Topic de kongstrong :

Topic du Glauque

up pour ce magnifique topic

Le 21 janvier 2020 Ă  01:59:15 zeworldeu a Ă©crit :

Le 21 janvier 2020 Ă  01:28:32 cuckworld a Ă©crit :
Je me permet de dire (sûrement redire) que McSkyz fait des vidéos sur divers affaires de meurtres, dont pas mal cité plus haut

J’ai pas lu toutes les pages mais ce topic est une pépite :merci:

ce youtubeur m'irrite :snif:

Pourquoi McSky t'irrites? :(

Je me permet de Up ce topic semi-décédé (ce qui, au vue du sujet est ma foi bien cocasse) afin de rectifier 2-3 infos sur l'affaire de "Hisashi Ouchi" (le Japonais irradié lors de l'accident nucléaire de Tokaimura) qui a été mentionné plus tôt.

Avant toute chose, je vous invite Ă  visionner le documentaire suivant -> https://youtu.be/ZWomuWd7-to
et si vous le pouvez à vous plonger dans la lecture de "A Slow Death: 83 Days of Radiation Sickness", qui décrit le calvaire de cet homme du point de vue des soignants.

Ceci Ă©tant dit!

1) La photo qui circule sur le net, et que vous avez sans doute déjà vu, ne représente pas M.Ouchi. Et cela pour plusieurs raisons : Mr Ouchi se trouvait en chambre stérile et avait été placé sous respirateur (rien de cela n'apparaît sur la-dite photo)
Aussi, il n'a jamais été amputé ni placé dans un système de traction. De plus, son corps était entièrement recouvert de gazes/bandages et il semble peu probable que le personnel médical ait pris le temps de le laisser aussi longtemps sans protection pour prendre une photo.

2) Les médecins étaient légalement tenus de lui apporter tous les soins possibles et ce en dépit de leurs propres doutes quant à ses chances de guérison. Sa famille en avait fait la demande, refusant ainsi de signer l'avis de non-réanimation.

3) Les plus à blâmer dans cette histoire ne sont pas les médecins (qui ont fait ce qu'ils ont pu dans le cadre autorisé par la loi et dans les limites de leurs connaissances) mais bel et bien les responsables d'Ouchi à la centrale JCO qui ont fait fi de tout bon sens et précaution.

Voilà ! J'aurais pas mal d'histoires à partager moi aussi si ça vous chante (The boy in the box, Adrian Jones, Jamie Minor...etc) mais j'attendrai d'être sur mon PC parce que faire de la mise en page sur mobile c'est caca.
Bon matin les clés ♡

Le 26 janvier 2020 Ă  07:20:53 LilyLota a Ă©crit :
Je me permet de Up ce topic semi-décédé (ce qui, au vue du sujet est ma foi bien cocasse) afin de rectifier 2-3 infos sur l'affaire de "Hisashi Ouchi" (le Japonais irradié lors de l'accident nucléaire de Tokaimura) qui a été mentionné plus tôt.

Avant toute chose, je vous invite Ă  visionner le documentaire suivant -> https://youtu.be/ZWomuWd7-to
et si vous le pouvez à vous plonger dans la lecture de "A Slow Death: 83 Days of Radiation Sickness", qui décrit le calvaire de cet homme du point de vue des soignants.

Ceci Ă©tant dit!

1) La photo qui circule sur le net, et que vous avez sans doute déjà vu, ne représente pas M.Ouchi. Et cela pour plusieurs raisons : Mr Ouchi se trouvait en chambre stérile et avait été placé sous respirateur (rien de cela n'apparaît sur la-dite photo)
Aussi, il n'a jamais été amputé ni placé dans un système de traction. De plus, son corps était entièrement recouvert de gazes/bandages et il semble peu probable que le personnel médical ait pris le temps de le laisser aussi longtemps sans protection pour prendre une photo.

2) Les médecins étaient légalement tenus de lui apporter tous les soins possibles et ce en dépit de leurs propres doutes quant à ses chances de guérison. Sa famille en avait fait la demande, refusant ainsi de signer l'avis de non-réanimation.

3) Les plus à blâmer dans cette histoire ne sont pas les médecins (qui ont fait ce qu'ils ont pu dans le cadre autorisé par la loi et dans les limites de leurs connaissances) mais bel et bien les responsables d'Ouchi à la centrale JCO qui ont fait fi de tout bon sens et précaution.

Voilà ! J'aurais pas mal d'histoires à partager moi aussi si ça vous chante (The boy in the box, Adrian Jones, Jamie Minor...etc) mais j'attendrai d'être sur mon PC parce que faire de la mise en page sur mobile c'est caca.
Bon matin les clés ♡

( je suis l'auteur du topic konhstrong et le topic est loin d'être décédé, c'est juste qu'on est une petite communauté, mais j'aimerais bien que tu poste tes histoires :coeur: n'hésite pas a poster les images pour que le pavé soit plus digeste )

Vingt-huit années pendant lesquelles naissent six enfants, six garçons aujourd'hui âgés de 13 à 24 ans. «Quand, à la maternité, on me demandait qui était le père, je répondais la vérité,"le père, c'est mon père" , dit Lydia. Personne n'a cherché à en savoir plus. Mon père assistait à tous mes accouchements, et cela ne semblait pas poser de problème.»

Ces vingt-huit années de calvaire, la justice vient enfin de partiellement les reconnaître, en condamnant la belle-mère de Lydia pour non-empêchement de crime. Le 12 mars, le tribunal correctionnel de Meaux a prononcé une peine de trois mois de prison avec sursis et 15 000 euros d'amende à l'encontre de Lucienne Ulpat, 67 ans. Ce jugement ne porte que sur la période allant du 10 août 1998 au 19 novembre 1999, les faits antérieurs étant prescrits. La plainte d'une amie de Lydia, également violée par Gouardo, ainsi que celle d'un des fils de Lydia qui se plaint d'agressions sexuelles infligées par Lucienne Ulpat ont été rejetées. Le parquet de Meaux a décidé de faire appel de l'ensemble de la décision.

Vous avez déjà entendu du pont maudit ? Tout les chien qui traverse le pont et ce suicide en ce jetent dans le vide

Et si par miracle il ont aucunes blessure il remonte et resaute jusqu'Ă  mourir

Le 28 janvier 2020 Ă  01:27:42 Cordonsolution8 a Ă©crit :
Vous avez déjà entendu du pont maudit ? Tout les chien qui traverse le pont et ce suicide en ce jetent dans le vide

Et si par miracle il ont aucunes blessure il remonte et resaute jusqu'Ă  mourir

Oui c'est assez connu :hap:

Le 28 janvier 2020 Ă  01:22:16 Marmottedu17 a Ă©crit :
Vingt-huit années pendant lesquelles naissent six enfants, six garçons aujourd'hui âgés de 13 à 24 ans. «Quand, à la maternité, on me demandait qui était le père, je répondais la vérité,"le père, c'est mon père" , dit Lydia. Personne n'a cherché à en savoir plus. Mon père assistait à tous mes accouchements, et cela ne semblait pas poser de problème.»

Ces vingt-huit années de calvaire, la justice vient enfin de partiellement les reconnaître, en condamnant la belle-mère de Lydia pour non-empêchement de crime. Le 12 mars, le tribunal correctionnel de Meaux a prononcé une peine de trois mois de prison avec sursis et 15 000 euros d'amende à l'encontre de Lucienne Ulpat, 67 ans. Ce jugement ne porte que sur la période allant du 10 août 1998 au 19 novembre 1999, les faits antérieurs étant prescrits. La plainte d'une amie de Lydia, également violée par Gouardo, ainsi que celle d'un des fils de Lydia qui se plaint d'agressions sexuelles infligées par Lucienne Ulpat ont été rejetées. Le parquet de Meaux a décidé de faire appel de l'ensemble de la décision.

Le nouveau Josef Fritzl, la séquestration en moins ?

Tu as une source ou un article ?

Un mec avait posté un thread sur Twitter en format audio dans lequel il racontait qu'il était tombé sur des trucs en rapport avec des sectes pédo-satanistes en se baladant dans les égouts de Paris, et que genre ça se passait à 50m d'un commissariat. Ca dit quelque chose à quelqu'un ? J'arrive pas à le retrouver :(

Source pour l’affaire Guardo

https://www.google.fr/amp/s/www.liberation.fr/amphtml/grand-angle/2007/05/09/seule-au-coeur-des-tenebres_92676

Il me semble qu’il y a eu aussi un Faites entrer l’accuser

Le 01 février 2020 à 18:36:42 Marmottedu17 a écrit :
Source pour l’affaire Guardo

https://www.google.fr/amp/s/www.liberation.fr/amphtml/grand-angle/2007/05/09/seule-au-coeur-des-tenebres_92676

Il me semble qu’il y a eu aussi un Faites entrer l’accuser

Ah ouais quand mĂŞme. Et la justice qui n'a rien foutu et qui n'assume pas... C'est encore pire que pour Josef Fritzl dans ce sens.

Le meurtre de Kelly Ann Bates

Kelly Ann rencontre un jour James Smith chez des amis pour qui elle faisait du baby sitting. Elle a 14 ans. Lui a le double de son âge, mais il lui fait certainement une cour assidue puisqu'il se fréquentent en secret durant 2 ans, pendant qu'elle termine chez études chez se parents. Lorsqu'elle quitte l'école à 16 ans, elle s'installe chez James. Sa mère fait alors la connaissance de son gendre , qui lui fait immédiatement froid dans le dos. A raison.

Ce que James n'a pas dit à Kelly Ann, c'est que c'est un homme extrêmement violent. Issu d’une famille très stricte, sa femme a demandé le divorce après 10 ans violences domestiques. Sa seconde petite amie fut également battue régulièrement, y compris pendant sa grossesse, et tenta de la noyer. Sa troisième conquête, à peine plus âgée que Kelly Ann, est elle aussi victime de ses accès de violence et il tenta de la noyer dans son bain.

Quelques mois après leur emménagement, Kelly Ann retourne chez ses parents après s'être disputé avec James. Ses proches constatent des marques, des bleus sur sa peau, dus à des accidents, dit-elle. Peu de temps après, elle retourne vivre avec James. Elle démissionne de son travail en fin d'année, devient de plus en plus recluse dans leur appartement et finalement plus personne ne la voit. Ses parents reçoivent bien des cartes pour leur anniversaire, mais écrites par James. Lorsque son frère essaye de la voir, elle "n'est pas à la maison". Un voisin s'enquerrant d'elle la voit brièvement par la fenêtre de l'étage, sans plus.

Un mois plus tard, James se rend à la police pour déclarer qu'il a accidentellement tué sa petite amie durant une dispute alors qu'elle était dans son bain : elle a glissé, respiré l'eau et s'est noyée malgré ses efforts pour la réanimer. Comme elle prétendait souvent être inconsciente, il n'a pas jugé immédiatement de la gravité de la situation. La police se rend donc sur place et découvre le corps de Kelly Ann nue dans une chambre. Il y a du sans dans toutes les pièces. Le sien. L'état de son corps ferait vomir n'importe quel inspecteur expérimenté. Il est couvert de pas moins de 150 blessures. Le Médecin légiste n'a jamais vu ça.

De toute évidence, James l'a torturée durant au moins 4 semaines. Il l'a tailladé partout, l'a brulé et probablement dès le début des sévices, lui a sorti les yeux des orbites pour pouvoir la blesser à cet endroit. Il l'a affamé, l'a privé d'eau, l'a attaché au radiateur avec ses cheveux et la scalpe en partie. Son calvaire n'a été qu’une très lente agonie jusqu'à ce qu'il décide de la noyer.

James Smith clame son innocence, dit qu'il était la victime de Kelly Ann qui faisait tout pour le faire enrager, se moquait de sa défunte mère, se blessait elle-même pour le rendre responsable et le mettait au défi de lui faire mal. Les psychologues ne mettent pas longtemps pour montrer que James vit dans une réalité alternative qu'il crée de toutes pièces dan sa psychose violente. Le jury n'aura besoin que d’une heure pour le déclarer coupable et il prendra 25 ans de prison, il a alors 49 ans. Les jurés seront suivi par un psychologue afin d'évacuer les traumatismes de l'examen des pièces à conviction.

Source: http://heresie.forumactif.com/t2165-le-meutre-de-kelly-ann-bates

Vidéo de Liv, un peu plus complète: https://www.youtube.com/watch?v=AWsOeg3Pj-c

Sortir les yeux des orbites, faut le faire quand mĂŞme :peur:
Hélène Jégado, née le 17 juin 1803 à Plouhinec[1] (Morbihan) et exécutée le 26 février 1852 à Rennes, est une empoisonneuse française. Elle a été accusée d'avoir attenté à la vie de 97 personnes, dont soixante ont succombé. La justice n'a retenu que cinq meurtres pour cause de prescription, ce qui n'empêche pas qu'elle soit régulièrement présentée dans les médias comme la plus grande tueuse en série de l'histoire de France.
Née en 1803, la jeune Hélène (ou Hélènne selon son acte de naissance), enfant choyée élevée dans une petite ferme d'une famille de cultivateurs pauvres, est nourrie des légendes de la Basse-Bretagne. Elle est notamment traumatisée par le personnage de l'Ankou, dont elle va devenir l'incarnation pour surmonter ses angoisses[3]. En 1810, elle est envoyée chez une tante qui travaille comme domestique dans un presbytère de Bubry, et devient elle-même domestique. Par la suite, dans différentes villes – Séglien, Guern[4], Auray, Hennebont, Locminé, Lorient, Pontivy et, enfin, en 1849, Rennes[3] –, elle devient notamment cuisinière, un emploi idéal pour empoisonner à l'arsenic les plats de ses victimes : des clients d'un bordel militaire de Port-Louis, où elle se prostitue, des maîtresses de maison, des prêtres, des religieuses, jusqu'à des enfants.
L'exécution d'Hélène Jégado sur le Champ de Mars à Rennes met fin à une carrière criminelle de dix-huit ans, facilitée par le fait qu'à cette époque la région est touchée par des épidémies de choléra dont les symptômes se rapprochent de ceux de l'empoisonnement à l'arsenic. Le nombre de ses victimes est impossible à déterminer avec précision, probablement 36[3], car la plupart de ses forfaits ayant été commis plus de dix ans avant son procès ne peuvent plus être jugés, du fait de la prescription légale de dix ans en vigueur à l'époque. Aussi son procès écartera-t-il 21 empoisonnements et 5 tentatives d'empoisonnement. Jean Teulé et plusieurs médias la considèrent comme la plus grande[6] tueuse en série du monde[7]. Son habitude de conserver des reliques de chacune de ses victimes permet aujourd'hui d'estimer qu'elle a tué environ 80 personnes[8], y compris des enfants, notamment la petite Marie Bréger au château de Soye, à Plœmeur, en mai 1841, dix ans et un mois avant son arrestation, ainsi que des curés, des domestiques, les beaux-parents du futur maire d'Auray, les parents du médecin de Locminé, le fils du maire de Pontivy. Elle est également accusée d'avoir supprimé sa sœur Anna et une de ses tantes.

Données du topic

Auteur
kongstrong
Date de création
11 janvier 2019 Ă  16:05:48
Nb. messages archivés
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Nb. messages JVC
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