[RISITAS] Ma vie de Yes-Life, ma vie de célestin, mes conseils.
SuppriméChapitre 8 d'un Yes-Life : "J'ai quitté mon copain"
Musique d'ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=Hwty9HzSRQ0 (écoutez-là en même temps que lire, ça correspond vraiment bien à la situation).
Lana m'apprend qu'elle revient dans la semaine, on prévoit d'aller prendre un verre le vendredi soir.
La semaine passe, les cours ont bien repris malgré que l'on nous donne déjà un peu de taff.
Le vendredi soir arrive, je m'habille classique et je me mets en route, je l'a rejoint devant chez elle et là...
Son mec m'attend devant son appartement...
Je m'approche et je lui fit la bise.
Je... Quoi ? Son mec ? Ah nan ! C'était une petit blague de ma part, lui je ne l'ai jamais vu de ma vie.
On se dirige à un bar auquel on s'installe. On commence à parler, je décidé de compter mon histoire avec mon ex franco-espagnol (Cf chapitre d'un célestin : Cuck en Vacances 2016).
Je lui est compté tout, puis j'ai conceptualisé pour lui expliquer où j'en suis aujourd'hui.
- Elle m'a vraiment brisé le cœur, à cause de ça j'ai vraiment pas confiance envers les femmes.
- Et toi alors ? À ce qu'il paraît ça va pas non plus ?
- Le problème n'est pas que je l'aime plus, je l'aimerai toujours, mais parfois l'amour ne suffit pas. On a essayé de coucher ensemble la semaine dernière, mais j'ai pas réussi, je lui ai dit d’arrêter.
- Tu ne prenais pas de plaisir ?
- Si AHAHA, mais je sais pas...
On a vraiment ouvert nos cœurs, c'est comme-ci on sortait nos arguments pour mieux connaître nos situations amoureuses, comme une phase de séduction, je sais pas si vous voyez ce que je veux dire.
Et je fais tomber mon verre (il était vide, donc aucun centimes de perdu, mais bon, j'ai deux bras gauches ), le groupe de personnes à coté de moi s'en battais les co*illes, et avec mec lambda qui s'est ramené, on a commencé à se foutre de leur gu*ule en s'imaginant que des bouts de verre soit dans leur cheveux.
Bref, avec ma belle on se lève et je croise un pote, on se tcheque, on discute etc.. Sur le moment je me sens vraiment yes-life, j'ai tout, beaucoup de connaissance dans ma ville, une fille avec qui on parle de c*l, de ses expériences etc.. Vraiment je suis heureux.
Je lui informe qu'il y a une fille de ma classe en ville, on décide de l'a rejoindre, on s'est donné rendez-vous sur une place où il y avait de l'electro avec des roues lumineuses de 3 mètres de haut qui roulaient, une foule de fou !
Et là, Lana veut jouer avec moi, elle m'attrape par la main en m'emmenant dans la foule près des roues et me lance un regard "essaye de me suivre" avec un sourire qui se veut vraiment sexy. Comme dans les films les khey, sauf qu'elle passe entre les roues et moi je suis bloqué, je commence à pousser les gens pour essayer de la suivre mais je l'a perd de vue.
Je m'éloigne, elle m'appelle, on se retrouve.
Une pote de ma classe nous rejoins et on décale au bar (pendant le trajet elle m'attrapais souvent par la main comme pour ne pas me perdre).
Au bar elle s'amuse à faire des gri-griffes sur ma jambe pour (je pense) me chauffer, elle sait que j'ai pas d'expérience donc elle aimait jouer sur mon point faible, je trouvais ça tellement cliché film amoureux je vous jure !
Ma pote commence à me dire "Par contre je crois je suis en trop là aha".
On s’échangeait plein de regards coquins (pour moi) avec Lana.
Bref avec ma pote, on la raccompagne puis on rentre, pendant que je discutais sur le chemin du retour avec ma pote, je recois un message de Lana.
- On aurait dû rester que tout les deux.
À ce moment la, j'étais sur un petit nuage ! Une 7/10 qui s'est donnée du mal pour m'avoir et qui est la fille la plus ouverte d'esprit que j'ai connu.
Puis 5 minutes plus tard, elle essaye de m’appeler à deux reprises, mais je n'ai pas décroché, car j'étais avec ma pote, puis pour être franc, j'avais peur qu'elle me demande de revenir pour que je vienne chez elle. Je ne le met pas beaucoup en avant, mais j'ai confiance en moi avec les femmes, seulement, dès lors que c'est les choses sérieuses, je stress et j'essaye de retarder ce moment. Je ne sais pas pourquoi.
Arrivé chez moi, j'envoie un message à Lana pour savoir la raison de l'appel.
Puis...
- Non c'est bon, une pote était là, elle a su gérer le truc.
- Non, mais même, la prochaine fois, tu me préviens, fallait me le dire que ce genre de chose pouvait arriver.
- C'est rien vraiment ne t'inquiète pas.
Après avoir loupé l'opportunité de passer pour un héros, je pars faire un dodo.
Nous voilà samedi, je me détend tranquille, puis je reçois un message de Lana.
On convient de se voir en fin d'après midi...
Le 10 mars 2020 à 14:04:22 BarisManco a écrit :
Mais finalement t'as jamais été Célestin juste moche
Je ferai un chapitre sur mes expériences de victime au collège et au lycée. Au collège je me faisais victime parfois et au lycée j’ai eu des problèmes avec des chances...Donc je comprend certain khey.
J’ai pas compris, je suis moche ?
Je suis un 7/10 certifié par des filles, mais j’ai un visage d‘enfant, on me donne 17-18 ans alors que j’en ai bientôt 20
Par contre au collège j’étais un 5/10 et au lycée 5,5/10. Mais je raconterai tout ça après ;)
C'est carré khey
SWEET
Le 10 mars 2020 à 16:12:29 Foyeur a écrit :
SweetLe 10 mars 2020 à 17:55:21 Amuro_Khey a écrit :
SWEEEEEEEET !Le 10 mars 2020 à 23:35:43 Billy-zebi a écrit :
C'est carré kheySWEET
Chapitre 5 d'un Célestin : Mon passé de faible célestin.
Musique d'ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=6nLfSN2u5gg
'Désolé d'avance des fautes de syntaxes, d'orthographes, de vocabulaires, j'ai pas envie de me corriger ce soir.
Depuis le début de mon RISITAS, je n'ai pas mit en avant mon passé de célestin, il est donc en effet dur pour vous de voir l'évolution, donc on va voir mes années de collège et de lycée qui sont pour moi, au niveau social, un vrai cauchemar.
Collège :
Arrivé 6ème, tu ne connais personne mis à part un gars. Il connaissait d'autres gens de la classe, de ce fait j'ai décidé de suivre le mouvement. Finalement, je passerai l'année en faisant le mouton et sans bande solide.
Arrivé 5ème, je retrouves des gens que je connais, je deviens pote avec deux 3/10, après plusieurs mois, mon grand frère Yes-Life me dit de faire gaffe à mes fréquentations, il avait raison... J'ai donc arrêté de traîner avec les 3/10. Il m'arrivait de faire de la trottinette avec des gars, mais ça s’arrête là.
Durant ces deux premières années, j'allais en cours puis je rentrais chez moi, point. J'avais pas encore de problèmes de victimisation, car je m'entendais bien avec tout le monde. Physiquement, je m'habillais un peu n'importe comment, je devais être un 5/10. Mais en 4ème les choses ont commencé à se gâter.
Malgré le fais que j'avais réussi à me faire une bande assez solide, deux mecs de la classe se donnaient le mot pour s'amuser à me coucher au sol, notamment dans les vestiaires au sport. Ils étaient à mon niveau, mais je voulais pas me défendre par peur de représailles.
Je faisais genre que je me débattais puis je simulais et facilitait mon couchage au sol, comme ça mon emm*rdeur est content et me laisse tranquille.
C'était le rituel des cours de sport. Malgré ça, je faisais un peu de skate avec des gens de la classe, puis j'avais, comme je l'ai dit précédemment, quelque potes solides. Enfaîte au niveau social, c'était clairement mieux que les deux premières années, mais je me laissais me faire passer par une victime. Ah ! J'étais un élève assez bavard, je parlais avec tout le monde, me demandé pas comment, mais une 5/10 et une 6.5/10 typé voulait sortir avec moi, surement parce que j'étais toujours en train de rigoler. Je restais pourtant un 5.5/10.
Dernière année de collège, un peu près pareil que mon année de 4ème, excepté le fait que les groupes Yes-Life ce sont démarqué, malgré le fait que je m'entendais avec tout le monde, j'étais un ksos pour certain Yes-Life. Durant l'année de collège, j'avais le choix de partir dans trois pays différents, j'ai choisi l'Italie, par chance je trouve trois gars que je connais qui accepte que l'on soit dans la même chambre. Le soir à l'hôtel, il y avait des regroupement dans la chambre des Yes-Life, ça m'a marqué... Lorsque j'ai toqué pour rentrer, je me suis pris un gros stop et le gars a fermé la porte... C'est à partir de là que j'ai compris que je n'étais pas du tout populaire mais plutôt le contraire.
BILAN de mon année de collège :
Je m'entendais bien avec tout le monde, mais on se foutait souvent de moi et mon faisait passer pour un ksos.
Lycée :
L'année de seconde a été sans nul doute la plus dur, j'ai fais clairement une dépression.
1/3 de la classe se connaissait, notamment les Yes-Life, j'ai essayé de m'intégrer, mais sans réussite... Surement à cause de ma tête qui faisait 13 ans et pas 15, sans compter ma dégaine ultra lambda. Je me souviens, les 6 mois premiers mois étaient dur, j'étais tout seul à ma table devant, à la récré je faisais genre j'allais à la vie scolaire (certains ont dû se reconnaître) ou bien je prenais bien le temps de ranger mes affaires puis j'allais aux toilettes.
J'étais pas du tout à l'aise, j'avais plus de pote, je ne rigolais plus, le soir j'étais pas bien... J'ai quand même envoyé par sms à ma mère "Je veux arrêter le lycée, je suis pas bien" pendant la récréation...
Les vendredi soir et les vacances étaient une libération pour moi. La fin d'année ça s'est amélioré, je discutais un peu avec tout le monde, puis j'avais amélioré mon style vestimentaire et ma coupe de cheveux. Par contre le contraste est violant, 2 mois après cette année de m*rde, je me suis retrouvé à galocher une franco-espagnole (cf cuck en vacances 2016).
Mon année de première était mieux en terme d'ambiance, cimer la filière STMG, je me tapais des barres avec des gars, je discutais avec certaines personnes. Mais qui dit STMG, dit la présence de branleurs en joggo CHANCE.
Lors du cours de sport, ils s'amusaient à aller faire des conneries pour amuser la galerie etc... Un jour, je l'ai est vu être dans les vestiaires mais je n'ai pas fait attention. Puis, COMME PAR HASARD , mes écouteurs ont disparus. Je commence à monter en pression.
- PU*AIN, celui qui a fait ça est vraiment un co*nard, je vous jure je vais direct à la CPE.
Je n'osais pas pointer du doigt les deux mecs par peur que ça se retourne contre moi en me traitant de raciste.
À savoir que je faisais 1m81 pour 58kg, j'étais une crevette, physiquement je faisais rien.
L'un des deux vient me voir en me sortant.
- Celui qui te l'a volé savait que tu devais les ranger là.
Je fixe l'autre d'un regard noir, ça réponse :
- Le cor*n (dans le doûte je ne l'écris pas en entier), wallah c'est pas moi.
Je savais très bien que c'était eux, mais j'avais pas l'aspect physique pour les confronter, puis ils étaient 4 donc on oubli l'intimidation, ces mecs n'ont pas d'honneur.
J'essaye de faire cracher le morceau, mais rien n'y fait.
À la sortie, je retourne voir le concerné, et COMME PAR HASARD, dès que ces potes arrivent, il prend la confiance .
- C'est pas tes écouteurs ça, tu veux que je les mettent dans ton cul ?!
Je laisse couler, je rentre chez moi, j'en parle à ma mère, elle est ultra vénère.
BREF
Le lendemain on avait besoin de nos calculettes, je commence à regarder dans mon sac et là... PUTA*IN les petits fum*é, ils m'avaient également volé ma calculette à 80€. Je vois rouge.
J'en parle à ma mère, on décide d'envoyer un mail au directeur et au prof de sport, ma mère allume bien le prof d'EPS en disant que des élèves ne doivent pas avoir les clés des vestiaires etc... Ma mère a fait une main courante le lendemain.
Askip le prof de sport n'était pas bien du tout avec ce mail.
Les quatre CHANCES ont reçu des remarques auprès des profs pour vol (ma plainte , menaces, sexismes et j'en passe et devinez leur sanction ?
Seulement trois jours d'exclusions bordel. Ça aurait été moi, j'aurai pas fini mon lycée ici , mais bon, je devine l'argument qu'ils ont utilisé pour réduire leurs sanctions. F*P.
À part ce problème, je n'avais pas de bande, donc zéro soirée de faite en première, en plus de mon statut de victime.
La terminale était plus calme pour moi, les 4 CHANCES étaient séparés, donc leur pouvoir n'était pas grand. J'étais assez content de ma classe, je discutais avec tout le monde, je n'avais pas de bande, mais les Yes-Life étaient gentil. À part une petite soirée avec trois potes filles, zéro soirée de faite.
BILAN du lycée :
Durant mon lycée, à part, en général, de bonnes relations avec des gens de ma classe, je n'avais pas de bande solide, j'étais soit un mouton, soit je restais avec 2-3 potes, mais je sortais jamais. Il y a seulement quelque personnes avec qui j'ai gardé contact, les filles (cf fête de la musique 2019) et un pote qui arrivera dans le RISITAS.
Je suis conscient que ce chapitre est bâclé, mais si je ne raccourci pas, il y'aurai eu 4 chapitres, et je n'ai pas envie de me remémorer ces années où j'étais un faible, à l'heure d'aujourd'hui, un seul souhait que j'attend d'être exaucé, croiser un des QUATRE CHANCE dans un bar et qu'il vienne me parler, la suite vous l'a connaissez.
Conseil numéro 16 : Comme vous l'avez vu, j'ai passé mes années de collège et de lycée à me laisser faire. Les khey, il faut savoir vous faire respecter, c'est dès le début qu'il faut donner l'impression de guerrier, si vous attendez de vous faire marcher dessus c'est trop tard. DONC pour tout les kheys qui sont actuellement dans la même situation que j'ai été, portez vos balls et faite vous respecter, vous voulez être des lâches et des faibles toute votre vie ? Non ? Alors imposez-vous. Vous êtes maître de votre propre chance.
Le 11 mars 2020 à 20:03:34 Amuro_Khey a écrit :
Bon c'est bon, j'ai lu.C'était bon sweet, j'espère qu'aussi ça ta fait du bien d'en parler un peu.
Merci kheyou Pourtant je suis conscient que l’écriture est médiocre. Mais j'avais envie d'en parler pour montrer que même avec un passé de victime, on peut s'en sortir, j'en suis la preuve. Mais surtout j'avais toutes les qualités pour être "Yes-Life", la preuve avec la franco-espgnole alors que c'était pendant la période du lycée. Seulement au lycée je n'avais pas eu la chance d'être intégré.
Honnêtement je n'ai pas écrit avec plaisir, le gars de ces années n'existe plus.
Au prochain chapitre je vais faire un schéma sur la temporalité pour vous resituer tous les chapitres. Car c'est un peu confus quand j'y pense.
Chapitre 9 d'un Yes-Life : "Je me suis attaché à toi"
Musique d'ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=-nL_klyKvJM (écoutez-là en même temps que lire, ça correspond bien à l'ambiance.)
On convient de se voir en fin d'après midi...
OK, on passe à une étape supérieur, elle a quitté son gars, je suis un peu stressé sur le chemin. On se rejoint en ville.
Elle veut qu'on fasse les boutiques, et bien, je crois que c'est parti pour une après-midi tiquebou.
Je vis l'expérience du mec qui suit la meuf partout dans les boutiques, c'est fou n'empêche, les filles sont dans un état second dans les magasins, elles passent leur vie la dedans. Elle me propose des vêtements qui m'iraient bien. Nan, mais elle a cru qu'elle allait décidé comment j'allais m'habiller.
On aurait dit un vrai petit couple. Par contre on aborde pas du tout le sujet de son mec. In fact, c'est son problème, pas le mien.
On décide d'aller chez elle, on discute de tout et de rien, elle m'informe qu'elle a une soirée à l'extérieur de la ville où il y'a de tout age, c'était un peu familiale - ami proche vous voyez.
Elle met sa tenu de soirée et bordel...
C'est une tenue très femme ! Elle faisait vachement mature dedans, j'avais l'impression que l'on n'appartenait pas au même milieu social. (Amuro_Khey )
On discute, puis on commence à se chamailler.
À un moment on se retrouve en position missionnaire... Je me relève direct, j'avais peur que ce soit gênant. En revanche, elle avait un big smile et elle rigolait.
Et là, un invité surprise :
Bordel, encore cette érection imprévu... Même si j'en ai pas une grosse, la bosse est visible à travers mon jean bordel.
Je commence à essayer de la coincer dans le caleçon, mais Lana revient à la charge.
Je me retrouve à me battre avec un bras qui essaye de maîtriser Lana et l'autre qui cache la bosse. En une fraction de seconde je réussi l'impossible, je n'ai sais plus comment j'ai réussi, mais la technique du coinçage dans le caleçon a été un succès.
On se calme.
Puis mon frère yes-life m'appelle :
- Ouai Tommy tu es où ? Je suis sur *ma ville ce soir, tu rentres quand à la maison ?
- Je n'entend personne pourtant.
- Ah oui aha aha, nan mais je suis chez un pote.
- T'inquiète j'ai compris, bon tu es là dans combien de temps ?
Super, je suis sûr que mon retour à la maison va être accompagné par des regards de la part de mes parents :
Il faut savoir que j'aime pas parler de ma situation amoureuse à mes parents, je préfère l'a garder pour moi.
Je fît la bise à Lana et je rentre chez moi.
Regard de mon frère dès que j'ai franchi la porte :
Il est 00:30, je dors, puis mon tel sonne, c'est Lana.
Blablblabla je passe à la partie intéressante.
- Tu passes la soirée avec moi au téléphone aha ? Je m'ennuie un peu à la soirée.
- Allez je raccroche, bonne nuiiiiit.
- Tommyyy...
Je raccroche.
Je reçois par message en succession :
- Tu m'as raccroché au nez !
Elle veut vraiment me faire chi*r là ?
- Allez j'arrête, je pensais pas, mais en faite, je me suis vraiment attaché à toi. Dors bien Tommy.
.../ suite
La journée du dimanche passe et Lana veut que je l'a rejoigne en ville le soir, elle sera avec trois potes.
Sortir un dimanche soir alors que le lendemain j'ai 7 heures de cours ?
Oh et puis m*rde, j'y vais.
Elle me dit qu'ils sont à macdo.
Alors, à savoir que je déteste me mettre au milieu de toute une salle pour trouver quelqu'un, ça fait c*n je trouve, je sais pas pourquoi.
De ce fait, je trace au WC en premier, allez savoir pourquoi.
Je les trouvent.
- ... (Jean, Cf soirée de la boîte)
Les trois autres me mettent un mini vent, genre en mode "Pourquoi tu t'incrustes ?".
Je prend une chaise, je les écoutes deux minutes.
Puis je me barre du macdo.
Je sais pas vous les khey, mais je trouve ça insupportable les gens qui n'essayent pas de vous inclurent dans la conversation.
Personnellement à chaque fois qu'une personne n'est pas à l'aise où ne parle pas, j'essaye de la détendre et de l'a faire participer à la conversation, c'est une question de respect pour moi.
Je me pose dehors, je téléphone à un pote histoire de rigoler un peu, je joue avec mon tel... Je reste bien 15 minutes dehors, j'ai même croisé des gens de ma classe.
Je décidé de me mettre en chemin pour rentrer chez moi.
Lana me téléphone.
- Tu es où ? On t'attend depuis toute à l'heure.
- Je suis en route vers chez moi.
- QUOI ?! Mais tu es sérieux ? Et tu préviens pas ?
- Nan, mais j'ai des cours à classer (petit mytho pour rattraper le coup).
- Nan, mais même, tu reviens !
- Tes potes disent pas bonjour et on me parle pas, c'est bon.
- Tu boudes pour ça ? Tu es resté que 2 minutes !
Au même moment, un sdf vient me parler.
- Tu parles à qui là ? Tommy ?
- Ouai je sais pas, je suis presque chez moi.
- On va au bar machin, arrête de bouder et viens.
Je suis le premier arrivé, je me prend une bière et je m'assoie. Lana et les autres arrivent.
On s'installe et on parle de tout et de rien.
Puis...
- Oui, je l'ai appelé au téléphone pour lui dire que je voulais plus être avec lui.
- Aaah, c'est lâche par téléphone.
Moi j'étais toujours sur mon téléphone, elle me tapote la cuisse, on est en face to face l'un à coté de l'autre.
- Quitte ton téléphone, c'est mieux de se parler en se regardant dans les yeux nan ?
On est resté une petite heure, la pote de Lana l'a raccompagne, elles rentrent en voiture.
Moi je fais un peu de chemin avec Jean à pied, il me parle qu'il s'est fait cuck dans le passé en gros, il me dit que maintenant il s'en fout des femmes, puis il sort un truc qui m'a fait sourire.
- Tu vois même avec Lana, si je vois qu'il y a moyen, bha j'y vais sans me prendre la tête.
Intérieurement c'était : PwAHAHA, nan mais frère, je crois que tu n'es pas au courant de ce qu'il y a entre nous. Tu es out of game, désolé pour toi.
On arrive à la rue où on se sépare, on se tchèque et je rentre chez moi.
Je vous met les chapitres en fonction de la temporalité sur les années de mon évolution :
Chapitre 5 d'un Célestin se déroule entre 2011 et juin 2018
Chapitre 3 d'un Célestin se déroule aux vacances d'été 2016
Chapitre 1 d'un Yes-Life se déroule à la rentrée 2018
Chapitre 1 d'un Célestin se déroule le 31 décembre 2018
Chapitre 2 d'un Célestin se déroule en 2019
Chapitre 4 d'un Célestin se déroule en avril 2019
Chapitre 2 et 3 d'un Yes-Life se déroule à la fête de la musique 2019
Chapitre 4, 5 et 6 d'un Yes-Life se déroule en été 2019
Chapitre 7, 8 et 9 d'un Yes-Life se déroule en septembre 2019
Le 11 mars 2020 à 21:28:19 JonnyRonnyBobby a écrit :
Toujours aussi bon khey ! C'est un plaisir de te lire et en plus de ça tes chapitres sont généreux. Vraiment que du positif. Tu m'aides un peu à oublier ma vie un peu merdique en ce moment donc mercisweet putain
Merci kheyou
Par contre ta vie n’est pas merdique, elle est juste différente des autres.
Il y’a une citation du joker qui m’a marqué (celui de 2008).
Il dit que tout le monde se moque de lui car il est différent, alors que lui, il se moque des autres car ils sont tous les mêmes.
Je sais pas pourquoi j’avais envie de la sortir cette citation
Elle est très vrai.
Données du topic
- Auteur
- sifpenosez2019
- Date de création
- 2 janvier 2020 à 18:14:36
- Date de suppression
- 28 mai 2021 à 17:05:07
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