Topic du Glauque
Le 15 janvier 2019 à 16:23:23 johed80 a écrit :
L'auteur tu connais l'histoire d'une asiatique apparemment possédé ? on la voit dans un ascenseur en train de parler tout seul etc et on la retrouvé en haut de l'hotel noyé dans un reservoir d'eau ?
Toi t'as pas vu toutes les pages tu parle d'elisa lam
ELISA LAM
En février 2013, le corps d’Elisa Lam, une jeune étudiante de 21 ans qui avait disparu deux semaines auparavant, fut retrouvé dans un réservoir à eau sur le toit de l’hôtel Cecil, à Los Angeles. La jeune fille avait été vue pour la dernière fois dans un ascenseur de l’hôtel et une caméra l’avait filmée alors qu’elle présentait un étrange comportement, semblant fuir quelque chose qu’elle seule pouvait voir.
Elisa Lam est une jeune femme d'apparence normale, mais souffrant de plusieurs troubles mentaux. Diagnostiquée avec un trouble bipolaire de même qu'une schizophrénie, elle doit prendre quatre sortes de médicaments pour garder l'équilibre lui permettant de fonctionner. Même si elle a évoqué quelques fois les difficultés de vivre avec ses maladies sur son blogue personnel, sa famille ne rapporte aucune idéation suicidaire.
En janvier 2013, Elisa décide de quitter la Colombie Britannique pour se rendre en Californie. Même si elle poursuit ses études universitaires, Elisa veut visiter la Côte Ouest afin de profiter de l'hiver de cette nouvelle année et, qui sait, peut-être visiter les plus belles boutiques de Los Angeles afin de satisfaire sa passion pour la mode.
La jeune femme de 21 ans voyage seule et prend le train ainsi que des autobus pour se rendre à destination. Elle publie des photos des endroits où elle s'arrête, dont des images en provenance du zoo de San Diego. Puis, arrivée à Los Angeles, elle loue une chambre au Cecil Hotel tout près du centre-ville.
Même s'il est respectable aujourd'hui, le Cecil Hotel traîne avec lui une sombre réputation. En outre, plusieurs meurtres perpétrés à Los Angeles ont été commis dans cet hôtel ou avaient une connexion avec celui-ci. Par exemple, Elizabeth Short (victime du fameux cas du Dahlia Noir) aurait séjourné dans cet hôtel avant d'être assassiné tandis que les tueurs en série Jack Unterweger et Richard Ramirez ont dormi entre ces murs alors qu'ils massacraient des innocents.
LA DISPARITION D'ELISA LAM
Durant son séjour à Los Angeles, Elisa contacte ses parents à tous les jours afin de leur donner des nouvelles. Or, le 31 janvier, alors qu'elle doit quitter le Cecil Hotel pour se rendre à Santa Cruz, elle ne donne plus signe de vie. Inquiets, les Lam contactent la police de Los Angeles et se rendent sur place pour aider aux recherches.
Les employés de l'hôtel mentionnent qu'Elisa était seule durant la journée du 31 janvier. La gérante d'une librairie locale affirme aussi l'avoir aperçue alors qu'elle achetait des cadeaux pour sa famille et qu'elle semblait pétillante.
La police fouille l'hôtel à la limite de ce que la loi leur permet et utilisent même des chiens pour pister l'odeur d'Elisa, sans succès. Incapables de la retrouver, les forces de l'ordre publient des images de la jeune femme dans le quartier de même que sur Internet. Les médias s'emparent rapidement de la nouvelle et incitent toute personne ayant aperçu Elisa de contacter la police.
UNE VIDEO QUI DONNE FROID DANS LE DOS :
Après une semaine de recherches infructueuses, les policiers décident de publier un vidéo dans lequel on aperçoit Elisa pour la toute dernière fois. Or, c'est à ce moment que toute l'histoire devient extrêmement bizarre, voire même terrifiante. Pourquoi ?
Regardez le vidéo ci-dessous afin de comprendre :
Le comportement très étrange de la jeune adulte attire rapidement l'attention du public à travers le monde. Pourquoi agissait-elle ainsi ? Ses troubles mentaux expliqueraient-ils ses étranges actions ? Était-elle poursuivie par quelqu'un qu'on ne peut voir sur la caméra ? Ou l'explication se situe-t-elle davantage dans le domaine du paranormal ?
Beaucoup de théories ont été avancées pour déterminer la source des agissements d'Elisa. Au niveau ésotérique, on a évoqué l'idée que la jeune femme était possédée ou encore qu'elle jouait au « jeu de l'ascenseur », qui consiste à faire des mouvements d'avant en arrière pour tenter de voyager dans une autre dimension. D'un point de vue scientifique, certains ont mentionné qu'Elisa tentait de fuir un agresseur invisible sur la bande vidéo, peut-être parce que celle-ci a été modifiée. D'autres, dont des experts, ont indiqué la possibilité qu'Elisa ait consommé de la drogue ou qu'elle était dans un épisode psychotique.
Quoi qu'il en soit, la diffusion du vidéo a généré énormément d'intérêt et de frayeur dans le public. Sur le site de partage Youku, il fut visionné trois millions de fois en seulement dix jours.
LA DECOUVERTE D'ELISA LAM
Au-delà de l'horreur du vidéo, la police cherchait désespérément celle disparue depuis plusieurs jours. À ce moment, des clients de l'hôtel commencèrent à se plaindre de la pression et de la couleur brune de l'eau dans les chambres et que l'eau avait un gout sucré. Une odeur nauséabonde commença aussi à se faire sentir. Vous devinez aisément la suite.
Le 19 février, un employé se rend sur le toit où se trouvent quatre gigantesques tanks d'eau. Il découvre dans l'une d'elles le corps putréfié d'Elisa. Il fallut complètement vider la tank pour en extraire le corps. Tous les clients de court séjour quittèrent immédiatement l'hôtel, horrifié qu'ils aient pu boire une eau contaminée par un cadavre depuis deux semaines. Néanmoins, des tests furent effectués et ont déterminé que l'eau n'avait pas été altérée. L'hôtel prit aussi de nombreuses dispositions avant de réalimenter ses installations en eau courante.
L'AUTOPSIE
Les pathologistes Jason Tovar et Yulai Wang firent l'autopsie du corps d'Elisa. Après quatre heures d'examens, ils déterminèrent la cause de la mort comme une noyade accidentelle fort probablement provoquée par le trouble bipolaire d'Elisa. Leur rapport a aussi indiqué que le corps de la jeune femme était à semi, voire aux trois quarts gorgé d'eau. Il était putréfié et boursouflé au moment de la découverte, en plus d'avoir une couleur verdâtre.
Par ailleurs, l'autopsie a révélé qu'aucune agression sexuelle n'a été commise. De plus, aucun trauma physique n'a été décelé. On a bien trouvé des médicaments dans le sang d'Elisa, mais aucun alcool ou drogue récréative. La théorie voulant que la jeune femme ait consommé a donc été discréditée.
MYSTERES
Même si l'autopsie a apporté des réponses sur la mort d'Elisa, plusieurs questions demeurent encore aujourd'hui en suspens. La première est bien simple: comment le corps de cette jeune femme a-t-elle pu se retrouver dans la tank d'eau ? Les portes donnant accès au toit de l'hôtel étaient fermées et seuls les employés pouvaient y circuler. Il y avait bien un escalier de secours, mais encore fallait-il connaître son existence. En plus de cela, la tank était très haute de sorte que même les employés qui y accédaient devaient utiliser une échelle. Aucune porte forcée et aucun dispositif pour monter sur la tank n'a été retrouvé.
Par ailleurs, des mystères subsistent quant aux rapports médico-légaux qui ont été produits. Plusieurs remettent en question leur validité, indiquant notamment que l'absence de drogue dans le cadavre n'indique pas qu'Elisa n'en a pas pris. Le ou les drogue(s) pourraient s'être dissoutes dans le laps de temps pendant lequel le corps a flotté dans la tank.
Aussi, on a remarqué que le rapport d'autopsie mentionnait que la mort était accidentelle avant que, trois jours plus tard, elle ait été changée pour « indéterminée ». Étrange que les médecins aient ainsi modifié leur conclusion. Finalement, des traces de sang ont été observées dans l'anus de la jeune femme. Si certains croient que c'est un signe d'agression sexuelle, un pathologiste a déclaré que ce sang pouvait aussi résulter de la décomposition du corps.
Bref, la mort d'Elisa Lam demeure un grand point d'interrogation. Que s'est-il passé en janvier 2013 au Cecil Hotel ? Que montre vraiment cette vidéo terrifiante des derniers instants de la jeune femme ? Comment son corps a-t-il pu se retrouver à un endroit si peu accessible pour le commun des mortels ? Tant de questions demeurent encore à éclaircir et on peut se demander si, un jour, le mystère sera percé.
COINCIDENCE TROUBLANTE
Certains soulignèrent que les circonstances de la mort d’Elisa ressemblaient étrangement à l’histoire du film d’horreur américain Dark Water. Dans ce long métrage, qui est le remake d’un film japonais, une mère et sa fille déménagent dans un appartement délabré qui se révélé hanté. Un ascenseur dysfonctionnel et une fuite d’eau les conduisent sur le toit de l’immeuble, où elles découvrent le corps d’une jeune fille qui avait disparu un an plus tôt. Depuis, l’histoire d’Elisa Lam a servi de source d’inspiration à un certain nombre de films et de séries, comme à l’épisode final de la saison 2013 de la série Castle ou à la cinquième saison d’American Horror Story.
Mycobacterium tuberculosis responsable de la tuberculose (TB) est testé par un test appelé «LAM-ELISA». Ce kit de test a été fabriqué avant 2009.
Le 27 août 2009, Biomed Central a signalé que le test LAM-ELISA urinaire ne semblait pas utile en tant que test de diagnostic indépendant de la tuberculose pulmonaire. Un essai du nouveau diagnostic a révélé qu'il n'était capable d'identifier que 50,7% des cas de tuberculose et que la sensibilité de 50,7% de la LAM-ELISA était décevante. La spécificité de 87,8% était également loin des attentes.
Le 19 février 2013, une touriste canadienne visitant la Californie, «Elisa Lam», a été retrouvée morte dans un réservoir d'eau de l'hôtel Cecil, dans le comté de LA. Les clients de l'hôtel ont utilisé l'eau contaminée par son corps en décomposition pour prendre une douche ou boire un verre. Les centres de contrôle et de prévention des maladies ont signalé qu'environ 4 500 personnes ont été infectées par la tuberculose au cours de cette période.
Le 15 janvier 2019 à 16:41:34 leiomyomatose a écrit :
khey il est 17h, trop tôt pour raconter du glauque
Je sais mais j'anticipe, comme ca ce soir vous avez pas a attendre chacun de mes post
ce topic abominable
sweet
j'ai tout lu
sweet
Le 12 janvier 2019 à 16:43:12 kongstrong a écrit :
un appel 911 perturbanthttps://www.youtube.com/watch?v=rgrG1o8vESw
Voici l'enregistrement de l'appel d'une vieille dame avant qu'elle ne se fasse sauvagement tué à son domicile.
Bordel les cris à la fin
Green Boots
Green Boots est le surnom en anglais donné à la dépouille non identifiée d'un alpiniste devenue un repère visuel pour les expéditions qui s'attaquent à l'ascension du mont Everest par la voie d'accès Nord. Toutes les expéditions en provenance du versant tibétain passent en effet près du petit abri rocheux sous lequel il repose, à près de 8 460 mètres d'altitude, entre le camp VI et les trois ressauts qui marquent les derniers obstacles de l'ascension sur l'arête Nord-Est.
Le surnom est une allusion à la couleur des lourdes chaussures de montagne que le corps porte encore, des Green Boots
(« bottes vertes »).
Mort probablement lors de la tempête de 1996, bien que des théories alternatives fassent état de sa disparition autour des années 2000, le corps n'a jamais été déplacé. Du fait du gel qui le maintient contre la roche et de la très grande difficulté à fournir des efforts physiques importants à une telle altitude, il serait impossible de le redescendre de la montagne et les conditions météorologiques rendent périlleuse une inhumation formelle. Green Boots doit ainsi demeurer dans le « cimetière à ciel ouvert » que serait, selon les alpinistes, devenu l'Everest au cours de la seconde moitié du xxe siècle.
Cet homme inconnu, figé à seulement quelques centaines de mètres du plus haut sommet du monde, est devenu le symbole populaire du manque de solidarité qui sévit parfois en alpinisme.
S'il est communément admis qu'un grimpeur n'a pas à mettre sa vie en jeu pour en secourir un autre quand le risque est trop grand, il s'avère que de plus en plus d'expéditions, dans leur hâte d'atteindre le sommet, ont parfois délaissé des victimes qu'elles auraient pu, selon certains experts, être en mesure de secourir.
Green Boots et les autres résidents permanents des cimes « balisent » certes les sentiers de l'Everest, mais leur sort est également un rappel permanent du caractère incertain de la survie en haute montagne.
Le 15 janvier 2019 à 20:11:23 kongstrong a écrit :
Green BootsGreen Boots est le surnom en anglais donné à la dépouille non identifiée d'un alpiniste devenue un repère visuel pour les expéditions qui s'attaquent à l'ascension du mont Everest par la voie d'accès Nord. Toutes les expéditions en provenance du versant tibétain passent en effet près du petit abri rocheux sous lequel il repose, à près de 8 460 mètres d'altitude, entre le camp VI et les trois ressauts qui marquent les derniers obstacles de l'ascension sur l'arête Nord-Est.
Le surnom est une allusion à la couleur des lourdes chaussures de montagne que le corps porte encore, des Green Boots
(« bottes vertes »).Mort probablement lors de la tempête de 1996, bien que des théories alternatives fassent état de sa disparition autour des années 2000, le corps n'a jamais été déplacé. Du fait du gel qui le maintient contre la roche et de la très grande difficulté à fournir des efforts physiques importants à une telle altitude, il serait impossible de le redescendre de la montagne et les conditions météorologiques rendent périlleuse une inhumation formelle. Green Boots doit ainsi demeurer dans le « cimetière à ciel ouvert » que serait, selon les alpinistes, devenu l'Everest au cours de la seconde moitié du xxe siècle.
Cet homme inconnu, figé à seulement quelques centaines de mètres du plus haut sommet du monde, est devenu le symbole populaire du manque de solidarité qui sévit parfois en alpinisme.
S'il est communément admis qu'un grimpeur n'a pas à mettre sa vie en jeu pour en secourir un autre quand le risque est trop grand, il s'avère que de plus en plus d'expéditions, dans leur hâte d'atteindre le sommet, ont parfois délaissé des victimes qu'elles auraient pu, selon certains experts, être en mesure de secourir.
Green Boots et les autres résidents permanents des cimes « balisent » certes les sentiers de l'Everest, mais leur sort est également un rappel permanent du caractère incertain de la survie en haute montagne.
On ne sait vraiment pas qui il est ? Même pas quelqu'un ayant réussi à voir son visage ou peut-être des gens se plaignant d'une disparition similaire ? Ayant reconnue la tenue et le corps ?
L'infortunée d'Odessa
Sous la charmante ville d'Odessa, située à l'est de l'Ukraine, se trouve un dédale de 2500 kilomètres d'anciennes carrières de calcaire. En comparaison la distance Nice-Brest est d'environ 1100 kilomètres à vol d'oiseau. Ce labyrinthe part de la ville et s'étend jusqu'à la campagne environnante. Il existe plusieurs réseaux distincts, mais le plus grand comporte plus de 1000 kms de galeries connectées
Les souterrains peuvent aller jusqu'à plus de 50 mètres de profondeur
La grande majorité de ces carrières n'a pas été cartographié, et n'a quasiment pas été explorée
Des partisans soviétiques s'y cachaient pendant la 2de guerre mondiale.
Il existe toutefois un certain nombre d'explorateurs clandestins qui aujourd'hui s'y aventurent. Ils aménagent même des salles.
Il y'a eu beaucoup de disparitions là dedans évidemment. La plus célèbre est une jeune fille d'une 15aine d'années qui y était descendu pendant un nouvel an avec un groupe d'ami. Elle a perdu ses amis à l'intérieur et est finalement décédée toute seule dans le noir.
Son corps n'a été ressorti que 6 mois plus tard. Entre temps il était devenu une sorte d'attraction, et il était tendance de se photographier devant...
Le cadavre se situait dans un "petit" réseau annexe, non loin de certaines entrées.
Apparemment d'apres mes sources, la fille s'appellait Masha et elle a été découvert en 2005.
Données du topic
- Auteur
- kongstrong
- Date de création
- 11 janvier 2019 à 16:05:48
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