Vos anecdotes où vous deviez vous retenir de chier

Le 19 septembre 2021 à 09:18:18 :
Certifié no fake !!!!

Aout 2016, périple d'un mois dans le nord de L'Inde. Une chaleur à crever et des conditions de voyage difficiles...
Ce jour là, on prend un chauffeur pour nous conduire dans un bled pas loin de la frontière avec le Pakistan. Mon ventre était déjà fragile depuis quelques jours... La bouffe épicée et l'hygiène douteuse étaient compliqué à gérer pour mon estomac d'Occidental privilégié.
Sur une route au milieu de nule part, le drame arrive ! Des douleurs dans le bide, des bruits digne d'un ours dans sa caverne et une énorme envie de chier en spray s'annonce... Je me tord de douleur et oblige le chauffeur a se stopper. La zone était plutôt arride et j'ai du marcher un petit moment en m'eloignant de la route pour trouver un petit bosquet. Je suis en position squat entrain de me vider d'une chiasse jaune fluo quand tout à coup je vois quoi ????
Arrivant vers moi, un putain de Cobra qui serpentait joyeusement dans ma Direction. J'étais paralysé à la fois par la peur et par ce flot de merde qui sortait en spray de mon cul en feu...
Ce jour là j'ai eu une chance de cocu. Je ne sais pas si c'est à cause de l'odeur ignoble de ma chiasse, mais le Cobra à viré sur ma gauche et s'est barré sans s'occuper de moi...
Je ne me suis jamais senti aussi vulnérable de toute ma vie.

bordel de merde

J'étais invité par un pote à 3 jours de peche dans un etang privé en mode "camping".

1er Jour, à 6h30 du matin le train arrive en Gare et déjà l'envie de chier "pas eu le temps d'y aller avant", je me dis que c'est pas grave d'attendre pendant 1h30 le temps que je pose ma pêche chez lui.
J'arrive à la gare, il passe me prendre. On ne va pas chez lui, mais directement à l'étang qui est à 800m de sa maison. Une petite cabane équipée fait office de cuisine, on prends le u déjeuner. 9h00 le café clope fait son effet x 10 sur l'envie initiale.
Je lui demande pour aller aux chiottes à sa maison, il refuse et me montre les WC pour les 3 jours. Un abri avec un trou aménagé en espèce de toilettes sèches : hors de question d'utiliser ces chiottes.

Dés lors, Je me retiens, j'aurai bien l'occasion dans la journée d'accéder à des vraies chiottes.

- Midi : On pars chercher des pizzas à emporter,pas un restaurant mais un camion, faux espoir.
- Soir : Friterie à emporter.
Pas de wc à l'horizon

On pars se coucher dans la tente, j'ai mal au ventre et sa pousse des que je m'abaisse pour rentrer ou je m'assoie. Une fois allongé sa passe.

Le lendemain, 07h30 on se lève j'ai une terrible envie de ch***. Pendant qu'il rentre chez lui se laver et poser sa peche. Je me contente d'une douche solaire en guise de salle de bain et me retiens...
24h00 sans chier.

Quand il reviens je lui explique gentiment que je dois emprunter "SES chiottes", on va alors chez lui pour constater que ces parents sont partis jusque 18h00 et qu'il a oublié les clés a l'interieur.

Retour a l'etang, Je fonce pour utiliser les WC de fortune, en constatant qu'il n'y a ni PQ, ni mouchoirs, et que nous avions tout fini le sopalin. Du coup le popo attendra encore,Je n'en pouvais plus au point que j'aurais été prêt à chier en plein dans la propriété, mais faute de quoi se torcher. c'était horrible...

J'alternais entre des passages calmes, et des envies violentes suivies de douleurs, quand j'allais uriner j'étais obligé de serrer les fesses.

Midi, on mange nos sandwichs. Après la digestion mon fiak était de la taille d'une pièce de 2€ tellement le Boeing était en bout de piste , je m'aidais de la chaise pour ne pas que sa sortes en attendant que sa passe.

14h00
J'en pouvais plus. J'ai demandé à mon pote si il pouvais m'enmener dans un bar ou autre pour que je chie.Nous sommes allés au cinoche le plus prêt au moment où j'essaie d'aller aux chiottes, la femme était en train de laver donc accès impossible 🤢. On a regardé un film, pendant toute la durée j'ai pas arrêté de me bouger dans tous les sens, de lâcher des caisses abominables et de serrer les fesses.
Sortie de la salle, enfin le graal, des WC tout propre et personne dedans : J'ai du poser un barreau de chaise de 40cm sur 6 de diamètre.

Sa a bouché les chiottes et sa ne voulais pas s'évader. Je suis sorti comme si de rien n'étais.

Bref, 35 heures avec l'envie de chier.

J'étais invité par un pote à 10 jours de peche dans un etang privé en mode "camping" durant les vacances.

1er Jour, à 6h30 du matin le train arrive en Gare et déjà l'envie de chier "pas eu le temps d'y aller avant", je me dis que c'est pas grave d'attendre pendant 1h30 le temps que je pose ma pêche chez lui.
J'arrive à la gare, il passe me prendre. On ne va pas chez lui, mais directement à l'étang qui est à 800m de sa maison. Une petite cabane équipée fait office de cuisine, on prends le petit déjeuner. 9h00 le café clope fait son effet x 10 sur l'envie initiale.
Je lui demande pour aller aux chiotte, me montre les WC : Un abri avec un trou aménagé en espèce de toilettes sèches : hors de question d'utiliser ces chiottes.

Dés lors, Je me retiens, j'aurai bien l'occasion dans la journée d'accéder à des vraies chiottes.

- Midi : On pars chercher des pizzas, enfin je vais pouvoir caguer. Faux espoir, c'est un camion avec pizza a emporter.

- Soir : Friterie à emporter.

Pas de vrais wc à l'horizon, je lui demande d'emprunter ces WC, il me dis d'attendre demain.

On pars se coucher dans la tente, j'ai mal au bide et sa pousse des que je m'abaisse pour rentrer ou je m'assoie. Une fois allongé sa passe.

Le lendemain, 07h30 on se lève j'ai une terrible envie de ch***. Pendant que mon pote c'est déja levé en douce pour aller chez lui se laver et poser sa peche. Je me contente d'une douche solaire en guise de salle de bain et me retiens.
24h00 sans chier.

Quand il reviens je lui explique gentiment que je dois emprunter "SES chiottes", on va alors chez lui pour constater que ces parents sont partis jusque 18h00 et qu'il a oublié les clés a l'interieur.

Retour a l'etang, Je fonce donc pour utiliser les WC de fortune, en constatant qu'il n'y a ni PQ, ni mouchoirs, et que nous avions tout fini le sopalin. Du coup le popo attendra encore,Je n'en pouvais plus au point que j'aurais été prêt à chier en plein dans la propriété, mais faute de quoi se torcher. c'était horrible...

J'alternais entre des passages calmes, et des envies violentes suivies de douleurs, quand j'allais uriner j'étais obligé de serrer les fesses.

Midi, on mange nos sandwichs. Après la digestion mon fiak était de la taille d'une pièce de 2€ tellement le Boeing était en bout de piste , je m'aidais de la chaise pour ne pas que sa sortes en attendant que sa passe.

14h00
J'en pouvais plus. J'ai demandé à mon pote si il pouvais m'enmener dans un bar ou autre pour que je chie.Nous sommes allés au cinoche le plus prêt au moment où j'essaie d'aller aux chiottes, la femme était en train de laver donc accès impossible 🤢. On a regardé un film, pendant toute la durée j'ai pas arrêté de me bouger dans tous les sens, de lâcher des caisses abominables et de serrer les fesses.
Sortie de la salle, enfin le graal, des WC tout propre et personne dedans : J'ai du poser un barreau de chaise de 40cm sur 6 de diamètre.

Sa a bouché les chiottes et sa ne voulais pas partir , Je suis sorti comme si de rien n'étais.

Mon pote se foutais de ma gueule, mais j'étais tellement soulagé 🤤.

Il restait 8 jours, Mon pote ne voulant pas que j'emprunte ces chiottes par peur que je les bouche comme au cinéma.
J 3 Je me suis encore une fois retenu toute une journée pour aller faire popo le lendemain dans un centre commercial.
J 6 2 jours que j'ai pas chié, malgré l'envie et les maux de ventre, je pars me coucher. Demain on va faire les courses donc j'en profiterais.
Grosse erreur, je me suis littéralement chié dessus en m'abaissant pour entrer dans la tente.

Suite à cela, les 4 derniers jours j'ai utilisé les chiottes dans l'abri même si c'était pas propre et confortable.

Resultat : Des caleçons avec des belles traces de freinage, un calecon à la poubelle.

Un matin quand j'étais au lycée j'avais une grosse envie de chier dès 8h du matin. Sauf qu'à l'époque j'osais pas aller aux toilettes en dehors de chez moi.

J'arrive à bien me retenir toute la matinée puis un pote me propose d'aller manger un kebab pour midi. Rien à foutre, malgré le mal de ventre j'y vais quand même.

En revenant au lycée j'ai commencé à avoir de grosses crampes au ventre et je sentais mon anus se dilater. L'après midi a été un vrai calvaire, douleurs, gargouillements et pets silencieux pour expulser un peu de pression, le tout en suant comme un porc par peur de me chier dessus. Heureusement je terminais les cours assez tôt ce jour là.

Je vous laisse imaginer l'horreur qu'à été le trajet jusqu'à chez moi, la pression augmentant au fur et à mesure que j'approchais. Juste avant d'arriver, à bout de force, j'ai sentis un truc énorme sortir de mon cul et par je ne sais quel miracle j'ai réaspiré le truc avec une sorte de mouvement de succion.

Une fois sur les toilettes, expulsion d'une énorme merde bien solide suivit d'un bon litre de diarrhée. Le tout ne moins de 3 secondes.