Topic du Glauque
Ce qui a suivi c'est que tout le monde vivait dans la peur parce que les terroristes avait pris le contrôle du pays. Il butait n'importe qui pour un oui ou pour un non, parfois allaient dans des villages paumés et buter tout le monde en pleine nuit..
Quand j’étais enfant on se baladait dans un bois perdu, mon père a trouvé un sac a main de femme avec des photos et des papiers d’identité.
Il a informé les gendarmes
Moi je trouve ça glauque
LE pire pour moi :
oici un extrait d'un vrai enregistrement audio détenu par le FBI :
- *Ce n'est qu'une partie de l'enregistrement de ces deux «hommes» enregistrés dans la fourgonnette avec Shirley Lynette Ledford (il ne comprend pas les longues périodes où on entend seulement les cris déchirants de la victime, les pleurs, les souffrances et les lamentations)*
Bittaker: (Frappant Shirley) Dis quelque chose, hein? Huh?
Ledford: Que veux-tu que je dise?
Bittaker: Hein, hein? Dis quelque chose, fille! Tu ne me frappes pas? Huh huh?
Bittaker: Dis quelque chose Huh?
Ledford: Aïe! (Shirley commence à crier)
Bittaker: Dis quelque chose! Vas y! Tu peux crier plus fort que ça, n'est-ce pas? Huh? Quel est le problème ?T'aime pas crier? (Des claquements peuvent être entendus).
Ledford: (crie) Oh non!
Bittaker: Quelle est le soucis, hein? Tu veux ré-essayer ?
Ledford: (crie) Oh non! Ne me touche pas! Non!
Bittaker: Hein? Tu veux essayer encore?
Ledford: Non, ne me touchez pas! Non ne me touche pas. Non! Non! Non! Non! Non!
Bittaker: Tu veux réessayer?
Ledford: Non, non, non, non, non, non, non!
ça c'est juste la mini-intro de l'enregistrement
À ce stade, Shirley commence à pleurer abondamment. Elle supplie Bittaker d'arrêter de la frapper, en répétant: «Non, ne me touchez pas! Compte tenu de ce que dit Bittaker, il est probable que Shirley se pelotonne et se détourne de lui alors qu'elle pleure.
Bittaker: Retourne-toi
Ledford: Non, ne me touchez pas!
Bittaker: Reviens!
Ledford: (suppliant ) Ne me touche pas.
Bittaker: (Frappant Shirley) Commence à te mettre au travail
Ledford: Ne me touche pas!
Bittaker: Commence à te mettre au travail
Ledford: (Pleurant) Ne me touche pas! Ne me touche pas!
Bittaker: Mets-toi au travail,
Ledford: Ne me touche pas.
Bittaker: Reviens. Je ne te le demande pas; Je te dis!
Bittaker: Reviens!
Ledford: (Des pleurs peuvent être entendus).
Bittaker: Allez, allez, allez!
Bittaker: Qu'est-ce que tu fais ? Qu'est-ce que tu fais?
Ledford: Hein?
Bittaker: Qu'est-ce que tu fais?
Ledford: Je ne fais rien. J'essaye de faire ce que tu voulais que je fasse.
Bittaker: Qu'est-ce que je voulais que tu fasses?
Ledford: Sucer
Bittaker: Sucer quoi?
Ledford: Ceci.
Bittaker: Qu'est-ce que c'est?
Ledford: Votre bite.
Bittaker: Oui? Dis-le.
Ledford: Votre bite.
Bittaker: Tu suces ma bite?
Ledford: C'est ce que tu voulais que je fasse?
Bittaker: C'est ce que tu fais?
Ledford: Oui, j'étais.
Bittaker: Dites-moi.
Ledford: Oui.
Bittaker: Dis-moi ce que tu fais?
Ledford: Je suis en train de sucer ta bite.
Bittaker: Voulez-vous le faire?
Ledford: Vous voulez que je le fasse?
Bittaker: Tu veux me sucer ma bite bébé? Hein, hein? Réponds! (Des claquements peuvent être entendus).
Ledford: Oui.
Bittaker: Dis-moi
Ledford: Oui.
Bittaker: supplie-moi
Ledford: Oui.
Bittaker: qu'est ce que tu veux ?
Ledford: Je veux sucer votre bite.
Bittaker: Vous ne semblez pas vraiment vouloir (Claquement des sons)
Ledford: Oui.
Bittaker: (Rire) suce alors! Allez, commence à le sucer. Peu importe ce que tu veut faire, presse fort, et si ça fait mal, crie
Ledford: Oh non! (Crie)
Bittaker: Cri, bébé! Vas-y et crie! Cri, bébé!
À ce moment-là, après que Bittaker ait forcé Shirley à le sucer, des sons répétés de coups administrés, entrecoupés de cris perçants, peuvent être entendus alors que Bittaker bat sauvagement Shirley aux seins et, dans une moindre mesure, de la tête. Bittaker a ensuite extrait ses pinces de la boîte à outils.
Shirley émet alors plusieurs cris aigus et prolongés et des cris d'agonie alors que Bittaker serre alternativement et tord ses lèvres, son clitoris, ses tétons et ses seins avec la pince.
Bittaker remet ensuite la pince dans la boîte à outils. Des sons de coups peuvent également être entendus tout du long, ce qui semble avoir été fait au moment où Shirley est entrée en contact avec les murs et le contenu intérieur de la camionnette alors qu'elle se tordait et se débattait.
Norris frappe Shirley au coude.
Ledford: Tu l'as cassé!
Norris: Je l'ai à peine frappé.
Ledford: (suppliant et sanglotant) Ne me frappe plus!
Norris: Oh ouais?
Norris peut être entendu en soulevant la masse du plancher de la fourgonnette
Ledford: (Hurlant) Non! Non! Non! Non! Non! (Des sons qui sonnent peuvent être entendus, entrecoupés de cris aigus répétés)
Ledford: Non! Non! Non! Non! Non! (Scream) Oh non! Non! Non! Non!
Shirley est frappée 25 fois de suite sur le coude gauche par Norris, qui se fracture à plusieurs reprises. Chaque fois que le marteau l'atteint, un cri perçant peut être entendu. À un moment donné, elle a peut-être essayé de dire quelque chose, mais sa voix était devenue une masse de douleur inintelligible.
Le 13 janvier 2020 à 02:47:29 KroKma a écrit :
LE pire pour moi :oici un extrait d'un vrai enregistrement audio détenu par le FBI :
- *Ce n'est qu'une partie de l'enregistrement de ces deux «hommes» enregistrés dans la fourgonnette avec Shirley Lynette Ledford (il ne comprend pas les longues périodes où on entend seulement les cris déchirants de la victime, les pleurs, les souffrances et les lamentations)*
Bittaker: (Frappant Shirley) Dis quelque chose, hein? Huh?
Ledford: Que veux-tu que je dise?
Bittaker: Hein, hein? Dis quelque chose, fille! Tu ne me frappes pas? Huh huh?
Bittaker: Dis quelque chose Huh?
Ledford: Aïe! (Shirley commence à crier)
Bittaker: Dis quelque chose! Vas y! Tu peux crier plus fort que ça, n'est-ce pas? Huh? Quel est le problème ?T'aime pas crier? (Des claquements peuvent être entendus).
Ledford: (crie) Oh non!
Bittaker: Quelle est le soucis, hein? Tu veux ré-essayer ?
Ledford: (crie) Oh non! Ne me touche pas! Non!
Bittaker: Hein? Tu veux essayer encore?
Ledford: Non, ne me touchez pas! Non ne me touche pas. Non! Non! Non! Non! Non!
Bittaker: Tu veux réessayer?
Ledford: Non, non, non, non, non, non, non!
ça c'est juste la mini-intro de l'enregistrement
À ce stade, Shirley commence à pleurer abondamment. Elle supplie Bittaker d'arrêter de la frapper, en répétant: «Non, ne me touchez pas! Compte tenu de ce que dit Bittaker, il est probable que Shirley se pelotonne et se détourne de lui alors qu'elle pleure.
Bittaker: Retourne-toi
Ledford: Non, ne me touchez pas!
Bittaker: Reviens!
Ledford: (suppliant ) Ne me touche pas.
Bittaker: (Frappant Shirley) Commence à te mettre au travail
Ledford: Ne me touche pas!
Bittaker: Commence à te mettre au travail
Ledford: (Pleurant) Ne me touche pas! Ne me touche pas!
Bittaker: Mets-toi au travail,
Ledford: Ne me touche pas.
Bittaker: Reviens. Je ne te le demande pas; Je te dis!
Bittaker: Reviens!
Ledford: (Des pleurs peuvent être entendus).
Bittaker: Allez, allez, allez!
Bittaker: Qu'est-ce que tu fais ? Qu'est-ce que tu fais?
Ledford: Hein?
Bittaker: Qu'est-ce que tu fais?
Ledford: Je ne fais rien. J'essaye de faire ce que tu voulais que je fasse.
Bittaker: Qu'est-ce que je voulais que tu fasses?
Ledford: Sucer
Bittaker: Sucer quoi?
Ledford: Ceci.
Bittaker: Qu'est-ce que c'est?
Ledford: Votre bite.
Bittaker: Oui? Dis-le.
Ledford: Votre bite.
Bittaker: Tu suces ma bite?
Ledford: C'est ce que tu voulais que je fasse?
Bittaker: C'est ce que tu fais?
Ledford: Oui, j'étais.
Bittaker: Dites-moi.
Ledford: Oui.
Bittaker: Dis-moi ce que tu fais?
Ledford: Je suis en train de sucer ta bite.
Bittaker: Voulez-vous le faire?
Ledford: Vous voulez que je le fasse?
Bittaker: Tu veux me sucer ma bite bébé? Hein, hein? Réponds! (Des claquements peuvent être entendus).
Ledford: Oui.
Bittaker: Dis-moi
Ledford: Oui.
Bittaker: supplie-moi
Ledford: Oui.
Bittaker: qu'est ce que tu veux ?
Ledford: Je veux sucer votre bite.
Bittaker: Vous ne semblez pas vraiment vouloir (Claquement des sons)
Ledford: Oui.
Bittaker: (Rire) suce alors! Allez, commence à le sucer. Peu importe ce que tu veut faire, presse fort, et si ça fait mal, crie
Ledford: Oh non! (Crie)
Bittaker: Cri, bébé! Vas-y et crie! Cri, bébé!À ce moment-là, après que Bittaker ait forcé Shirley à le sucer, des sons répétés de coups administrés, entrecoupés de cris perçants, peuvent être entendus alors que Bittaker bat sauvagement Shirley aux seins et, dans une moindre mesure, de la tête. Bittaker a ensuite extrait ses pinces de la boîte à outils.
Shirley émet alors plusieurs cris aigus et prolongés et des cris d'agonie alors que Bittaker serre alternativement et tord ses lèvres, son clitoris, ses tétons et ses seins avec la pince.
Bittaker remet ensuite la pince dans la boîte à outils. Des sons de coups peuvent également être entendus tout du long, ce qui semble avoir été fait au moment où Shirley est entrée en contact avec les murs et le contenu intérieur de la camionnette alors qu'elle se tordait et se débattait.
Norris frappe Shirley au coude.
Ledford: Tu l'as cassé!
Norris: Je l'ai à peine frappé.
Ledford: (suppliant et sanglotant) Ne me frappe plus!
Norris: Oh ouais?
Norris peut être entendu en soulevant la masse du plancher de la fourgonnette
Ledford: (Hurlant) Non! Non! Non! Non! Non! (Des sons qui sonnent peuvent être entendus, entrecoupés de cris aigus répétés)
Ledford: Non! Non! Non! Non! Non! (Scream) Oh non! Non! Non! Non!Shirley est frappée 25 fois de suite sur le coude gauche par Norris, qui se fracture à plusieurs reprises. Chaque fois que le marteau l'atteint, un cri perçant peut être entendu. À un moment donné, elle a peut-être essayé de dire quelque chose, mais sa voix était devenue une masse de douleur inintelligible.
je l'avais noté page 5 ou 6
Le 13 janvier 2020 à 04:10:13 ElFamosoAneryl a écrit :
Ça existé vokale je sait paz lirent
Ni écrire
J'ai vu ca foi jaune merci beaucoup
j'ai beaucoup de nouveaux trucs avec images et vidéos a l'appui, je vais tenter de vous poster ca
TINDEATH
L'invraisemblable histoire de Gable Tostee, désormais surnommée le Meurtre de Tinder, est rythmée par des rebondissements qui sont tous liés aux réseaux sociaux, d'hier et d'aujourd'hui. Une épopée qui a donné lieu à un des procès les plus « web » de la décennie.
« Détends-toi et prends verre » disait Gable à la jeune femme qu’il avait rencontrée ce soir-là sur Tinder. Ils sont tous deux dans son appartement, dans le quartier connu sous le nom cliché de Surfer Paradise. Kanye West et James Blunt rythment la playlist que l’Australien d’une trentaine d’années a lancé : ils viennent de faire l’amour et sa partenaire d’une nuit a commencé à le frapper.
Elle s’appelle Warriena Wright, elle est Néo-zélandaise et passe de paisibles vacances en Australie. Ils se rencontrent sur Tinder, le réseau social de rencontre bien connu. Avant d’aller chez Gable Tostee, Warriena envoie un message Facebook à sa soeur dans lequel elle lui dit avoir rencontré le Sam Winchester australien : elle semble ravie d’avoir matché Gable qu’elle compare à un acteur de la série américaine Supernatural.
Warriena Wright et Gable Tostee
Ils vont se rencontrer, passer quelques minutes dans un pub, avant de partir acheter un pack de bières, commençant gentiment une nuit qui conduira le jeune homme devant le tribunal, après que Warriena ait été retrouvée morte.
La jeune femme est tombée du quatorzième étage, en chutant du balcon de Gable Tostee.
Cela faisait plus d’une semaine qu’ils avaient matché sur Tinder quand ils se voient pour la première et dernière fois, le 7 août 2014, donnant lieu à un des procès les plus étrangement connecté de la décennie. De Tinder à Instagram en passant par des forums, toutes les étapes de l’histoire se sont fait écho du web.
MATCH SORDIDE
De l’étrange nuit du 7 août, il reste deux selfies du couple d’un soir, un enregistrement de leur discussion lorsque la rencontre dérape — 199 minutes d’enregistrement audio sur un Sony Xperia — et une photo effroyable pendant la chute de la jeune femme.
Il est difficile d’établir comment et pourquoi, mais le jeune homme savait que la rencontre allait mal finir. Il enregistre alors toute leur discussion : il expliquera que c’est une de ses habitudes avec ses rencontres Tinder. Un fichier qui sera retrouvé et présenté au jury dans son intégralité, mettant en avant un échange étrange, qui commence par des discussions sur la culture et la nourriture, avant de finir par le bruit, indescriptible, du corps qui heurte le sol.
Après avoir fait l’amour, leur discussion finit par déraper : apparemment saoule, Warriena frappe Gable à plusieurs reprises. Il devient menaçant, lui demande de partir. Puis il dérape, après qu’elle l’ait à nouveau frappé : il la met à terre et, selon le procureur, l’étrangle. Elle lui demande de la laisser partir. Ce à quoi cet homme ivre réplique : « J’aurais pu mais tu as été une méchante fille. » Il la pousse alors sur son balcon et ferme la porte à clef. Elle tente alors, en escaladant, de quitter le balcon, entraînant ainsi la chute qui lui sera fatale.
L’enregistrement montre une dispute insensée, visiblement entre deux personnes saoules : elle semble le frapper sans raison, il prend son téléphone et l’échange entre les deux passe des rires aux cris, sans logique apparente. En somme, si le fait divers semble plutôt classique, il est étonnant de voir comment, l’histoire à chaque instant est devenue un motif des réseaux sociaux. De la nuit de la mort de Wright, on en retient un drame manifeste d’un monde connecté, de Tinder, aux selfies comme pièces à conviction, jusqu’à l’enregistrement audio.
En fin de compte, le jury ne rendra pas Gable Tostee coupable de la mort de Warriena Wright. Disqualifiant ainsi le nom du procès Tinder Murder qui lui fut donné par la presse anglo-saxonne : l’incident est dramatique mais Tostee n’est vraisemblablement pas coupable d’un meurtre.
Néanmoins quelques heures avant le procès, le jugement donné a failli être invalidé.
ENREGISTREMENT DES 199 minutes de conversation provenant du téléphone de Gable ou l'on peut même entendra la chute de la pauvre fille sur le sol :
https://www.youtube.com/watch?v=ivdbsvjuW2Q&t=5081s
La vidéo youtube de trop
Ils voulaient faire le buzz et devenir célèbres, mais leur rêve est parti en fumée. Une jeune Youtubeuse de 19 ans a tué son petit ami «par accident» en réalisant une vidéo.
Monalisa Perez et Pedro Ruiz étaient un couple de Youtubeurs, vivant dans le Minnesota, aux Etats-Unis. En mars dernier, ils ont lancé leur chaîne Youtube, appelée La MonaLisa, sur laquelle ils publiaient des vidéos de leur vie au quotidien, des jeux, ou des challenges. Ce jeune couple, qui s'apprêtait à avoir un enfant, vivait sa vie tranquillement, en rêvant de gloire et de buzz sur les réseaux sociaux. Alors que leur chaîne comptait plus de 9.000 abonnés, ils en voulaient encore plus, et le couple a réfléchi à une vidéo qui pouvait les rendre vraiment célèbres. Malheureusement, cette dernière vidéo a viré au drame.
Ils voulaient lancer un nouveau challenge
Qu'est-ce qui a le plus fait le buzz sur Youtube et les réseaux sociaux ces derniers temps ? Les challenges ! À la manière du Mannequin Challenge, de l'Icebucket Challenge, ou du Kylie Jenner Challenge, ils espéraient bien faire le buzz, même si leur idée se montrait dangereuse. Ils ont imaginé une scène où Monalisa Perez devait tirer sur son compagnon au niveau de la poitrine. Sauf que, son compagnon n'a pas opté pour un gilet par balles pour se protéger. Ce dernier a plutôt choisi un livre, pensant qu'il arrêterait la balle.La jeune femme s'est exécutée, mais la balle a traversé le livre et s'est logée dans la poitrine de Pedro Ruiz. Malgré l'intervention rapide des secours, ils n'ont pas pu réanimer le jeune homme.
Le drame aurait certainement pu être évité. En effet, la jeune femme avait conscience que cette vidéo était particulièrement dangereuse, comme le démontre son dernier tweet : «Moi et Pedro sommes en train de filmer la plus dangereuse des vidéos. C'est son idée, pas la mienne». La tante de Pedro était également au courant de ce tournage : «Il m'a parlé de cette idée et j'ai dit : "Ne le fais pas. Ne le fais pas. Pourquoi vas-tu utiliser un pistolet ? Pourquoi ?". Ils s'aimaient. C'était juste une farce qui a mal tourné».
Mais la youtubeuse a tout de même accepté de faire cette vidéo, et a donc tué son petit ami de 22 ans, alors qu'elle était enceinte de son deuxième enfant. Poursuivie pour homicide involontaire, elle laisse derrière elle sa petite fille de trois ans.
Le pavillon de l'horreur :'
Ce lundi 21 octobre, Karine n’aurait pas dû travailler. En ce début de vacances scolaires, elle a prévu de passer la journée avec les siens. Mais son remplaçant a un imprévu. Alors, elle assure la tournée. Une décision qui lui sera fatale. Vers 8 heures, l’infirmière est retrouvée, agonisante, le long d’une route, en bordure d’un bois, à Pannes, près de Montargis. Les mains attachées avec un câble téléphonique, ses feuilles de soins répandues sur le sol. Elle a été poignardée au moins dix-huit fois, au niveau du cou, du thorax et du visage. Elle meurt avant l’arrivée des secours des suites de ses blessures, comme le confirmera l’autopsie pratiquée à l’institut médico-légal de Tours. Les gendarmes apprennent dans la foulée que Jacques Samson, son patient, qui vit à 2 kilomètres de l’endroit où elle a été retrouvée, a disparu. La veille, il a dîné comme tous les soirs chez sa voisine. A 20 h 30, avant de partir, il a dit à Mme Saillant : « Je me mets en pyjama et je vais faire dodo. Si tu as besoin d’aide, tu m’appelles. A demain ! »
Ce matin, ses proches s’inquiètent. D’une voix tremblante, Jeanine raconte : « Je pensais qu’il s’était perdu, alors je suis allée chez lui. Tout était chamboulé. Les tiroirs étaient ouverts, il y avait du bazar partout. J’ai crié : “Coco ! Coco ! Tu es où ?” J’ai fait toutes les pièces, même la cave. La seule chose que j’ai trouvée, c’est un chouchou, bleu, je crois. J’ai contacté l’hôpital, pas de Coco. Alors j’ai appelé les gendarmes. Ils sont arrivés et ont fouillé pendant trente minutes. J’attendais dehors avec ma fille, Paola, et l’aide ménagère qui a donné l’alerte. Ils sont ressortis pour nous dire : “C’est fini, vous ne rentrez plus.” » Jacques était dans sa chambre, caché sous des couvertures et couché au pied de son lit, à la perpendiculaire.
Battu à mort, le visage couvert d’hématomes, le retraité a reçu des multiples coups de poing à la tête. Détail macabre, ses mains ont été coupées. Deux semaines plus tard, elles restaient introuvables. Certains arguent que, en se débattant, Jacques aurait recueilli l’ADN de son (ou de ses) agresseur(s) sur ses doigts, raison pour laquelle il aurait été amputé. Que s’est-il passé ce matin-là ? Un cambriolage qui aurait viré au drame ?
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
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