[MALAISE] Anecdote de vos pires malaises

Je venais d'etre embauché dans une usine et je fais le tour des bureaux pour me presenter

On me presente une dame, elle a clairement un gros bide. Je pensais qu'elle etait enceinte, du coup pour faire la discussions je lui ai demande quand etait prevue la naissance

Elle m'a repondu avec un regard noir qu'elle etait pas enceinte . Gros blanc dans l'open space

Je ne savais plus ou me mettre

Le 12 avril 2021 à 13:04:39 :
Je venais d'etre embauché dans une usine et je fais le tour des bureaux pour me presenter

On me presente une dame, elle a clairement un gros bide. Je pensais qu'elle etait enceinte, du coup pour faire la discussions je lui ai demande quand etait prevue la naissance

Elle m'a repondu avec un regard noir qu'elle etait pas enceinte . Gros blanc dans l'open space

Je ne savais plus ou me mettre

J'ai l'impression que c'est le genre de gaffes qu'on retrouve souvent pourtant ca se voit un bide gras et un bide de grossesse non ?

2nde au lycée, contexte hiver/froid/verglas , y'a un bus qui passe dans ma ville qui prend tous les étudiants pour les amener au lycée, donc tous les étudiants de la ville le prenait

Bref, le classique, on se lève a 7h du mat , le problème c'est que je sortais d'un CoD Zombies BO1 la veille donc presque nuit blanche, tête dans le cul, je me lève a la bourre, a jeun, je mets un froc en speed je suis a moitié réveillé

L'arrêt de bus se situe a 200m de chez moi, donc quand il passe je le vois arriver de loin, et ce jour la, c'était le cas, je vois mon bus tout au loin, donc je sais que si je veux être à temps a l'arrêt vs un bus qui bombarde a 50km/h
va falloir que je lache le sprint de ma vie pour l'attraper à temps.

Je mets toute mon énergie et le reste de mon endurance a courir pour rattraper ce putain de bus et a 15 pas de l'arret, je me vautre la gueule sur une flaque de verglas, par chance, qui donnait en plein sur la vitre du bus ou tous les étudiants ont pu contempler ma cascade

Autant vous dire qu'a peine la porte du bus ouverte, j'entendais déjà les hurlements de rire.

Le 13 avril 2021 à 13:27:13 :
Pour relancer le topax

C'était vers fin 2019, j'habitais encore la campagne et je voulais bouger vers une grande ville pour faire un tournoi d'un jeu de combat.

C'était un joueur/organisateur sur place qui m'hébergeait chez lui, le tournoi s'est passé sans encombre même si j'aurais du finir plus haut au classement.

Le soir chez lui on décide de lancer le mode entraînement et de s'échanger des tips contre un match up particulier, au début ça se passe il m'aide même à trouver des coups sur mon personnage pour contrer le fameux match up.

Mais au bon d'un moment je sens que mon ventre est en train de tourner, alors que mon hôte continuais à me parler, moi j'avais orienter toute ma concentration vers ce mal de ventre je ne faisais plus attention à ce qu'il me disait.

J'étais tellement en sueur car, j'étais dans sa chambre assis sur son lit et je n'osais pas bouger de peur d'aggraver mon cas.

Pendant au moins 15 minutes j'étais en sueur en train de le regarder et d'acquiescer toutes ses idées en mode "oui" "en effet" "oui" "oui bien sûr", mon ventre qui gargouillait sans vergogne.

J'ai pensé à toutes les fois ou j'étais chez moi tranquillou sans envie pressante et je me suis dit "pourquoi ? pourquoi là ?"

Donc perdu pour perdu au lieu de contenir et d'essayer de contrôler la nature, et ne pas provoquer une catastrophe aussi, j'ai pris mon courage à deux mains et je l'ai interrompu : "Je peux aller aux toilettes s'il te plaît ?"

A la façon dont je l'ai coupé pour poser la question, mon hôte savait très bien que je ne parlais pas de la petite commission, ni même de la grande, là c'était autre chose.

Arrivé aux toilettes j'ai tout lâché et j'ai tout souillé bien comme il le faut. Je suis resté plus d'une demi heure dans les toilettes et je dû tirer la chasse au moins trois fois.

Au point ou j'en étais je sais pas si ça a été bruyant et odorant.

Quand je reviens dans la chambre, mon hôte me dit : "ça arrive tu sais, ne t'inquiètes pas !"

Moi après avoir souillé son lieu de vie : "oui, ah ah"

Le malaise était plus présent de mon côté que du sien visiblement mais je voulais raconté cette petite histoire pour embellir ce topic. J'ai dû connaître plus malaisant mais celle là m'est venu à l'esprit.

Je up avec mon anecdote de l'autre topic

Un jour je suis devant le collège et je vois mon pote

On se taquinais à se prendre par le col et à se mettre des coup de pression

Il étais 18h il fessais nuit et je le vois à côté du collège je m'approche je le prend par le coup et je le plaque contre le mur

Je lui dis :

- Josse tu reparle encore comme ça je te casse la bouche

Et la josse me répond mais y'a un problème, un gros problème même

Je me rend compte que mon pote n'a pas la même voix que d'habitude et il me répond :

- Putain tes qui espèce de taré ?! Lâche moi

- Fais pas l'innocent josse tu sais

- PUTAIN LÂCHE MOI FDP !

D'autant plus que j'étais une chance en jogging barca

Et la je me COMPTE QUE C'EST PAS JOSSE

Je vois la 9/10 de ma classe arriver en courant vers moi en disant :

- Mais lâche mon grand frère espèce de malade

Je comprend direct mon erreur je viens de frapper le grand le grand frère de la 9/10 de ma classe et je vois au loin mon pote Josse qui arrive

Je le lâche et je m'excuse pour ce problème je leur explique la situation mais ça sert à rien

Le grand frère qui lâche subtilement :

- Putain toujours les même quoi

Je suis rentré chez moi en rigolant mais j'avais un peu honte

Le 18 mars 2021 à 16:44:09 :
Ma copine qui me lâche une caisse en pleine face pendant que je la léchais.

Le malaise aurait du être pour elle, il a été pour moi parce que du coup je me suis rendu compte qu'elle s'était endormie pendant que j'oeuvrais.

J'avais l'égo meurtri.

Quand j'étais au collège, je montre une photo de classe qui date un peu à un pote que je vois rarement et qui est plus âgé, qui me montre sur la photo en disant "putain comme elle est grosse la meuf", j'avais juste les cheveux long et étais bien en surpoids

Sinon dans un covoit, j'étais en lendemain de soirée avec une bonne gdb, et 3 meufs dans la bagnole dont une vraiment pas mal. Tout se passe bien jusqu'au moment où je commence à avoir une envie de pisser des enfer à laquelle s'ajoute une envie de chier. Je commence à transpirer, et comprend que ça va être compliqué pour moi si on s'arrête pas avant d'arriver. Je demande donc à la chauffeuse de s'arrêter sur le bord de la route, je cours vers un buisson pour au moins pouvoir pisser, sauf que je m'étais tellement retenu, et que j'avais tellement envie de chier que si je pissais, je chiais forcément.
Du coup je retourne dans la voiture sans avoir pu me délester de quoi que ce soit, il devait rester 30 minutes j'ai plus dit un mot, je me suis concentré comme jamais, et à l'arrivée j'ai dit un au revoir très vite fait, et je me suis empressé dans le premier restaurant que j'ai vu, le pire moment de ma vie s'est alors transformer en meilleur.

Une fois j'étais en train de me balader tranquillou et là un passant plutôt agée me dit bonjour, et par réflexe je répond par un "wesh"...

Pas la peine de dire que ce souvenir me hante depuis et j'ai maintenant une anxiété social aigu

Dernièrement j'étais sortie en date avec une meuf (très belle au passage)
Pendant le date je savais pas quoi dire
(faut dire que j'ai peu d'interaction social dans ma vie)
je suis passé pour un mec gênant je sentais le malaise entre nous
puis j'ai tenté une approche pour l'embrasser se qu'elle accepte pour rester pendant la fin du date à s'embrasser et puis on se prend dans les bras pour se dire au revoir je savais que j'allais plus la revoir car je l'avais déçu j'étais à la fois déçu de moi et content d'avoir tenter mais bon à cause et grace à cette expérience j'ai des pensées intrusif je me dis j'ai trop merder que j'aurai pu en apprendre plus sur cette fille et expérimentés ect au même temps je me remets en question par rapport à mes rapports au autres à moi

bref en gros à chaque fois que y a un gros malaise ça me rappelle d'autres et d'autres malaise puis je réfléchis et réfléchis seul

Je vais tenter de redonner un souffle de vie à ce bon topax, des anecdotes malaisantes j’en ai pas mal.

La première qui me vient à l’esprit c’était en première année de BTS, je venais de me commencer à go muscu et au motif que mes bras commençaient à être légèrement moins phasmiques qu’avant (en fait à dépasser l’épaisseur d’un mikado) je commençais à sortir de ma Celestinitude, à vouloir briller en société et je sautais sur la moindre occasion de me mettre en avant même pour des conneries. Une fois un prof avait besoin que quelqu’un tire l’écran blanc pour projeter son diapo. Étant un des plus grands je me lève d’un bond en lâchant une vanne malaisante en franglais du style « well y a que des nains ici so.. ». Sauf qu’arrivé au tableau, je m’aperçois que même pour moi le machin est trop haut pour que je m’en saisisse directement comme prévu. Il fallait que je saute, et je sais pas si vous connaissez cette sensation mais quand vous êtes un Célestin la moindre action avec des regards fixés sur vous semble compliquée et nécessiter des calculs de la NASA. D’autant que j’avais la condition physique et la détente d’un bulot sous xanax pour ne rien arranger. Donc je saute.. et bien sûr je rate la poignée de l’écran. J’entends derrière moi des pouffements de rire, je commence à avoir chaud. Je ressaute, je rerate, avec en prime un petit « hmpf » d’effort bien ridicule qui résonne dans le silence pesant de la salle désormais ponctué des rires de tout le monde.
Bref, ne pouvant plus reculer je me suis obstiné et j’ai passé 45 interminables secondes à sautiller sur place comme un imbécile sous les rires de tout le monde. Même le prof y allait de ses rires et de ses commentaires.

Aujourd’hui si ça arrivait je me contenterais d’être en mode autodérision mais à l’époque comme je me prenais au sérieux c’était ultra cringe.

Le 18 mars 2021 à 16:58:50 :
J'ai un pote qui habite dans un immeuble où Guy Georges a violé et tué une meuf.
Le meurtre a eu lieu dans l'appart au premier, mon pote est au 3eme.
Je suis passé voir mon pote un jour, avec ma meuf, et en redescendant l'escalier, on croise le mec qui vit dans l'appart où le meurtre a eu lieu qui sort de chez lui, la porte est devant l'escalier.

Il nous laisse passer, je dis " bonjour, merci " et j'enchaine " Vous avez du courage pour habiter ici "
Il me dit " comment ça ? "
Je dis " Ben... le meurtre, vous saviez pas ? C'était dans votre appart " et il répond " Je m'en bats les couilles "

J'ai pas su quoi répondre

Ma meuf de l'époque a été cool et a fait aucun commentaire

cuck une semaine plus tard