* Topic officiel des ESC *
Le 19 avril 2022 à 09:36:56 :
Le 19 avril 2022 à 00:16:03 :
Le 18 avril 2022 à 20:43:53 :
Le 18 avril 2022 à 19:02:36 :
Le 18 avril 2022 à 11:22:30 :
Le 17 avril 2022 à 20:20:46 :
débat pathétique
oui tu peux mettre prépa sur ton cv on te demande jamais rien pour l'attester, ce qui compte c'est ton PGE pas comment t'y es entré
mais bon considdérer que la prépa cest sacrifier 2 ans cest rien comprendreclairement
Perso je changerai absolument pas mon parcours si c'était à refaire, même si ça devait me garantir une meilleure école. J'ai passé 2 excellentes années que j'ai vécu sainement et j'ai développé une force de taff, une rigueur et une bonne réflexion sur moi-même et mes envies de carrière/ de cadre de vie grâce à ça, que je n'aurai probablement jamais eu en étant partie à la fac vu mon profil branleur initial
Je disais ça étant jeune mais en vrai, la prépa a juste fait en sorte que je sois habitué à l'humiliation, à avoir peu de temps libre, à ne pas avoir du temps pour suivre mes passions.
Même si le côté "bootcamp" est amusant, il ne faut pas faire ça juste au sortir de l'adolesence.
En plus, prépa à 16 ans, je peux te dire que c'était tout sauf sympathique.Après la fac c'est de la merde en France donc c'est vraiment la peste et le choléra.
Système Suisse >>> all. Dire que je pouvais aller à l'EPFL sans effort et que je l'ai pas fait Le moi de 14 ans était idiot
Dans l'absolu le meilleur système est le système américain, qui est copié partout dans le monde pour une raison. Campus pour que jeunesse se fasse, grosse flexibilité, aucun enjeu sur ton major - même avec un bachelor journalisme tu peux être sales à Stripe payé 200k+ à moins de 30 ans - plein d'activités etc.
En Europe le système suisse, toute proportion gardées, est un peu comme ça.
> Je n'aurais probablement pas d'enfants. Mais je suis très content d'avoir persuadé ma soeur de ne pas bouger en frontalière et d'élever ses enfants dans le système suisse. C'est un sacrifice qui en vaut infiniment la peine.
Mais baise bordel t'attends quoi, bouge toi le cul va rencontrer des meufs, c'est pas compliqué
c'est l'été l'odeur des ch*ttes nous enivreParce que tu penses que je veux passer mes gènes déficients à la prochaine génération ? Quand bien même le pourrais-je que je ne le voudrais pas.
Il te parle de baiser et tu nous parles de faire un enfant
Pars habiter à Lisbonne ça t'amènera un peu de perspective. T'as eu le courage de quitter McK, maintenant aies le courage de changer de ville et pays. Sors de ta zone d'inconfort
Zone de confort ça veut rien dire, le cerveau s'habitue très vite en 2/3 semaines à toute nouvelle situation. Ca change rien aux réalités objectives. Tu peux changer de pays tous les ans sans aucune difficulté mais si c'est dans un taff de merde sans avenir mal payé quel intérêt ?
Mais bien sûr que je voudrais être à Lisbonne et pas à Paris mais pour ça faut de la thune. Je hais cette ville de merde polluée, ultra chère, bondée et j'en passe. C'est la pire capitale du monde excepté les shitholes indiens.
Le 19 avril 2022 à 12:51:11 :
Le 19 avril 2022 à 12:42:51 :
Le 19 avril 2022 à 12:28:44 :
est ce que c'est possible de passer d'une licence eco finance à un master école d'ingé style "Big data" ?Je pense mais go bosser le python tout seul, faire des kaggle etc.
En vrai la seule chose qui compte en dev c'est ton github etc. Même faire 42 ça se tente plutôt qu'un diplôme big data useless. Même si "ingénieur" ca fait bien sur le CV.
Mais pour vivre le génial developpeur dream avec salaires a 100k full remote faut commencer à taffer tout seul dès maintenant.
J'ai une amie qui vit le dev dream en Chine en python, elle a jamais appris ça formellement, elle l'a juste utilisé en Master d'éco pour son mémoire, a bossé pour l'equivalent chinois d'Accenture un an et là c'est la vida loca.
Le 19 avril 2022 à 12:53:42 :
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est ce que c'est possible de passer d'une licence eco finance à un master école d'ingé style "Big data" ?Je pense mais go bosser le python tout seul, faire des kaggle etc.
En vrai la seule chose qui compte en dev c'est ton github etc. Même faire 42 ça se tente plutôt qu'un diplôme big data useless. Même si "ingénieur" ca fait bien sur le CV.
Mais pour vivre le génial developpeur dream avec salaires a 100k full remote faut commencer à taffer tout seul dès maintenant.J'ai une amie qui vit le dev dream en Chine en python, elle a jamais appris ça formellement, elle l'a juste utilisé en Master d'éco pour son mémoire, a bossé pour l'equivalent chinois d'Accenture un an et là c'est la vida loca.
ouais le diplôme c'est surtout parce qu'on est en France mais a l'étranger ça a l'air d'être le dream si t'as les compétences
dans 6 mois je suis un monstre avec python
Le 19 avril 2022 à 13:03:32 :
Le 19 avril 2022 à 12:53:42 :
Le 19 avril 2022 à 12:51:11 :
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Le 19 avril 2022 à 12:28:44 :
est ce que c'est possible de passer d'une licence eco finance à un master école d'ingé style "Big data" ?Je pense mais go bosser le python tout seul, faire des kaggle etc.
En vrai la seule chose qui compte en dev c'est ton github etc. Même faire 42 ça se tente plutôt qu'un diplôme big data useless. Même si "ingénieur" ca fait bien sur le CV.
Mais pour vivre le génial developpeur dream avec salaires a 100k full remote faut commencer à taffer tout seul dès maintenant.J'ai une amie qui vit le dev dream en Chine en python, elle a jamais appris ça formellement, elle l'a juste utilisé en Master d'éco pour son mémoire, a bossé pour l'equivalent chinois d'Accenture un an et là c'est la vida loca.
ouais le diplôme c'est surtout parce qu'on est en France mais a l'étranger ça a l'air d'être le dream si t'as les compétences
dans 6 mois je suis un monstre avec python
Gg khey c'est le bon esprit
J'ai besoin de l'analyse des cerveaux du topic pour commenter cette déclaration.
https://www.europe1.fr/politique/le-pere-demmanuel-macron-juge-les-francais-tres-ingrats-4106606
Le père d'Emmanuel Macron juge les Français «très ingrats»
La dernière fois qu'il est venu gentiment me voir ici, dans la maison où il a grandi, c'était le 21 novembre 2019, à l'occasion de l'inauguration de la nouvelle faculté des sciences d'Amiens
Ce bail sombre
Qui peut être assez psycopathe pour ne pas voir ses parents régulièrement, surtout quand ils sont vieux ?
Le pauvre type est obligé de dire ça pour ne pas que le reste de la famille trinque à mon avis, vu qu'ils sont tous médecins hospitaliers donc fonctionnaires.
Le 19 avril 2022 à 07:13:37 :
Le 19 avril 2022 à 00:16:03 :
Le 18 avril 2022 à 20:43:53 :
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débat pathétique
oui tu peux mettre prépa sur ton cv on te demande jamais rien pour l'attester, ce qui compte c'est ton PGE pas comment t'y es entré
mais bon considdérer que la prépa cest sacrifier 2 ans cest rien comprendreclairement
Perso je changerai absolument pas mon parcours si c'était à refaire, même si ça devait me garantir une meilleure école. J'ai passé 2 excellentes années que j'ai vécu sainement et j'ai développé une force de taff, une rigueur et une bonne réflexion sur moi-même et mes envies de carrière/ de cadre de vie grâce à ça, que je n'aurai probablement jamais eu en étant partie à la fac vu mon profil branleur initial
Je disais ça étant jeune mais en vrai, la prépa a juste fait en sorte que je sois habitué à l'humiliation, à avoir peu de temps libre, à ne pas avoir du temps pour suivre mes passions.
Même si le côté "bootcamp" est amusant, il ne faut pas faire ça juste au sortir de l'adolesence.
En plus, prépa à 16 ans, je peux te dire que c'était tout sauf sympathique.Après la fac c'est de la merde en France donc c'est vraiment la peste et le choléra.
Système Suisse >>> all. Dire que je pouvais aller à l'EPFL sans effort et que je l'ai pas fait Le moi de 14 ans était idiot
Dans l'absolu le meilleur système est le système américain, qui est copié partout dans le monde pour une raison. Campus pour que jeunesse se fasse, grosse flexibilité, aucun enjeu sur ton major - même avec un bachelor journalisme tu peux être sales à Stripe payé 200k+ à moins de 30 ans - plein d'activités etc.
En Europe le système suisse, toute proportion gardées, est un peu comme ça.
> Je n'aurais probablement pas d'enfants. Mais je suis très content d'avoir persuadé ma soeur de ne pas bouger en frontalière et d'élever ses enfants dans le système suisse. C'est un sacrifice qui en vaut infiniment la peine.
Mais baise bordel t'attends quoi, bouge toi le cul va rencontrer des meufs, c'est pas compliqué
c'est l'été l'odeur des ch*ttes nous enivreParce que tu penses que je veux passer mes gènes déficients à la prochaine génération ? Quand bien même le pourrais-je que je ne le voudrais pas.
Sors toi les doigts et arrête de te victimiser, tu pourrais clairement être un turbo chad imbus de lui même, le sois pas mais sois au moins content de qui tu es et arrête de te croire worthless, tu ne l es pas
C'est gentil mais tu sais, personne ne décide d'avoir de la valeur ou pas. C'est le marché qui la détermine pour nous.
Tout le monde a une dignité humaine, y compris les pakis nains qui font tous les taffs au black dans la restauration et finissent le soir à vendre des roses à Paris sous le regard méprisant des femmes et des hommes.
Toutefois la société n'accorde aucune valeur à leur vie.
Sur le marché de l'emploi aujourd'hui, un consultant est un paki nain. Il n'y a que deux métiers : sales et dev. Ceux qui produisent et ceux qui vendent. Tout le reste est de la merde et traité comme tel.
Et je ne parle pas du marché de la séduction ce n'est pas le sujet ici, mais évidemment un nain moche est un paki nain.
C'est la réalité impitoyable du monde. On a la valeur qu'on nous donne, pas plus. Ca vaut évidemment pour le taff et les études.
Le 19 avril 2022 à 15:33:51 :
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Le 18 avril 2022 à 11:22:30 :
Le 17 avril 2022 à 20:20:46 :
débat pathétique
oui tu peux mettre prépa sur ton cv on te demande jamais rien pour l'attester, ce qui compte c'est ton PGE pas comment t'y es entré
mais bon considdérer que la prépa cest sacrifier 2 ans cest rien comprendreclairement
Perso je changerai absolument pas mon parcours si c'était à refaire, même si ça devait me garantir une meilleure école. J'ai passé 2 excellentes années que j'ai vécu sainement et j'ai développé une force de taff, une rigueur et une bonne réflexion sur moi-même et mes envies de carrière/ de cadre de vie grâce à ça, que je n'aurai probablement jamais eu en étant partie à la fac vu mon profil branleur initial
Je disais ça étant jeune mais en vrai, la prépa a juste fait en sorte que je sois habitué à l'humiliation, à avoir peu de temps libre, à ne pas avoir du temps pour suivre mes passions.
Même si le côté "bootcamp" est amusant, il ne faut pas faire ça juste au sortir de l'adolesence.
En plus, prépa à 16 ans, je peux te dire que c'était tout sauf sympathique.Après la fac c'est de la merde en France donc c'est vraiment la peste et le choléra.
Système Suisse >>> all. Dire que je pouvais aller à l'EPFL sans effort et que je l'ai pas fait Le moi de 14 ans était idiot
Dans l'absolu le meilleur système est le système américain, qui est copié partout dans le monde pour une raison. Campus pour que jeunesse se fasse, grosse flexibilité, aucun enjeu sur ton major - même avec un bachelor journalisme tu peux être sales à Stripe payé 200k+ à moins de 30 ans - plein d'activités etc.
En Europe le système suisse, toute proportion gardées, est un peu comme ça.
> Je n'aurais probablement pas d'enfants. Mais je suis très content d'avoir persuadé ma soeur de ne pas bouger en frontalière et d'élever ses enfants dans le système suisse. C'est un sacrifice qui en vaut infiniment la peine.
Mais baise bordel t'attends quoi, bouge toi le cul va rencontrer des meufs, c'est pas compliqué
c'est l'été l'odeur des ch*ttes nous enivreParce que tu penses que je veux passer mes gènes déficients à la prochaine génération ? Quand bien même le pourrais-je que je ne le voudrais pas.
Sors toi les doigts et arrête de te victimiser, tu pourrais clairement être un turbo chad imbus de lui même, le sois pas mais sois au moins content de qui tu es et arrête de te croire worthless, tu ne l es pas
C'est gentil mais tu sais, personne ne décide d'avoir de la valeur ou pas. C'est le marché qui la détermine pour nous.
Tout le monde a une dignité humaine, y compris les pakis nains qui font tous les taffs au black dans la restauration et finissent le soir à vendre des roses à Paris sous le regard méprisant des femmes et des hommes.
Toutefois la société n'accorde aucune valeur à leur vie.Sur le marché de l'emploi aujourd'hui, un consultant est un paki nain. Il n'y a que deux métiers : sales et dev. Ceux qui produisent et ceux qui vendent. Tout le reste est de la merde et traité comme tel.
Et je ne parle pas du marché de la séduction ce n'est pas le sujet ici, mais évidemment un nain moche est un paki nain.
C'est la réalité impitoyable du monde. On a la valeur qu'on nous donne, pas plus. Ca vaut évidemment pour le taff et les études.
Faut que je mette paki nain sur mon CV
Plus sérieusement c'est en partie vrai, les boîtes de conseil c'est plus des boîtes d'intérim pour bac+5 que des centres d'expertise
Le 19 avril 2022 à 16:45:12 :
Plus sérieusement c'est en partie vrai, les boîtes de conseil c'est plus des boîtes d'intérim pour bac+5 que des centres d'expertise
Les experts choisis par le cabinet pour réaliser la mission, fut-il américain, ne sont pas tous de bon niveau, et ne possèdent pas tous une longue expérience. En effet, le turn-over chez les consultants est très élevé car beaucoup de jeunes diplômés démarrent leur carrière dans un cabinet de consulting dans l’espoir d’être ensuite recrutés à un poste de responsabilité par un de leurs clients. ( @Simps on attend ton commentaire ) Dans les gros cabinets les consultants sont souvent très jeunes, sortis récemment de leur parcours universitaire, et donc peu expérimentés ; et ce d’autant plus que le cabinet est en croissance. Et bien qu’ayant de très bons diplômes, ils présentent pour les cabinets un avantage certain : ils ont des prétentions encore limitées en matière de salaire.
Le 19 avril 2022 à 16:45:12 :
Le 19 avril 2022 à 15:33:51 :
Le 19 avril 2022 à 07:13:37 :
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Le 18 avril 2022 à 20:43:53 :
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Le 18 avril 2022 à 11:22:30 :
Le 17 avril 2022 à 20:20:46 :
débat pathétique
oui tu peux mettre prépa sur ton cv on te demande jamais rien pour l'attester, ce qui compte c'est ton PGE pas comment t'y es entré
mais bon considdérer que la prépa cest sacrifier 2 ans cest rien comprendreclairement
Perso je changerai absolument pas mon parcours si c'était à refaire, même si ça devait me garantir une meilleure école. J'ai passé 2 excellentes années que j'ai vécu sainement et j'ai développé une force de taff, une rigueur et une bonne réflexion sur moi-même et mes envies de carrière/ de cadre de vie grâce à ça, que je n'aurai probablement jamais eu en étant partie à la fac vu mon profil branleur initial
Je disais ça étant jeune mais en vrai, la prépa a juste fait en sorte que je sois habitué à l'humiliation, à avoir peu de temps libre, à ne pas avoir du temps pour suivre mes passions.
Même si le côté "bootcamp" est amusant, il ne faut pas faire ça juste au sortir de l'adolesence.
En plus, prépa à 16 ans, je peux te dire que c'était tout sauf sympathique.Après la fac c'est de la merde en France donc c'est vraiment la peste et le choléra.
Système Suisse >>> all. Dire que je pouvais aller à l'EPFL sans effort et que je l'ai pas fait Le moi de 14 ans était idiot
Dans l'absolu le meilleur système est le système américain, qui est copié partout dans le monde pour une raison. Campus pour que jeunesse se fasse, grosse flexibilité, aucun enjeu sur ton major - même avec un bachelor journalisme tu peux être sales à Stripe payé 200k+ à moins de 30 ans - plein d'activités etc.
En Europe le système suisse, toute proportion gardées, est un peu comme ça.
> Je n'aurais probablement pas d'enfants. Mais je suis très content d'avoir persuadé ma soeur de ne pas bouger en frontalière et d'élever ses enfants dans le système suisse. C'est un sacrifice qui en vaut infiniment la peine.
Mais baise bordel t'attends quoi, bouge toi le cul va rencontrer des meufs, c'est pas compliqué
c'est l'été l'odeur des ch*ttes nous enivreParce que tu penses que je veux passer mes gènes déficients à la prochaine génération ? Quand bien même le pourrais-je que je ne le voudrais pas.
Sors toi les doigts et arrête de te victimiser, tu pourrais clairement être un turbo chad imbus de lui même, le sois pas mais sois au moins content de qui tu es et arrête de te croire worthless, tu ne l es pas
C'est gentil mais tu sais, personne ne décide d'avoir de la valeur ou pas. C'est le marché qui la détermine pour nous.
Tout le monde a une dignité humaine, y compris les pakis nains qui font tous les taffs au black dans la restauration et finissent le soir à vendre des roses à Paris sous le regard méprisant des femmes et des hommes.
Toutefois la société n'accorde aucune valeur à leur vie.Sur le marché de l'emploi aujourd'hui, un consultant est un paki nain. Il n'y a que deux métiers : sales et dev. Ceux qui produisent et ceux qui vendent. Tout le reste est de la merde et traité comme tel.
Et je ne parle pas du marché de la séduction ce n'est pas le sujet ici, mais évidemment un nain moche est un paki nain.
C'est la réalité impitoyable du monde. On a la valeur qu'on nous donne, pas plus. Ca vaut évidemment pour le taff et les études.
Faut que je mette paki nain sur mon CV
Plus sérieusement c'est en partie vrai, les boîtes de conseil c'est plus des boîtes d'intérim pour bac+5 que des centres d'expertise
Exact
D'ailleurs qu'est-ce que tu fais après ? de l'intérim en freelance ou de l'intérim dans une boîte comme "project manager"
Le 19 avril 2022 à 17:38:22 :
Le 19 avril 2022 à 16:45:12 :
Le 19 avril 2022 à 15:33:51 :
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débat pathétique
oui tu peux mettre prépa sur ton cv on te demande jamais rien pour l'attester, ce qui compte c'est ton PGE pas comment t'y es entré
mais bon considdérer que la prépa cest sacrifier 2 ans cest rien comprendreclairement
Perso je changerai absolument pas mon parcours si c'était à refaire, même si ça devait me garantir une meilleure école. J'ai passé 2 excellentes années que j'ai vécu sainement et j'ai développé une force de taff, une rigueur et une bonne réflexion sur moi-même et mes envies de carrière/ de cadre de vie grâce à ça, que je n'aurai probablement jamais eu en étant partie à la fac vu mon profil branleur initial
Je disais ça étant jeune mais en vrai, la prépa a juste fait en sorte que je sois habitué à l'humiliation, à avoir peu de temps libre, à ne pas avoir du temps pour suivre mes passions.
Même si le côté "bootcamp" est amusant, il ne faut pas faire ça juste au sortir de l'adolesence.
En plus, prépa à 16 ans, je peux te dire que c'était tout sauf sympathique.Après la fac c'est de la merde en France donc c'est vraiment la peste et le choléra.
Système Suisse >>> all. Dire que je pouvais aller à l'EPFL sans effort et que je l'ai pas fait Le moi de 14 ans était idiot
Dans l'absolu le meilleur système est le système américain, qui est copié partout dans le monde pour une raison. Campus pour que jeunesse se fasse, grosse flexibilité, aucun enjeu sur ton major - même avec un bachelor journalisme tu peux être sales à Stripe payé 200k+ à moins de 30 ans - plein d'activités etc.
En Europe le système suisse, toute proportion gardées, est un peu comme ça.
> Je n'aurais probablement pas d'enfants. Mais je suis très content d'avoir persuadé ma soeur de ne pas bouger en frontalière et d'élever ses enfants dans le système suisse. C'est un sacrifice qui en vaut infiniment la peine.
Mais baise bordel t'attends quoi, bouge toi le cul va rencontrer des meufs, c'est pas compliqué
c'est l'été l'odeur des ch*ttes nous enivreParce que tu penses que je veux passer mes gènes déficients à la prochaine génération ? Quand bien même le pourrais-je que je ne le voudrais pas.
Sors toi les doigts et arrête de te victimiser, tu pourrais clairement être un turbo chad imbus de lui même, le sois pas mais sois au moins content de qui tu es et arrête de te croire worthless, tu ne l es pas
C'est gentil mais tu sais, personne ne décide d'avoir de la valeur ou pas. C'est le marché qui la détermine pour nous.
Tout le monde a une dignité humaine, y compris les pakis nains qui font tous les taffs au black dans la restauration et finissent le soir à vendre des roses à Paris sous le regard méprisant des femmes et des hommes.
Toutefois la société n'accorde aucune valeur à leur vie.Sur le marché de l'emploi aujourd'hui, un consultant est un paki nain. Il n'y a que deux métiers : sales et dev. Ceux qui produisent et ceux qui vendent. Tout le reste est de la merde et traité comme tel.
Et je ne parle pas du marché de la séduction ce n'est pas le sujet ici, mais évidemment un nain moche est un paki nain.
C'est la réalité impitoyable du monde. On a la valeur qu'on nous donne, pas plus. Ca vaut évidemment pour le taff et les études.
Faut que je mette paki nain sur mon CV
Plus sérieusement c'est en partie vrai, les boîtes de conseil c'est plus des boîtes d'intérim pour bac+5 que des centres d'expertise
Exact
D'ailleurs qu'est-ce que tu fais après ? de l'intérim en freelance ou de l'intérim dans une boîte comme "project manager"
Je vais tenter le fonctionnaire dream ou le software engineer dream, ça sera toujours mieux que de faire du "pilotage de projet" à la défense
Le 19 avril 2022 à 19:19:29 :
Le 19 avril 2022 à 17:38:22 :
Le 19 avril 2022 à 16:45:12 :
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Le 19 avril 2022 à 00:16:03 :
Le 18 avril 2022 à 20:43:53 :
Le 18 avril 2022 à 19:02:36 :
Le 18 avril 2022 à 11:22:30 :
Le 17 avril 2022 à 20:20:46 :
débat pathétique
oui tu peux mettre prépa sur ton cv on te demande jamais rien pour l'attester, ce qui compte c'est ton PGE pas comment t'y es entré
mais bon considdérer que la prépa cest sacrifier 2 ans cest rien comprendreclairement
Perso je changerai absolument pas mon parcours si c'était à refaire, même si ça devait me garantir une meilleure école. J'ai passé 2 excellentes années que j'ai vécu sainement et j'ai développé une force de taff, une rigueur et une bonne réflexion sur moi-même et mes envies de carrière/ de cadre de vie grâce à ça, que je n'aurai probablement jamais eu en étant partie à la fac vu mon profil branleur initial
Je disais ça étant jeune mais en vrai, la prépa a juste fait en sorte que je sois habitué à l'humiliation, à avoir peu de temps libre, à ne pas avoir du temps pour suivre mes passions.
Même si le côté "bootcamp" est amusant, il ne faut pas faire ça juste au sortir de l'adolesence.
En plus, prépa à 16 ans, je peux te dire que c'était tout sauf sympathique.Après la fac c'est de la merde en France donc c'est vraiment la peste et le choléra.
Système Suisse >>> all. Dire que je pouvais aller à l'EPFL sans effort et que je l'ai pas fait Le moi de 14 ans était idiot
Dans l'absolu le meilleur système est le système américain, qui est copié partout dans le monde pour une raison. Campus pour que jeunesse se fasse, grosse flexibilité, aucun enjeu sur ton major - même avec un bachelor journalisme tu peux être sales à Stripe payé 200k+ à moins de 30 ans - plein d'activités etc.
En Europe le système suisse, toute proportion gardées, est un peu comme ça.
> Je n'aurais probablement pas d'enfants. Mais je suis très content d'avoir persuadé ma soeur de ne pas bouger en frontalière et d'élever ses enfants dans le système suisse. C'est un sacrifice qui en vaut infiniment la peine.
Mais baise bordel t'attends quoi, bouge toi le cul va rencontrer des meufs, c'est pas compliqué
c'est l'été l'odeur des ch*ttes nous enivreParce que tu penses que je veux passer mes gènes déficients à la prochaine génération ? Quand bien même le pourrais-je que je ne le voudrais pas.
Sors toi les doigts et arrête de te victimiser, tu pourrais clairement être un turbo chad imbus de lui même, le sois pas mais sois au moins content de qui tu es et arrête de te croire worthless, tu ne l es pas
C'est gentil mais tu sais, personne ne décide d'avoir de la valeur ou pas. C'est le marché qui la détermine pour nous.
Tout le monde a une dignité humaine, y compris les pakis nains qui font tous les taffs au black dans la restauration et finissent le soir à vendre des roses à Paris sous le regard méprisant des femmes et des hommes.
Toutefois la société n'accorde aucune valeur à leur vie.Sur le marché de l'emploi aujourd'hui, un consultant est un paki nain. Il n'y a que deux métiers : sales et dev. Ceux qui produisent et ceux qui vendent. Tout le reste est de la merde et traité comme tel.
Et je ne parle pas du marché de la séduction ce n'est pas le sujet ici, mais évidemment un nain moche est un paki nain.
C'est la réalité impitoyable du monde. On a la valeur qu'on nous donne, pas plus. Ca vaut évidemment pour le taff et les études.
Faut que je mette paki nain sur mon CV
Plus sérieusement c'est en partie vrai, les boîtes de conseil c'est plus des boîtes d'intérim pour bac+5 que des centres d'expertise
Exact
D'ailleurs qu'est-ce que tu fais après ? de l'intérim en freelance ou de l'intérim dans une boîte comme "project manager"Je vais tenter le fonctionnaire dream ou le software engineer dream, ça sera toujours mieux que de faire du "pilotage de projet" à la défense
SWE dream Hésite même pas.
Dans les cabinets de conseil, des « armées de clones » issus des grandes écoles
Les plus prestigieux recrutent l’essentiel de leurs troupes dans une poignée d’établissements sélectifs, où les étudiants viennent avant tout de milieux très aisés. Un entre-soi qui peut conduire à une certaine déconnexion.
Par Alice Raybaud
Publié aujourd’hui à 01h14, mis à jour à 14h52
C’est comme si l’exercice du « portrait-robot » avait été fait pour eux. Des diplômés bien nés et issus d’une même poignée restreinte de grandes écoles parisiennes : il y a souvent un goût de déjà-vu dans le profil des recrues des cabinets de conseil, ces machines d’influence exposées sur le devant de la scène médiatique ces dernières semaines.
Les cabinets de conseil ont été les invités surprises de la campagne présidentielle, avec un enjeu connu dans un cercle d’initiés mais peu du grand public : leur poids grandissant dans la conduite des affaires publiques. Déjà omniprésents dans les hautes sphères dirigeantes du secteur privé, les consultants ont vu leurs contrats conclus avec l’Etat « plus que doubler » entre 2018 et 2021, révélait ainsi en mars le rapport d’une commission sénatoriale.
Et, malgré la concurrence d’une « tentation start-up » qui a point au début des années 2010, leur attractivité ne se dément pas : 24 % des diplômés d’écoles d’ingénieurs et 20 % de ceux d’écoles de commerce se dirigent vers ce secteur, selon l’enquête de 2021 de la Conférence des grandes écoles. « Plus de la moitié de nos étudiants placent le conseil en stratégie, qui a su se positionner sur les enjeux recherchés des technologies et du développement durable, comme leur secteur d’activité favori », souligne Emilie Autissier, responsable carrière à HEC, où un tiers des diplômés s’insèrent dans le consulting.
D’autant que le marché du conseil est en pleine croissance : en France, il a doublé de taille en dix ans. « Nous faisons face à un monde de changements et d’incertitudes, avec des besoins de conseil en hausse. On surfe sur cette vague et on a recruté, en 2021 et 2022, des contingents record », explique Camille Egloff, DRH du cabinet BCG, qui refuse néanmoins de communiquer le nombre de recrutés – une « culture de la discrétion » également partagée par son concurrent, le cabinet américain Bain. Ce dernier avance toutefois un tiers de recrutements supplémentaires à Paris en 2021 par rapport à 2018-2019 et un volume de candidats jamais vu, avec 6 000 candidatures annuelles, contre 4 000 auparavant.
Continuité de la formation
Pour ces jeunes postulants, l’insertion en cabinet de conseil est envisagée comme une continuité de la formation, à la manière d’un troisième cycle d’apprentissage. Capucine Mayol, diplômée de Sciences Po Paris et consultante en santé publique à PwC, était attirée par la diversité des missions et l’opportunité de rencontrer une multitude d’acteurs, condition essentielle pour « construire [s]a culture du secteur de la santé ». « C’est vraiment là que j’ai eu le sentiment de monter en compétence. On a des sessions de formation très régulières, et puis on est rapidement mis face au client », raconte la femme de 24 ans.
« Ces cabinets sont un maillon central de la fabrication des élites économiques et de leur circulation, analyse Sébastien Stenger, chercheur à l’Institut supérieur de gestion et auteur de l’ouvrage Au cœur des cabinets d’audit et de conseil (PUF, 2017). Les jeunes recrues y font un apprentissage intensif du langage du pouvoir économique, de ses codes, d’une certaine discipline et y construisent un carnet d’adresses. C’est un accélérateur de carrière qui permet ensuite d’accéder à des postes de direction dans de grandes entreprises. McKinsey est d’ailleurs surnommé “l’usine à CEO”. »
Intégrer les cabinets qui tiennent le haut du pavé, c’est être propulsé parmi les 3 % de Français les plus riches, avec des salaires d’entrée annuels compris entre 50 000 et 70 000 euros brut – et 150 000 euros au bout de cinq ans, a estimé Sébastien Stenger. « Mais au-delà de ces rétributions objectives, il y a une dimension de prestige social : ces recrues, vainqueurs de la compétition scolaire, sont sensibles aux hiérarchies et à une certaine idée du mérite, mise en avant dans ces entreprises. Travailler dans ces cabinets offre le sentiment d’appartenir à une élite qui se distingue du tout-venant », remarque le chercheur.
Leurs processus de recrutement épousent cette logique. Très sélectifs et fastidieux, ils peuvent comporter jusqu’à cinq à six tours d’entretiens. Après un premier tri des CV, les candidats sont soumis à divers tests, avec des résolutions de cas, des mises en situation et des entretiens de personnalité où est évalué le « fit », autrement dit l’adéquation du postulant avec la culture conseil.
« Les cabinets recrutent sur le savoir-être plus que sur les savoirs managériaux. Dans leurs activités, ce sont souvent les liens interpersonnels entre les consultants et les donneurs d’ordre qui emportent l’affaire : une capacité à naviguer dans l’organisation et se mettre dans une posture de coach informel », observe la sociologue du travail Isabel Boni-Le Goff. « On est extrêmement attentifs aux “soft skills” : la curiosité, l’esprit d’équipe, l’adaptabilité… Et on est très vigilants sur le volet de la communication, car on est un métier de relation client », confirme la DRH de Bain, Raphaëlle de Soto.
« After-work » sélectifs
Ces « process » ont tendance à renforcer les inégalités de sélection et la « ségrégation sociale » à l’entrée. « Pour les réussir, il vaut mieux être informé assez tôt, notamment par son cercle familial, de ce que représentent ces cabinets dans le monde des affaires, analyse Sébastien Stenger. Il faut maîtriser de nombreux attendus : des codes professionnels, comme savoir quel type de stage en amont est un incontournable, et des codes de langage. »
Une telle candidature ne s’improvise pas et nécessite souvent une grosse préparation, proposée par les écoles mais aussi par des prépas privées. « Par le boulot que demandent ces process, on teste déjà que tu es un gros bosseur : s’entraîner aux études de cas, mais aussi interviewer des consultants pour comprendre les spécificités de chaque cabinet, si tu ne l’as pas fait, ça se voit direct, raconte Louise, 25 ans, consultante dans un cabinet de conseil en stratégie. On dit souvent que c’est à peu près deux mois de travail intensif en amont. »
Des cabinets proposent des « after-work » pour présenter la culture d’entreprise aux futurs postulants. Et rien que ces présentations informelles peuvent être très sélectives. « Pour des journées de présentation données par McKinsey, il fallait fournir un CV et une lettre de motivation. J’ai été refusé à certaines d’entre elles, relate un jeune consultant chez Deloitte, diplômé de la London School of Economics. La compétition est assez extrême et, dans ce type de cabinet du top 3, celui qui n’a, par exemple, pas fait la bonne école n’est jamais rappelé. »
Le « filtre social » est particulièrement fort à l’entrée des « Big three », dénomination qui recouvre les plus gros cabinets de conseil en stratégie : McKinsey, Bain et BCG. Ceux-ci recrutent quasi exclusivement dans six grandes écoles parisiennes : HEC, Polytechnique (dont le président depuis 2018, Eric Labaye, a fait toute sa carrière chez McKinsey) et Centrale, puis les Mines, l’Essec et l’ESCP. « Et au sein de ces écoles déjà peu représentatives de la société, ils exercent une sursélection dans un certain milieu, très aisé, et familier de cet univers dont il partage les codes et loisirs. Ainsi, 70 % de leurs recrues sont issues d’un panel restreint de six classes préparatoires de l’Ouest parisien, comme Sainte-Geneviève ou “Franklin” », détaille Sébastien Stenger, qui mène actuellement une étude sur ces trois cabinets.
« Excellence méritocratique »
Le mécanisme est moindre au sein de ceux qu’on appelle les « Big four », les cabinets de conseil et d’audit Deloitte, EY, KPMG et PwC, qui recrutent dans un panel d’écoles légèrement plus divers. Mais, chez eux aussi, le diplôme conditionne l’accès, avec une hiérarchie des formations connue des initiés et certaines écoles qui ne sont pas « screenées » – sélectionnées par un logiciel de tri, première étape de recrutement. A l’entrée, les consultants sont aussi souvent payés différemment en fonction de leur école d’origine, dans un modèle calqué sur la compétition scolaire et sur une vision de « l’excellence méritocratique » dont ces cabinets se revendiquent.
« Les sociétés de conseil chassent nos élèves dès la première année, pour les fidéliser rapidement, constate Philippe Dufourcq, directeur général adjoint de Centrale. Un centralien, en plus d’être très polyvalent, est un produit précieux avec la notoriété due à son diplôme, puisque le CV du consultant est souvent envoyé au client. » Le « pedigree » académique fait, en effet, partie de ce qui est vendu par ces cabinets. « Piocher dans le haut du panier de l’enseignement supérieur local permet de justifier leurs tarifs élevés », complète Isabel Boni-Le Goff, qui observe qu’avoir passé un concours assure également une « adhésion du candidat à une culture de performance ».
Cela génère une homogénéité sociale très forte. « Au sein de ce petit monde, de nombreuses blagues circulent sur les “armées de clones”, des “men in black” interchangeables, soulève la sociologue du travail. Alors, bien sûr, il y a tout un discours massif, assez récent, sur la diversité dans ces cabinets. Mais les dispositifs d’ouverture mènent avant tout à des recrutements sur niche, très limités, et se heurtent à des logiques de reproduction très anciennes. »
Deloitte, qui recrute tous les ans 700 stagiaires et 600 jeunes en sortie de formation, se présente comme un « incubateur de talents ». « On s’est ouvert à des écoles spécialisées, notamment en data, ou à des masters d’université », assure sa directrice recrutement Evelyne Saiman. « On va chercher des profils internationaux, des doubles diplômes ou des littéraires, notamment à l’ENS. Et aussi de plus en plus d’étudiants à l’université, en particulier des jeunes chercheurs, qui n’ont pas le même background social », avance Raphaëlle de Soto, chez Bain.
Sortir de la « voie royale »
Les cabinets contactés mettent aussi en avant leurs actions de mentorat, au sein d’établissements du secondaire ou du supérieur, mais également auprès des postulants. « Avec des ateliers en groupe ou personnalisés, nos candidats ont accès à un coaching tout au long du processus d’embauche : cela le rend plus égalitariste », explique Camille Egloff, de BCG, qui ajoute se « fier aussi à l’ouverture réalisée dans les grandes écoles ».
Mais au sein de ces établissements, la composition sociale n’a pas évolué ces dernières années, comme le montre un rapport de l’Institut des politiques publiques, publié en 2021. Dans les écoles les plus prestigieuses, comme Polytechnique ou HEC, le constat est particulièrement déséquilibré, avec 85 % de jeunes issus de familles « très favorisées » (contre 23 % de l’ensemble des 20-24 ans) et 3 % de familles « très défavorisées ».
Pour Louise, l’uniformité dans le consulting est en partie le fruit du système français, qui fait des grandes écoles un passage obligé pour intégrer les secteurs les plus valorisés. « Aux Etats Unis, ne pas avoir fait le MIT [prestigieuse université située dans le Massachusetts] n’est pas une barrière indépassable. En France, il y a un manque de reconnaissance des parcours qui sortent de la voie royale, et une glorification d’un élitisme à la française lié aux grandes écoles », regrette-t-elle.
Cette certaine vision méritocratique tend à se poursuivre après le recrutement, avec un système d’évaluation constante basé sur le principe du « up or out », qui promeut les meilleurs et invite les autres à partir. Le tout se fait, malgré des efforts réalisés pour continuer à capter une jeunesse en partie soucieuse d’un plus grand équilibre, au prix d’un rythme de travail souvent harassant. Des parcours qui, écrit Sébastien Stenger, se transforment en « cages dorées ».
C’est un accélérateur de carrière qui permet ensuite d’accéder à des postes de direction dans de grandes entreprises. McKinsey est d’ailleurs surnommé “l’usine à CEO”.
LOL
CEO chez uber eats
Ajd la fabrique à CEO c'est Stripe.
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- ClaireLaffut
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- 4 janvier 2021 à 12:03:11
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