Topic du Glauque
Le 15 janvier 2019 à 20:16:43 GaussLambda a écrit :
Le 15 janvier 2019 à 20:11:23 kongstrong a écrit :
Green BootsGreen Boots est le surnom en anglais donné à la dépouille non identifiée d'un alpiniste devenue un repère visuel pour les expéditions qui s'attaquent à l'ascension du mont Everest par la voie d'accès Nord. Toutes les expéditions en provenance du versant tibétain passent en effet près du petit abri rocheux sous lequel il repose, à près de 8 460 mètres d'altitude, entre le camp VI et les trois ressauts qui marquent les derniers obstacles de l'ascension sur l'arête Nord-Est.
Le surnom est une allusion à la couleur des lourdes chaussures de montagne que le corps porte encore, des Green Boots
(« bottes vertes »).Mort probablement lors de la tempête de 1996, bien que des théories alternatives fassent état de sa disparition autour des années 2000, le corps n'a jamais été déplacé. Du fait du gel qui le maintient contre la roche et de la très grande difficulté à fournir des efforts physiques importants à une telle altitude, il serait impossible de le redescendre de la montagne et les conditions météorologiques rendent périlleuse une inhumation formelle. Green Boots doit ainsi demeurer dans le « cimetière à ciel ouvert » que serait, selon les alpinistes, devenu l'Everest au cours de la seconde moitié du xxe siècle.
Cet homme inconnu, figé à seulement quelques centaines de mètres du plus haut sommet du monde, est devenu le symbole populaire du manque de solidarité qui sévit parfois en alpinisme.
S'il est communément admis qu'un grimpeur n'a pas à mettre sa vie en jeu pour en secourir un autre quand le risque est trop grand, il s'avère que de plus en plus d'expéditions, dans leur hâte d'atteindre le sommet, ont parfois délaissé des victimes qu'elles auraient pu, selon certains experts, être en mesure de secourir.
Green Boots et les autres résidents permanents des cimes « balisent » certes les sentiers de l'Everest, mais leur sort est également un rappel permanent du caractère incertain de la survie en haute montagne.
On ne sait vraiment pas qui il est ? Même pas quelqu'un ayant réussi à voir son visage ou peut-être des gens se plaignant d'une disparition similaire ? Ayant reconnue la tenue et le corps ?
Il y'a des suppositions oui, je t'invite a regarder sur wikipédia, ils en parlent.
Le 15 janvier 2019 à 20:18:14 kongstrong a écrit :
Le 15 janvier 2019 à 20:16:43 GaussLambda a écrit :
Le 15 janvier 2019 à 20:11:23 kongstrong a écrit :
Green BootsGreen Boots est le surnom en anglais donné à la dépouille non identifiée d'un alpiniste devenue un repère visuel pour les expéditions qui s'attaquent à l'ascension du mont Everest par la voie d'accès Nord. Toutes les expéditions en provenance du versant tibétain passent en effet près du petit abri rocheux sous lequel il repose, à près de 8 460 mètres d'altitude, entre le camp VI et les trois ressauts qui marquent les derniers obstacles de l'ascension sur l'arête Nord-Est.
Le surnom est une allusion à la couleur des lourdes chaussures de montagne que le corps porte encore, des Green Boots
(« bottes vertes »).Mort probablement lors de la tempête de 1996, bien que des théories alternatives fassent état de sa disparition autour des années 2000, le corps n'a jamais été déplacé. Du fait du gel qui le maintient contre la roche et de la très grande difficulté à fournir des efforts physiques importants à une telle altitude, il serait impossible de le redescendre de la montagne et les conditions météorologiques rendent périlleuse une inhumation formelle. Green Boots doit ainsi demeurer dans le « cimetière à ciel ouvert » que serait, selon les alpinistes, devenu l'Everest au cours de la seconde moitié du xxe siècle.
Cet homme inconnu, figé à seulement quelques centaines de mètres du plus haut sommet du monde, est devenu le symbole populaire du manque de solidarité qui sévit parfois en alpinisme.
S'il est communément admis qu'un grimpeur n'a pas à mettre sa vie en jeu pour en secourir un autre quand le risque est trop grand, il s'avère que de plus en plus d'expéditions, dans leur hâte d'atteindre le sommet, ont parfois délaissé des victimes qu'elles auraient pu, selon certains experts, être en mesure de secourir.
Green Boots et les autres résidents permanents des cimes « balisent » certes les sentiers de l'Everest, mais leur sort est également un rappel permanent du caractère incertain de la survie en haute montagne.
On ne sait vraiment pas qui il est ? Même pas quelqu'un ayant réussi à voir son visage ou peut-être des gens se plaignant d'une disparition similaire ? Ayant reconnue la tenue et le corps ?
Il y'a des suppositions oui, je t'invite a regarder sur wikipédia, ils en parlent.
J'irai voir merci.
Le 15 janvier 2019 à 20:17:35 kongstrong a écrit :
L'infortunée d'OdessaSous la charmante ville d'Odessa, située à l'est de l'Ukraine, se trouve un dédale de 2500 kilomètres d'anciennes carrières de calcaire. En comparaison la distance Nice-Brest est d'environ 1100 kilomètres à vol d'oiseau. Ce labyrinthe part de la ville et s'étend jusqu'à la campagne environnante. Il existe plusieurs réseaux distincts, mais le plus grand comporte plus de 1000 kms de galeries connectées
Les souterrains peuvent aller jusqu'à plus de 50 mètres de profondeur
La grande majorité de ces carrières n'a pas été cartographié, et n'a quasiment pas été explorée
Des partisans soviétiques s'y cachaient pendant la 2de guerre mondiale.Il existe toutefois un certain nombre d'explorateurs clandestins qui aujourd'hui s'y aventurent. Ils aménagent même des salles.
Il y'a eu beaucoup de disparitions là dedans évidemment. La plus célèbre est une jeune fille d'une 15aine d'années qui y était descendu pendant un nouvel an avec un groupe d'ami. Elle a perdu ses amis à l'intérieur et est finalement décédée toute seule dans le noir.
Son corps n'a été ressorti que 6 mois plus tard. Entre temps il était devenu une sorte d'attraction, et il était tendance de se photographier devant...
Le cadavre se situait dans un "petit" réseau annexe, non loin de certaines entrées.
Apparemment d'apres mes sources, la fille s'appellait Masha et elle a été découvert en 2005.
Pourquoi sa tête est écrasée?
Le 15 janvier 2019 à 20:24:37 PatateChaude14 a écrit :
Le 15 janvier 2019 à 20:17:35 kongstrong a écrit :
L'infortunée d'OdessaSous la charmante ville d'Odessa, située à l'est de l'Ukraine, se trouve un dédale de 2500 kilomètres d'anciennes carrières de calcaire. En comparaison la distance Nice-Brest est d'environ 1100 kilomètres à vol d'oiseau. Ce labyrinthe part de la ville et s'étend jusqu'à la campagne environnante. Il existe plusieurs réseaux distincts, mais le plus grand comporte plus de 1000 kms de galeries connectées
Les souterrains peuvent aller jusqu'à plus de 50 mètres de profondeur
La grande majorité de ces carrières n'a pas été cartographié, et n'a quasiment pas été explorée
Des partisans soviétiques s'y cachaient pendant la 2de guerre mondiale.Il existe toutefois un certain nombre d'explorateurs clandestins qui aujourd'hui s'y aventurent. Ils aménagent même des salles.
Il y'a eu beaucoup de disparitions là dedans évidemment. La plus célèbre est une jeune fille d'une 15aine d'années qui y était descendu pendant un nouvel an avec un groupe d'ami. Elle a perdu ses amis à l'intérieur et est finalement décédée toute seule dans le noir.
Son corps n'a été ressorti que 6 mois plus tard. Entre temps il était devenu une sorte d'attraction, et il était tendance de se photographier devant...
Le cadavre se situait dans un "petit" réseau annexe, non loin de certaines entrées.
Apparemment d'apres mes sources, la fille s'appellait Masha et elle a été découvert en 2005.Pourquoi sa tête est écrasée?
Aucune idée !
Brandon Lawson
Le jeudi 8 août 2013, Lawson, alors âgé de 26 ans, est brièvement rentré chez lui à San Angelo après ne pas être rentré à la maison la nuit précédente. Ladessa Lofton, petite amie de Lawson depuis 10 ans, mère de leurs trois enfants et belle-mère de la fille aînée de Lawson, était furieuse de son absence en raison de sa récente rechute. Les deux se sont battus et il est parti. Lawson n'est jamais revenu.
Son dernier lieu connu se trouvait le long de la US Highway 277, au nord de San Angelo et juste avant la ville de Bronte, dans l’ouest du Texas, n’atteignait pas un millier d’habitants. L'adjointe Neal, une autoroute désolée à deux voies, a déclaré qu'une personne pourrait probablement s'allonger au milieu de la route sans craindre d'être renversée.
Certaines personnes pensent que Lawson - à cause d'un mandat exceptionnel - ou de sa relation houleuse avec Lofton - a délibérément disparu et mène une nouvelle vie, sans être détecté.
Certains pensent que Lawson - à cause d'un appel au 911 qu'il a fait cette nuit-là et du fait que ni ses restes ni ses biens n'ont été retrouvés - a été blessé par quelqu'un.
Et certains pensent que Lawson - en raison de sa consommation de drogue et du terrain accidenté de la région - est mort des éléments présents dans la garrigue et que des tentatives de recherche ne l'ont tout simplement pas trouvé.
Selon une conversation téléphonique qu'il a eue avec son père vers 11 h 30 ce soir-là, Brandon se dirigeait vers la maison de ses parents à Crowley, à environ trois heures de route. Il était à peine 12 h 30 du matin lorsqu'il a appelé son frère, Kyle Lawson, qui vivait également à San Angelo, pour lui demander de l'aide parce qu'il était à court d'essence.
À 12 h 50, Brandon a appelé le 911, qui sonnait à l’époque dans la maison de retraite de Robert Lee. L’appel est difficile à comprendre, mais beaucoup ont dit que Brandon semblait en détresse.
Parmi une série de déclarations peu claires, il a dit au répartiteur qu'il était à court d'essence, qu'il était au milieu d'un champ, qu'il avait besoin d'aide et qu'il a demandé: «Dépêchez-vous, s'il vous plaît.»
Quand le répartiteur a demandé si Brandon avait besoin d'une ambulance, il a répondu «Non, j'ai besoin des flics».
Le service de téléphonie mobile a empêché plusieurs appels de Brandon Lawson de se connecter. Voici un aperçu de ces enregistrements téléphoniques:
12h51: Kyle appelle Brandon et laisse un message vocal.
12h51: Brandon a appelé Lofton, mais elle n'a pas répondu. Après leur dispute et sans chargeur mural, Lofton avait emmené son téléphone vers sa voiture pour le recharger.
12h54: Kyle appelle Brandon.
12h57: Brandon a appelé son voisin.
12h58: Brandon a appelé Kyle, et a appelé à nouveau.
12h58: Le voisin a appelé trois fois.
12h59: Kyle a appelé Brandon.
1h04: Le répartiteur du centre de soins infirmiers a rappelé Brandon pour tenter d'obtenir plus d'informations sur son emplacement et sur ce qui n'allait pas. aucune réponse
1h09: Brandon a appelé Kyle trois fois.
1:12: Kyle a appelé Brandon trois fois.
01h15: Brandon a appelé Kyle deux fois, ses derniers appels depuis son téléphone.
1:19: Tous les appels passés sur son téléphone commencent à aller directement à la messagerie vocale.
L'appel 911 : https://www.youtube.com/watch?v=e2yeAyiohkE
L'obusite
L'obusite (du français « obus », le suffixe « -ite » ne désignant pas ici une inflammation) en anglais : shell shock , est un terme décrivant une association de troubles psychiques et physiques observés chez certains soldats de la Première Guerre mondiale, essentiellement dans le contexte de la guerre de tranchées ; c'est un gros syndrome classé comme étant l'une des formes de stress post-traumatique.
Pendant les combats, sur le front, dans les tranchées, tout le monde a peur. Mais lorsqu’il y a une explosion d’obus, de bombe, de mine ou de grenade, l’onde de choc produite sur les soldats peut être terrible. Les hommes peuvent être blessés physiquement, ensevelis, assommés, mais une fois rétablis, ils restent choqués. Le docteur Sicard, célèbre médecin de la Première Guerre mondiale et chef du service de neurologie à Marseille donne de nombreux exemples d’obusite. On les retrouve souvent accroupis ou pliés en deux, ils ne se relèvent pas. Ils ont les yeux écarquillés. Certains sont devenus muets, sourds et même aveugles sans blessure particulière sur les organes, seulement du fait du choc et de la peur.
Voici une photo terrifiante d'un soldat atteint d'obusite :
La photo du soldat shell-shocked est terrible.
Super topic en tout cas, il est fascinant.
Audio d'un crash d'avion japonais
Le 12 août 1985, le Boeing 747SR-46 opérant le vol 123 de Japan Airlines, vol domestique entre l'aéroport de Tokyo Haneda et l'aéroport international d'Osaka, s'écrase dans les environs du mont Osutaka, dans la préfecture de Gunma, au Japon, à 100 km de Tokyo. En nombre de morts, cet accident reste dans l'histoire comme le pire impliquant un seul appareil et le deuxième après celui de Tenerife. Il y a 520 morts parmi les 524 personnes à bord.
Les quelque 30 minutes séparant la perte de la dérive du crash, furent assez longues pour que quelques passagers aient le temps d'écrire des adieux à leurs familles
Voici l'audio des pilotes avant leurs fatidique mort : https://www.youtube.com/watch?v=Xfh9-ogUgSQ&feature=youtu.be
Putain les humains sont capables de tellement de saloperie...
Dans ma belle campagne tranquille d'Alsace, où les oiseaux chantent dans les bois et où je mène une vie tranquille dans ma maison, c'est difficile d'imaginer toutes ses horreurs...
Une photo sordide
Cette photo de famille a été prise par Reynaldo Dagsa, un homme politique Philippin. Dessus y figure l'homme qui devint son assassin quelques instant après.
Sa mort a acquis une notoriété majeure en raison de la prise d’une photo de famille prise le jour du Nouvel An dans la rue Tuna, qui a capturé par inadvertance les visages de son assassin
Un selfie tragique
Avril 2014, Xenia Ignatyeva, 17 ans, grimpait sur le pont d’une voie ferrée d’une hauteur de 9 mètres à Krasnogvardeysky (Saint-Pétersbourg, Russie) pour prendre un Selfie. Malheureusement elle a perdu l’équilibre tout juste après avoir pris la photo, tentant fatalement de s’accrocher à un câble électrique !
Dernier repas de condamnés
https://choualbox.com/Img/1481220119967.jpg
Voici une image montrant les dernier repas que les condamnés ont commandé avant de se faire executé
Le 15 janvier 2019 à 21:04:49 kongstrong a écrit :
Dernier repas de condamnéshttps://choualbox.com/Img/1481220119967.jpg
Voici une image montrant les dernier repas que les condamnés ont commandé avant de se faire executé
Bordel mais c'est vraiment à chier leur dernier repas pourquoi les mecs demandent ce genre de trucs ? http://image.noelshack.com/fichiers/2018/41/1/1539029238-bol15.png
Le repas de Tedd Bundy est le plus correct http://image.noelshack.com/fichiers/2018/41/1/1539029238-bol15.png
Le cannibal de rottenburg
Depuis 1999, Armin Meiwes publie plusieurs annonces sur Internet, faisant part de son désir de trouver un homme voulant être mangé. Cette annonce est tout à fait sérieuse et le fait de manger la personne est à prendre au sens propre.
En 2001, il entre en contact, sur le site The Cannibal Café, avec Bernd Jürgen Armando Brandes, un ingénieur berlinois de 42 ans qui répond présent. La rencontre entre les deux hommes a lieu au domicile d'Armin Meiwes dans la nuit du 9 au 10 mars 2001. Après avoir eu des rapports sexuels, ils décident d'un commun accord de sectionner le pénis de Bernd Jürgen Armando Brandes. Ils le cuisinent et le mangent ensemble.
Une fois le repas terminé, toujours avec l'accord de son hôte, Armin Meiwes le tue de plusieurs coups de couteau à la gorge. Dans sa cave, il l'étripe et découpe plusieurs morceaux de chair, dont il gardera certains au congélateur pour les manger plus tard. Sur ce point, il déclare : « Je l'ai pendu par les pieds, éviscéré. J'ai découpé quelque 30 kilos de viande, les meilleurs morceaux ont été conservés dans mon congélateur ».
Le 10 décembre 2002, alors qu'il recherche, par les mêmes moyens, une seconde victime consentante, il est arrêté par la police, après qu'un étudiant en médecine d'Innsbruck a alerté les autorités autrichiennes. La police trouve dans son immense manoir la salle de boucherie, dans le congélateur des sacs de plastique remplis de viande humaine. Il passe alors aux aveux, révélant notamment l'existence dans une cachette de cassettes VHS sur lesquelles il a enregistré intégralement la scène de cannibalisme qui dure plus de neuf heures.
Armin Meiwes déclare regretter son geste, mais garder tout de même un « souvenir intense et positif » de sa victime».
Plusieurs experts psychiatres le déclarent pénalement responsable et pouvant donc être jugé. Son avocat, Harald Ermel, plaide un homicide sur demande pour lui éviter la perpétuité. Le 30 janvier 2004, il est condamné à huit ans et demi de prison pour homicide involontaire par le tribunal de Kassel.
En avril 2005, le Parquet jugeant la peine insuffisante, saisit d'un pourvoi en cassation la Cour fédérale allemande pour rejuger Armin Meiwes, cette fois-ci pour assassinat à caractère sexuel. Le procès s'ouvre le 12 janvier et la perpétuité est demandée par l'accusation. Le 9 mai 2006, le tribunal de grande instance de Francfort condamne Meiwes à la réclusion criminelle à perpétuité.
Fin 2007, Armin Meiwes se déclare désormais végétarien
Photo de la victime ( ou pas ... )
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
- Nb. messages archivés
- 3024
- Nb. messages JVC
- 2606