Les gens s'en foutent des intellectuels
Le 15 septembre 2021 à 17:00:33 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisOu comment repérer tout de suite un demi-habile à <120 de QI
Le scientisme, ou l'idée que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances", et que la philosophie ne serait donc qu'un repère de mecs qui discutent en boucle et se touchent la nouille sans jamais rien démontrer ni apprendre, se réfute tout seul
Car même s'il était vrai il serait faux et inconnaissable :
I) Thèse : La science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances
II) La thèse de la prémisse I) n'a pas été apprise par des moyens scientifiquesaucun papier scientifique ne conclut que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances"
Conclusion : Donc selon la thèse de la prémisse I), on ne peut pas savoir I)La vérité c'est qu'il est tout simplement impossible de faire de la science sans philosophie
Car la science présuppose bon nombre de concepts qui ne sont pas empiriques mais philosophiques (plus exactement métaphysiques, comme les concepts de "cause", "d'effet", de "méthode", etc.).
En fait, la philosophie est au début, et à la fin (pour l'interprétation) de toute démarche scientifique, car la rationalité englobe la méthode scientifique
Ce que le scientiste veut faire, c’est dire que les sciences empiriques représentent un domaine autonome d’enquête rationnelle, et le seul qui génère des connaissances à l’exclusion des domaines comme la philosophie, la théologie, etc.
Sauf que l’idée que les sciences empiriques soient un domaine d’enquête rationnelle autonome pose de sérieux problèmes. Par exemple, une chose que les sciences empiriques ne peuvent pas faire, c’est dire pourquoi elles sont une enquête rationnelle.
Si elles le pouvaient, elles éviteraient la question puisque leur rationalité, qui est la chose à prouver, devrait d’abord être présumée pour le démontrer.
Comme je l'ai dit, les sciences empiriques importent également de nombreux concepts tels que « existence », « cause », « objet physique », « changement », « nature », qui nécessitent un point de vue extra-scientifique pour être établis, comme la métaphysique ou la philosophie de la nature.
En outre, les sciences empiriques ne peuvent pas se prononcer sur certaines questions concernant les objets posés par leurs théories, par exemple : « est-ce que le réalisme est vrai ? », ou « est-ce que l’instrumentalisme est vrai ? », ou quoi que ce soit d’autre. C’est ici le terrain de la philosophie des sciences, et non de la science empirique.
À mon avis, les scientistes et les naturalistes doivent assumer un certain degré de réalisme scientifique s’ils veulent faire leurs revendications, et la position réaliste doit être établie au niveau de la philosophie des sciences et non de la science empirique. Les sciences empiriques ne peuvent pas non plus dire si le réalisme en général est vrai ou faux, c’est-à-dire s’il existe des objets abstraits comme les universaux, les propositions, etc.
C’est une autre question qui doit être débattue au niveau de la métaphysique, et non des sciences empiriques, mais qui a une incidence directe sur ce que nous disons que les sciences empiriques font ; soit qu’elles étudient des essences ou natures réelles, comme le suggérerait le réalisme, soit des choses radicalement individualisées, sans essence ni nature communes, qui se regroupent seulement sous un nom commun, comme le suggérerait le nominalisme, soit quelque chose d’autre.
Les sciences empiriques ne répondent pas à ces questions et ne peuvent même pas, en principe, y répondre, car ces questions sont logiquement antérieures à toute recherche empirique ; c’est-à-dire que l’on doit d’abord avoir une réponse avant de commencer à faire des affirmations sur la nature exacte de sa recherche et de ce qu’elle apporte.
Car la recherche scientifique elle-même repose sur un certain nombre d’hypothèses philosophiques : qu’il existe un monde objectif extérieur à l’esprit des scientifiques ; que ce monde est régi par des régularités causales ; que l’intellect humain peut découvrir et décrire avec précision ces régularités ; et ainsi de suite. Puisque la science présuppose ces choses, elle ne peut pas tenter de les justifier sans argumenter en rond.
Et si elle ne peut même pas établir qu’elle est une forme d’enquête fiable, elle peut difficilement établir qu’elle en est la seule forme fiable. Ces deux tâches nécessiteraient de « sortir » complètement de la science et de découvrir à partir d’un point de vue extra-scientifique que la science transmet une image exacte de la réalité – et dans le cas du scientisme, que seule la science le fait.
Il y a aussi la question de savoir comment interpréter ce que la science nous dit sur le monde. Par exemple, le monde est-il fondamentalement constitué de substances ou d’événements ? Qu’est-ce qu’une « cause » ? N’y en a-t-il qu’une seule sorte ? Aristote soutenait qu’il y en avait au moins quatre. Quelle est la nature des universaux auxquels les lois scientifiques font référence – les concepts comme le quark, l’électron, l’atome, etc. Existent-ils en plus des choses particulières qui les instancient ? Les découvertes scientifiques peuvent éclairer ces questions métaphysiques, mais ne peuvent jamais y répondre complètement.
Donc, si la science doit s’appuyer sur la philosophie, à la fois pour justifier ses présupposés et pour interpréter ses résultats, la fausseté du scientisme semble doublement assurée.
Comme le conclut le philosophe John Kekes (lui-même un laïc confirmé) :
blablabla , quitte à choisir entre E = mc² et ton charabia de low Q.I , j'ai fait mon choix . La première est infiniment plus intéressantes que tes réflexions à la con sur les coquelicots , l'esprit ou la gymnastique .
Le 15 septembre 2021 à 16:59:31 :
Les gens respectent ton intelligence quand tu as des resultats concrets dans ta vie, tu sers alors d’exemple et tu leur transmet de la force, de l’inspiration.
Mais si c’est juste de la branlette non osef. Un con qui a de la chance et va au bout des choses sera beaucoup plus respecté.
Exactement, les gens reconnaissent ton statut d'intellectuel, mais non pas ton travail. Pour eux, le résultat n'est pas ta pensée mais la place que tu occupe dans la hiérarchie académique. Ton labeur est passé sous silence, la population ignore la difficulté de ta tâche
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo compris
Epargne nous ta pensée de midwit, je t'en prie
Le plus valorisé dans la société = personnalité, statut social, charisme
L'intelligence sans le physique et le charisme qui suit ça sert à rien. Sauf si t'as le monopole sur une compétence tu peux être un crado on te sucera quand-même.
Le 15 septembre 2021 à 17:04:04 :
Le 15 septembre 2021 à 17:00:33 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisOu comment repérer tout de suite un demi-habile à <120 de QI
Le scientisme, ou l'idée que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances", et que la philosophie ne serait donc qu'un repère de mecs qui discutent en boucle et se touchent la nouille sans jamais rien démontrer ni apprendre, se réfute tout seul
Car même s'il était vrai il serait faux et inconnaissable :
I) Thèse : La science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances
II) La thèse de la prémisse I) n'a pas été apprise par des moyens scientifiquesaucun papier scientifique ne conclut que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances"
Conclusion : Donc selon la thèse de la prémisse I), on ne peut pas savoir I)La vérité c'est qu'il est tout simplement impossible de faire de la science sans philosophie
Car la science présuppose bon nombre de concepts qui ne sont pas empiriques mais philosophiques (plus exactement métaphysiques, comme les concepts de "cause", "d'effet", de "méthode", etc.).
En fait, la philosophie est au début, et à la fin (pour l'interprétation) de toute démarche scientifique, car la rationalité englobe la méthode scientifique
Ce que le scientiste veut faire, c’est dire que les sciences empiriques représentent un domaine autonome d’enquête rationnelle, et le seul qui génère des connaissances à l’exclusion des domaines comme la philosophie, la théologie, etc.
Sauf que l’idée que les sciences empiriques soient un domaine d’enquête rationnelle autonome pose de sérieux problèmes. Par exemple, une chose que les sciences empiriques ne peuvent pas faire, c’est dire pourquoi elles sont une enquête rationnelle.
Si elles le pouvaient, elles éviteraient la question puisque leur rationalité, qui est la chose à prouver, devrait d’abord être présumée pour le démontrer.
Comme je l'ai dit, les sciences empiriques importent également de nombreux concepts tels que « existence », « cause », « objet physique », « changement », « nature », qui nécessitent un point de vue extra-scientifique pour être établis, comme la métaphysique ou la philosophie de la nature.
En outre, les sciences empiriques ne peuvent pas se prononcer sur certaines questions concernant les objets posés par leurs théories, par exemple : « est-ce que le réalisme est vrai ? », ou « est-ce que l’instrumentalisme est vrai ? », ou quoi que ce soit d’autre. C’est ici le terrain de la philosophie des sciences, et non de la science empirique.
À mon avis, les scientistes et les naturalistes doivent assumer un certain degré de réalisme scientifique s’ils veulent faire leurs revendications, et la position réaliste doit être établie au niveau de la philosophie des sciences et non de la science empirique. Les sciences empiriques ne peuvent pas non plus dire si le réalisme en général est vrai ou faux, c’est-à-dire s’il existe des objets abstraits comme les universaux, les propositions, etc.
C’est une autre question qui doit être débattue au niveau de la métaphysique, et non des sciences empiriques, mais qui a une incidence directe sur ce que nous disons que les sciences empiriques font ; soit qu’elles étudient des essences ou natures réelles, comme le suggérerait le réalisme, soit des choses radicalement individualisées, sans essence ni nature communes, qui se regroupent seulement sous un nom commun, comme le suggérerait le nominalisme, soit quelque chose d’autre.
Les sciences empiriques ne répondent pas à ces questions et ne peuvent même pas, en principe, y répondre, car ces questions sont logiquement antérieures à toute recherche empirique ; c’est-à-dire que l’on doit d’abord avoir une réponse avant de commencer à faire des affirmations sur la nature exacte de sa recherche et de ce qu’elle apporte.
Car la recherche scientifique elle-même repose sur un certain nombre d’hypothèses philosophiques : qu’il existe un monde objectif extérieur à l’esprit des scientifiques ; que ce monde est régi par des régularités causales ; que l’intellect humain peut découvrir et décrire avec précision ces régularités ; et ainsi de suite. Puisque la science présuppose ces choses, elle ne peut pas tenter de les justifier sans argumenter en rond.
Et si elle ne peut même pas établir qu’elle est une forme d’enquête fiable, elle peut difficilement établir qu’elle en est la seule forme fiable. Ces deux tâches nécessiteraient de « sortir » complètement de la science et de découvrir à partir d’un point de vue extra-scientifique que la science transmet une image exacte de la réalité – et dans le cas du scientisme, que seule la science le fait.
Il y a aussi la question de savoir comment interpréter ce que la science nous dit sur le monde. Par exemple, le monde est-il fondamentalement constitué de substances ou d’événements ? Qu’est-ce qu’une « cause » ? N’y en a-t-il qu’une seule sorte ? Aristote soutenait qu’il y en avait au moins quatre. Quelle est la nature des universaux auxquels les lois scientifiques font référence – les concepts comme le quark, l’électron, l’atome, etc. Existent-ils en plus des choses particulières qui les instancient ? Les découvertes scientifiques peuvent éclairer ces questions métaphysiques, mais ne peuvent jamais y répondre complètement.
Donc, si la science doit s’appuyer sur la philosophie, à la fois pour justifier ses présupposés et pour interpréter ses résultats, la fausseté du scientisme semble doublement assurée.
Comme le conclut le philosophe John Kekes (lui-même un laïc confirmé) :
blablabla , quitte à choisir entre E = mc² et ton charabia de low Q.I , j'ai fait mon choix . La première est infiniment plus intéressantes que tes réflexions à la con sur les coquelicots , l'esprit ou la gymnastique .
Sauf que vu ta réponse t'es à l'évidence trop simplet pour pouvoir comprendre cette équation, donc tu choisis rien
D'ailleurs lis ce que disait Einstein sur l'importance de la philo, ça te fera du bien :
Le 15 septembre 2021 à 17:05:55 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisEpargne nous ta pensée de midwit, je t'en prie
Désolé , la civilisation en est là grâce aux sciences et pas à tes réflexions sur la nature de l'être humain ou des girafes .
Le 15 septembre 2021 à 16:59:16 :
Le 15 septembre 2021 à 16:55:40 :
Le 15 septembre 2021 à 16:51:58 :
Le 15 septembre 2021 à 16:49:09 :
En même temps la philo américaine qui arrive jusqu'à nous c'est quoi ? Ayn Rand ?
CimerPersonne ne prend ayn rand au sérieux
Rawls et nozick, Arendt, Chomsky, Butler, Kuhn des randoms j'imagine?
Bof à la base je voulais juste faire une blague sur Ayn Rand, je m'en fous un peu hein
Arendt, tu la considères comme une américaine ?
Butler, c'est pour Judith Butler ?
Les autres, palu
Le 15 septembre 2021 à 17:00:56 :
Le 15 septembre 2021 à 16:53:20 :
Le 15 septembre 2021 à 16:49:22 :
Ouais enfin passer 2 mois dans la montagne c'est pas rien non plus.
Le soucis c'est que "intellectuel" ne veut plus rien dire. Les types qui passent 2 piges sur un mémoire pour nous ressortir du BFM on les connais, faut pas crier à l'intellectuel juste car un type porte des chemises et écrit des trucs.Quand je parle d'un mémoire, c'est un mémoire d'intellectuel. Les masters marketing ou de socio ça ne compte pas
Marketing ça gagne bien sa vie, donc en quoi choisir le pognon et réussir dedans c'est être idiot?
En quoi ne pas être un intellectuel, c'est être un idiot ? Je ne suis pas responsable de tes préconceptions kheys, c'est à toi d'assumer tes propres thèses
Le 15 septembre 2021 à 17:07:26 :
Le 15 septembre 2021 à 17:05:55 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisEpargne nous ta pensée de midwit, je t'en prie
Désolé , la civilisation en est là grâce aux sciences et pas à tes réflexions sur la nature de l'être humain ou des girafes .
Tu veux dire la civilisation inventée par les penseurs grecs tous philosophes ?
Le 15 septembre 2021 à 17:07:04 :
Le 15 septembre 2021 à 17:04:04 :
Le 15 septembre 2021 à 17:00:33 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisOu comment repérer tout de suite un demi-habile à <120 de QI
Le scientisme, ou l'idée que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances", et que la philosophie ne serait donc qu'un repère de mecs qui discutent en boucle et se touchent la nouille sans jamais rien démontrer ni apprendre, se réfute tout seul
Car même s'il était vrai il serait faux et inconnaissable :
I) Thèse : La science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances
II) La thèse de la prémisse I) n'a pas été apprise par des moyens scientifiquesaucun papier scientifique ne conclut que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances"
Conclusion : Donc selon la thèse de la prémisse I), on ne peut pas savoir I)La vérité c'est qu'il est tout simplement impossible de faire de la science sans philosophie
Car la science présuppose bon nombre de concepts qui ne sont pas empiriques mais philosophiques (plus exactement métaphysiques, comme les concepts de "cause", "d'effet", de "méthode", etc.).
En fait, la philosophie est au début, et à la fin (pour l'interprétation) de toute démarche scientifique, car la rationalité englobe la méthode scientifique
Ce que le scientiste veut faire, c’est dire que les sciences empiriques représentent un domaine autonome d’enquête rationnelle, et le seul qui génère des connaissances à l’exclusion des domaines comme la philosophie, la théologie, etc.
Sauf que l’idée que les sciences empiriques soient un domaine d’enquête rationnelle autonome pose de sérieux problèmes. Par exemple, une chose que les sciences empiriques ne peuvent pas faire, c’est dire pourquoi elles sont une enquête rationnelle.
Si elles le pouvaient, elles éviteraient la question puisque leur rationalité, qui est la chose à prouver, devrait d’abord être présumée pour le démontrer.
Comme je l'ai dit, les sciences empiriques importent également de nombreux concepts tels que « existence », « cause », « objet physique », « changement », « nature », qui nécessitent un point de vue extra-scientifique pour être établis, comme la métaphysique ou la philosophie de la nature.
En outre, les sciences empiriques ne peuvent pas se prononcer sur certaines questions concernant les objets posés par leurs théories, par exemple : « est-ce que le réalisme est vrai ? », ou « est-ce que l’instrumentalisme est vrai ? », ou quoi que ce soit d’autre. C’est ici le terrain de la philosophie des sciences, et non de la science empirique.
À mon avis, les scientistes et les naturalistes doivent assumer un certain degré de réalisme scientifique s’ils veulent faire leurs revendications, et la position réaliste doit être établie au niveau de la philosophie des sciences et non de la science empirique. Les sciences empiriques ne peuvent pas non plus dire si le réalisme en général est vrai ou faux, c’est-à-dire s’il existe des objets abstraits comme les universaux, les propositions, etc.
C’est une autre question qui doit être débattue au niveau de la métaphysique, et non des sciences empiriques, mais qui a une incidence directe sur ce que nous disons que les sciences empiriques font ; soit qu’elles étudient des essences ou natures réelles, comme le suggérerait le réalisme, soit des choses radicalement individualisées, sans essence ni nature communes, qui se regroupent seulement sous un nom commun, comme le suggérerait le nominalisme, soit quelque chose d’autre.
Les sciences empiriques ne répondent pas à ces questions et ne peuvent même pas, en principe, y répondre, car ces questions sont logiquement antérieures à toute recherche empirique ; c’est-à-dire que l’on doit d’abord avoir une réponse avant de commencer à faire des affirmations sur la nature exacte de sa recherche et de ce qu’elle apporte.
Car la recherche scientifique elle-même repose sur un certain nombre d’hypothèses philosophiques : qu’il existe un monde objectif extérieur à l’esprit des scientifiques ; que ce monde est régi par des régularités causales ; que l’intellect humain peut découvrir et décrire avec précision ces régularités ; et ainsi de suite. Puisque la science présuppose ces choses, elle ne peut pas tenter de les justifier sans argumenter en rond.
Et si elle ne peut même pas établir qu’elle est une forme d’enquête fiable, elle peut difficilement établir qu’elle en est la seule forme fiable. Ces deux tâches nécessiteraient de « sortir » complètement de la science et de découvrir à partir d’un point de vue extra-scientifique que la science transmet une image exacte de la réalité – et dans le cas du scientisme, que seule la science le fait.
Il y a aussi la question de savoir comment interpréter ce que la science nous dit sur le monde. Par exemple, le monde est-il fondamentalement constitué de substances ou d’événements ? Qu’est-ce qu’une « cause » ? N’y en a-t-il qu’une seule sorte ? Aristote soutenait qu’il y en avait au moins quatre. Quelle est la nature des universaux auxquels les lois scientifiques font référence – les concepts comme le quark, l’électron, l’atome, etc. Existent-ils en plus des choses particulières qui les instancient ? Les découvertes scientifiques peuvent éclairer ces questions métaphysiques, mais ne peuvent jamais y répondre complètement.
Donc, si la science doit s’appuyer sur la philosophie, à la fois pour justifier ses présupposés et pour interpréter ses résultats, la fausseté du scientisme semble doublement assurée.
Comme le conclut le philosophe John Kekes (lui-même un laïc confirmé) :
blablabla , quitte à choisir entre E = mc² et ton charabia de low Q.I , j'ai fait mon choix . La première est infiniment plus intéressantes que tes réflexions à la con sur les coquelicots , l'esprit ou la gymnastique .
Sauf que vu ta réponse t'es à l'évidence trop simplet pour pouvoir comprendre cette équation, donc tu choisis rien
D'ailleurs lis ce que disait Einstein sur l'importance de la philo, ça te fera du bien :
Et Einstein , il est quoi ? Physicien ou philosophe ? Merci
Le 15 septembre 2021 à 17:08:31 :
Le 15 septembre 2021 à 17:07:04 :
Le 15 septembre 2021 à 17:04:04 :
Le 15 septembre 2021 à 17:00:33 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisOu comment repérer tout de suite un demi-habile à <120 de QI
Le scientisme, ou l'idée que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances", et que la philosophie ne serait donc qu'un repère de mecs qui discutent en boucle et se touchent la nouille sans jamais rien démontrer ni apprendre, se réfute tout seul
Car même s'il était vrai il serait faux et inconnaissable :
I) Thèse : La science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances
II) La thèse de la prémisse I) n'a pas été apprise par des moyens scientifiquesaucun papier scientifique ne conclut que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances"
Conclusion : Donc selon la thèse de la prémisse I), on ne peut pas savoir I)La vérité c'est qu'il est tout simplement impossible de faire de la science sans philosophie
Car la science présuppose bon nombre de concepts qui ne sont pas empiriques mais philosophiques (plus exactement métaphysiques, comme les concepts de "cause", "d'effet", de "méthode", etc.).
En fait, la philosophie est au début, et à la fin (pour l'interprétation) de toute démarche scientifique, car la rationalité englobe la méthode scientifique
Ce que le scientiste veut faire, c’est dire que les sciences empiriques représentent un domaine autonome d’enquête rationnelle, et le seul qui génère des connaissances à l’exclusion des domaines comme la philosophie, la théologie, etc.
Sauf que l’idée que les sciences empiriques soient un domaine d’enquête rationnelle autonome pose de sérieux problèmes. Par exemple, une chose que les sciences empiriques ne peuvent pas faire, c’est dire pourquoi elles sont une enquête rationnelle.
Si elles le pouvaient, elles éviteraient la question puisque leur rationalité, qui est la chose à prouver, devrait d’abord être présumée pour le démontrer.
Comme je l'ai dit, les sciences empiriques importent également de nombreux concepts tels que « existence », « cause », « objet physique », « changement », « nature », qui nécessitent un point de vue extra-scientifique pour être établis, comme la métaphysique ou la philosophie de la nature.
En outre, les sciences empiriques ne peuvent pas se prononcer sur certaines questions concernant les objets posés par leurs théories, par exemple : « est-ce que le réalisme est vrai ? », ou « est-ce que l’instrumentalisme est vrai ? », ou quoi que ce soit d’autre. C’est ici le terrain de la philosophie des sciences, et non de la science empirique.
À mon avis, les scientistes et les naturalistes doivent assumer un certain degré de réalisme scientifique s’ils veulent faire leurs revendications, et la position réaliste doit être établie au niveau de la philosophie des sciences et non de la science empirique. Les sciences empiriques ne peuvent pas non plus dire si le réalisme en général est vrai ou faux, c’est-à-dire s’il existe des objets abstraits comme les universaux, les propositions, etc.
C’est une autre question qui doit être débattue au niveau de la métaphysique, et non des sciences empiriques, mais qui a une incidence directe sur ce que nous disons que les sciences empiriques font ; soit qu’elles étudient des essences ou natures réelles, comme le suggérerait le réalisme, soit des choses radicalement individualisées, sans essence ni nature communes, qui se regroupent seulement sous un nom commun, comme le suggérerait le nominalisme, soit quelque chose d’autre.
Les sciences empiriques ne répondent pas à ces questions et ne peuvent même pas, en principe, y répondre, car ces questions sont logiquement antérieures à toute recherche empirique ; c’est-à-dire que l’on doit d’abord avoir une réponse avant de commencer à faire des affirmations sur la nature exacte de sa recherche et de ce qu’elle apporte.
Car la recherche scientifique elle-même repose sur un certain nombre d’hypothèses philosophiques : qu’il existe un monde objectif extérieur à l’esprit des scientifiques ; que ce monde est régi par des régularités causales ; que l’intellect humain peut découvrir et décrire avec précision ces régularités ; et ainsi de suite. Puisque la science présuppose ces choses, elle ne peut pas tenter de les justifier sans argumenter en rond.
Et si elle ne peut même pas établir qu’elle est une forme d’enquête fiable, elle peut difficilement établir qu’elle en est la seule forme fiable. Ces deux tâches nécessiteraient de « sortir » complètement de la science et de découvrir à partir d’un point de vue extra-scientifique que la science transmet une image exacte de la réalité – et dans le cas du scientisme, que seule la science le fait.
Il y a aussi la question de savoir comment interpréter ce que la science nous dit sur le monde. Par exemple, le monde est-il fondamentalement constitué de substances ou d’événements ? Qu’est-ce qu’une « cause » ? N’y en a-t-il qu’une seule sorte ? Aristote soutenait qu’il y en avait au moins quatre. Quelle est la nature des universaux auxquels les lois scientifiques font référence – les concepts comme le quark, l’électron, l’atome, etc. Existent-ils en plus des choses particulières qui les instancient ? Les découvertes scientifiques peuvent éclairer ces questions métaphysiques, mais ne peuvent jamais y répondre complètement.
Donc, si la science doit s’appuyer sur la philosophie, à la fois pour justifier ses présupposés et pour interpréter ses résultats, la fausseté du scientisme semble doublement assurée.
Comme le conclut le philosophe John Kekes (lui-même un laïc confirmé) :
blablabla , quitte à choisir entre E = mc² et ton charabia de low Q.I , j'ai fait mon choix . La première est infiniment plus intéressantes que tes réflexions à la con sur les coquelicots , l'esprit ou la gymnastique .
Sauf que vu ta réponse t'es à l'évidence trop simplet pour pouvoir comprendre cette équation, donc tu choisis rien
D'ailleurs lis ce que disait Einstein sur l'importance de la philo, ça te fera du bien :
Et Einstein , il est quoi ? Physicien ou philosophe ? Merci
Le 15 septembre 2021 à 17:08:13 :
Le 15 septembre 2021 à 17:07:26 :
Le 15 septembre 2021 à 17:05:55 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisEpargne nous ta pensée de midwit, je t'en prie
Désolé , la civilisation en est là grâce aux sciences et pas à tes réflexions sur la nature de l'être humain ou des girafes .
Tu veux dire la civilisation inventée par les penseurs grecs tous philosophes ?
Le 15 septembre 2021 à 17:08:13 :
Le 15 septembre 2021 à 17:07:26 :
Le 15 septembre 2021 à 17:05:55 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisEpargne nous ta pensée de midwit, je t'en prie
Désolé , la civilisation en est là grâce aux sciences et pas à tes réflexions sur la nature de l'être humain ou des girafes .
Tu veux dire la civilisation inventée par les penseurs grecs tous philosophes ?
Non mais laisse. La science est leur religion
Le 15 septembre 2021 à 17:08:13 :
Le 15 septembre 2021 à 17:07:26 :
Le 15 septembre 2021 à 17:05:55 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisEpargne nous ta pensée de midwit, je t'en prie
Désolé , la civilisation en est là grâce aux sciences et pas à tes réflexions sur la nature de l'être humain ou des girafes .
Tu veux dire la civilisation inventée par les penseurs grecs tous philosophes ?
Mathématiciens avant tout , l'inculte
Le 15 septembre 2021 à 17:03:09 :
Le 15 septembre 2021 à 17:02:23 :
Le 15 septembre 2021 à 16:58:37 :
Le 15 septembre 2021 à 16:57:43 :
Le 15 septembre 2021 à 16:52:00 :
Le 15 septembre 2021 à 16:48:45 :
Le 15 septembre 2021 à 16:48:07 :
Le 15 septembre 2021 à 16:47:18 :
Le 15 septembre 2021 à 16:45:04 :
Le 15 septembre 2021 à 16:43:21 :
Le 15 septembre 2021 à 16:38:21 :
Le 15 septembre 2021 à 16:36:23 :
Le 15 septembre 2021 à 16:31:26 :
Tout dépend à quoi on choisit de dévouer son intellect, un sujet intéressant pour faire avancer la condition humaine (et c'est à toi d'en parler un minimum au lieu de dire "j'écris un mémoire") ou de la branletteVenant de quelqu'un qui met Sartre en signature, j'avoue que ça me met un red flag
Un mémoire de philosophie, c'est grossièrement le commentaire d'une pensée, alors je comprends que ça n'intéresse que les initiés. Mais tout de même, je remarque cette absence de reconnaissance. La société valorise davantage mon diplôme, ou mon statut si je devenais prof, mais pas le travail que j'ai accompli. Tandis qu'il a suffit que je me promène quelques jours pour être accueilli comme un chevalier partout où je passais
En même temps tu vis en Europe de l'Ouest, et en France qui plus est
C'est le pays de BHL et d'Onfray où on pense, et enseigne, que la métaphysique s'est finie avec Kant
Sérieusement, la philosophie est morte en Europe, donc c'est normal que tu bides et fasses une thèse pourrie
Tous les débats philosophiques actuels majeurs se passent dans le monde anglo-saxon, et là-bas la pensée vit encore, ils se contentent pas de faire des commentaires comme tu dis
Je ne connais pas la philosophie analytique,
C'est ça le problème des français
Faut vraiment que vous vous intéressiez à ce qu'il se passe dans le monde anglo-saxon, tous les papiers intéressants sortent là-bas
On ne l'étudie jamais ici. On voit la philo continentale de long et large, mais pas un mot sur la philo américaine. Mais je voudrais d'abord me perfectionner en phénoménologie avant de passer à l'analytique. J'ai lu tout Sartre et tout Bergson, j'aimerais lire tout Heidegger et les grands ouvrages incontournables de la phéno
Non
Tu t'intéresses à la phénoménologie et tu connais pas Bitbol ? Fonce voir ses conférences et ses livres, c'est un des derniers philosophes intéressants en France, et phénoménologue dans la lignée de Husserl
https://www.youtube.com/watch?v=EbCdiMy3KCk une bonne intro
C'est d'ailleurs à lui qu'on doit le seul débat philosophique intéressant en France depuis des décennies, à savoir son affrontement avec Meillassoux sur son réalisme spéculatif https://youtu.be/IhwQrDYwTLw?t=684
Je lu l'ouvrage de Meillassoux sur le réalisme spéculatif " Après la finitude " que j'avais trouvé peu convainquant dans sa tentative de dépasser Heidegger. J'irai écouter le débat dès que j'aurais rendu ce foutu mémoire sur Bergson, j'ai envie de voir si Meillassoux prend une PLS ou s'il se défend
Bah Bitbol lui a répondu dans son livre Maintenant la finitude
Vraiment il est génial, je te conseille ses confs dispos sur YouTube et ses livres
Ben je le lirai en même temps que Heidegger le jour où j'entreprendrai ça. Pour le moment je vais me replonger dans la littérature, alors c'est pas pour maintenant
Tu peux mater ça un soir où t'as du temps : https://www.youtube.com/watch?v=EbCdiMy3KCk ça se déguste comme une sucrerie
Ahii je me demande pourquoi je me suis bougé le cul en séminaire quand je vois des trucs comme ça en ligne
Le 15 septembre 2021 à 17:09:14 :
Le 15 septembre 2021 à 17:08:31 :
Le 15 septembre 2021 à 17:07:04 :
Le 15 septembre 2021 à 17:04:04 :
Le 15 septembre 2021 à 17:00:33 :
Le 15 septembre 2021 à 16:59:38 :
Désolé mais être intello = maths/sciences . Le reste , c'est du vent . Philo comprisOu comment repérer tout de suite un demi-habile à <120 de QI
Le scientisme, ou l'idée que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances", et que la philosophie ne serait donc qu'un repère de mecs qui discutent en boucle et se touchent la nouille sans jamais rien démontrer ni apprendre, se réfute tout seul
Car même s'il était vrai il serait faux et inconnaissable :
I) Thèse : La science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances
II) La thèse de la prémisse I) n'a pas été apprise par des moyens scientifiquesaucun papier scientifique ne conclut que "la science est le seul moyen valide d'acquérir des connaissances"
Conclusion : Donc selon la thèse de la prémisse I), on ne peut pas savoir I)La vérité c'est qu'il est tout simplement impossible de faire de la science sans philosophie
Car la science présuppose bon nombre de concepts qui ne sont pas empiriques mais philosophiques (plus exactement métaphysiques, comme les concepts de "cause", "d'effet", de "méthode", etc.).
En fait, la philosophie est au début, et à la fin (pour l'interprétation) de toute démarche scientifique, car la rationalité englobe la méthode scientifique
Ce que le scientiste veut faire, c’est dire que les sciences empiriques représentent un domaine autonome d’enquête rationnelle, et le seul qui génère des connaissances à l’exclusion des domaines comme la philosophie, la théologie, etc.
Sauf que l’idée que les sciences empiriques soient un domaine d’enquête rationnelle autonome pose de sérieux problèmes. Par exemple, une chose que les sciences empiriques ne peuvent pas faire, c’est dire pourquoi elles sont une enquête rationnelle.
Si elles le pouvaient, elles éviteraient la question puisque leur rationalité, qui est la chose à prouver, devrait d’abord être présumée pour le démontrer.
Comme je l'ai dit, les sciences empiriques importent également de nombreux concepts tels que « existence », « cause », « objet physique », « changement », « nature », qui nécessitent un point de vue extra-scientifique pour être établis, comme la métaphysique ou la philosophie de la nature.
En outre, les sciences empiriques ne peuvent pas se prononcer sur certaines questions concernant les objets posés par leurs théories, par exemple : « est-ce que le réalisme est vrai ? », ou « est-ce que l’instrumentalisme est vrai ? », ou quoi que ce soit d’autre. C’est ici le terrain de la philosophie des sciences, et non de la science empirique.
À mon avis, les scientistes et les naturalistes doivent assumer un certain degré de réalisme scientifique s’ils veulent faire leurs revendications, et la position réaliste doit être établie au niveau de la philosophie des sciences et non de la science empirique. Les sciences empiriques ne peuvent pas non plus dire si le réalisme en général est vrai ou faux, c’est-à-dire s’il existe des objets abstraits comme les universaux, les propositions, etc.
C’est une autre question qui doit être débattue au niveau de la métaphysique, et non des sciences empiriques, mais qui a une incidence directe sur ce que nous disons que les sciences empiriques font ; soit qu’elles étudient des essences ou natures réelles, comme le suggérerait le réalisme, soit des choses radicalement individualisées, sans essence ni nature communes, qui se regroupent seulement sous un nom commun, comme le suggérerait le nominalisme, soit quelque chose d’autre.
Les sciences empiriques ne répondent pas à ces questions et ne peuvent même pas, en principe, y répondre, car ces questions sont logiquement antérieures à toute recherche empirique ; c’est-à-dire que l’on doit d’abord avoir une réponse avant de commencer à faire des affirmations sur la nature exacte de sa recherche et de ce qu’elle apporte.
Car la recherche scientifique elle-même repose sur un certain nombre d’hypothèses philosophiques : qu’il existe un monde objectif extérieur à l’esprit des scientifiques ; que ce monde est régi par des régularités causales ; que l’intellect humain peut découvrir et décrire avec précision ces régularités ; et ainsi de suite. Puisque la science présuppose ces choses, elle ne peut pas tenter de les justifier sans argumenter en rond.
Et si elle ne peut même pas établir qu’elle est une forme d’enquête fiable, elle peut difficilement établir qu’elle en est la seule forme fiable. Ces deux tâches nécessiteraient de « sortir » complètement de la science et de découvrir à partir d’un point de vue extra-scientifique que la science transmet une image exacte de la réalité – et dans le cas du scientisme, que seule la science le fait.
Il y a aussi la question de savoir comment interpréter ce que la science nous dit sur le monde. Par exemple, le monde est-il fondamentalement constitué de substances ou d’événements ? Qu’est-ce qu’une « cause » ? N’y en a-t-il qu’une seule sorte ? Aristote soutenait qu’il y en avait au moins quatre. Quelle est la nature des universaux auxquels les lois scientifiques font référence – les concepts comme le quark, l’électron, l’atome, etc. Existent-ils en plus des choses particulières qui les instancient ? Les découvertes scientifiques peuvent éclairer ces questions métaphysiques, mais ne peuvent jamais y répondre complètement.
Donc, si la science doit s’appuyer sur la philosophie, à la fois pour justifier ses présupposés et pour interpréter ses résultats, la fausseté du scientisme semble doublement assurée.
Comme le conclut le philosophe John Kekes (lui-même un laïc confirmé) :
blablabla , quitte à choisir entre E = mc² et ton charabia de low Q.I , j'ai fait mon choix . La première est infiniment plus intéressantes que tes réflexions à la con sur les coquelicots , l'esprit ou la gymnastique .
Sauf que vu ta réponse t'es à l'évidence trop simplet pour pouvoir comprendre cette équation, donc tu choisis rien
D'ailleurs lis ce que disait Einstein sur l'importance de la philo, ça te fera du bien :
Et Einstein , il est quoi ? Physicien ou philosophe ? Merci
T'as toujours pas compris que les grands philosophes sont ABSOLUMENT TOUS DES PUTAINS DE MATHEMATICIENS LE LOW Q.I SPE TRISOMIE 21 ?
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- 15 septembre 2021 à 16:27:39
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