Vos anecdotes où vous deviez vous retenir de chier

Le 29 juillet 2020 à 15:58:37 Tardomancien4 a écrit :
C'était en brocante, on exposait avec mon père et au moment de partir une envie de chier à tomber dans les pommes.

J'ai jamais marché aussi droit jusqu'aux chiottes public ( oui ceux qui puent la merde 10km avant d'y arriver )

Arrivé aux chiottes, SURPRISE pas de verrou
Et en plus, les chiottes étaient grand et impossible de tenir la porte si tu es assis dessus

Bon ben on tente le tout pour le tout hein toute façon c'est ça ou se chier dessus. Je commence à baisser mon froc qu'un petit con ouvre la porte qui donne en plein sur la brocante avec tout le monde qui du coup, regarde dans le chiotte

Sur le coup ça m'a coupé l'envie de chier je me rhabille en vitesse et je retourne à la bagnole sauf qu'arrivé vers mon père rebelote. La taupe veut refaire un tour de toboggan

Cette fois il vient avec moi et rebelote on cherche un chiotte. J'en venait même à me dire que j'allais filer ,50 balles à un mec pour utiliser ses toilettes

Et là, délivrance on trouve des chiottes de chantier qui ne ferment pas non plus ( c'est quoi ce pays de merde ou rien ferme bordel )

Du coup mon père reste devant la porte et je rentre .... C'était des chiottes à la turc et sans lumière

Donc t'es dans le noir à moitié en train de faire des squats et j'ai chié le plus gros truc de ma vie. J'ai cru que allais devoir payé une pension tellement le truc était gros

Par contre je sais pas si c'était le fait de le retenir mais c'était limite vert et avec une odeur ... à décoller la tapisserie

Au moment de partir je vois par dessus mon épaule une meuf qui rentre dedans. Bon courage pensais-je en m'éloignant du lieu du crime

aya bien ouej

Pour autant que je me rappelle j’étais en seconde quand m’est arrivé la première de ce genre d’expérience. Un vrai traumatisme qui m’a donné la hantise de l’envie de chier pendant des années.

J’étais donc en 2nde, c’était une journée comme une autre, on entamait le premier cours de l’après-midi (j’me rappelle c’était français) lorsque je pris conscience d’une douleur sourde qui commençait à s’insinuer sournoisement dans mon bide. Mais rien d’insurmontable pour le moment d’autant que j’étais timide et peu sur de moi à l’époque donc il était hors de question que je demande à aller aux chiottes devant tout le monde. Et t’façon je détestais chier ailleurs que chez moi.

Les minutes passent. L’alerte sismique gagne en intensité et les premières secousses m’obligent à serrer le cul comme jamais auparavant. Je réalise que la situation est critique mais je suis déterminé. Je. Ne. Chierai. Pas. Au. Lycée.
Je me répète cette phrase telle un mantra tandis que des gargouillements d’outre-tombe commencent à s’échapper de mon abdomen, comme si celui-ci protestait face à mon obstination.

Encore 20min plus tard.
Je me livre à présent à un véritable bras de fer contre mes intestins. Je suis en sueur. Mes principes de Jedi sont mis à rude épreuve et ma volonté commence à fléchir, à tel point que j’étudie la possibilité de demander à sortir. Comme enhardi par mes doutes, mon ventre gronde de plus belle et j’ai l’impression de sentir une horde gilets jaunes en furie se masser en bas de la Rue Rectum pour pousser et taper contre la barricade de police que je m’efforce de garder érigée. Je serre le cul encore et une sorte de cycle infernal commence :

Phase 1 : Repoussés par ma barricade anale, les manifestants remontent un instant dans mon dédale intestinal dans un gargouillement d’enfer, me laissant une trentaine de secondes de répit.
Phase 2 : Ils reviennent à la charge, encore plus énervés qu’avant, et je dois mobiliser toute la force de mes ancêtres pour maintenir mon sphincter verrouillé, chaque charge étant plus violente que la précédente.

La coupe est pleine. Après un quart d’heure de régime infernal, je décide de mettre fin à ma souffrance quitte à sacrifier ma réputation.
Je lève la main. “Monsieur ? Je peux sortir un instant svp ?” Demande je avec autant de calme que me le permet l’émeute sanguinaire qui me déchire les boyaux.
Sympa et pas casse couilles, le prof acquiesce. Je marche jusqu’à la porte, mais aussitôt hors de la salle, je me mets à courir ou plutôt à claudiquer comme un bouffon en priant pour que le démon qui m’habitait ne s’échappe pas prématurément. Je n’ai pas complètement renié mes principes : cette chiasse ne doit pas excéder le temps d’une pisse, pour donner le change à la classe et aux 7-9/10 qui en font partie. Le pari est risqué.

Arrivé aux chiottes, ce que je redoutais arrive : l’endroit est absolument dégueu, les portes ne ferment pas, pas de lunette, pas de papier, un jour d’une quarantaine de cm sous chaque porte qui ne laisse aucun doute sur la nature de tes agissements une fois à l’intérieur, suffit de regarder le sens des pieds. Et pour couronner le tout, une bande de wsh gogols traîne devant les lavabos, et la superficie et l’acoustique des lieux ruine toutes les chances de régler cette affaire discrètement, que ce soit au niveau du son et de l’odeur, dont je devine qu’ils vont être salement mémorables.

Ça craint. Je passe devant les 3/4 mecs et entre malgré tout sans grande conviction dans une cabine. Aussitôt ces cons se mettent à pouffer de rire et à se foutre de ma gueule avec leur timbre de 3 de QI. Bordel mais ils ont que ça a foutre ? Et pourquoi ils traînent dans ces chiottes immondes ces handicapés ? Les endroits pour fumer ne manquaient pourtant pas on était dans le plus grand lycée de la région !
Maudissant la terre entière, je fais semblant de pisser, tire la chasse et me casse. Je me souviens à présent de pourquoi je refusais de chier au lycée.

• la suite au prochain épisode*
  (Je dois cuisiner pour ma kheyette)

Le 22 juillet 2020 à 17:36:12 :
En 3ème voyage à Barcelone http://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/6/1587816051-sza-removebg-preview.png
Départ 5h du matin, l'envie de chier arrive vers 9h mais sans plus http://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/6/1587816051-sza-removebg-preview.png
12h arrivé à Barcelone on mange et je commence à sentir que ça pousse bordel http://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/6/1587816051-sza-removebg-preview.png
14h On fait un tour en bateau, là ça commence à être chaud mais je tiens le coup http://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/6/1587816051-sza-removebg-preview.png
16h visite d'un musée, je commence à devenir blanc comme un cul avec de la fièvre et compagnie
16h30 je fait un malaise et reprend mes esprits quelques minutes après, on me demande ce qui va pas, j'avais honte du coup je dis que c'est la fatigue du voyage http://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/6/1587816051-sza-removebg-preview.png
19h le bus scolaire arrive chez la femme qui nous héberge un pote et moi (la classe était éparpillé dans différents foyer) quand la prof m'appelle pour descendre du bus, je me lève tellement vite que je m'éclate la tête contre le plafond du bus, la femme qui nous héberge parle parfaitement le français, je lui demande d'emprunter les toilettes http://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480329232-1469541950-risitas173.png
19h05 la délivrance, je suis enfin posé sur le trône, j'ai lâché un un tronc d'arbre et bouché les chiottes au passage, j'ai dû tirer la chasse 5-6 fois pour que ça sorte enfin http://image.noelshack.com/fichiers/2020/26/5/1593192026-crapissouchamp.png

La plus longue journée de ma vie http://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480465808-1476126484-2.png

https://youtu.be/oCEZC9w5cMc

Le 22 juillet 2020 à 17:52:36 :
Pendant l’avion en allant aux States pour la première fois, j’osais pas utiliser les toilettes de l’avion par honte d’occuper pendant 20-30 min les chiottes de 250 passagers

Du coup je me suis retenu pendant je crois 7h
Arrivé à l’aéroport, les toilettes étaient condamnées du coup j’ai du attendre qu’on parte

On est parti au restaurant le plus proche pour y bouffer mais surtout pour que j’aille chier

Je m’empresse d’y aller, il n’y a qu’une seule toilette pour tout le resto

Je « verrouille » rapidement et je go déposer ma pêche je vous jure, c’était un big bang de merde
Et là un gars ouvre la porte parce que j’avais mal fermé celle ci à cause de l’urgence et me voit nu (j’aime me deshabiller entierement quand je chie)

En revenant à la table je l’ai vu me regarder en riant avec sa copine 8/10

On pourrait croire à une fic de khey mais c’est vraiment arrivé

Ma première expérience aux States

https://youtu.be/oCEZC9w5cMc

Tout ce passe quand j'avais 22 ans, je faisais les férias de Dax avec ma bande de pote habituelle pour la 3ème année consécutive.
Ca faisait 2 jours qu'on y était et tout se passait merveilleusement bien.
Nous avions planté nos tentes dans un camping avec plein d'autres festivaliers. Le lieu était nickel mais à environ 15 minutes à pied du centre ville. Là où se déroule la fête.

Il faut savoir aussi que juste avant de partir à Dax j'avais eu une rage de dents à cause de mes dents de sagesse qui poussaient. Quand on a ce genre de problème, le dentiste prescrit des antibiotiques. J'étais donc sous antibio pendant les férias. Ce détail a son importance puisque les antibiotiques possèdent la particularité de dérégler le système digestif. En d'autres terme de choper la chiasse

La nuit tombe, on prend un apéro tranquille aux tentes, et je commence doucement à sentir un léger mal de ventre. Rien de grave je me dis. On se prépare pour aller faire la fête au centre-ville, alcool aidant mon mal de ventre passe légèrement.
On arrive au centre-ville tout après 15mn de marche et à partir de là, la situation commence à se dégrader.

Mon ventre commence à me faire de plus en plus mal et je comprends que le mal ne partira qu'une fois que j'aurais chié. L'angoisse commence à monter. Je sais pas si vous êtes déjà allé en féria mais les quelques toilettes publiques présentes lors de ces évènements sont tout simplement ravagées. D'autant plus qu'il y a un passage monstre. Si je vais dans ces toilettes mon âme sera souillée à jamais. Je fais donc une croix sur cette option.

Je réfléchis et je me dis qu'il y a une forêt à 10 minutes de marche après nos tentes. C'est d'ailleurs un endroit reconnu puisque tout le monde va chier là bas. Sauf que depuis le centre-ville le trajet dure plus de 25 minutes ...
Qu'à cela ne tienne, je dis à mes potes que je dois rentrer à la tente car j'ai oublié un truc et que je les retrouve plus tard

Et le périple commence... Je sais pas si vous avez déjà marché en ayant la chiasse mais il n'y a rien de pire. Chaque pas est une épreuve. Je marche donc seule sur une grande ligne droite en direction de la forêt. Je suis secoué par des spasmes et des sueurs froides. J'ai jamais eu une telle chiasse puisque je ne prends d'habitude jamais d'antibiotiques... J'ai vraiment l'impression que je vais me chier dessus à chaque pas. Bien sûr, je marche à contre-sens du lieu de fête donc je croise une multitude de personne qui me dévisage. Quelle honte...
Après 20 minutes de marche, je n'en peux vraiment plus, mon corps va exploser. Je me dis que je vais aller chier derrière des tentes tant pis s'en est trop. Mais non un éclair de lucidité me rattrape, je ne suis pas un animal.
Je marche encore, non sans peine sur les 500 derniers metres qui me séparent de la sainte forêt.

Je dois grimper une petite colline avant d'y pénétrer, ça y est j'y suis. Un rapide coup d'oeil. Il n'y a personne, je peux faire mon affaire tranquille. Je baisse mon caleçon et mon short je me mets accroupi et je relâche tout. Il faisait nuit, mais avec le flash de mon portable je vois un torrent de merde s'abattre dans l'herbe. Je suis soulagé, mon rythme cardiaque commence à diminuer, les sueurs froides à s'estomper. Problème en revanche, je pue la merde. Après inspection de mes habits, il s'avère que la merde a réussi à s'étaler sur mon short (blanc puisque tenu de féria oblige) et sur mon caleçon.

Je dois laver ça, d'autant plus que je n'avais pas prévu de short de rechange. Là me vient encore une idée, je décide de rentrer aux tentes puisque qu'on avait acheté une petite piscine gonflage qu'on avait un peu rempli d'eau pour déconner. Me voilà donc nu dans le noir en train de laver mon short souillé dans l'eau de la piscine gonflable licorne. Heureusement personne ne m'a vu. Après avoir inspecté mon short avec le flash de mon portable, je l'estime lavé. Pour mon caleçon, je le laisse sous la tente, pour que d'une part personne ne voit le massacre et deuxièmement camoufler l'odeur dans l'humidité de l'herbe et sous le plastique de la tente. Je remets mon short mouillé mais relativement propre et je repars faire la fête.

C'était la pire chiasse de ma vie et je m'en rappellerai toujours...

Certifié no fake !!!!

Aout 2016, périple d'un mois dans le nord de L'Inde. Une chaleur à crever et des conditions de voyage difficiles...
Ce jour là, on prend un chauffeur pour nous conduire dans un bled pas loin de la frontière avec le Pakistan. Mon ventre était déjà fragile depuis quelques jours... La bouffe épicée et l'hygiène douteuse étaient compliqué à gérer pour mon estomac d'Occidental privilégié.
Sur une route au milieu de nule part, le drame arrive ! Des douleurs dans le bide, des bruits digne d'un ours dans sa caverne et une énorme envie de chier en spray s'annonce... Je me tord de douleur et oblige le chauffeur a se stopper. La zone était plutôt arride et j'ai du marcher un petit moment en m'eloignant de la route pour trouver un petit bosquet. Je suis en position squat entrain de me vider d'une chiasse jaune fluo quand tout à coup je vois quoi ????
Arrivant vers moi, un putain de Cobra qui serpentait joyeusement dans ma Direction. J'étais paralysé à la fois par la peur et par ce flot de merde qui sortait en spray de mon cul en feu...
Ce jour là j'ai eu une chance de cocu. Je ne sais pas si c'est à cause de l'odeur ignoble de ma chiasse, mais le Cobra à viré sur ma gauche et s'est barré sans s'occuper de moi...
Je ne me suis jamais senti aussi vulnérable de toute ma vie.

J'avais mangé KFC le midi, des hot-wings, pas moyen d'aller au toilette de l'aprés midi donc quand je rentre le soir je m'empresse d'aller aux chiottes, je me rappelle que tout est sortie en 1 pet, mais ça a tellement été brutal d'un coup que j'en ai fait un malaise

Mon père m'a retrouvé inconscient couché ventre au sol, le cul à l'air, plein de merde

En cours en 3eme

J'avais cours d'espagnol on allait avoir un contrôle mais pendant l'heure juste avant, une sainte envie de chier me pris le cul

Alors je tentais de me retenir le plus possible car il restait 2h avant de pouvoir rentrer chier en paix

Impossible, l'envie de chier un étron en plusieurs parties qui se serait découper en plusieurs morceaux grâce à mon sphincter ne pouvait pas attendre

Alors pendant le contrôle d'espagnol je supplie la grognasse qui me sert de prof, de le laisser aller à l'infirmerie, étonnamment elle accepta, mais ça devait a cause de la sueur qui coulait de mon front a cette instant

2 étages a descendre pour enfin me détendre, sur le chemin je lâche quelques pet foireux non pas désavantageux,bien au contraire car cela accélére ma vitesse de course je me sentais comme dans Mario kart quand tu fais un dérapage bleu

J'arriva a l'infirmerie mais... sacrilège quelqu'un était déjà dedans

Je fis alors les 100 pas devant la porte en insultant de tout les noms la personne en consultation

Je lâchais de plus en plus de pet foireux, l'odeur devant la porte était corrosif pour les poumons non entraîné, j'entendais l'infirmière qui se mettait a tousser sévèrement de l'autre côté de la porte

La sortie était imminente !

Et la...

La meuf sort enfin a peine son cul sorti intégralement de l'infirmerie je me suis ruer a l'intérieur et j'ai hurlé sur l'infirmière "MADAME JPEU ALLER AU TOILETTE CEST UNE ALERTE MAUVE QUI TIRE SUR LE NOIR"

Elle m'indique quel porte mène au sainte chiottes avec air assez déconcerté

J'y cours, je baissa mon froc a une vitesse éclair, mon anus dilaté prêt à largué

Je chie enfin... la délivrance

Je devais avoir 14 ans quand j'ai connu la pire envie de chier de toute ma vie,enfait à ce moment là j'étais à un camps scout de 3 semaines pendant les grandes vacances.La veille on avait préparé à manger une sorte de gâteau avec une sauce citron sauf que comme un con j'avais laissé la sauce en plein soleil toute la journée là nuit je me réveille en sueur dans mon duvet (on dormait à 6 dans une tente en pleine foret),je compris immédiatement que mon anus était au bord de l'ouverture et allait deversé une énorme diarrhée

Sauf qu'à ce moment là la nuit est tombé et je ne sais plus du tout où ce trouve le papier toilette,je sort donc de la tente avec une grande difficulté balancé par des spasmes de douleur à l'estomac.Je sentais une mer de chiasse attendre à l'intérieur.Une fois sortie je cours tant bien que mal le plus loin possible,aider par un faible lumière de pleine lune,je m'acroupie et chie un océan de caca ultra liquide pas le choix : pour m'essuyer je prend mon pyjama et le frotte à mon cul sans vergogne,puis camoufle avec difficulté cette flaque puante et putride avec des feuilles d'arbres.Je profite d'un petit goufre pour y enterré mon pyjama souillé par une odeur à donner un orgasme à un scatofile.

Je finis enfin par retourner sur le chemin de la tente totalement nu,dans le noir,avec la peur de me perdre dans cette maudite forêt.Morale de l'histoire : garder toujours une ou deux feuilles de pq sur vous et faites attention à ce que vous mangez

Sur l'autoroute, grosse gastro bordel je finis par m'arrêter sur une aire de repos en PLS avec une crampe au bide, je cours aux chiottes, j'arrive... toilettes turcs eclatax, pas grave ça fera l'affaire

Je baisse mon calebut, je chie, un veritable orgasme..bordel plus de pq et un gosse essaie d'ouvrir la porte, pas grave je m'essuie avec mon calebut en le tirant des deux côtés en mode georges de la jungle

Bref du coup je me retourne et là je vois que j'ai crépis le chiotte, bordel j'en ai foutu plus sur le mur que dans le trou

Sur le même trajet, 1 heure plus tard, grosse crampe au bide mais cette fois ci, j'étais sur une nationale, je m'arrête vite fait dans un village et je decide de chier dehors entre 2 grosses bennes

Et là bon sang j'ai chié un truc Un melange entre de la purée de pois cassés, du maïs et du vomis, et j'avais mis la dose

Je sais pas ce que j'avais eu ce jour là mais bon sang je devais être bien malade

Le 19 septembre 2021 à 09:26:31 :
J'avais mangé KFC le midi, des hot-wings, pas moyen d'aller au toilette de l'aprés midi donc quand je rentre le soir je m'empresse d'aller aux chiottes, je me rappelle que tout est sortie en 1 pet, mais ça a tellement été brutal d'un coup que j'en ai fait un malaise

Mon père m'a retrouvé inconscient couché ventre au sol, le cul à l'air, plein de merde

Une fois a la sortie de l'école en primaire, je me retiens plus, je me chie dessus.

Mon pere dégoûté ramasse mon slip et vide la merde dans le lavabogrosse erreur

Je revois encore mon père a quatre pattes démontrer le siphon et la cocotte minute rempli de petites merdes