[MALAISE] Anecdote de vos pires malaises
Le 18 mars 2021 à 16:50:46 HepadBan106Fois a écrit :
C'était au tout début de mes études, en prépa intégrée
Je me forçais à dire bonjour à tout le monde pour l'ambiance tout ça
Je m'approche d'une sénégalaise et d'un sénégalais, je sers la main au sénégalais puis je vais pour faire la bise à la meuf qui me tend la main
Mais j'ai pas réagi et je lui ai fait la bise, truc qu'elle avait probablement jamais fait
Pendant des années je me tordais de douleur en repensant au malaise mais en fait je crois que je lui avais tapé dans l'oeil vu comment elle se comportait avec moi après
Bon allez vu que je suis retombé sur ce topax j'écris une autre anecdote
C'est pas vraiment un malaise avec des inconnus mais bon
En 2019 j'étais en couple avec une kheyette (elle se reconnaîtra même si elle me déteste maintenant )
C'était l'été et on se baladait dans ma région (Pas-de-Calais), quand soudain nous vint une sévère envie de niquer
Par chance on n'était pas loin d'un bois que je connaissais, je me suis donc dit que c'était l'occasion d'accomplir un fantasme et niquer dans les bois
Je vous passe les détails où j'ai failli la foutre enceinte et en paniquant je l'ai soulevée et jetée à deux mètres de moi dans les feuilles , on finit notre affaire et je me relève pour me rhabiller quand j'aperçois une forme inhabituelle dans un bois : un rectangle en plastique accroché à un tronc avec des serflex. Je me rapproche et là je comprend ce que c'est : une caméra à gibier
Le 18 mars 2021 à 16:20:46 Hartsfield a écrit :
Je bossais dans une start - up y'a quelques années et le jour de mon départ (démission) tout le monde s'était réuni en cercle autour de moi pour que je prononce un "petit discours". Je l'ai fait, c'était malaisant mais ça passait. Puis ils m'ont offert une carte cadeau du coup j'ai dis "ah merci beaucoup" et j'ai commencé à faire la bise à tout le monde.Je ne sais absolument pourquoi j'ai fait la bise, c'était le plus gros malaise de ma vie. Y'avait 40 personnes dans la boite, j'ai fait la bise aux 40 personnes dont des mecs. Certains voulait clairement pas c'était le gros malaise. Mais je ne pouvais pas m'arrêter car sinon ça serait mal vu (du genre pourquoi il m'a pas fait la bise ??) . Horrible
Ayaaaa le moment interminable
Le 20 mars 2021 à 17:56:54 Horn22 a écrit :
Le 20 mars 2021 à 02:03:38 Thibaut_Derk a écrit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres motsBordel une fois j'ai eu presque la même chose. Jme suis tapé une énorme diarrhée le jour d'un entretien pour un stage. C'était pas un entretien de 5 min, mais toute une après midi pour la préparation au stage. On m'a montré l'entreprise, j'ai du commencer à faire des tests et tout et tout, + l'entretien avec les futurs maitres de stage... J'ai passé trois heures avec la diarrhée, j'essayais de me retenir mais j'en pouvais plus, j'étais en sueur. Et comme il y avait les autres stagiaires et les futur collègues, j'ai pas osé demander les toilettes et c'était sur que je serais cramé. Du coup j'ai tenu. Mais a des moments j'ai vraiment failli chier dans mon froc... Je connais tellement ça la sensation où d'un seul coup ça force et tu as intéret à serrer un max .. Et tu sais même pas si tu vas pouvoir te retenir jusqu'au bout
L'entretien s'est terminé, j'ai serré la mains des futurs maitres de stage. Je marchais sur le parking avec les autres stagiaires autour de moi qui partaient aussi, et la j'ai senti un chouilla de diarrhée sortir, mais j'ai réussi à stopper à temps heureusement. J'ai marché jusqu'a la voiture en faisant genre tout va bien. Je suis rentré dans ma voiture, j'ai sorti mon tel pour mettre Waze, mais j'ai même pas eu la force de programmer Waze, j'ai tout laché. J'ai chié dans mon froc dans ma voiture, sur mon siège. Heureusement personne n'a rien capté, mais c'était quand même épique... Il a quand même fallu que je rentre chez moi, 30 min de voiture. Je ne me suis pas fait arrêté par les flics, mais j'ai eu droit à un embouteillage à un moment et plusieurs feux rouges, et quand on s'est chié dessus c'est trèèès long... j'en avais partout. Il a fallu que je nettoie mon siège qui s'était aussi imbibé...
Mais moi au moins j'ai fait mon stage incognito, personne n'a su
Certifié nofake de fin 2019, j'ai sué comme jamais
Je reviens d'une nuit passée chez une nana de tinder, tout s'est bien passé si vous voyez ce que je veux dire
Comme on est en fin de matinée je commence a avoir la dalle et je m'arrete a un Paul(boulangerie industrielle mais j'avais la dalle) pour me prendre un sandwich
Je regarde un peu les sandwichs et je finis par en choisir un alors je leve la tete pour commander et je vois deux bombasses derriere le comptoir, j'ai certains instincts qui se reveillent en moi
Une des deux commence a me demander ce que je veux, je lui dis Tel sandwich et je commence a sortir mon portefeuille pour payer
Je lui donne un billet de 10, elle me rend la monnaie et j'ouvre mon sac pour mettre mon sandwich, ENORME ERREUR la boite de capotes eventrée de la veille que j'ai fourrée dans mon sac tombe sur le comptoir et tout les gens dans la file d'attente se marrent
Les nanas derriere le comptoir rigolent doucement mais j'ai pas tenu la pression alors je me suis barré en courant sans mon sandwich et en laissant les capotes sur le comptoir
Depuis je fait un detour pour esquiver ce Paul et j'ai jamais raconté ca a qui que ce soit
Le 18 mars 2021 à 16:46:41 Cas-Lomnie a écrit :
Un jour je rêvenais des courses, j'avais un gros sac et j'étais en sueur, il y avait une grosse pente bien crevante, il faisait chaud.
Soudain , j'aperçois mon frère en voiture ! Miracle !
Bon je savais pas qu'il avait ce modèle mais passons...Il s'arrête à ma hauteur...
J'ouvre la.portière tout content... et là c'est pas mon frère.
Il se tourne vers moi et me regarde, complètement ahuri.
Je le regarde...
"C'est pour quoi ?
-heuuuuu...Je désigne mon sac de course, je suis sonné.
La je referme la portière en partant au pas de course, l'air de rien
Le 18 mars 2021 à 16:37:17 LoulouZehef a écrit :
En contrôle de maths au collège (ou début lycée, ma mémoire me fait défaut ), j'avais fini et il restait une bonne demi-heure avant la fin.Une nana se lève, va parler doucement au prof et sort de la classe sans un bruit.
Je me dis qu'elle avait elle aussi fini, qu'elle avait rendu sa copie et que le prof l'avait laissée sortir en avance.Tout fier d'être le deuxième à finir, je me lève, je range mes affaires sans un bruit et je fais un grand sourire tout fier à mes camarades (). Je m'avance au bureau du prof en lui tendant ma copie et je me dirige vers la sortie lorsqu'il me demande "LoulouZehef, mais tu vas où comme ça ?"
En bon Célestin, je me fige la main sur la poignée de porte, je vois mes camarades me fixer avec incompréhension et je sens les larmes me monter aux yeux. C'est là que je comprends que la fille du début avait sans doute eu ses règles. J'ai commencé à sangloter et je me suis rassis à ma place sous les rires discrets de la classe.
Y a rien de malaisant hein
Vous êtes juste des inadaptés sociaux, t'avais juste à répondre : "j'ai finit monsieur" et l'autre : "oui désolé j'ai cru que c'était mon frère" point final tout le monde se trompe
Le 18 mars 2021 à 16:50:46 HepadBan106Fois a écrit :
C'était au tout début de mes études, en prépa intégrée
Je me forçais à dire bonjour à tout le monde pour l'ambiance tout ça
Je m'approche d'une sénégalaise et d'un sénégalais, je sers la main au sénégalais puis je vais pour faire la bise à la meuf qui me tend la main
Mais j'ai pas réagi et je lui ai fait la bise, truc qu'elle avait probablement jamais fait
Pendant des années je me tordais de douleur en repensant au malaise mais en fait je crois que je lui avais tapé dans l'oeil vu comment elle se comportait avec moi après
Aucun malaise
C'est à eux de respecter les coutumes
Le 18 mars 2021 à 16:59:24 Cas-Lomnie a écrit :
Un coup en math j'ai tenté de tricher, première fois de ma vie, car ma.moyenne était catastrophique. Le prof à fait des remarques sans nommé, mais j'avais comprisIl s'est forcé à pas mettre 0, le coup dur pour mon ego
Pareil c'est ça vos pire malaise les pucix ? J'ai triché et je me suis fait prendre au moins 10 x
Le 20 mars 2021 à 02:03:38 Thibaut_Derk a écrit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
La tourista... un grand classique...
Les deux seules choses à faire quand tu as ça : prendre de l'immodium et mettre une couche (au cas où)
Allez les kheys je vais vous régaler :
1) Ma mère m'avait dit qu'à 12 ans que mon père me mettrait un peu d'argent tous les mois sur mon livret parceque la caf augmentait ( bon c'était passé à 14 ans la règle mdr). Et une fois j'étais chez un ami typé maghrebin dans la voiture avec sa mère et là les kheys je lui demande si lui il touchait la caf ayaaa ( à l'époque je le rendais pas compte mais là maintenant mdr)
2) En 6eme je faisais ma profession de foi et on était avec le prêtre en privé pour confesser nos péchés , ayaa avec un pote on l'a vécu full malaise
3) Mon ex me quitte, j'essaye de l'embrasser 1h après devant tlm ne juger pas c'était ma première relation j'étais idiot sur coup là
4) Je me suis pris un stop en seconde avec ma mère pas loin ayaa
J'avais un stage de vente a faire que j'ai fait a Monoprix j'ai dû me lever a 6 heures du matin pour arriver là bah a 6 heures 30 et je me suis retrouvée a m'être des pot de confiture dans les rayons.
Et il y Avait un daron rebeu de 60 ans j'étais en binôme avec lui et je me suis dit c'est hors de question que je fasse sa j'ai pas fait 20 minutes dans le stage j'ai rendue ma blouse et je lui est dit au patron hasta luego mon amis et c'était un antillais je m'en rappelle il m'avait critiqué il m'avait dit ouais c'est a cause des jeunes vous voulez rien faire c'est pas qu'on veut rien faire c'est que on est en Europe on est gaté on est pourri Gaté on voit des Ferrari a la télé on voit Neymar on voit des jet privé ont nous mais sa dans la tête toute la journée
après quand tu te retrouves avec des pots de confiture tu te dis attent moi je veux arriver en jet privé tu te dis il y a trop de chemin c'est pas possible faut que je trouve un raccourci et après je suis parti au 19 de Nancy pour espérer être joueurs pro
J'avais un stage de vente a faire que j'ai fait a Monoprix j'ai dû me lever a 6 heures du matin pour arriver là bah a 6 heures 30 et je me suis retrouvée a m'être des pot de confiture dans les rayons.
Et il y Avait un daron rebeu de 60 ans j'étais en binôme avec lui et je me suis dit c'est hors de question que je fasse sa j'ai pas fait 20 minutes dans le stage j'ai rendue ma blouse et je lui est dit au patron hasta luego mon amis et c'était un antillais je m'en rappelle il m'avait critiqué il m'avait dit ouais c'est a cause des jeunes vous voulez rien faire c'est pas qu'on veut rien faire c'est que on est en Europe on est gaté on est pourri Gaté on voit des Ferrari a la télé on voit Neymar on voit des jet privé ont nous mais sa dans la tête toute la journée
après quand tu te retrouves avec des pots de confiture tu te dis attent moi je veux arriver en jet privé tu te dis il y a trop de chemin c'est pas possible faut que je trouve un raccourci et après je suis parti au 19 de Nancy pour espérer être joueurs pro
Le 20 mars 2021 à 02:03:38 Thibaut_Derk a écrit :
Moi c'était à un voyage en Argentine, avec des potes. Je me suis chopé la tourista. Et j'ai eu des diarrhées à en faire caca dans ma culotte... mais vraiment... la pire honte de ma vie...
Le pire c'est que ça a duré quatre jours...Je raconte :
À la fac, je me suis fait un groupe de potes, dont un qui est argentin. Il habite là-bas, et il nous avait invité. Du coup, moi et un autre pote on s'est fait un trip de trois semaines en Argentine, directement logés chez lui. C'était pratique.
On sortait beaucoup, on visitait plein de trucs, des vrais touristes quoi... et moi, sans me douter de rien, je crois que j'ai mangé un truc qui fallait pas, ou de l'eau pas bonne... parce que je goûtais pas mal de trucs en fait...Et un jour, on avait prévu une grande virée, avec un trajet en bus de 2h30 à peu près. On s'est fait un gros repas avant de partir dans un genre de resto-snack, et déjà après je sentais que j'étais pas très bien. Mais j'ai rien dit, c'était surmontable, et je pensais que ça passerait...
On a fini par monter dans le bus. La première heure ça a été. Et là, c'est venu d'un coup. La chiasse de ma vie. Une envie de chier monstrueuse, et presque une envie de vomir en même temps. Et je regarde l'heure : il restait au moins 1h15 voire 1h30 de trajet. L'horreur. Je commence à paniquer. Je dis à mes potes que je me sens pas très bien. Je devais être en sueur, presque tout blanc. Mais je fais genre : "Je suis pas très bien, mais ça va quand même", pour ne pas me taper la honte. Je souffre en silence en essayant de rester discret. Mais à un moment je sens que ça empire : mon cul limite qui force et moi à deux doigts de me chier dessus. C'est tellement horrible comme sensation, des moments où l'envie repart un petit peu, et quelques minutes après ça revient en force, tellement fort qu'il faut se contracter à fond pour essayer de ne pas se faire dessus, et prier pour que ça reparte à nouveau très rapidement. Sauf que j'avais un peu envie de vomir aussi. Et je devais aussi faire attention à ce que je ne vomisse pas. Car si je vomissais, c'était sûr que j'allais aussi chier en même temps.
Je me suis senti tellement mal, mais tellement mal... entre le bas qui était à deux doigts de lâcher une diarrhée explosive, et le haut qui menaçait de vomir...
À un moment j'en pouvais plus. Sans me soucier du regard des autres, je me suis levé pour aller voir le chauffeur. On était au milieu, presque vers le fond du bus, et les quelques pas à faire vers le chauffeur étaient une torture. Il fallait que je contienne mon envie de vomir, debout, en marchand vers lui. J'essaye de lui dire (en anglais) si il peut s'arrêter, car je me sens un peu malade. Et il me fait comprendre que non, il ne pourra pas s'arrêter ici. (Et effectivement, le lieu ne semblait pas propice pour qu'un bus s'y arrête). J'insiste, limite je le supplie. Et il me baragouine un truc que je n'ai pas compris, du genre "je pourrai m'arrêter dans 3/4 d'heure", un truc comme ça (ou pas). J'étais tellement mal que de toute façon je ne pouvais pas comprendre son baragouin mi-anglais mi-argentin.Dans l'horreur absolue je suis allé me rasseoir. Et mon pote à côté de moi qui me dit : "ça va pas ?". Et moi je lui réponds : "Non pas trop trop... mais ça va, t'inquiète." Il me demande : "Ah bon ? Ça te fait quoi ? Il t'a dit qu'il va s'arrêter bientôt ?". Je n'ai même pas eu la force de répondre. Quand il a vu que je ne répondrai pas, il n'a pas insisté. Mes deux potes discutaient entre eux, l'un à côté de moi, l'autre sur un siège derrière, en me surveillant quand même, et embêtés que je ne sois pas bien. Ils essayaient de me poser des questions sur ce que j'avais. Mais moi je ne parlais pas, je ne leur répondais pas, je ne prenais même pas le risque de parler, tellement j'étais mal.
À un moment, l'envie de chier revient en force, mais vraiment. J'hésite à me lâcher un tout petit peu, juste un peu, pour laisser du lest. Mais je sens que si je me décontracte ne serait-ce qu'un chouilla, tout allait sortir. Alors je reste contracté à fond, mais je sens que je vais bientôt vomir. Je me redresse un peu, comme je peux, pour essayer de me couper l'envie de vomir. Je tiens comme ça 30 secondes, une minute, cinq minutes, je ne sais plus... ça me semblait être une éternité, et je savais que j'allais finir par vomir à un moment où à un autre.
Mais là, d'un seul coup, sans que je puisse rien faire, mon cul s'est détendu tout seul. Et en même pas trois secondes, j'ai fait caca dans ma culotte. Je sens une énorme masse chaude se répandre dans mon caleçon. Ça s'étale le long de mes cuisse, et ça remonte jusque dans le dos. Et quand (enfin) j'arrive à resserrer mon cul, c'est trop tard, presque toute ma diarrhée est sortie.
Sur le coup je ne réalise pas ce qu'il vient de se passer. Mais quand je sens l'odeur monter, je commence à paniquer, j'essaye de faire comme si de rien n'était, et je réfléchis à "comment faire"...
Et là, j'entends mes potes qui disent : "Ah ça pue, c'est quoi ?" Ils ont vite compris que ça venait de moi. Je crois que les autres personnes du bus commençaient à le sentir aussi. Mes potes commencent à me fixer du regard. Et mon pote à côté de moi finit par me dire : "...C'est toi ?" Et moi, j'étais tout rouge, je ne savais plus où me mettre... la pire honte de ma vie. Et sur le coup, sans savoir vraiment quoi dire, je lui réponds : "Putain je suis vraiment pas très bien là. Mais ça va, c'est bon t'inquiète..." Et là, gros silence. Je sens mes potes un peu gênés. Je vois vite fait les autres personnes dans le bus, pas très loin, qui commencent à avoir des réactions à cause de l'odeur probablement, mais je n'ose pas les regarder. Et mon pote qui revient à la charge : "Mais.... t'es sûr que ça va ? ... ... ... ... ... ... ... Tu as un problème ? ... ... ... ... ... Tu as la diarrhée ? ... ... ... ... ... Tu as fait caca ? ..." Et moi : "Euh... ouais, je suis vraiment pas bien, je crois que j'ai un peu fait caca...".Le chauffeur a arrêté le bus environ 20 minutes après, pour la pause tant attendue. Mais quand je me suis levé, ils ont bien vu que je n'avais pas fait qu'"un peu caca". J'étais en short de couleur bleu, mais tout l'arrière était devenu marron. La diarrhée s'est mise à couler le long de mes jambes, ça retombait sur le côté de mes chaussures, presque sur mes chaussettes. Et le bas de mon dos était maculé de diarrhée également : j'en avais sur tout le bas de mon tee-shirt. Bref, la catastrophe, pire moment de ma vie. Je suis allé aux toilettes, j'ai fini de me vider, un peu. Mais il n'y avait plus grand chose à faire, à part jeter mon caleçon et tenter d'essuyer voire de laver mon short et mon tee-shirt, mais ça ne partait pas vraiment. J'ai essuyé mes jambes comme j'ai pu. Par contre, je me suis rendu compte que l'envie de vomir était quasiment partie.
Il a fallu que je reprenne le bus, dans cet état là. Je n'osais pas regarder les gens dans les yeux, et mes potes étaient vraiment gênés pour moi. Mais ils ne se sont pas moqués.
On a fini par arriver à destination. Et sur le coup, on n'a pas trouvé de magasin de vêtements, sauf un truc de touristes qui vendait uniquement des tee-shirts. Alors j'ai acheté deux tee-shirts : un pour remplacer celui que je portais, et l'autre pour le mettre autour de ma taille. Du coup, on s'est renseigné pour avoir un bus de retour au plus tôt. Il a quand même fallu attendre à peu près 3h pour pouvoir remonter dans un bus qui retournait là d'où on venait. L'horreur. D'autant qu'entre-temps j'ai senti la chiasse revenir et j'ai couru plusieurs fois aux toilettes. À un moment j'ai effectivement fini par vomir (en repeignant d'ailleurs encore un peu mon short, qui n'était plus à ça près). J'avais tellement peur des 2h30 de retour dans le bus... peur que ça recommence. Mais ça a été. La diarrhée est revenue, inévitablement. Mais c'était moins fort, et j'ai réussi à tenir jusqu'au retour chez mon pote. Mais arrivé chez lui j'ai quand même couru aux toilettes avant de me changer et de prendre une douche.
Et ce n'est qu'une anecdote, car cette tourista a duré à peu près quatre jours, où j'ai eu des crises de chiasse horribles. Des journées abominables, avec même deux autres accidents dans ces jours qui ont suivi, notamment la nuit. L'horreur.
Heureusement, c'était la première semaine du séjour, et après j'ai guéri, et on a pu refaire des sorties, des visites. Mais j'étais super gêné de ces anecdotes. Hyper embarrassé. Et mes potes, eux, n'ont rien chopé !! En tout cas c'est le genre de moment qui marque, et je m'en souviens comme si c'était hier... les moindres mots
La tourista... un grand classique...
Les deux seules choses à faire quand tu as ça : prendre de l'immodium et mettre une couche (au cas où)
Le 19 mars 2021 à 21:40:58 salut-les--bg a écrit :
Le 19 mars 2021 à 18:57:37 BroadcasTheNet a écrit :
La déléguée de ma classe au lycée me passe son numéro de portable en vue du conseil de classe qui allait se dérouler à la fin de la journée.. le yes-life de la classe qui dit bien fort "célestin c'est la première fois qu'une fille te donne son numéro j'imagine" la moitié de la classe ritC est le lot de tout les célestins le pire c'est qu'il y a pleins de celestins qui on déjà était populaire, ou du moins accepté à un moment de leur vie, mais certains ont dû mal à le comprendre
et ils ont fait de très bon risitas ces kheys
Le train étais bondé et là un mec en costard arrive et qu'est ce que je vois il a la braguette ouverte, je voulais le faire remarquer à mon pote mais le problème c'est que le gars était juste à côté de nous.
Et la une idée de génie me traverse je me dit "attends je vais envoyer un message à mon pote", une fois cela fait, je vois mon pote ouvrir son tel comme un con entrain de lire le message.
SAUF QUE le mec en costard avait une vu plongeante sur le tel de mo pote et la c'est le drame.
Le mec devient rouge de honte il avait comprit, mon pote explose de rire, moi je chie la honte, et ensuite pour amplifier le malaise le gars en costume à pris son sac et la mis devant sa braguette ISSOU, il faut savoir qu'on était tous debout à ce moment là donc le geste était pas naturel du tout.
Bref avec mon pote on est resté avec le gars tout le long du trajet pour amplifier le malaise
Données du topic
- Auteur
- duffman8
- Date de création
- 18 mars 2021 à 16:07:25
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