Vos anecdotes où vous deviez vous retenir de chier

Le 22 juillet 2020 à 18:26:55 LocoDelLoco a écrit :
En plein examen. Horrible.

On pouvait entendre mon ventre hurler de rage. Tout le monde entendait ce démon mais ils croyaient que j'avais juste très faim.

J'ai demandé une permission pour aller aux toilettes. Juste lever le bras pour demander, j'ai cru que ça allait être le levier déclencheur d'un torrent de merde. Heureusement il n'en fut rien.

Je suis sorti de la salle l'air tranquille...

... mais dès que j'ai passé la porte

Le truc c'est que ce sont des chiottes à la turque là où j'étais.

Tout est sorti en deux secondes. J'étais content d'être libéré.

Mais j'étais inquiet, j'ai pas entendu le "flop" qui est signe que tout est bien tombé dans le trou. J'avais la crainte d'avoir chié sur mon pantalon et mes pompes.

C'était pire que ça... j'avais repeint le mur et le sol derrière moi bordel.

L'horreur, une vraie scène de crime.

J'ai carrément verrouillé le chiotte en tournant le verrou à l'aide de mon couteau suisse.

Je suis retourné à l'exam, blanc comme un linge. Y'a un pote qui m'a demandé si j'allais bien.
J'ai sorti texto "J'ai une tête à allé mal ? "

AYAAAAAAA, t'étais à l'envers dans les toilettes turques ?

Le 22 juillet 2020 à 18:26:55 LocoDelLoco a écrit :
En plein examen. Horrible.

On pouvait entendre mon ventre hurler de rage. Tout le monde entendait ce démon mais ils croyaient que j'avais juste très faim.

J'ai demandé une permission pour aller aux toilettes. Juste lever le bras pour demander, j'ai cru que ça allait être le levier déclencheur d'un torrent de merde. Heureusement il n'en fut rien.

Je suis sorti de la salle l'air tranquille...

... mais dès que j'ai passé la porte

Le truc c'est que ce sont des chiottes à la turque là où j'étais.

Tout est sorti en deux secondes. J'étais content d'être libéré.

Mais j'étais inquiet, j'ai pas entendu le "flop" qui est signe que tout est bien tombé dans le trou. J'avais la crainte d'avoir chié sur mon pantalon et mes pompes.

C'était pire que ça... j'avais repeint le mur et le sol derrière moi bordel.

L'horreur, une vraie scène de crime.

J'ai carrément verrouillé le chiotte en tournant le verrou à l'aide de mon couteau suisse.

Je suis retourné à l'exam, blanc comme un linge. Y'a un pote qui m'a demandé si j'allais bien.
J'ai sorti texto "J'ai une tête à allé mal ? "

ayaaaaaa putain maphobie pendant mes exam, mon ventre faisait des putains de gargouillements je les regarde en mode "haha j'ai grave faim"
il n'en était rien

Le 22 juillet 2020 à 18:27:33 WestCoaaast a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:21:00 Oreole54 a écrit :
Ma pire : j'avais envie de chier avant un DS lors de la prepa, et à cette époque je ne pouvais pas chier ailleurs que chez moi.
Je cherchais des toilettes publiques partout tellement c'était insoutenable et je prends des chemins wtf, en fin de compte j'en pouvais plus et il y avait un immeuble avec un petit jardin devant.
Vous avez deviné, pendant qu'il n'y avait personne j'ai laché une grosse chiasse, et je me suis essuyé trois fois avec une feuille
Inutile de dire que je sentais la merde dans le metro

je comprend pas que pouviez pas chier ailleurs que chez vous

J'ai pleins de poils au cul, ce qui fait que si c'est pas un perfect, c'est juste IMPOSSIBLE de me nettoyer proprement, j'ai déjà essayé de me torcher pendant 15mn non stop avec du papier mouillé, ça ne marche pas

Et c'était aussi pour le coté psychologique, mais j'ai réglé ce problème il y a plusieurs mois maintenant

Horrible ton sticker, putain.

Sinon, je me souviens d’une fois - la seule fois de mon existence - où j’ai vraiment cru que j’allais perdre le contrôle de mes sphincters.

C’était pendant un cours d’anglais, un mercredi matin. Sans le moindre signe annonciateur, mon ventre s’est retrouvé fendu par une douleur extrêmement intense. J’ai tout de suite saisi ce qui se passait, j’ai donc levé la main pour annoncer au professeur que je voulais m’en aller parce que je ne me sentais pas bien (je parlais déjà couramment anglais, j’étais premier de la classe, il allait pas me casser les couilles).

Une fois dans la cours, une autre épreuve m’attendait. Je ne comptais pas chier dans les chiottes du lycée, les cuvettes étaient comblées de pisse et de bouts de pains (oui, on avait des « soupeurs » dans l’école mais je n’ai su ce que c’était qu’après avoir ma scolarité). Je devais donc quitter l’établissement. Sauf que j’en avais pas les moyens : mon emploi du temps indiquait clairement que j’avais cours et les surveillants les vérifiaient systématiquement à cette heure là.

J’ai donc appelé un proche adulte pour qu’il me sorte de là. Il lui a bien fallu dix minutes pour venir. Dix minutes interminable à faire les cent pas face à la grille, à rappeler constamment la personne pour qu’elle fasse au plus vite. Au bout d’un moment, je me suis vu tout lâcher, un peu comme quand on se voit mourir quand on est sur le point de frôler la mort.

Finalement, ce proche est venu. Il m’a raccompagné en scooter. Deux minutes plus tard, je m’effondrais sur mes chiottes. Avant que le déferlement ne détonne, j’ai cru que le barrage avait cédé. Fort heureusement, il ne s’agissait que d’un tour de mon esprit. Mes sous-vêtements étaient immaculés, les toilettes étaient submergées et l’air envahi d’une puanteur qui me dégoûtait moi-même.

putain j'étais au centre équestre pour aller voir ma petite soeur faire du cheval de merde (je déteste le cheval depuis ma classe de poney au CP ou je me suis pris une branche dans la gueule bref c'est pas le sujet..)
il faisait tellement chaud bordel et l'espece d'étable etait situé en plein cagnard, il devait faire 40 facile au soleil

et comme par hasard c'est ce jour la que j'avais bouffé une crème chantilly pas fraîche au resto quelques heures avant, cette douleur sourde qui monte en moi, celle qui te fait douter, je sue comme un porc en essayant de rien laissé paraître,

j'ai l'impression d'avoir atteint une nouvelle dimension comme si j'était en plein trip, a présent mon visage est livide comme celui de Patrick Bateman dans American Psycho quand il découvre la carte de Paul Allen

ces crampes horribles qui arrivent de façon périodique et de plus en plus puissantes, à chaque fin de spasme tu te dis que la prochaine c'est fini.

Je regarde autour de moi mais on est au milieu de nulle part au centre de la france, je deviens sourd, j'ai totalement oublié les chevaux, ma petite soeur, mes parents. je sais une seule chose : je DOIS chier
MAINTENANT ou ça va être un drame, cette terre ne restera pas indemne ce cette bile toxique qui m'habite.

Le temps qui passe semble interminable, je suis maintenant trempé de sueur, j'essaye de voir un endroit ou je pourrai aller me soulager mais ya rien c'est un putain de hangar sur de la terre battue, et soudain je vois à droite à 100 mètres une petite cabane en bois et je décide de m'y rendre. Je cours, même si je ne sais pas quel est ce petit bâtiment j'y vais quand même et la je pénètre et je vois un évier je me dis "oui! c'est les chiottes hallelouiahh" mais par contre aucun verrou
PG

je suis tellement dans la douleur que je dégraphe mon jean et je me pose sur le chiotte, je lache la sauce; j'ai l'impression que mon bide est la chambre magmatique de Yellowstone, ce qui en sort me brule littéralement le trou du cul.
Je me vide en un éclair, sur 5 secondes j'ai du chier 3 litres de merde liquide en continu, mon bide se dégonfle à vu d'oeil et la
l'ODEUR qui remonte de la cuvette
je peux pas la décrire tellement elle était nauséabonde et ça reste dans l'air, toute la petite cabine sentait cette pestilence. Je décide de me rhabiller, je ressors serein, avec l'impression de flotter tellement je me sens léger et sans douleur, je rejoins ma famille devant le hangar avec le sourire

Bordel j'ai chié au centre équestre

Le 22 juillet 2020 à 18:31:30 Oreole54 a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:27:33 WestCoaaast a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:21:00 Oreole54 a écrit :
Ma pire : j'avais envie de chier avant un DS lors de la prepa, et à cette époque je ne pouvais pas chier ailleurs que chez moi.
Je cherchais des toilettes publiques partout tellement c'était insoutenable et je prends des chemins wtf, en fin de compte j'en pouvais plus et il y avait un immeuble avec un petit jardin devant.
Vous avez deviné, pendant qu'il n'y avait personne j'ai laché une grosse chiasse, et je me suis essuyé trois fois avec une feuille
Inutile de dire que je sentais la merde dans le metro

je comprend pas que pouviez pas chier ailleurs que chez vous

J'ai pleins de poils au cul, ce qui fait que si c'est pas un perfect, c'est juste IMPOSSIBLE de me nettoyer proprement, j'ai déjà essayé de me torcher pendant 15mn non stop avec du papier mouillé, ça ne marche pas

Et c'était aussi pour le coté psychologique, mais j'ai réglé ce problème il y a plusieurs mois maintenant

attend mais du coup quand t'as une coulante qui éclate ça se passe comment pour ton cul ?

Le 22 juillet 2020 à 18:31:30 Oreole54 a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:27:33 WestCoaaast a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:21:00 Oreole54 a écrit :
Ma pire : j'avais envie de chier avant un DS lors de la prepa, et à cette époque je ne pouvais pas chier ailleurs que chez moi.
Je cherchais des toilettes publiques partout tellement c'était insoutenable et je prends des chemins wtf, en fin de compte j'en pouvais plus et il y avait un immeuble avec un petit jardin devant.
Vous avez deviné, pendant qu'il n'y avait personne j'ai laché une grosse chiasse, et je me suis essuyé trois fois avec une feuille
Inutile de dire que je sentais la merde dans le metro

je comprend pas que pouviez pas chier ailleurs que chez vous

J'ai pleins de poils au cul, ce qui fait que si c'est pas un perfect, c'est juste IMPOSSIBLE de me nettoyer proprement, j'ai déjà essayé de me torcher pendant 15mn non stop avec du papier mouillé, ça ne marche pas

Et c'était aussi pour le coté psychologique, mais j'ai réglé ce problème il y a plusieurs mois maintenant

pour ce bien laver le cul quand on a des poils au cul il faut avoir le bidet chez sois

Au collège, énorme envie de chier (diarrhée) le premier cours le matin, c'était l'horreur, j'ai passé les 2h à me battre, vous savez ces instants horribles où tu te sens mal, tu sens que le truc est à deux doigts de sortir et t'es à bout de force à force de retenir

C'est la récré, sauf que les chiottes à l'époque c'était un cauchemar, en gros ils avaient refait les chiottes elles étaient grandes donc en hiver t'avais plein de mecs qui venaient là pendant la récré

Heureusement j'arrive à me mettre dans une cabine éloigné, avec le bruit qui camoufle ma chiasse, et là l'horreur je n'arrive plus à ouvrir la porte, je commence vraiment à flipper de rester enfermé comme un con je gueule AIDEZ MOI AIDEZ MOI et j'entends un groupe de weshs qui vient m'aider ouais frérot il t'arrive quoi, je commence à flipper en me disant c'est bon ils vont se foutre de ma gueule c'est mort sauf qu'ils sont compatissants mais ces cons au lieu de partir chercher de l'aide d'un pion ou autre ils commencent à fracasser la porte à coups de pieds, je me voyais déjà chez la principale à expliquer pourquoi j'ai aidé à péter une porte, et heureusement par miracle j'arrive à ouvrir la porte

Le 22 juillet 2020 à 18:34:37 WestCoaaast a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:31:30 Oreole54 a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:27:33 WestCoaaast a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:21:00 Oreole54 a écrit :
Ma pire : j'avais envie de chier avant un DS lors de la prepa, et à cette époque je ne pouvais pas chier ailleurs que chez moi.
Je cherchais des toilettes publiques partout tellement c'était insoutenable et je prends des chemins wtf, en fin de compte j'en pouvais plus et il y avait un immeuble avec un petit jardin devant.
Vous avez deviné, pendant qu'il n'y avait personne j'ai laché une grosse chiasse, et je me suis essuyé trois fois avec une feuille
Inutile de dire que je sentais la merde dans le metro

je comprend pas que pouviez pas chier ailleurs que chez vous

J'ai pleins de poils au cul, ce qui fait que si c'est pas un perfect, c'est juste IMPOSSIBLE de me nettoyer proprement, j'ai déjà essayé de me torcher pendant 15mn non stop avec du papier mouillé, ça ne marche pas

Et c'était aussi pour le coté psychologique, mais j'ai réglé ce problème il y a plusieurs mois maintenant

attend mais du coup quand t'as une coulante qui éclate ça se passe comment pour ton cul ?

Si je ne le passe pas au pommeau de douche ça sera jamais complètement propre
Ma seule solution, et je n'ai pas le choix, c'est si il y a un lavabo dans les toilettes, de mettre du savon dans mes mains, me torcher le cul avec, et faire ça plusieurs fois, puis à la fin me laver 5 fois les mains

Le 22 juillet 2020 à 18:35:02 no-life-malheur a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:31:30 Oreole54 a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:27:33 WestCoaaast a écrit :

Le 22 juillet 2020 à 18:21:00 Oreole54 a écrit :
Ma pire : j'avais envie de chier avant un DS lors de la prepa, et à cette époque je ne pouvais pas chier ailleurs que chez moi.
Je cherchais des toilettes publiques partout tellement c'était insoutenable et je prends des chemins wtf, en fin de compte j'en pouvais plus et il y avait un immeuble avec un petit jardin devant.
Vous avez deviné, pendant qu'il n'y avait personne j'ai laché une grosse chiasse, et je me suis essuyé trois fois avec une feuille
Inutile de dire que je sentais la merde dans le metro

je comprend pas que pouviez pas chier ailleurs que chez vous

J'ai pleins de poils au cul, ce qui fait que si c'est pas un perfect, c'est juste IMPOSSIBLE de me nettoyer proprement, j'ai déjà essayé de me torcher pendant 15mn non stop avec du papier mouillé, ça ne marche pas

Et c'était aussi pour le coté psychologique, mais j'ai réglé ce problème il y a plusieurs mois maintenant

pour ce bien laver le cul quand on a des poils au cul il faut avoir le bidet chez sois

On se comprends kheyou

putain mes kheys vous écrivez des pavés agréable à lire

je ne m'attendais pas à ça de vous sur un tel sujet

Mais le pire c'était l'année dernière

Le matin au boulot j'étais pas bien mal au ventre etc... l'aprem c'était de la fièvre, j'ai eu l'idée très conne de me dire d'aller au club de sport faire un sauna + spa pour me réchauffer/requinquer

Tout se passe bien, je suis malade mais c'est agréable, puis je sors et là l'horreur énorme envie de chier, mais vraiment je ne sais pas comment j'ai tenu, j'arrive à prendre le métro, je sors il y a encore 500m jusqu'à l'appart, c'est simple de la salle, au métro, puis jusqu'à chez moi je marchais à 2 à l'heure et tellement je luttais, tout les 30 secondes je devais m'arrêter tellement j'avais mal et que ça voulait me sortir, je luttais en me disant putain mais faut pas que je chie dans mon costume, je vais pas me chier dessus en pleine rue/métro

Je vous raconte pas la délivrance sur les chiottes

J’étais en 6ème, c’était une espèce de classe de mer genre on est allés 5 jours dans un genre d’internat en bretagne (10h de route en car)

On était un jeudi, je n’avais pas chié depuis mon départ et ça devait faire 3jours que j’étais parti...

Ce jour là on devait aller sur la plage et il y avait un peu de route en car, vient l’envie de chier.

Bon en tant qu’alpha je me retiens pendant toute la durée du trajet, mais sur la plage - le mec nous distribuait une madeleine et un autre truc pour le goûter - je pouvais vraiment plus me retenir

Alors à votre avis, bien sûr je vais voir le mec pour lui dire que j’ai envie de chier, logique, sauf que ça c’est à votre avis

Ce qu’il se passe dans la réalité vraie, c’est que je commence à me chier dessus (j’avais la diarrhée du siècle)

Pas de panique je ressers les fesses et je vais voir un animateur pour lui dire qu’il y a une chance qui toque au carreau, on s’éloigne et je chie sur la plage (personne me voyait vu que la plage était pas tout en longueur)

J’essaie d’essuyer ce qu’il y avait dans mon pantalon à l’aide des mouchoirs que j’avais dans mon sac, tous se sont noircis comme les lunettes de juan celestino qui s’assombrissent au soleil dans la cour de récré

Mais rien à faire, il en reste quand même beaucoup. Bon je rentre dans le car, les gens commencent à comprendre ce qu’il se trame

Tout le monde commence à se foutre de ma gueule et ma réputation fut ruinée

J’ai changé de collège en 4ème et ce fut une des principales raisons (bon je faisais aussi 45minutes allé + 45minutes retour tous les matins alors qu’il y avait une institution à 10m à pieds de chez moi)

Il y a 3 ans au taf, je devais me déplacer d'un point A à un point B à pied on va dire dans un espèce de chantier, heureusement que j'étais tout seul. Avant d'arriver une grosse envie de chier, mais je sens direct la merde, ça commence à toquer à la porte et je sais que je vais pas pouvoir tenir longtemps.

Je sers les fesses mais un moment trop tard je me relâche et je me chie dessus..
Je marche comme un canard avec le cul plein de merde vers un local désaffecté pour me changer.
C'était horrible la merde avait coulé le long de mes jambes
Je jete mon caleçon dans un coin, je pleins celui qui l'a trouvé . J'essaye de nettoyer le désastre comme je peux, je nettoie mon pantalon à l'eau mais mon cul sens encore la merde.
J'avais un gel hydroalcoolique dans mon sac, je me nettoie le trou de balle avec, ça pique sur le coup et 3 jours plus tard je choppe de gros hémorroïdes

Le 22 juillet 2020 à 18:26:55 LocoDelLoco a écrit :
En plein examen. Horrible.

On pouvait entendre mon ventre hurler de rage. Tout le monde entendait ce démon mais ils croyaient que j'avais juste très faim.

J'ai demandé une permission pour aller aux toilettes. Juste lever le bras pour demander, j'ai cru que ça allait être le levier déclencheur d'un torrent de merde. Heureusement il n'en fut rien.

Je suis sorti de la salle l'air tranquille...

... mais dès que j'ai passé la porte

Le truc c'est que ce sont des chiottes à la turque là où j'étais.

Tout est sorti en deux secondes. J'étais content d'être libéré.

Mais j'étais inquiet, j'ai pas entendu le "flop" qui est signe que tout est bien tombé dans le trou. J'avais la crainte d'avoir chié sur mon pantalon et mes pompes.

C'était pire que ça... j'avais repeint le mur et le sol derrière moi bordel.

L'horreur, une vraie scène de crime.

J'ai carrément verrouillé le chiotte en tournant le verrou à l'aide de mon couteau suisse.

Je suis retourné à l'exam, blanc comme un linge. Y'a un pote qui m'a demandé si j'allais bien.
J'ai sorti texto "J'ai une tête à allé mal ? "

jerry

Une fois au lycée, manger un truc qui est mal passé la veille, je me suis retenu pendant la pause car je me disais que je pouvais tenir et je voulais pas chier en spray alors que t'as 10 personnes à côté

Sauf que le cours d'anglais juste après l'horreur, je suis blanc, je sers des mains etc... mes potes captent et rigolent, c'est la honte mais je demande à la prof d'aller au chiotte, elle voit ma gueule et comprend

Honnêment la sensation quand ça sort c'est divin, tu sens ton estomac libéré etc... mais je vous dis pas le malaise quand tu reviens en classe et que tout le monde a compris que t'es parti lâcher les bombes, surtout quand tu croises les regards des jolies meufs de ta rangée