucé.

- ...

- ...

- ...

- ...

- Je t'ai sucé là maintenant !???

- Hier aussi.

- Je t'ai sucé hier aussi !??

- Et t'y es allée... Ah ça t'y es allée... T'es sacrément douée tu sais.

- Ça te fait rire connard ! Je crois t'as pas l'air de bien realiser. Tu m'a fait ça alors que j'étais en train de dormir !!! Tu sais comment on appelle ça espèce de malade !?

- À t'entendre je t'ai forcé à entrer dans ma chambre, à te mettre à poil et tirer sur mon chibre comme on rechargerait un fusil à pompe.

- C'est impossible... Ça a pas pu se passer comme ça

- La preuve, t'es ici.

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Eve n'en revenait pas alors elle avait finalement fait. Elle s'était pourtant jurer de ne pas céder à ce genre d'immoralité.

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- Ça... Ça doit être mes problèmes de somnambulisme. Il n'y a que ça qui pourrait me faire faire ce genre de saloperies.

- Première fois que je vois une crise de somnambulisme finir de la sorte...

- Tu insinues que je mens !?

- Disons que c'est drôlement arrangeant...

- Donc dans ton esprit malade, je rêve de te branler, c'est ça !?

- Bah une fois c'est une coïncidence, deux fois ça devient une récurrence.

- Ne t'inquiète pas ça risque pas de se reproduire !

- Et tu comptes t'y prendre comment pour calmer ton désir pour moi ?

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T'amusais-tu alors qu'elle te fusilla d'un regard noir.

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- Déjà raconte-moi en détail comment ça s'est déroulé.

- Bah je rêvais qu'on était dans un champ, on courait, on riait comme avant en riant puis j'ai senti quelqu'un sur moi. Ça m'a réveillé et je t'ai vu nu me branler sauvagement oh t'y allais fort, après t'as mis la bo...

- Rentre pas dans ces détails là !

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Eve se tenait la tête dans ses mains accablés.

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- Et toi tu n'as aucun souvenir de ce qui s'est passé ?

- Evidemment que non...

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Eve rougit alors avant de vite renchérir.

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- Ça ne doit jamais se reproduire, d'accord ??

- Je ne suis qu'une victime dans cette histoire.

- C'est ça, continue de faire semblant que ça ne t'a pas ravi.

- Je ne dirai pas ça comme ça.

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Dis-tu forçant le désintérêt.

.

- Tu sais, j'ai tout fait pour éviter que tu le refasses ce soir : Je me suis torché au RedBull pour rester éveillé, je me suis caché au fond de la chambre quand malheureusement tu es rentré, je t'ai traîné dans tout la chambre pour que ta bouche lâche ma...

- Pas de détail !!!

- ...

- Attends mais il y a un verrou sur la porte, tu ne l'as pas mis ?

- ...

- ...

- Ça, c'est pas con comme idée.

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Ça ne t'était même pas venu à l'esprit.

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- On est peut-être sauvés. À partir de maintenant, tu fermeras la porte quand t'iras te coucher. Si je suis prise d'une nouvelle crise, ça m'évitera au moins d'entrer ici...

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Eve réfléchissait encore cherchant la moindre faille à ce plan simple mais pourtant bien ficelé. Si tout se passait comme prévu il n'y avait aucun risque qu'elle se retrouve une nouvelle fois dans cette position fâcheuse.

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- Si je garde la porte ouverte, le plan tombe complètement à l'eau ?

- Oui...

- Donc tout ton stratagème repose sur moi et ma volonté.

- Mais comme tu as très envie d'aider ta pauvre cousine qui te brisera la nuque si tu ne l'écoutes pas, tu vas suivre à la lettre ses instructions.

- Mhhh... Je pense que c'est trop compliqué pour moi...

- Célestin, je ne rigole pas.

- Mais moi non plus.

.

Eve te sauta dessus et appuya son avant bras sur ta trachée en te chevauchant sur le lit, de son autre main elle écrasa tes couilles à travers ton jean. Elle les pressa tellement que ça te fit un mal de chien. La couette était tombée. Elle était nue sur toi mais ça le lui était égal.

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- C'est... À peu de chose près ce que t'as fait hier

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Arrivas-tu à ironiser malgré la douleur insupportable.

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- Ça ne me fait pas rire. Tu vas faire ce que je te demande sinon ça va mal aller

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Elle appuyait si fort que tu avais du mal à respirer.

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- Tu fais ça parce que tu veux que je te branle, avoue ! Tu n'attends que ça. Pourtant t'as déjà Capucine ça devrait te suffir.

- J'ai toujours été un éternel insatisfait, tu le sais mieux que personne.

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Lui déclarais-tu d'une voix pincée.

Elle lâcha la pression sur tes cordes vocales puis celle qu'elle avait mis sur tes couilles. Elle ramassa la couette dont elle se couvrir avant de faire les cent pas dans ta chambre. Elle avait appuyé si fort que tu eus du mal à déglutir ta salive.

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- J'accepte...

- Quoi ?

- Vu le détraqué que t'es, je préfère te faire ce genre de chose en pleine possession de moyens qu'endormi. On sait jamais ce que tu trouverais à me faire faire...

- Tu sais, quand t'es dans cet état, le plus en danger, c'est moi...

- On part sur quoi... ?

- Tous les jours.

- Nan mais t'es malade.

- Alors tous les 2 jours.

- Ok... Mais uniquement une seule branlette d'au maximum 5 minutes et au premier jet j'arrête.

- Madame est radine en plus.

- Tu marches ou pas ?

- Ouais évidemment.

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Satisfait, tu lui tendis la main pour entériner ce nouveau pacte qu'elle saisit la mort dans l'âme.

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- On devra faire attention aux parents aussi. Il faudrait pas qu'il nous crame.

- Eve.

- Quoi encore ?

- Tu sais, je pourrais accepter ce deal et ne pas mettre le verrou. Histoire de faire d'une pierre deux coups...

- Tu sais hier nuit, si ton cœur n'a pas explosé c'est parce que j'ai fait en sorte de ralentir. Alors j'éviterai de jouer au plus malin si j'étais toi.

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Déclara Eve, impassible avant de tourner les talons.

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- Je croyais que tu n'avais aucun souvenir de ce qui s'était passé... ! Eve !? Eve !!

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FIN DU CHAPITRE 18