[MALAISE] Anecdote de vos pires malaises
Le 19 mars 2021 à 15:21:48 Skyrim50130 a écrit :
Le 19 mars 2021 à 15:06:19 Doomer_song a écrit :
J'ai une anecdote bien malaisante sur le moment mais qui me fait rire avec le recul
J'ai fait une année à la fac (fac géographie ). C'était la fin de l'année scolaire et les derniers partiels arrivaient. Si je me souviens bien c'était un partiel d'histoire bref j'étais pas forcément impliqué dans mes études et j'avais à peine révisé la veille
Le partiel était toute la matinée. Je me lève, je me prépare et j'arrive à la fac. Je regarde le tableau pour savoir où se passait mon examen (je n'étais jamais allé dans cette branche de l'Université). J'arrive un peu en avance, je me mets à la place attitrée et j'attends.
Et la première truc bizarre: une meuf arrive dans ma rangée, me fixe et me dit que je suis à sa place je lui dit c'est pas possible j'ai le papier et tout, du coup elle se casse et prends une autre place. Des ce moment là j'aurai du me dire qu'une couille se préparait
Le moment fatidique de la remise du sujet arrive. Les pions les donnent face recto pour pas qu'on voit.
Bizarrement je suis assez confiant, j'aime bien l'histoire donc je me dis ça va le faire
Je retourne le sujet et là: grosses sueurs froides.C'était un sujet d'anglais
Gros gros malaise, mon cerveau est en PLS je comprends plus rien, je suis complètement perdu. J'avais confondu le putain d'amphi
À ce moment là mon esprit ne réfléchit plus correctement: je me décid de tenter l'examen . Oui oui l'examen d'anglaisBien entendu je comprends que dalle et autres de longues minutes je décide de prévenir SUBTILEMENT un pion de ma situation
Je commence à écrire sur un petit papier que je le suis trompé d'exam et que j'ai rien à faire la
Au moment où le pion passe j'essaye de lui faire signe, toute la rangée me regarde chelou mais j'arrive à donner mon message secret
La le pion le regarde avec un air genre ''mais c'est quoi ce demeuré, il est sérieux ce fdp?"
J'arrive à me faire comprendre et je commence à me barrer de l'amphi, remplie à ras bord évidemment, les yeux tournés vers moi en me jugeantEn rentrant chez moi j'ai vérifié les dates de mon exam et en faire c'était bien dans cet amphi mais le lendemain
Tu la eu ? Et personne ta reparler de ton erreur ?
Non j'étais un putain d'ermite je parlais à quasiment personne j'étais en totale dépression
Et j'ai pas eu mon année, de toute façon je voulais pas faire ça
J'étais prof remplaçant. J'avais rencontré une seule fois la prof que je remplaçais pour qu'elle me fasse un topo des cours à faire et des classes qui posent problème, puis on se tenait au courant par mails. C'était une femme assez laide, en fauteuil roulant, qui ne prenait pas soin d'elle, mal coiffée. Trois mois plus tard, apéro de Noël avec toute l'équipe. Je parle à mes collègues, on boit, on rigole... puis une femme vient s'asseoir avec nous et commence à nous parler comme si on la connaissait. Plutôt jolie, bien habillée et hyper agréable. La meuf me tutoyait et était au courant que j'avais du mal avec une élève, qu'un parent m'avait fait chier et que mon inspection s'était mal passée. Direct, je pense à la meuf que je remplace et sous la colère et l'alcool je lâche un "génial elle fait chier à tout raconter votre collègue là" hyper sèchement.
Devinez qui était cette femme. Je l'avais pas reconnue, elle n'était plus en fauteuil et s'était métamorphosée avec le maquillage et sa robe. J'ai essayé de tourner ça en dérision mais bordel c'était cramé. Mes autres collègues ne savaient plus où se mettre et grand silence dans la salle. Je suis retourné chez moi direct après. On ne s'est plus jamais adressé la parole par la suite.
Avec mon ex on a fait de la rando en montagne en Espagne puis d'un coup on s'est pris une radée de ouf. On s'entendait même plus parler tellement la flotte tapait fort contre le sol. On court jusqu'à trouver un abri, un petit gite au loin avec quelques voitures devant. On arrive à la porte, on toque: personne, pas de réponse. On décide de rentrer, c'était ouvert. On crie pour savoir si des gens sont présents: personne, pareil. Là, on commence à flipper un peu mais bon, le gite à a l'air cosy, et on voulait juste se mettre au chaud le temps que des gens arrivent. Le truc, c'est qu'on a attendu 2h à rien faire, assis sur un canapé. Du coup au bout d'un moment on commence à avoir faim, et on va dans la cuisine se servir dans l'espoir que les locaux comprennent à leur retour. Par chance, il y avait un truc qui se rapprochait d'un ragout déjà prêt dans le frigo. On le fait chauffer au micro-ondes et on le mange, c'était vraiment bon.
Une demi-heure plus tard des gens arrivent ENFIN et par chance c'était les gérants du gite. On leur explique la situation tant bien que mal en espagnol et on leur indique bien qu'on a pris du ragout dans le frigo. Et là, ils éclatent de rire. En fait, c'était la bouffe du chien
Le 18 mars 2021 à 16:20:46 Hartsfield a écrit :
Je bossais dans une start - up y'a quelques années et le jour de mon départ (démission) tout le monde s'était réuni en cercle autour de moi pour que je prononce un "petit discours". Je l'ai fait, c'était malaisant mais ça passait. Puis ils m'ont offert une carte cadeau du coup j'ai dis "ah merci beaucoup" et j'ai commencé à faire la bise à tout le monde.Je ne sais absolument pourquoi j'ai fait la bise, c'était le plus gros malaise de ma vie. Y'avait 40 personnes dans la boite, j'ai fait la bise aux 40 personnes dont des mecs. Certains voulait clairement pas c'était le gros malaise. Mais je ne pouvais pas m'arrêter car sinon ça serait mal vu (du genre pourquoi il m'a pas fait la bise ??) . Horrible
Putain mais j'espère que la bise va disparaître après le covid
Et puis osef de la bise ça fait déjà des année que je la tape plus.
Le 19 mars 2021 à 12:15:05 duffman8 a écrit :
J’étais au collège en voyage scolaire à la montagne, sur le trajet en bus on a mangé dans un resto routier. On rigole bien et la on défi un pote à manger le plus de flan au chocolat. Il s’exécute et arrive à en manger 6-7. On repart dans le bus pour la fin du trajet. Le pote qui avait manger les flans était à côté de moi, il commence à pas se sentir bien. Il fini par vomir ses tripes dans un sac jusqu’à la fin du trajet l’odeur était insoutenable.On arrive au gîte on rejoint tous notre chambre pour passer la première nuit. On avait une grande chambre, on était 6 dans la chambre il y avait le pote qui avait mangé les flans. Tous le monde est fatigué, on s’endort rapidement.
Le matin arrive, un pote commence à nous réveiller. Et la de la merde partout. J’avais jamais vu ça littéralement un chemin de merde qui démarrer du lit jusqu’au toilette. Le pote qui avait manger les flans avait chier partout et avait laisser une traînée jusqu’au chiotte. Les regards qui se croisent entre nous et le pote qui à chier gros malaise. Il a nettoyer son caleçon plein de merde dans l’évier de notre chambre je l’ai jamais utilisé du coup.
Le 19 mars 2021 à 15:53:55 VelvetCondom a écrit :
Avec mon ex on a fait de la rando en montagne en Espagne puis d'un coup on s'est pris une radée de ouf. On s'entendait même plus parler tellement la flotte tapait fort contre le sol. On court jusqu'à trouver un abri, un petit gite au loin avec quelques voitures devant. On arrive à la porte, on toque: personne, pas de réponse. On décide de rentrer, c'était ouvert. On crie pour savoir si des gens sont présents: personne, pareil. Là, on commence à flipper un peu mais bon, le gite à a l'air cosy, et on voulait juste se mettre au chaud le temps que des gens arrivent. Le truc, c'est qu'on a attendu 2h à rien faire, assis sur un canapé. Du coup au bout d'un moment on commence à avoir faim, et on va dans la cuisine se servir dans l'espoir que les locaux comprennent à leur retour. Par chance, il y avait un truc qui se rapprochait d'un ragout déjà prêt dans le frigo. On le fait chauffer au micro-ondes et on le mange, c'était vraiment bon.Une demi-heure plus tard des gens arrivent ENFIN et par chance c'était les gérants du gite. On leur explique la situation tant bien que mal en espagnol et on leur indique bien qu'on a pris du ragout dans le frigo. Et là, ils éclatent de rire. En fait, c'était la bouffe du chien
J’étais collégien et en sortant des cours j’ai eu un mal de ventre foudroyant.
J’avais à peu près 15mn de marche jusqu’à chez moi, j’ai serrer les fesses et j’ai fais de la marche rapide, en sueur, les passants ont dû me prendre pour un vrai taré
Arriver chez moi, je me rend compte que j’ai oublier mes clé dans ma chambre, et ma mère ne rentrais que dans une heure
J’avais plus le choix, mon anus était au bord de l’implosion, alors j’ai choper la poubelle verte recyclage d’un voisin et j’ai balancer ma meilleure diarrhée, la poubelle a demi couché et moi dessus
J’ai jamais su si quelqu’un m’as vu, je me suis essuyer avec des feuilles de classeur
Le 19 mars 2021 à 18:57:37 BroadcasTheNet a écrit :
La déléguée de ma classe au lycée me passe son numéro de portable en vue du conseil de classe qui allait se dérouler à la fin de la journée.. le yes-life de la classe qui dit bien fort "célestin c'est la première fois qu'une fille te donne son numéro j'imagine" la moitié de la classe rit
C est le lot de tout les célestins le pire c'est qu'il y a pleins de celestins qui on déjà était populaire, ou du moins accepté à un moment de leur vie, mais certains ont dû mal à le comprendre
Il essaie de se souvenir du nom du film, mais il y arrive pas et il dit : "ça s'appeller..."
et là en sachant que ma blague aller faire rire mon voisin je réponds "ta mère"
sauf que je l'ai dis un peu trop fort et toute la classe à entendu y compris le prof
le prof qui me lâche un coup de pression "tu viendras me voir à la fin du cour"
j'étais en sueur tout le cour pendant que toute la classe rigoler
en vrai il a été très gentil et j'ai eu qu'un mot dans la carnet sans qu'il précise ce que j'ai dit
Le 18 mars 2021 à 16:20:46 Hartsfield a écrit :
Je bossais dans une start - up y'a quelques années et le jour de mon départ (démission) tout le monde s'était réuni en cercle autour de moi pour que je prononce un "petit discours". Je l'ai fait, c'était malaisant mais ça passait. Puis ils m'ont offert une carte cadeau du coup j'ai dis "ah merci beaucoup" et j'ai commencé à faire la bise à tout le monde.Je ne sais absolument pourquoi j'ai fait la bise, c'était le plus gros malaise de ma vie. Y'avait 40 personnes dans la boite, j'ai fait la bise aux 40 personnes dont des mecs. Certains voulait clairement pas c'était le gros malaise. Mais je ne pouvais pas m'arrêter car sinon ça serait mal vu (du genre pourquoi il m'a pas fait la bise ??) . Horrible
Bordel un des rares post que j'ai pu lire qui me transmet vraiment le malaise IRL
Je compatie khey, je vais y penser le soir pour toi aussi
Le fait que ça soit une situation d'adulte au taf et pas un celestin au collège renforce le truc, très chaud
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...
Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...
Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.
Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".
Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Le 20 mars 2021 à 02:03:38 Thibaut_Derk a écrit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Ah purée le malaise
Le 20 mars 2021 à 02:03:38 Thibaut_Derk a écrit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Ah purée le malaise
Le 20 mars 2021 à 02:03:38 Thibaut_Derk a écrit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Ah purée le malaise
Le 20 mars 2021 à 02:03:38 Thibaut_Derk a écrit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Énorme. Le fou rire.
J’avoue, pire moment de gêne que tu as vécu.
Données du topic
- Auteur
- duffman8
- Date de création
- 18 mars 2021 à 16:07:25
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