Khey et écrivain.
Le 04 octobre 2020 à 13:13:55 Pseudo6782 a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:10:54 MaxouStirner1 a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:05:16 Pseudo6782 a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 12:32:29 MaxouStirner1 a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 11:50:54 Pseudo6782 a écrit :
Je lis les Carnets du sous-sol de Dostoiveski en ce momentJ ai très peu lu dans ma vie je mis mets surtout en ce moment
Mais il y a un passage que je ne comprends pas et j'aimerai votre ÉCLAIRCISSEMENT"
Je reste fermement convaincu que non seulement une conscience accrue, mais que toute forme de conscience est une maladie. J insiste. Laissons cela aussi pour l instant.( jusque là aucun soucis c est la suite ou je suis perdu)
Dites moi une chose, pourquoi est-ce justement comme par hasard,dans les mêmes minutes, oui,les minutes même ou je me trouvais le plus apte à prendre conscience de toutes" les finesses du beau et du sublime ",comme on disait jadis, qu il m arrivait non plus d avoir conscience mais d accomplir des actes si peu reluisants que....
Bref en un mot, qui sont le lot de tous, mais que je faisais moi, comme par hasard dans les instants précis où je sentais le plus que je ne devais pas les faire ?Plus je prenais conscience du bien de tout ce beau et ce sublime plus je m engluais dans mon marais, et plus j etais capable de m y noyer complètement.Mais l essentiel restait que ça ne semblait jamais fortuit comme si c etzit la mon état naturel de sorte qu a la fin j ai perdu tout envie de combattre de défaut.
Le beau et le sublime ? Je me suis d abord dit qu il faisait référence à un mouvement philosophique ou une expression ?
Son passage sur son état naturel je comprends pas également
J ai l impression de lire un Célestin desco se sentant surdoué
T'as pas choisi le bouquin le plus simple pour débuter.
Concernant le beau et le sublime, il faut le prendre pour ce que c'est littéralement : la conscience de la beauté, c'est à dire de ce que l'on peut considérer comme beau. (Thème récurrent chez Dostoïevski, à qui l'on doit en effet : "La beauté sauvera le monde")
Pour la question du marais, il ne y voir rien d'autre qu'une métaphore : un endroit de la conscience sale, gluant.
Et ce qu'il faut comprendre de cet extrait (j'essaye de faire le plus simple possible) : le narrateur qui peut être vu d'ailleurs comme un Célestin desco comme tu le dis, a un comportement paradoxal. Il sait que la beauté existe en ce monde, il a même conscience de cette beauté, mais étrangement, au plus il prend conscience de cette beauté, au plus il s'en éloigne, et ce volontairement. Au lieu d'accepter qu'il y a du beau en ce monde, il décide de rester dans les endroits marécageux de sa conscience. Il rejette donc volontairement la beauté pour se morfondre en quelque sorte. Et Dostoïevski le justifie ainsi : aussi étrange que soit son choix (et cela vaut pour tous les choix etranges que l'on pourrait faire), cela reste son choix et non un choix inconscient ou non désiré. En gros il se dit : je préfère rejeter la beauté parce que je l'ai décidé plutôt que d'accepter la beauté sans trop savoir pourquoi.Je suis à environ la moitié du bouquin actuellement, et j'ai réellement l'impression de lire un celestin du forom x 100
Le mec qui se sent plus intelligent que son entourage mais à la fois ne fait rien du tout parce qu il a " la conscience d enormements de choses que les idiots n'ont pas "
Le mec qui critique à la fois son comportement de celestin mais en meme temps ne veut pas changer
J'ai meme pas fini le livre que je suis persuadé qu'il va se suicider comme tout bon khey
Entre deux il "go escort" comme un bon khey. Mais poursuis ta lecture, je t'enverrai vers une étude intéressante de l'œuvre. C'est ton premier Dostoïevski ?
Premier
Je suis pas un enorme lecteur mais j'aime beaucoup ecrire ou imaginer des histoires ce qui est assez etrange je le concoisDepuis 7/8 mois voir un peu plus j ecris 2/3 petits trucs, m'enfin c est un niveau assez faible lié au fait que je n'ai quasi pas lu
J'ai donc voulu commencer à lire petit à petit et on m'a souvent parlé de dostoi pour l'aspect psychologique des personnages ce que je recherche dans mes histoires
Et là honnetement du peu que j'en ai lu je suis decu
J'ai acheté Crimes et chatiment egalement je le lirai aussi
Oui c'est pas le livre que je conseillerai pour débuter Dostoïevski mais il n'en reste pas moins excellent mais pas forcément accessible.
Crime et Châtiment l'est beaucoup plus par contre.
Le 04 octobre 2020 à 13:05:58 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 12:58:39 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 11:08:06 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:54:47 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:30:28 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:23:52 Llyuvennatsgaia a écrit :
AIbinaire, concernant le blog que tu as posté à la fin de ton pavé, y a quand même une erreur grossière sur la SFFF. Dans l'exemple d'un bouquin fantastique on a Harry Potter, qui est clairement de la fantasy...
C'est une erreur que je rencontre très fréquemment pour une raison que j'ignore. Pour simplifier, on pourrait dire qu'un récit fantastique se déroule dans notre monde mais certains éléments sont remis en question quant à leur véracité, par exemple la survenue du surnaturel. C'est une notion qu'on a vue au collège mais les gens confondent encore.HP se passe dans notre monde, avec une précision chirurgicale dans la majorité des localisations.
On peut débattre de la légitimité de HP dans la catégorie fantastique, mais clairement pas à ce motif là.
Oui, mais on s'est mal compris. Bien sûr que HP se passe dans notre monde, mais pour les personnages, la magie existe, il n'y a aucun doute là-dessus. En fait on peut appeler ça du "merveilleux" également.
En lisant HP on part du principe que dans cet univers, la magie existe, de même que certaines créatures comme les dragons, les centaures etc
Donc en aucun cas ce n'est du fantastique.
Je vais citer ce que j'ai lu sur wikipedia, c'est plus clair :"et le merveilleux, où les éléments surnaturels sont considérés comme normaux : le fantastique est cet entre-deux, ce moment où l'esprit hésite encore entre une explication rationnelle et irrationnelle"
Par exemple, la plupart des nouvelles de Lovecraft appartiennent au genre fantastique.
Comme j'ai dit, c'est discutable étant donné que pour l'écrasante majorité de la population, elle n'a rien de normal.
Mais non, ça n'a strictement aucun rapport
Dans le fantastique, non seulement le ou les personnages doivent douter de l'existence de ce qu'ils voient, mais le lecteur doit aussi rechercher une explication plausible.
En général, le narrateur pense qu'il a une hallucination, qu'il rêve, ou bien qu'il a été drogué...
Il n'y pas de débat à avoir (d'ailleurs il n'y a même pas de débat, je sais pas pourquoi tu en parles comme si c'était le cas chez les spécialistes ) : Harry Potter, c'est de la fantasy, si on veut être plus précis on peut dire que c'est de la "low fantasy".HP n'a jamais été vendu au grand public (par approximation sémantique ou par choix délibérer de coller la fausse étiquette) comme de la fantasy. C'est tout ce que je dis, et le débat s'articule autour de la légitimité de cette appellation de fantastique qui court sur toutes les lèvres chez nous.
Au sens puriste, ça n'en est pas. Et je suis d'accord la dessus. Au sens pratique, HP s'est vu coller l'étiquette de fantastique. Théoriquement il tient plus de l'urban fantasy dans les tomes avancés mais dans le premier, et pour lancer la promo, ça a été marketé fantastique.
C'est bien possible. J'ai pas souvenir de ça mais j'en comprends pas trop l'intérêt, étant donné que les premiers tomes de la saga s'adressent aux enfants. Pourquoi les vendre comme de la fantasy aurait été moins avantageux pour l'éditeur ? les enfants ne font aucune différence entre les deux genres.
Le 04 octobre 2020 à 13:21:06 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:05:58 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 12:58:39 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 11:08:06 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:54:47 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:30:28 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:23:52 Llyuvennatsgaia a écrit :
AIbinaire, concernant le blog que tu as posté à la fin de ton pavé, y a quand même une erreur grossière sur la SFFF. Dans l'exemple d'un bouquin fantastique on a Harry Potter, qui est clairement de la fantasy...
C'est une erreur que je rencontre très fréquemment pour une raison que j'ignore. Pour simplifier, on pourrait dire qu'un récit fantastique se déroule dans notre monde mais certains éléments sont remis en question quant à leur véracité, par exemple la survenue du surnaturel. C'est une notion qu'on a vue au collège mais les gens confondent encore.HP se passe dans notre monde, avec une précision chirurgicale dans la majorité des localisations.
On peut débattre de la légitimité de HP dans la catégorie fantastique, mais clairement pas à ce motif là.
Oui, mais on s'est mal compris. Bien sûr que HP se passe dans notre monde, mais pour les personnages, la magie existe, il n'y a aucun doute là-dessus. En fait on peut appeler ça du "merveilleux" également.
En lisant HP on part du principe que dans cet univers, la magie existe, de même que certaines créatures comme les dragons, les centaures etc
Donc en aucun cas ce n'est du fantastique.
Je vais citer ce que j'ai lu sur wikipedia, c'est plus clair :"et le merveilleux, où les éléments surnaturels sont considérés comme normaux : le fantastique est cet entre-deux, ce moment où l'esprit hésite encore entre une explication rationnelle et irrationnelle"
Par exemple, la plupart des nouvelles de Lovecraft appartiennent au genre fantastique.
Comme j'ai dit, c'est discutable étant donné que pour l'écrasante majorité de la population, elle n'a rien de normal.
Mais non, ça n'a strictement aucun rapport
Dans le fantastique, non seulement le ou les personnages doivent douter de l'existence de ce qu'ils voient, mais le lecteur doit aussi rechercher une explication plausible.
En général, le narrateur pense qu'il a une hallucination, qu'il rêve, ou bien qu'il a été drogué...
Il n'y pas de débat à avoir (d'ailleurs il n'y a même pas de débat, je sais pas pourquoi tu en parles comme si c'était le cas chez les spécialistes ) : Harry Potter, c'est de la fantasy, si on veut être plus précis on peut dire que c'est de la "low fantasy".HP n'a jamais été vendu au grand public (par approximation sémantique ou par choix délibérer de coller la fausse étiquette) comme de la fantasy. C'est tout ce que je dis, et le débat s'articule autour de la légitimité de cette appellation de fantastique qui court sur toutes les lèvres chez nous.
Au sens puriste, ça n'en est pas. Et je suis d'accord la dessus. Au sens pratique, HP s'est vu coller l'étiquette de fantastique. Théoriquement il tient plus de l'urban fantasy dans les tomes avancés mais dans le premier, et pour lancer la promo, ça a été marketé fantastique.
C'est bien possible. J'ai pas souvenir de ça mais j'en comprends pas trop l'intérêt, étant donné que les premiers tomes de la saga s'adressent aux enfants. Pourquoi les vendre comme de la fantasy aurait été moins avantageux pour l'éditeur ? les enfants ne font aucune différence entre les deux genres.
La fantasy n'était pas très bien vue à l'époque je suppose...
Cave and rocks
Désolé pour les fautes d'orthographes
Pour moi le voyage approprié n'est pas constituer que d'un changement de lieu physique , mais aussi d'un changement spirituel
Ces événements prendrait places ....dans un désert chaud , fait de rocks et de montagnes...
Imaginez une grotte dans une montagne rocailleuse surplombant une vallée au soleil levant et à l'horizon , infinie.....
Dans cette grotte il y a rien d'autre qu'un feu de bois alimenter la nuit pour permettre à la lumière de s'approprier les lieux
Je voit deux tambours et deux flutes .... nous ne savons pas jouer , mais le son produit par la main inexpérimenté est le dialogue du monde .
Par ce soleil chaud , être vêtu uniquement de sous vêtements est une nécessité , être vetu de l'appareil le plus simple et sentir sa peau s'abimer sur la roche fossile n'est plus une contrainte
Creusons des puits et donnons naissances à des rivières . Revenons fatigués au lieu de vie .
Je foule le sol rocailleux et sableux en sachant que rien ne nous différencie . Il me permet le voyage et je lui permet d'exister . Si il me fait mal il faudra faire demi tour , et quand je creuserai en lui je le ferait vivre .
Il faut fabriquer les outils , il faut faire ce qui vient du coeur et renoué avec nos ancêtres lointains sommeillant en nous n'attendant qu'une brèche de lucidité absolue pour nous communiquer nos besoins profonds
Casser les caillous , alimenter le feu , mediter , explorer l'oasis voisine et en ramené le fruit précieux et le dégusté avec respect
Je voit plusieurs couchés de soleil , je voit la faim et la soif , l'exploration , la peur et son acceptation...je voit la vie .
Le sommeil au fond de la grotte sera profond et la lune éclatante .
Peut être une communication avec les esprits sera établie , peut être pas ,les substances que la nature nous offre seront la et seront utilisées avec bon intention . Il faudra en prendre beaucoup et encore plus , et le lendemain il faudra en prendre encore plus , c'est le sacrifice corporel fait pour la santé de la conscience de l'homme .
Je voit des petits enfants essayant de communiqué avec eux mêmes et avec l'histoire . Je voir l'espoir et la volonté . Je voit le destin .
Je voit des pierres et de l'eau . Je sent les muscles bandés et les cheveux secs comme des branche sous le soleil d'été . Je boit l'eau et regarde le soleil créateur en face . Je suis son fils et nous sommes l'univers . La nuit la voie lactée se dessine et j'aperçois mes galaxies éloignés ...peut être qu'ils m'entendent penser et qu'ils voiyent la poussière d'étoile en moi .
Demain je ne serait pas le même homme. Et demain le soleil ne me brulera plus la peau .
Le 04 octobre 2020 à 13:21:06 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:05:58 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 12:58:39 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 11:08:06 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:54:47 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:30:28 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:23:52 Llyuvennatsgaia a écrit :
AIbinaire, concernant le blog que tu as posté à la fin de ton pavé, y a quand même une erreur grossière sur la SFFF. Dans l'exemple d'un bouquin fantastique on a Harry Potter, qui est clairement de la fantasy...
C'est une erreur que je rencontre très fréquemment pour une raison que j'ignore. Pour simplifier, on pourrait dire qu'un récit fantastique se déroule dans notre monde mais certains éléments sont remis en question quant à leur véracité, par exemple la survenue du surnaturel. C'est une notion qu'on a vue au collège mais les gens confondent encore.HP se passe dans notre monde, avec une précision chirurgicale dans la majorité des localisations.
On peut débattre de la légitimité de HP dans la catégorie fantastique, mais clairement pas à ce motif là.
Oui, mais on s'est mal compris. Bien sûr que HP se passe dans notre monde, mais pour les personnages, la magie existe, il n'y a aucun doute là-dessus. En fait on peut appeler ça du "merveilleux" également.
En lisant HP on part du principe que dans cet univers, la magie existe, de même que certaines créatures comme les dragons, les centaures etc
Donc en aucun cas ce n'est du fantastique.
Je vais citer ce que j'ai lu sur wikipedia, c'est plus clair :"et le merveilleux, où les éléments surnaturels sont considérés comme normaux : le fantastique est cet entre-deux, ce moment où l'esprit hésite encore entre une explication rationnelle et irrationnelle"
Par exemple, la plupart des nouvelles de Lovecraft appartiennent au genre fantastique.
Comme j'ai dit, c'est discutable étant donné que pour l'écrasante majorité de la population, elle n'a rien de normal.
Mais non, ça n'a strictement aucun rapport
Dans le fantastique, non seulement le ou les personnages doivent douter de l'existence de ce qu'ils voient, mais le lecteur doit aussi rechercher une explication plausible.
En général, le narrateur pense qu'il a une hallucination, qu'il rêve, ou bien qu'il a été drogué...
Il n'y pas de débat à avoir (d'ailleurs il n'y a même pas de débat, je sais pas pourquoi tu en parles comme si c'était le cas chez les spécialistes ) : Harry Potter, c'est de la fantasy, si on veut être plus précis on peut dire que c'est de la "low fantasy".HP n'a jamais été vendu au grand public (par approximation sémantique ou par choix délibérer de coller la fausse étiquette) comme de la fantasy. C'est tout ce que je dis, et le débat s'articule autour de la légitimité de cette appellation de fantastique qui court sur toutes les lèvres chez nous.
Au sens puriste, ça n'en est pas. Et je suis d'accord la dessus. Au sens pratique, HP s'est vu coller l'étiquette de fantastique. Théoriquement il tient plus de l'urban fantasy dans les tomes avancés mais dans le premier, et pour lancer la promo, ça a été marketé fantastique.
C'est bien possible. J'ai pas souvenir de ça mais j'en comprends pas trop l'intérêt, étant donné que les premiers tomes de la saga s'adressent aux enfants. Pourquoi les vendre comme de la fantasy aurait été moins avantageux pour l'éditeur ? les enfants ne font aucune différence entre les deux genres.
A cette époque, juste avant les années 2000, on avait une vision très réductrice de la fantasy. Notamment impactée par les pseudo-scandales autour des jeux de rôles, de l'onde de choc Tolkien... le terme de "fantasy" était très connoté.
Les enfants ne font pas la différence entre ces deux genres, mais les parents (et les libraires) qui leur conseillent leurs lectures, si. Et si on devait ressortir HP aujourd'hui je doute qu'on le fasse passer sous la flambante étiquette de "fantasy" (même urban).
C'est con, mais c'est aussi un milieu marchand, le livre. Et même si c'est inexact, y a des textes qui sont vendus sous les mauvaises étiquettes, avec des arguments plus ou moins puissants.
Typiquement Werber qui est présenté comme un auteur de blanche alors qu'il fait clairement de la SFFF. Idem pour Lévy.
Le 04 octobre 2020 à 18:26:13 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:21:06 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:05:58 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 12:58:39 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 11:08:06 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:54:47 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:30:28 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:23:52 Llyuvennatsgaia a écrit :
AIbinaire, concernant le blog que tu as posté à la fin de ton pavé, y a quand même une erreur grossière sur la SFFF. Dans l'exemple d'un bouquin fantastique on a Harry Potter, qui est clairement de la fantasy...
C'est une erreur que je rencontre très fréquemment pour une raison que j'ignore. Pour simplifier, on pourrait dire qu'un récit fantastique se déroule dans notre monde mais certains éléments sont remis en question quant à leur véracité, par exemple la survenue du surnaturel. C'est une notion qu'on a vue au collège mais les gens confondent encore.HP se passe dans notre monde, avec une précision chirurgicale dans la majorité des localisations.
On peut débattre de la légitimité de HP dans la catégorie fantastique, mais clairement pas à ce motif là.
Oui, mais on s'est mal compris. Bien sûr que HP se passe dans notre monde, mais pour les personnages, la magie existe, il n'y a aucun doute là-dessus. En fait on peut appeler ça du "merveilleux" également.
En lisant HP on part du principe que dans cet univers, la magie existe, de même que certaines créatures comme les dragons, les centaures etc
Donc en aucun cas ce n'est du fantastique.
Je vais citer ce que j'ai lu sur wikipedia, c'est plus clair :"et le merveilleux, où les éléments surnaturels sont considérés comme normaux : le fantastique est cet entre-deux, ce moment où l'esprit hésite encore entre une explication rationnelle et irrationnelle"
Par exemple, la plupart des nouvelles de Lovecraft appartiennent au genre fantastique.
Comme j'ai dit, c'est discutable étant donné que pour l'écrasante majorité de la population, elle n'a rien de normal.
Mais non, ça n'a strictement aucun rapport
Dans le fantastique, non seulement le ou les personnages doivent douter de l'existence de ce qu'ils voient, mais le lecteur doit aussi rechercher une explication plausible.
En général, le narrateur pense qu'il a une hallucination, qu'il rêve, ou bien qu'il a été drogué...
Il n'y pas de débat à avoir (d'ailleurs il n'y a même pas de débat, je sais pas pourquoi tu en parles comme si c'était le cas chez les spécialistes ) : Harry Potter, c'est de la fantasy, si on veut être plus précis on peut dire que c'est de la "low fantasy".HP n'a jamais été vendu au grand public (par approximation sémantique ou par choix délibérer de coller la fausse étiquette) comme de la fantasy. C'est tout ce que je dis, et le débat s'articule autour de la légitimité de cette appellation de fantastique qui court sur toutes les lèvres chez nous.
Au sens puriste, ça n'en est pas. Et je suis d'accord la dessus. Au sens pratique, HP s'est vu coller l'étiquette de fantastique. Théoriquement il tient plus de l'urban fantasy dans les tomes avancés mais dans le premier, et pour lancer la promo, ça a été marketé fantastique.
C'est bien possible. J'ai pas souvenir de ça mais j'en comprends pas trop l'intérêt, étant donné que les premiers tomes de la saga s'adressent aux enfants. Pourquoi les vendre comme de la fantasy aurait été moins avantageux pour l'éditeur ? les enfants ne font aucune différence entre les deux genres.
A cette époque, juste avant les années 2000, on avait une vision très réductrice de la fantasy. Notamment impactée par les pseudo-scandales autour des jeux de rôles, de l'onde de choc Tolkien... le terme de "fantasy" était très connoté.
Les enfants ne font pas la différence entre ces deux genres, mais les parents (et les libraires) qui leur conseillent leurs lectures, si. Et si on devait ressortir HP aujourd'hui je doute qu'on le fasse passer sous la flambante étiquette de "fantasy" (même urban).
C'est con, mais c'est aussi un milieu marchand, le livre. Et même si c'est inexact, y a des textes qui sont vendus sous les mauvaises étiquettes, avec des arguments plus ou moins puissants.
Typiquement Werber qui est présenté comme un auteur de blanche alors qu'il fait clairement de la SFFF. Idem pour Lévy.
Ça explique bien des choses
Pour moi Harry Potter este effectivement du "merveilleux" dans les premiers tomes et de l'urban fantasy vers les derniers.
Pourquoi ? Pour diverse raisons. Les premiers tomes sont plus centrés sur Poudlard alors que le monde extérieur ne semble pas trop exister. C'est plus "magique" et on ne se pose pas trop de questions sur comment tout cela fonctionne. On ne parle pas trop d'aspects qui aident à situer l'histoire dans un espace et dans une temporalité spécifique à l'univers. On sait que cela se déroule dans notre monde, mais le monde des sorciers n'est pas très développé en dehors de Poudlard.
Je distingue la fantasy du merveilleux par le fait que, dans la fantasy, l'histoire est ancrée dans un monde avec certaines règles définies et plus ou moins détaillée. Des exemples évident sont Geralt de Riv ou Le Trône de Fer. On a des règles, une histoire, des langues, des cultures.
Bref, je dirais que Harry Potter commence dans un genre pour finir dans l'autre . En tout cas, c'est évident que cela n'a jamais été du fantastique.
Le 04 octobre 2020 à 22:54:41 SocialSOUPFAC a écrit :
Vous pensez quoi de l'extrait au dessus les kheys , que j'ai fait
J'en pense que : "PUTAIN UNE BONNE FOIS POUR TOUTE, L'ESPACE SE MET APRES LA VIRGULE !"
Revois aussi tes conjugaisons, c'est atroce...
Le 04 octobre 2020 à 22:59:25 OiseauOisif a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 22:54:41 SocialSOUPFAC a écrit :
Vous pensez quoi de l'extrait au dessus les kheys , que j'ai faitJ'en pense que : "PUTAIN UNE BONNE FOIS POUR TOUTE, L'ESPACE SE MET APRES LA VIRGULE !"
Revois aussi tes conjugaisons, c'est atroce...
C'est la forme , je parle du fond quoi .
Le 04 octobre 2020 à 23:01:27 SocialSOUPFAC a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 22:59:25 OiseauOisif a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 22:54:41 SocialSOUPFAC a écrit :
Vous pensez quoi de l'extrait au dessus les kheys , que j'ai faitJ'en pense que : "PUTAIN UNE BONNE FOIS POUR TOUTE, L'ESPACE SE MET APRES LA VIRGULE !"
Revois aussi tes conjugaisons, c'est atroce...C'est la forme , je parle du fond quoi .
La forme est très importante khey. Trop de fautes alourdissent et compliquent la lecture.
Ton texte fait dans le poétique, mais ce qui y est décrit est loin d'être évident. J'ai du mal à saisir ce que tu essayes de transmettre.
Pour moi il y a de l'idée, un côté poétique et beau, mais il faut vraiment le retravailler.
Vous aussi vous avez parfois du mal à juger la qualité de vos propres productions ?
En fait, sur le moment, j'ai l'impression d'en être tout à fait satisfait, mais c'était également le cas pour mes premiers chapitres qui sont finalement assez catastrophiques, les ayant relus après plusieurs années d'écriture et de lecture.
Cesse-t-on jamais de s'améliorer ? Peut-on à un moment être satisfait de sa manière d'écrire ? Ou doit-on y voir des paliers, où le but serait donc d'atteindre celui donnant les clés de la publication ? Et dans ce cas, on ne peut vraiment accepter la vision simpliste et évolutionniste d'un progrès linéaire, et la peur demeure d'écrire demain moins bien qu'hier. Je me sens toujours trop imprégné par mes lectures, j'en finis par lire les mêmes auteurs pour garder un style homogène. Suis-je donc un copiste sans fond ?
Et même à donner à lire à des bêta lecteurs, faudrait-il tenir compte de leur avis ? Si l'un dit qu'il n'y a pas assez d'action, et l'autre trop, faut-il se satisfaire du juste milieu ? Faut-il contenter la majorité ou un public spécifique ? Comment tenir compte de la sensibilité de chacun, sans entraver l'idée de qualité objective ? On ne peut pas écrire que pour soi-même.
Le 04 octobre 2020 à 18:26:13 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:21:06 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:05:58 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 12:58:39 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 11:08:06 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:54:47 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:30:28 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:23:52 Llyuvennatsgaia a écrit :
AIbinaire, concernant le blog que tu as posté à la fin de ton pavé, y a quand même une erreur grossière sur la SFFF. Dans l'exemple d'un bouquin fantastique on a Harry Potter, qui est clairement de la fantasy...
C'est une erreur que je rencontre très fréquemment pour une raison que j'ignore. Pour simplifier, on pourrait dire qu'un récit fantastique se déroule dans notre monde mais certains éléments sont remis en question quant à leur véracité, par exemple la survenue du surnaturel. C'est une notion qu'on a vue au collège mais les gens confondent encore.HP se passe dans notre monde, avec une précision chirurgicale dans la majorité des localisations.
On peut débattre de la légitimité de HP dans la catégorie fantastique, mais clairement pas à ce motif là.
Oui, mais on s'est mal compris. Bien sûr que HP se passe dans notre monde, mais pour les personnages, la magie existe, il n'y a aucun doute là-dessus. En fait on peut appeler ça du "merveilleux" également.
En lisant HP on part du principe que dans cet univers, la magie existe, de même que certaines créatures comme les dragons, les centaures etc
Donc en aucun cas ce n'est du fantastique.
Je vais citer ce que j'ai lu sur wikipedia, c'est plus clair :"et le merveilleux, où les éléments surnaturels sont considérés comme normaux : le fantastique est cet entre-deux, ce moment où l'esprit hésite encore entre une explication rationnelle et irrationnelle"
Par exemple, la plupart des nouvelles de Lovecraft appartiennent au genre fantastique.
Comme j'ai dit, c'est discutable étant donné que pour l'écrasante majorité de la population, elle n'a rien de normal.
Mais non, ça n'a strictement aucun rapport
Dans le fantastique, non seulement le ou les personnages doivent douter de l'existence de ce qu'ils voient, mais le lecteur doit aussi rechercher une explication plausible.
En général, le narrateur pense qu'il a une hallucination, qu'il rêve, ou bien qu'il a été drogué...
Il n'y pas de débat à avoir (d'ailleurs il n'y a même pas de débat, je sais pas pourquoi tu en parles comme si c'était le cas chez les spécialistes ) : Harry Potter, c'est de la fantasy, si on veut être plus précis on peut dire que c'est de la "low fantasy".HP n'a jamais été vendu au grand public (par approximation sémantique ou par choix délibérer de coller la fausse étiquette) comme de la fantasy. C'est tout ce que je dis, et le débat s'articule autour de la légitimité de cette appellation de fantastique qui court sur toutes les lèvres chez nous.
Au sens puriste, ça n'en est pas. Et je suis d'accord la dessus. Au sens pratique, HP s'est vu coller l'étiquette de fantastique. Théoriquement il tient plus de l'urban fantasy dans les tomes avancés mais dans le premier, et pour lancer la promo, ça a été marketé fantastique.
C'est bien possible. J'ai pas souvenir de ça mais j'en comprends pas trop l'intérêt, étant donné que les premiers tomes de la saga s'adressent aux enfants. Pourquoi les vendre comme de la fantasy aurait été moins avantageux pour l'éditeur ? les enfants ne font aucune différence entre les deux genres.
A cette époque, juste avant les années 2000, on avait une vision très réductrice de la fantasy. Notamment impactée par les pseudo-scandales autour des jeux de rôles, de l'onde de choc Tolkien... le terme de "fantasy" était très connoté.
Les enfants ne font pas la différence entre ces deux genres, mais les parents (et les libraires) qui leur conseillent leurs lectures, si. Et si on devait ressortir HP aujourd'hui je doute qu'on le fasse passer sous la flambante étiquette de "fantasy" (même urban).
C'est con, mais c'est aussi un milieu marchand, le livre. Et même si c'est inexact, y a des textes qui sont vendus sous les mauvaises étiquettes, avec des arguments plus ou moins puissants.
Typiquement Werber qui est présenté comme un auteur de blanche alors qu'il fait clairement de la SFFF. Idem pour Lévy.
Werber est présenté comme un auteur de blanche ?
Je l'ai jamais considéré ainsi.
Le 05 octobre 2020 à 00:21:57 Kick-Bat a écrit :
Vous aussi vous avez parfois du mal à juger la qualité de vos propres productions ?En fait, sur le moment, j'ai l'impression d'en être tout à fait satisfait, mais c'était également le cas pour mes premiers chapitres qui sont finalement assez catastrophiques, les ayant relus après plusieurs années d'écriture et de lecture.
Cesse-t-on jamais de s'améliorer ? Peut-on à un moment être satisfait de sa manière d'écrire ? Ou doit-on y voir des paliers, où le but serait donc d'atteindre celui donnant les clés de la publication ? Et dans ce cas, on ne peut vraiment accepter la vision simpliste et évolutionniste d'un progrès linéaire, et la peur demeure d'écrire demain moins bien qu'hier. Je me sens toujours trop imprégné par mes lectures, j'en finis par lire les mêmes auteurs pour garder un style homogène. Suis-je donc un copiste sans fond ?
Et même à donner à lire à des bêta lecteurs, faudrait-il tenir compte de leur avis ? Si l'un dit qu'il n'y a pas assez d'action, et l'autre trop, faut-il se satisfaire du juste milieu ? Faut-il contenter la majorité ou un public spécifique ? Comment tenir compte de la sensibilité de chacun, sans entraver l'idée de qualité objective ? On ne peut pas écrire que pour soi-même.
Je suppose que c'est une constante dans l'écriture. Sans quoi, tu serais perpétuellement dans la recherche sans pause (et sans but). On ne peut pas écrire parfaitement au premier jet, c'est faux... Et c'est tant mieux. On peut toujours progresser, ou du moins, évoluer. Enfin c'est comme ça que je vois les choses.
Le 05 octobre 2020 à 10:32:55 Albinaire a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 18:26:13 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:21:06 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 13:05:58 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 12:58:39 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 11:08:06 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:54:47 Llyuvennatsgaia a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:30:28 ink-ray a écrit :
Le 04 octobre 2020 à 10:23:52 Llyuvennatsgaia a écrit :
AIbinaire, concernant le blog que tu as posté à la fin de ton pavé, y a quand même une erreur grossière sur la SFFF. Dans l'exemple d'un bouquin fantastique on a Harry Potter, qui est clairement de la fantasy...
C'est une erreur que je rencontre très fréquemment pour une raison que j'ignore. Pour simplifier, on pourrait dire qu'un récit fantastique se déroule dans notre monde mais certains éléments sont remis en question quant à leur véracité, par exemple la survenue du surnaturel. C'est une notion qu'on a vue au collège mais les gens confondent encore.HP se passe dans notre monde, avec une précision chirurgicale dans la majorité des localisations.
On peut débattre de la légitimité de HP dans la catégorie fantastique, mais clairement pas à ce motif là.
Oui, mais on s'est mal compris. Bien sûr que HP se passe dans notre monde, mais pour les personnages, la magie existe, il n'y a aucun doute là-dessus. En fait on peut appeler ça du "merveilleux" également.
En lisant HP on part du principe que dans cet univers, la magie existe, de même que certaines créatures comme les dragons, les centaures etc
Donc en aucun cas ce n'est du fantastique.
Je vais citer ce que j'ai lu sur wikipedia, c'est plus clair :"et le merveilleux, où les éléments surnaturels sont considérés comme normaux : le fantastique est cet entre-deux, ce moment où l'esprit hésite encore entre une explication rationnelle et irrationnelle"
Par exemple, la plupart des nouvelles de Lovecraft appartiennent au genre fantastique.
Comme j'ai dit, c'est discutable étant donné que pour l'écrasante majorité de la population, elle n'a rien de normal.
Mais non, ça n'a strictement aucun rapport
Dans le fantastique, non seulement le ou les personnages doivent douter de l'existence de ce qu'ils voient, mais le lecteur doit aussi rechercher une explication plausible.
En général, le narrateur pense qu'il a une hallucination, qu'il rêve, ou bien qu'il a été drogué...
Il n'y pas de débat à avoir (d'ailleurs il n'y a même pas de débat, je sais pas pourquoi tu en parles comme si c'était le cas chez les spécialistes ) : Harry Potter, c'est de la fantasy, si on veut être plus précis on peut dire que c'est de la "low fantasy".HP n'a jamais été vendu au grand public (par approximation sémantique ou par choix délibérer de coller la fausse étiquette) comme de la fantasy. C'est tout ce que je dis, et le débat s'articule autour de la légitimité de cette appellation de fantastique qui court sur toutes les lèvres chez nous.
Au sens puriste, ça n'en est pas. Et je suis d'accord la dessus. Au sens pratique, HP s'est vu coller l'étiquette de fantastique. Théoriquement il tient plus de l'urban fantasy dans les tomes avancés mais dans le premier, et pour lancer la promo, ça a été marketé fantastique.
C'est bien possible. J'ai pas souvenir de ça mais j'en comprends pas trop l'intérêt, étant donné que les premiers tomes de la saga s'adressent aux enfants. Pourquoi les vendre comme de la fantasy aurait été moins avantageux pour l'éditeur ? les enfants ne font aucune différence entre les deux genres.
A cette époque, juste avant les années 2000, on avait une vision très réductrice de la fantasy. Notamment impactée par les pseudo-scandales autour des jeux de rôles, de l'onde de choc Tolkien... le terme de "fantasy" était très connoté.
Les enfants ne font pas la différence entre ces deux genres, mais les parents (et les libraires) qui leur conseillent leurs lectures, si. Et si on devait ressortir HP aujourd'hui je doute qu'on le fasse passer sous la flambante étiquette de "fantasy" (même urban).
C'est con, mais c'est aussi un milieu marchand, le livre. Et même si c'est inexact, y a des textes qui sont vendus sous les mauvaises étiquettes, avec des arguments plus ou moins puissants.
Typiquement Werber qui est présenté comme un auteur de blanche alors qu'il fait clairement de la SFFF. Idem pour Lévy.
Werber est présenté comme un auteur de blanche ?
Je l'ai jamais considéré ainsi.
Le 05 octobre 2020 à 00:21:57 Kick-Bat a écrit :
Vous aussi vous avez parfois du mal à juger la qualité de vos propres productions ?En fait, sur le moment, j'ai l'impression d'en être tout à fait satisfait, mais c'était également le cas pour mes premiers chapitres qui sont finalement assez catastrophiques, les ayant relus après plusieurs années d'écriture et de lecture.
Cesse-t-on jamais de s'améliorer ? Peut-on à un moment être satisfait de sa manière d'écrire ? Ou doit-on y voir des paliers, où le but serait donc d'atteindre celui donnant les clés de la publication ? Et dans ce cas, on ne peut vraiment accepter la vision simpliste et évolutionniste d'un progrès linéaire, et la peur demeure d'écrire demain moins bien qu'hier. Je me sens toujours trop imprégné par mes lectures, j'en finis par lire les mêmes auteurs pour garder un style homogène. Suis-je donc un copiste sans fond ?
Et même à donner à lire à des bêta lecteurs, faudrait-il tenir compte de leur avis ? Si l'un dit qu'il n'y a pas assez d'action, et l'autre trop, faut-il se satisfaire du juste milieu ? Faut-il contenter la majorité ou un public spécifique ? Comment tenir compte de la sensibilité de chacun, sans entraver l'idée de qualité objective ? On ne peut pas écrire que pour soi-même.
Tu peux nous laisser 15 jours pour répondre ?
De mon côté, je suis complétement perdu dans mon roman, je pense que je vais devoir retracer tout le début, c'est bien trop en désordre.
Le 05 octobre 2020 à 17:29:38 Candistanton a écrit :
Eruvande qui continue à poster sur le topic maudit
En fait, je me suis prise un bugue en voulant informer un khey que le topic avait déménagé. Du coup j'ai posté en boucle un message avec le lien, histoire d'informer les derniers kheys encore pas au courant .
J'avais jamais goûté les joies du débuggage . C'est désormais une précieuse expérience que je peux ajouter à mon CV
Le 05 octobre 2020 à 17:34:17 Eruvande a écrit :
Le 05 octobre 2020 à 17:29:38 Candistanton a écrit :
Eruvande qui continue à poster sur le topic mauditEn fait, je me suis prise un bugue en voulant informer un khey que le topic avait déménagé. Du coup j'ai posté en boucle un message avec le lien, histoire d'informer les derniers kheys encore pas au courant .
J'avais jamais goûté les joies du débuggage . C'est désormais une précieuse expérience que je peux ajouter à mon CV
Si tu veux l'ajouter dans ton cv, c'est à condition que le mot 18-25 y apparaisse pas
Données du topic
- Auteur
- --crazymarty--
- Date de création
- 2 octobre 2020 à 17:12:51
- Nb. messages archivés
- 1904
- Nb. messages JVC
- 1868