[MALAISE] Anecdote de vos pires malaises
Mes beaux parents détiennent un restaurant , et parfois mon téléphone propose de mettre une note Google quand je vais la bas. A chaque fois je ferme la notif
A ce moment là , l'entente avec ma belle famille n'était pas au rendez vous , ils m'avaient tendu un piège en m'invitant en vacance , mais au final j'ai fais que leur tenir compagnie comme si j'étais un gamin , c'était relou et on s'était disputé.
Quelques mois passe , puis un matin je reçois un message du beau père qui me dit mot pour mot : " merci beaucoup pour ta note , ça fait plaisir. " avec un screen à l'appuie , j'avais mis 2 étoiles avec mon compte Google à son restaurant (Il connaissait mon pseudo car j'utilise le même pour un blog de dessin ).
Le bougre avait répondu à ma note en disant que c'était malhonnête de noter un lieu où je n'ai jamais été client
Bref voilĂ ma plus grosse gaffe , je ne savais vraiment plus oĂą me mettre putain
Le 19 mars 2021 Ă 09:21:07 FantoMurloc a Ă©crit :
Le 18 mars 2021 Ă 16:25:52 MauvaisParieur1 a Ă©crit :
En classe de neige au collège, on était sur les pistes et j’avais grave envie de chier, sauf que j’étais en combinaison. Le temps d’arriver aux chiottes et d’enlever ma combi que je m’étais déjà chié dessus…Bref on rentre au chalet, tout le monde descend pour le dîner moi je reste dans la chambre en mode « ahah ouais je vois rejoins tkt »
J’enlève mon slip souillé par la merde, je le jette par la fenêtre, je me lave en profondeur et je descends comme si de rien n’était : le crime parfait, personne ne s’est rendu compte de rien
Le lendemain le prof a réuni toute la classe dans le réfectoire, il avait un sac plastique dans la main.
« Dans ce sac il y a un slip plein d’excréments, retrouvé ce matin par le gérant du chalet. C’est inadmissible de faire ça, donc que l’auteur se dénonce tout de suite »
Naturellement personne se dénonce, mes potes rigolent en mode « wesh c’est degueulasse qui a fait ça » moi je rigole aussi avec eux en mode ouais c’est dégueu franchement.
Le prof voit que personne se dénonce donc il lache l’affaire et dit à tout le monde de retourner dans sa chambre.
Dans l’aprem on était sur les pistes en train de skier, puis y a un prof qui vient me voir en mode :
« tu sais MauvaisParieur je sais que ce clip t’appartenait.. »
Moi je suis en panique, déni total, je lui dis « haha euh non pas du tout comment ça ? C’est pas à moi je porte pas de slip que des caleçons »
Et la il me dit « MauvaisParieur ton prénom était brodé sur l’étiquette de ton slip et c’était juste en dessous de la fenêtre de votre chambre, les chambres d’au dessus sont inoccupées »
Là je commence à chialer en mode « ouais dsl c’est moi », il m’explique qu’il m’a pas balancé parce que il voulait pas gâcher mon voyage et tout, mais que c’était franchement degueulasse ce que j’avais fait
VoilĂ ayaaaa
Putain khey, je crois qu'on se connaît parce qu'il est arrivé exactement cette histoire quand j'étais en classe de neige
Ahi ce retournement de situation
Je me dirigeais a un arrete de bus pour rentrer chez moi aprés une journée de stage et d'un coup j'ai envie de pisser
Sauf qu'il n'y avais aucun wc dans les parrages et mon lieu de stage Ă©tait deja trop loin
Du coup je me retrouve a bouger dans tout les sens pour trouver un coin tranquille pour pisser sauf qu'il y avait aucun buisson,foret autour de moi et il y avait des maisons partout et je voulais pas me faire griller
Je trouve aucun coin tranquille et mon bus allait arrivé dans 1 minute
Et la gros malaise j'arrive plus a me retenir et je me pisse literallement dessus juste avant de prendre le bus
J'avais 20 minutes de trajet a faire et en plus de ça je devais attendre mon train en ville avec de la pisse sur mon pantalon
Donc il y a le spectacle, de tout jusqu'à ce qu'un vieux débarque. Son truc c'était de faire du vélo chelou de 3 mètres, à une roue, etc...
Puis lĂ il cherche un volontaire dans le public, je me dis osef.
Mais tout d'un coup il dit je cherche un garçon comme si comme ça. Je comprends que c'est moi, je pense à me sauver issou.
Pas de chance, je suis devant, il me voit, il me dit de venir.
Au début, je dois annoncer ses entrées avec un plumeau. Il faut bien faire rigoler les boomers.
Puis, à un moment il me dit de monter sur son vélo... En gros c'était 2 vélos à une roue liés par une ficelle.
Je me dis qu'il se fout de ma gueule donc je dis non, puis je comprends qu'il est sérieux.
Le malaise il insistait, le publique se foutait de ma gueule, j'ai fini par monter après une plombe mais la honte.
Bizarrement personne on a parlé à l'école.
[16:20:46] <Hartsfield>
Je bossais dans une start - up y'a quelques années et le jour de mon départ (démission) tout le monde s'était réuni en cercle autour de moi pour que je prononce un "petit discours". Je l'ai fait, c'était malaisant mais ça passait. Puis ils m'ont offert une carte cadeau du coup j'ai dis "ah merci beaucoup" et j'ai commencé à faire la bise à tout le monde.Je ne sais absolument pourquoi j'ai fait la bise, c'était le plus gros malaise de ma vie. Y'avait 40 personnes dans la boite, j'ai fait la bise aux 40 personnes dont des mecs. Certains voulait clairement pas c'était le gros malaise. Mais je ne pouvais pas m'arrêter car sinon ça serait mal vu (du genre pourquoi il m'a pas fait la bise ??) . Horrible
J'ai hurlé
Le clé qui fait la bise pendant 30 minutes dans un silence de mort
[16:54:26] <Glukkons>
ou j'ai aussi ça, rapide est simple:une fois toujours en primaire, la prof m'appel, pour aller dans une autres classe donner un papier à une prof, et ma prof insiste bien sur le fait de taper à la porte car il regardait la télé, et la comme un con je me dirige vers la sortie de ma classe, la porte été fermé, tellement perturbé par le "frappe bien à la porte" de ma prof, que j'ai merdé, j'ai fait toc toc à notre porte, pour sortir... j'ai mis 20 minute à revenir tellement j'avais honte.
En 6eme je mangeais chez moi le midi et je sais plus ce que j’avais mangé ce jour la mais ç’etait surement périmé ou une connerie comme ça et en revenant a l’arret de bus pour le college l’aprem j’avais une envie de gerber pas possible
j’ai pas pu me retenir et j’ai vomi devant tout le monde dedans et meme dans ma veste et tout, je l’ai enlevé
personne a rien dis, tout le monde a fais mine de rien voir pendant que moi j’etais pas bien la grosse paté par terre j’avais envie de revomir mais je me suis retenu
quand j’y pense meme pas un : tu vas bien ? ta besoin d’aide ou je sais pas quel bande de fdp
personne osait me regarder en face ayaaa
J'avais rendez vous pour la première fois avec une meuf dans un bar, on commence a être bien bien bourré bref on vas chez moi on vas dans le lit on se chauffe s'en était presque romantique elle étais un peu timide et inexpérimenté c'étais mignon je me baisse alors pour la lécher mais mon instinct animale a pris le dessus
Je sais pas ce qui m'arrive, l'alcool surement, je lui lève les 2 pattes arrières (elle étais sur le dos) et je lui lèche le trou de balle comme un dog avec toute la langue en faisant des bruit de succion, en grognant et en reniflant bizarrement ahi j'étais en transe, elle elle me regardais comme ça
Elle m'as dis d'arrêter donc on a stop j'ai quand même réussis a la rechauffer dans la nuit pour la baiser "normalement", je sais toujours pas ce qui m'as pris j'ai honte quand j'y repense
Un de mes pire malaise : j'accompagnerai mon petit frère de 10 ans en ville pour acheter des trucs à la papeterie. Nous étions en train de rentrer, on devait prendre le bus. Sauf qu'à l'arrêt de bus , il y avait deux homosexuelles qui était en train de se chauffer
L'un des deux avait une coupe arc en ciel , l'autre Ă©tait en train de le branler sous ces vĂŞtements.
Je suis figé 30 secondes à les fixer avec des yeux ronds
Le gars à la coupe arc en ciel me regarde avec un regard noir, je me retourne en essayant de cacher la vue horrible à mon petit frere , mais c'était trop tard , le petit était traumatisé
On est rentré dans le bus , puis à la maison sans s'échanger un seul mot
Le 20 mars 2021 Ă 12:57:29 Iridis a Ă©crit :
Un de mes pire malaise : j'accompagnerai mon petit frère de 10 ans en ville pour acheter des trucs à la papeterie. Nous étions en train de rentrer, on devait prendre le bus. Sauf qu'à l'arrêt de bus , il y avait deux homosexuelles qui était en train de se chauffer
L'un des deux avait une coupe arc en ciel , l'autre Ă©tait en train de le branler sous ces vĂŞtements.
Je suis figé 30 secondes à les fixer avec des yeux ronds
Le gars à la coupe arc en ciel me regarde avec un regard noir, je me retourne en essayant de cacher la vue horrible à mon petit frere , mais c'était trop tard , le petit était traumatiséOn est rentré dans le bus , puis à la maison sans s'échanger un seul mot
Ayaaa le progrès qui détruit l'enfance de ton frère
Le 20 mars 2021 Ă 08:01:27 FouALierQuiJute a Ă©crit :
J'avais rendez vous pour la première fois avec une meuf dans un bar, on commence a être bien bien bourré bref on vas chez moi on vas dans le lit on se chauffe s'en était presque romantique elle étais un peu timide et inexpérimenté c'étais mignon je me baisse alors pour la lécher mais mon instinct animale a pris le dessusJe sais pas ce qui m'arrive, l'alcool surement, je lui lève les 2 pattes arrières (elle étais sur le dos) et je lui lèche le trou de balle comme un dog avec toute la langue en faisant des bruit de succion, en grognant et en reniflant bizarrement ahi j'étais en transe, elle elle me regardais comme ça
Elle m'as dis d'arrêter donc on a stop j'ai quand même réussis a la rechauffer dans la nuit pour la baiser "normalement", je sais toujours pas ce qui m'as pris j'ai honte quand j'y repense
perso je suis aussi un bouffeur de cul
Le 20 mars 2021 Ă 02:03:38 Thibaut_Derk a Ă©crit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là -bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là , c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là , d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là , j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là . Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là , gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là . Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Bordel une fois j'ai eu presque la même chose. Jme suis tapé une énorme diarrhée le jour d'un entretien pour un stage. C'était pas un entretien de 5 min, mais toute une après midi pour la préparation au stage. On m'a montré l'entreprise, j'ai du commencer à faire des tests et tout et tout, + l'entretien avec les futurs maitres de stage... J'ai passé trois heures avec la diarrhée, j'essayais de me retenir mais j'en pouvais plus, j'étais en sueur. Et comme il y avait les autres stagiaires et les futur collègues, j'ai pas osé demander les toilettes et c'était sur que je serais cramé. Du coup j'ai tenu. Mais a des moments j'ai vraiment failli chier dans mon froc... Je connais tellement ça la sensation où d'un seul coup ça force et tu as intéret à serrer un max .. Et tu sais même pas si tu vas pouvoir te retenir jusqu'au bout
L'entretien s'est terminé, j'ai serré la mains des futurs maitres de stage. Je marchais sur le parking avec les autres stagiaires autour de moi qui partaient aussi, et la j'ai senti un chouilla de diarrhée sortir, mais j'ai réussi à stopper à temps heureusement. J'ai marché jusqu'a la voiture en faisant genre tout va bien. Je suis rentré dans ma voiture, j'ai sorti mon tel pour mettre Waze, mais j'ai même pas eu la force de programmer Waze, j'ai tout laché. J'ai chié dans mon froc dans ma voiture, sur mon siège. Heureusement personne n'a rien capté, mais c'était quand même épique... Il a quand même fallu que je rentre chez moi, 30 min de voiture. Je ne me suis pas fait arrêté par les flics, mais j'ai eu droit à un embouteillage à un moment et plusieurs feux rouges, et quand on s'est chié dessus c'est trèèès long... j'en avais partout. Il a fallu que je nettoie mon siège qui s'était aussi imbibé...
Mais moi au moins j'ai fait mon stage incognito, personne n'a su
Le 20 mars 2021 Ă 02:03:38 Thibaut_Derk a Ă©crit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là -bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là , c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là , d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là , j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là . Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là , gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là . Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Bordel une fois j'ai eu presque la même chose. Jme suis tapé une énorme diarrhée le jour d'un entretien pour un stage. C'était pas un entretien de 5 min, mais toute une après midi pour la préparation au stage. On m'a montré l'entreprise, j'ai du commencer à faire des tests et tout et tout, + l'entretien avec les futurs maitres de stage... J'ai passé trois heures avec la diarrhée, j'essayais de me retenir mais j'en pouvais plus, j'étais en sueur. Et comme il y avait les autres stagiaires et les futur collègues, j'ai pas osé demander les toilettes et c'était sur que je serais cramé. Du coup j'ai tenu. Mais a des moments j'ai vraiment failli chier dans mon froc... Je connais tellement ça la sensation où d'un seul coup ça force et tu as intéret à serrer un max .. Et tu sais même pas si tu vas pouvoir te retenir jusqu'au bout
L'entretien s'est terminé, j'ai serré la mains des futurs maitres de stage. Je marchais sur le parking avec les autres stagiaires autour de moi qui partaient aussi, et la j'ai senti un chouilla de diarrhée sortir, mais j'ai réussi à stopper à temps heureusement. J'ai marché jusqu'a la voiture en faisant genre tout va bien. Je suis rentré dans ma voiture, j'ai sorti mon tel pour mettre Waze, mais j'ai même pas eu la force de programmer Waze, j'ai tout laché. J'ai chié dans mon froc dans ma voiture, sur mon siège. Heureusement personne n'a rien capté, mais c'était quand même épique... Il a quand même fallu que je rentre chez moi, 30 min de voiture. Je ne me suis pas fait arrêté par les flics, mais j'ai eu droit à un embouteillage à un moment et plusieurs feux rouges, et quand on s'est chié dessus c'est trèèès long... j'en avais partout. Il a fallu que je nettoie mon siège qui s'était aussi imbibé...
Mais moi au moins j'ai fait mon stage incognito, personne n'a su
Le 20 mars 2021 Ă 02:03:38 Thibaut_Derk a Ă©crit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là -bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là , c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là , d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là , j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là . Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là , gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là . Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
Bordel une fois j'ai eu presque la même chose. Jme suis tapé une énorme diarrhée le jour d'un entretien pour un stage. C'était pas un entretien de 5 min, mais toute une après midi pour la préparation au stage. On m'a montré l'entreprise, j'ai du commencer à faire des tests et tout et tout, + l'entretien avec les futurs maitres de stage... J'ai passé trois heures avec la diarrhée, j'essayais de me retenir mais j'en pouvais plus, j'étais en sueur. Et comme il y avait les autres stagiaires et les futur collègues, j'ai pas osé demander les toilettes et c'était sur que je serais cramé. Du coup j'ai tenu. Mais a des moments j'ai vraiment failli chier dans mon froc... Je connais tellement ça la sensation où d'un seul coup ça force et tu as intéret à serrer un max .. Et tu sais même pas si tu vas pouvoir te retenir jusqu'au bout
L'entretien s'est terminé, j'ai serré la mains des futurs maitres de stage. Je marchais sur le parking avec les autres stagiaires autour de moi qui partaient aussi, et la j'ai senti un chouilla de diarrhée sortir, mais j'ai réussi à stopper à temps heureusement. J'ai marché jusqu'a la voiture en faisant genre tout va bien. Je suis rentré dans ma voiture, j'ai sorti mon tel pour mettre Waze, mais j'ai même pas eu la force de programmer Waze, j'ai tout laché. J'ai chié dans mon froc dans ma voiture, sur mon siège. Heureusement personne n'a rien capté, mais c'était quand même épique... Il a quand même fallu que je rentre chez moi, 30 min de voiture. Je ne me suis pas fait arrêté par les flics, mais j'ai eu droit à un embouteillage à un moment et plusieurs feux rouges, et quand on s'est chié dessus c'est trèèès long... j'en avais partout. Il a fallu que je nettoie mon siège qui s'était aussi imbibé...
Mais moi au moins j'ai fait mon stage incognito, personne n'a su
Données du topic
- Auteur
- duffman8
- Date de création
- 18 mars 2021 Ă 16:07:25
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