Topic du Glauque
Le 14 janvier 2019 Ă 17:25:01 kongstrong a Ă©crit :
Laquelle t'as le plus fait peur ?
Y'en a tellement (et beaucoup que j'ai zappé ) je dirais pour l'injustice celle de Kendrick et pour la tristesse l'enfant de 2 ans mais la pire c'est la femme de 25kg
Anneliese Michel
Anneliese Michel (1952-1976) est une jeune Allemande catholique sur laquelle furent pratiqués 67 exorcismes sur une periode de 10 mois et qui mourut au bout de huit années de maladie pour certains, de possession pour d'autres, après avoir notamment cessé de s'alimenter. Sa vie a servi de modèle pour les films L'Exorcisme d'Emily Rose (film de Scott Derrickson sorti en 2005) et Requiem (film de Hans-Christian Schmid sorti en 2006).
epuis sa naissance le 21 septembre 1952 à Leiblfing (Bavière), Anneliese Michel mena d'abord une vie normale, caractérisée par une grande piété.
Un jour de 1968, elle commença à trembler violemment et à ne plus contrôler son corps. Lors de ses crises, elle perdait sa voix et ne pouvait plus appeler ses parents pour leur demander de l'aide. Un neurologue diagnostiqua qu'elle souffrait d'épilepsie et elle fut admise à l'hôpital pour un traitement.
Après ses premières attaques, elle vit des visages démoniaques, auquel elle attribua le nom de Fratzen, en train de grimacer lors de sa prière quotidienne. Elle entendait aussi des voix. Anneliese en parla aux médecins qui ne savaient plus comment l'aider.
Au début de l'année 1973, les parents d'Anneliese demandèrent à plusieurs prêtres d'exorciser leur fille, mais ils pensaient qu'il lui suffisait de continuer de prendre ses médicaments. De plus, pour pratiquer un exorcisme, il fallait que la personne possédée réponde à des caractéristiques bien spécifiques. Selon le rituel romain, pour être possédé, un individu doit comprendre ou parler des langues inconnues, souvent mortes (xénoglossie récitative ou responsive). En deuxième lieu, un individu doit connaître des fait cachés (cryptesthésie). Enfin, un individu doit montrer un décuplement de ses forces.
En 1974, un prêtre l'examina et accepta qu'on pratique un exorcisme, mais sa hiérarchie le lui interdit. Son état alors empira et les crises devinrent de plus en plus violentes. Elle insultait les membres de sa famille, les battait et les mordait.
Elle refusait de s'alimenter. Elle bougeait tellement dans son lit qu'elle dormait à même le sol. On pouvait l'entendre toute la journée en train de hurler, de briser les crucifix et de détruire des peintures représentant Jésus.
En 1975, après avoir vérifié l'état de sa possession supposée, l'archevêché autorisa un exorcisme fondé sur le rituel romain. Le curé de sa paroisse considérait qu'Anneliese était possédée par plusieurs démons dont il fallait la libérer. À partir de 1975, on pratiqua un ou deux exorcismes sur elle chaque semaine. Parfois, les crises étaient tellement fortes qu'il fallait trois hommes pour la maîtriser si on ne l'enchaînait pas. Malgré cela, elle put reprendre un semblant de vie normale : retourner à l'école, participer à un concours…
Cependant, les crises ne cessèrent pas. De plus en plus souvent, elle se trouvait paralysée et inconsciente. Elle refusait complètement de manger. Ses nombreuses génuflexions (plus de 600 de suite), provoquèrent une rupture au niveau des genoux. Quarante cassettes audio furent enregistrées lors des exorcismes afin d'en conserver des détails.
Le dernier exorcisme eut lieu le 30 juin 1976. À ce stade, Anneliese souffrait d'une pneumonie. Elle avait le visage émacié et souffrait d'une grande fièvre. Elle mourut le lendemain à son domicile. Le rapport d'autopsie indique que sa mort est liée à une sévère malnutrition et à une déshydratation consécutives à sa privation de nourriture pendant la dernière année.
Un procureur fit alors une enquête à la suite de laquelle les deux prêtres exorcistes et les parents d'Anneliese furent inculpés de négligence ayant entraîné sa mort.
Les prêtres exorcistes firent écouter des enregistrements des différents exorcismes qu'ils avaient pratiqués, au cours desquels ils affirmaient pouvoir distinguer la voix de deux démons en train de se disputer, se demandant lequel des deux quitterait le premier le corps d'Anneliese.
Les parents et les deux prêtres furent condamnés à 6 mois de prison avec sursis.
Les enregistrements disponibles peuvent heurter la sensibilité des personnes les plus fragiles : en effet, ceux-ci sont en règle générale des compilations d'enregistrements oraux, accompagnés des photos de la jeune femme dans un état de délabrement physique plus ou moins avancé.
Enregistrement et photos ( ame sensible s'abstenir ) https://www.youtube.com/watch?v=EijAlyJXacI
[17:06:06] <kongstrong>
Issei SagawaLe 13 juin 1981 à Paris : les policiers font une découvre macabre dans le Bois de Boulogne : Dans un fourré, à quelques pas du lac, ils tombent sur deux valises contenant le corps dépecé d’une jeune femme.
Issei Sagawa qui s'est rendu célèbre pour avoir tué et en partie mangé une étudiante néerlandaise à Paris en juin 1981 escorté par des policiers français en civil le 17 juin 1981, au siège de la préfecture de police de Paris, après un interrogatoire.
LE MEURTRE :
Le 11 juin 1981, Sagawa attire Renée Hartevelt, une jeune Néerlandaise de vingt-quatre ans, étudiant tout comme lui la littérature comparée à l'Université Paris-III, dans son studio du n° 10 rue Erlanger, sous le prétexte qu'un de ses professeurs lui a demandé d'enregistrer des poèmes expressionnistes allemands.
Le jour-même, alors qu'elle lit un poème de Johannes Robert Becher, il la tue à la carabine 22 long rifle (il évoquera initialement un amour déçu entre les deux jeunes étudiants). Il réalise un enregistrement audio sur lequel on peut entendre la jeune fille réciter les vers en allemand sur la mort, puis le coup de feu étouffé par le silencieux de la carabine, suivi par le son de la chute de son corps sur le sol4. Il prélève de son corps plus de sept kilogrammes de chair, puis commet un acte de cannibalisme.
Il consomme sa chair trois jours, en la conservant dans un réfrigérateur, prenant 39 photographies au fur et à mesure qu'il prélève les chairs de sa victime. Ne disposant pas d'un congélateur, pour se débarrasser de la dépouille, il la découpe et la cache dans deux valises puis le 13 juin 1981, fait appel à un taxi pour les transporter au bois de Boulogne où il trouve alors un caddie. Dans une descente, il perd le contrôle du chariot avec lequel il transporte son chargement.
Les valises se renversent devant un couple d'amoureux qui l'apostrophe en raison de son comportement étrange et du liquide s'échappant des valises. Il s'éloigne le plus rapidement possible et laisse le couple découvrir un drap ensanglanté dans la valise en carton. La brigade criminelle appelée sur les lieux découvre « des morceaux de cadavre ».
Dès le lendemain, la police lance un appel à témoins qui est entendu par le chauffeur de taxi. Celui-ci appelle aussitôt la brigade criminelle dirigée par le commissaire Ange Mancini pour lui révéler qu'il a chargé un client asiatique avec deux valises. Arrêté trois jours après son crime, grâce au témoignage de ce chauffeur de taxi qui se rappelle son adresse, et avant même que sa victime ait été identifiée, Sagawa déclare aux policiers de la brigade criminelle de Paris « si j'avais eu un congélateur, vous ne m'auriez pas retrouvé… » et revendique son acte, qu'il considère comme un acte artistique.
Lors de la perquisition, les policiers découvrent les papiers de la victime, des taches de sang, la carabine 22 long rifle, une pellicule photo avec 32 clichés du dépeçage de la morte, un dictaphone, une shampouineuse pour nettoyer la moquette, la couverture de Charlie Hebdo du 16 août 1979 (qui titre « Barbecue monstre dans le Var : Le cul rôti aux herbes de Provence » où un cuisinier découpe les fesses d'une femme), des photos d'identités de Renée et 7 kilos de tissus humains dans de petits sacs-poubelles et sur des assiettes en carton dans le réfrigérateur.
Placé en détention préventive, il est soumis un an durant à une expertise psychiatrique contradictoire, menée par trois experts indépendants, qui attribuent sa perte totale d'inhibition à son encéphalite de l'enfance et ses pulsions cannibales à ses rapports avec sa mère, cette dernière passant son temps à l'obliger à manger pour survivre durant sa petite enfance.
Les experts psychiatres concluent à son irresponsabilité pénale mais recommandent son internement, en raison de son extrême dangerosité. Le juge d'instruction, Jean-Louis Bruguière, se range à l'avis des experts : il prononce un non-lieu au titre de l'article 706-125 du code de procédure pénale. Sagawa est interné un an à l'Unité pour malades difficiles de Villejuif, avant d'être transféré au Japon où ses parents le placent dans l'hôpital psychiatrique Matsuzawa de Tokyo le 21 mai 1984.
Un nouveau collège d'experts japonais le déclare responsable de ses actes ; mais le non-lieu prononcé en France a un caractère définitif et interdit aux autorités japonaises de le juger. Sagawa bénéficie donc d'une des règles de droit international favorables aux prévenus et est libéré le 13 août 19852.À la suite de cette affaire, il cherche à retrouver un travail normal. Il réussit à enseigner le français dans une école, mais lorsque son identité est connue par les élèves, il doit renoncer à ce poste. En 1989, sévit au Japon un tueur en série d'enfants, qui viole et dépèce ses victimes, si bien que la presse nationale engage Sagawa comme consultant. Cette médiatisation est telle qu'il devient célèbre dans le monde entier sous le nom de « Japonais cannibale » ou « l'étudiant français ».
Exhibitionniste narcissique pour le psychiatre qui l'a suivi, il a écrit une douzaine de livres, tous centrés autour de son crime ; il est également apparu dans des publicités pour des chaînes de restaurants de viande et a joué dans quelques films érotiques (dont un mettant en scène une jeune femme néerlandaise, dans un décor fortement inspiré d'architecture typiquement hollandaise)9.
Il vit d'abord à Yokohama, sous surveillance policière, mais sans suivi psychiatrique ; il prend juste un léger traitement anti-dépressif. Aucune récidive n'a été découverte ; mais Issei ne cache pas que des pensées cannibales l'habitent toujours de façon permanente, bien que ce ne soit plus les femmes de type occidental qui l'attirent dorénavant11. Puis il vit retiré et un peu oublié dans un appartement de la banlieue de Tokyo. Un directeur de la rédaction d'un magazine à scandale déclare cyniquement : « il n'a plus de valeur marchande en tant que criminel »
AME SENSIBLE S'ABSTENIR : si vous voulez voir la photo du corps de la victime, tapez "issei sagawa corpse" sur google image, je vous préviens c'est plutôt trash.
Hannibal lecter
Le 12 janvier 2019 Ă 17:08:27 kongstrong a Ă©crit :
Le khey de la forêtPersonne ne sait qui il est. Mais l’étrange être qui erre dans la forêt de Maules, en Gruyère, avec une pèlerine militaire sur le dos et un masque à gaz sur le visage n’a rien du dahu ou d’un fantôme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il n’amuse personne.
Voici une photo de l’individu de dos. «Il a apeuré mes enfants», lâchait l’auteur du cliché, qui l’a croisé dimanche. Depuis, les témoignages affluent. Une habitante de Sâles (FR) l’a vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derrière son gros masque à gaz sombre. C’était effrayant et je connais des femmes qui ne s’aventurent plus seules en forêt», explique-t-elle.
c'est chez moi ca
Un chimpanzé deter
La victime, Charla Nash, 57 ans, a perdu la vue, ses deux mains et a subi une transplantation faciale. Elle vit désormais dans une maison de santé près de Boston et doit être à nouveau opérée. Elle a été attaquée par le chimpanzé en février 2009 à Stamford (Connecticut), alors qu'elle se rendait chez son employeuse Sandra Herold pour faire rentrer le singe, Travis, 90kg, chez elle. Mais l'animal s'est déchaîné et a arraché le nez, les lèvres, les paupières et les mains de Charla Nash avant d'être abattu par un policier.
Travis était notamment apparu dans des publicités télévisées pour des vêtements et du soda quand il était plus jeune. Animal de compagnie de sa maîtresse, il savait par exemple boire avec un verre, utiliser les toilettes, se laver et s'habiller. Le chimpanzé avait cependant déjà mordu la main d'une autre femme et tenté de l'entraîner dans une voiture en 1996, mordu le pouce d'un homme deux ans après et il avait fait une fugue de plusieurs heures en 2003, selon la plainte.
Le 16 février 2009, Travis a attaqué Charla Nash, une amie de Sandra Herold âgée de 55 ans, lui infligeant des blessures dévastatrices au visage et aux membres. Travis avait quitté la maison avec les clés de la voiture de Sandra Herold et Nash est venu aider à ramener le chimpanzé dans la maison; en voyant Nash tenant un Tickle Me Elmo - l'un de ses jouets préférés - Travis l'a immédiatement attaquée. . Les cris de Travis peuvent être entendus à l'arrière-plan de la bande son de l'appel du 911, ils ont d'ailleurs cru que l'appel était un canular, jusqu'à ce qu'elle commence à crier: "Elle la mange!".
Le terrible appel de la victime au 911 pendant qu'elle se faisait attaqué : https://www.youtube.com/watch?v=wgS0KgT5APc
Le 14 janvier 2019 Ă 17:52:09 LePataugeur a Ă©crit :
Ce serait bien de les avoir ici : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.stories.creepypastasLe 14 janvier 2019 Ă 17:52:09 LePataugeur a Ă©crit :
Ce serait bien de les avoir ici : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.stories.creepypastasLe 14 janvier 2019 Ă 17:52:09 LePataugeur a Ă©crit :
Ce serait bien de les avoir ici : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.stories.creepypastas
Lepataugeur : Oui, mais ce ne sont pas des creepypastas
La disparition mystérieuse de Kris Kremers & Lisanne Froon
Kris Kremers et Lisanne Froon étaient des étudiantes néerlandaises décédées le 1er avril 2014 ou peu après, au cours d'une randonnée au Panama. Après une fouille approfondie, des parties de leurs corps ont été retrouvées quelques mois plus tard.
En avril 2014, Kris Kremers et Lisanne Froon, deux étudiantes hollandaise en visite au Panama, partent en randonnée dans la région de Boquete en pleine saison des pluies. 24h plus tard, elle ne sont toujours pas revenues à leur résidence. Dans la foulée des recherches intensives organisées, une caméra numérique ainsi que les téléphones cellulaires des deux filles sont retrouvés. Ces indices importants révèleront des détails troublants sur les derniers gestes des jeunes filles dans la jungle panaméenne. Ont-elles été victimes d’un tueur en série qui sème la terreur dans la région de Boquete? Ont-elles tout simplement été malchanceuses au cours de leur randonnée?
Une semaine après la disparition des filles néerlandaises Kris Kremers et Lisanne Froon, la caméra de l'une d'entre elles a pris 90 photos entre 1h00 et 4h00. Si nous calculons une moyenne, une photo a été prise toutes les deux minutes.
Seules 3 des 90 photos prises le 8 avril et extraites de la carte mémoire par l'Institut néerlandais de médecine légale révèlent des images claires. Dans les autres photos, rien ne peut être clairement identifié
voici la dernière photo "normal" prise vers les coups de 15h ( photo 508 )
Néanmoins, deux heures après la prise de la dernière photo, le même jour, à 16h39, Kris composait le 112. Quelque chose n'allait pas. C'était le premier d'une série d'appels des filles à la ligne d'urgence néerlandaise.
12 minutes plus tard, à 16h51, un autre appel a été passé, celui-ci provenant du téléphone portable Samsung de Lisanne, appelant le même numéro.
Que s'est-il passé pendant cette période au cours de laquelle l'aventure s'est transformée en tragédie ?
Le rapport médico-légal néerlandais indique que 8 appels à la ligne d'urgence ont été passés à partir du téléphone portable des filles. Le dernier était le 3 avril. Le rapport indique également qu'il n'a pas été possible d'obtenir la position à partir de laquelle les appels téléphoniques ont été passés, ni le chemin emprunté par les deux filles après 13 heures le mardi 1er avril.
Le plus glauque ce sont les photos ...... et pourquoi une des photos a été effacé ? Spécifiquement la numéro 509...
Lien de l'affaire en Francais nécéssaire pour bien comprendre : https://www.youtube.com/watch?v=w-76aNerxwM.
J'ai oublié de posté ca sur l'affaire kris kremers
La caméra de Froon contenait des photos du 1er avril suggérant que les femmes avaient pris le sentier au-dessus de la ligne de partage des eaux et avaient erré dans des étendues sauvages quelques heures avant leur première tentative d'atteindre le 911, mais sans rien d'anormal. Le 8 avril, quatre-vingt-dix photos flash ont été prises entre 01h00 et 04h00, apparemment dans les profondeurs de la jungle et dans l'obscurité presque complète.
Quelques photos montrent qu’elles étaient peut-être près d’une rivière ou d’un ravin. Certains montrent une brindille avec des sacs en plastique et des emballages de bonbons au sommet d'une pierre, une autre montre ce qui ressemble à du papier toilette et un miroir sur une autre pierre, et une autre montre l'arrière de la tête de Kremers avec ce qui ressemble à du sang près de sa tempe.
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 Ă 16:05:48
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