Qui a sombré dans la dépression après le bac ?
Le 03 mars 2018 à 20:00:15 TRIOLI a écrit :
Le 03 mars 2018 à 18:47:38 NewWavves a écrit :
Moi.Je pense que j'étais déjà dépressive au lycée sauf que je me disais que c'était l'école et mes parents le problème et qu'une fois libre je pourrais réaliser mes rêves. Au final à 18 ans j'ai réalisé que j'avais aucune ambition et voilà. Tout est devenu encore plus dur. C'est tellement cool la vie d'adulte
Du coup j'ai lu ton pavé et je me retrouve totalement dans ce que tu dis Moi aussi j'étais première de classe jusqu'en 3e (en Belgique aussi) et puis j'ai complètement vrillé. Je n'écoutais pas en classe, je m'étais présentée à des examens sans même savoir de quoi la matière parlait. J'arrivais quand même à avoir la moyenne sans rien foutre donc je me reposais sur ça. Par contre je continuais à avoir de très bonnes notes en math, alors je me suis dit que j'étais faite pour ça. Mais finalement j'ai aussi tenu comme deux-trois mois à l'université tout ça parce que je venais de passer un an à l'étranger pour apprendre l'anglais et que j'avais oublié pas mal de ce que j'avais appris avant, et que plutôt que de me mettre sérieusement aux révisions, j'ai préféré procrastiner puis à partir de là c'était l'effet domino et au final je comprenais absolument plus rien. J'ai passé le reste de l'année en PLS dans ma chambre, je prenais pas soin de moi, et j'avais tellement honte de moi-même que j'ai prévenu personne à part mes parents et je ne sortais jamais.
L'année suivante je me suis réorienté dans les arts et je viens de finir en décembre mon bachelor. Mes études étaient beaucoup plus supervisés (on avait des travaux à remettre) donc ça m'a permis d'avoir un minimum d'auto-discipline (bien que j'étais toujours en retard) contrairement à quand j'étais livrée à moi-même en math. Certes ça m'a aidé, mais je regrette de ne pas m'être donné à 100%, et j'ai l'impression que même si j'ai l'avantage d'avoir un diplôme j'ai absolument rien mis en place pour mon futur.
Maintenant j'ai trop la flemme de me trouver un vrai job, je gratte de l'argent à droite et à gauche, et mon père va bientôt arrêter de m'envoyer de l'argent et ça ne me motive même pas à me bouger le cul
En tout cas ça fait du bien de lire des gens dans des situations similaires même si ça ne résout rien.
J'ai arrêté d'espérer quoi que ce soit et je regarde en spectateur ma triste vie défiler avec mélancolie, comme si j'étais emprisonné dans un film très chiant, sans échappatoire.
C'est hallucinant comme je me suis reconnu dans certaines histoires, donc je vais vous raconter la mienne (désolé d'avance pour le pavé )
J'ai eu une scolarité plutôt banale (entre 12 et 14 de moyenne au collège et entre 12 et 10 au lycée) avec un bon groupe de potes dès la 2nde, ce qui m'a donné un peu confiance en moi (j'avais qu'un seul vrai pote au collège mais hormis ça je trouvais cette période de ma vie nulle à chier) et ça a duré jusqu'au bac général, que j'ai eu de justesse aux rattrapages parce que j'ai jamais rien foutu et que j'avais pas spécialement de facilités en cours sauf en langues.
Je me suis donc orienté en LEA anglais/espagnol par défaut. Je voulais pas spécialement faire ça mais c'était le choix le moins pire qui s'offrait à moi on va dire. Mais je me suis rendu compte que la fac c'était pas du tout pour moi, je n'allais JAMAIS aux cours magistraux (par flemme mais surtout parce que je connaissais personne, je suis plutôt asocial et je suis plutôt un nolife ). En revanche, j'ai rencontré par hasard un gars de ma ville d'origine et ça m'a pas mal aidé puisqu'on a commencé à trainer ensemble : il a réussi à "m'intégrer" dans deux groupes de potes (c'est vite dit, d'où les guillemets) mais il a rapidement arrêté ses études un peu avant la fin du premier semestre. Heureusement, par chance, je m'étais particulièrement lié d'amitié avec une fille d'un de ces deux groupes (c'était même carrément ma crush autant le dire clairement mais je suis pucix + aucune confiance avec les meufs donc j'ai rien tenté )
Par le plus grand des hasards je parviens à valider mon premier semestre (j'ai lu mes cours pour la première fois la veille des partiels voire même le matin même pour essayer d'en apprendre ne serait-ce qu'un peu et gratter le moindre point) mais j'ai raté mon deuxième semestre. A ce moment là je trainais avec plus personne sauf cette fille en question, avec qui j'ai gardé contact (et c'est toujours le cas actuellement). Je passe malgré tout en L2 en ajàc ("ajourné mais autorisé à continuer" il me semble) et je me dis que j'aurai qu'à bosser l'année suivante pour réussir.
Évidemment, rebelote. J'ai encore rien foutu aux partiels (j'allais aux cours magistraux cette fois-ci mais juste parce que j'étais heureux de voir cette fille ) et j'ai raté mes deux semestres sans grand surprise. Du coup j'ai redoublé ma L2, et vers mi-octobre j'ai fait une sorte de dépression (je sais pas du tout si c'est le bon terme mais bon). J'ai commencé par sécher quelques cours de TD (je n'allais plus aux cours magistraux vu que la fameuse fille est passée en L3 elle), principalement quand y avait des oraux ou un quelconque travail noté. Puis au fil des jours j'ai carrément arrêté d'aller en cours, du peu que j'en avais, parce que TOUT me soulait. Les cours que j'aimais vraiment je les avais validés l'année dernière donc il restait uniquement les cours que je n'appréciais pas, voire détestais pour certains.
Et c'est là qu'a commencé ma "descente aux enfers". J'ai fait le mort pendant environ 3 ou 4 semaines en ne répondant à personne sur les réseaux sociaux sauf ma mère en prétextant que tout allait bien quand elle m'appellait. Je mangeais entre 0 et 1 repas par jour, si on peut appeler ça un "repas" (genre des chocapic+lait pour le midi, pain+fromage le soir et rien le matin vu que je mange jamais le matin). J'ai pas spécialement perdu beaucoup de poids mais ma santé mentale et physique se sont énormément détériorées (je faisais 50kg pour 1m70 c'est toujours le cas mais je fais moins "zombie" maintenant au moins).
La fille m'a "harcelé" (je mets des guillemets hein ) de messages sur facebook, de sms, de snap et a même envoyé un message à mon frère au bout d'un moment pour savoir si j'étais en vie et que j'allais bien etc. J'avais pourtant envie de lui répondre mais à chaque fois que je me levais le matin, ou plutôt à 18h... sans avoir aucun but d'ailleurs, je me disais "je le ferai demain", et ce, tous les jours. Je lui ai finalement répondu après 1 mois environ en lui expliquant que j'étais au fond du trou, je lui avais rien dit parce que c'était elle l'élément déclencheur de tout ça selon moi (histoire compliquée ) mais elle ne représente évidemment qu'une infime partie de tout ça, en soi c'était juste la goutte d'eau.
Ma situation de déprime/dépression a continué comme ça jusqu'à fin décembre mais ça s'est arrangé un peu pendant les vacances (Noël + jour de l'An) où j'ai commencé à revoir du monde, ma famille notamment et à reprendre contact avec mes potes pour finalement sortir de cet enfer qui m'a littéralement pourri la vie, sociale comme professionnelle (j'ai raté mon semestre puisque je suis défaillant et je sais pas du tout ce que ça va donner pour le semestre actuel, même si je le réussis je sais pas si je pourrai passer passer les rattrapages de mon premier semestre).
Peu importe que je sois accepté en L3 ou pas, je ne sais absolument pas ce que je suis en train de faire de ma vie, j'ai aucun but précis en tête, j'ai 20 ans, pas de meuf, pucix, ni aucune passion réelle qui me fait sentir vivant pour de vrai et quand je vois le monde de merde dans lequel on vit ça donne vraiment pas envie d'essayer.
Le 03 mars 2018 à 22:32:34 Kayoz a écrit :
C'est hallucinant comme je me suis reconnu dans certaines histoires, donc je vais vous raconter la mienne (désolé d'avance pour le pavé )J'ai eu une scolarité plutôt banale (entre 12 et 14 de moyenne au collège et entre 12 et 10 au lycée) avec un bon groupe de potes dès la 2nde, ce qui m'a donné un peu confiance en moi (j'avais qu'un seul vrai pote au collège mais hormis ça je trouvais cette période de ma vie nulle à chier) et ça a duré jusqu'au bac général, que j'ai eu de justesse aux rattrapages parce que j'ai jamais rien foutu et que j'avais pas spécialement de facilités en cours sauf en langues.
Je me suis donc orienté en LEA anglais/espagnol par défaut. Je voulais pas spécialement faire ça mais c'était le choix le moins pire qui s'offrait à moi on va dire. Mais je me suis rendu compte que la fac c'était pas du tout pour moi, je n'allais JAMAIS aux cours magistraux (par flemme mais surtout parce que je connaissais personne, je suis plutôt asocial et je suis plutôt un nolife ). En revanche, j'ai rencontré par hasard un gars de ma ville d'origine et ça m'a pas mal aidé puisqu'on a commencé à trainer ensemble : il a réussi à "m'intégrer" dans deux groupes de potes (c'est vite dit, d'où les guillemets) mais il a rapidement arrêté ses études un peu avant la fin du premier semestre. Heureusement, par chance, je m'étais particulièrement lié d'amitié avec une fille d'un de ces deux groupes (c'était même carrément ma crush autant le dire clairement mais je suis pucix + aucune confiance avec les meufs donc j'ai rien tenté )
Par le plus grand des hasards je parviens à valider mon premier semestre (j'ai lu mes cours pour la première fois la veille des partiels voire même le matin même pour essayer d'en apprendre ne serait-ce qu'un peu et gratter le moindre point) mais j'ai raté mon deuxième semestre. A ce moment là je trainais avec plus personne sauf cette fille en question, avec qui j'ai gardé contact (et c'est toujours le cas actuellement). Je passe malgré tout en L2 en ajàc ("ajourné mais autorisé à continuer" il me semble) et je me dis que j'aurai qu'à bosser l'année suivante pour réussir.
Évidemment, rebelote. J'ai encore rien foutu aux partiels (j'allais aux cours magistraux cette fois-ci mais juste parce que j'étais heureux de voir cette fille ) et j'ai raté mes deux semestres sans grand surprise. Du coup j'ai redoublé ma L2, et vers mi-octobre j'ai fait une sorte de dépression (je sais pas du tout si c'est le bon terme mais bon). J'ai commencé par sécher quelques cours de TD (je n'allais plus aux cours magistraux vu que la fameuse fille est passée en L3 elle), principalement quand y avait des oraux ou un quelconque travail noté. Puis au fil des jours j'ai carrément arrêté d'aller en cours, du peu que j'en avais, parce que TOUT me soulait. Les cours que j'aimais vraiment je les avais validés l'année dernière donc il restait uniquement les cours que je n'appréciais pas, voire détestais pour certains.
Et c'est là qu'a commencé ma "descente aux enfers". J'ai fait le mort pendant environ 3 ou 4 semaines en ne répondant à personne sur les réseaux sociaux sauf ma mère en prétextant que tout allait bien quand elle m'appellait. Je mangeais entre 0 et 1 repas par jour, si on peut appeler ça un "repas" (genre des chocapic+lait pour le midi, pain+fromage le soir et rien le matin vu que je mange jamais le matin). J'ai pas spécialement perdu beaucoup de poids mais ma santé mentale et physique se sont énormément détériorées (je faisais 50kg pour 1m70 c'est toujours le cas mais je fais moins "zombie" maintenant au moins).
La fille m'a "harcelé" (je mets des guillemets hein ) de messages sur facebook, de sms, de snap et a même envoyé un message à mon frère au bout d'un moment pour savoir si j'étais en vie et que j'allais bien etc. J'avais pourtant envie de lui répondre mais à chaque fois que je me levais le matin, ou plutôt à 18h... sans avoir aucun but d'ailleurs, je me disais "je le ferai demain", et ce, tous les jours. Je lui ai finalement répondu après 1 mois environ en lui expliquant que j'étais au fond du trou, je lui avais rien dit parce que c'était elle l'élément déclencheur de tout ça selon moi (histoire compliquée ) mais elle ne représente évidemment qu'une infime partie de tout ça, en soi c'était juste la goutte d'eau.
Ma situation de déprime/dépression a continué comme ça jusqu'à fin décembre mais ça s'est arrangé un peu pendant les vacances (Noël + jour de l'An) où j'ai commencé à revoir du monde, ma famille notamment et à reprendre contact avec mes potes pour finalement sortir de cet enfer qui m'a littéralement pourri la vie, sociale comme professionnelle (j'ai raté mon semestre puisque je suis défaillant et je sais pas du tout ce que ça va donner pour le semestre actuel, même si je le réussis je sais pas si je pourrai passer passer les rattrapages de mon premier semestre).
Peu importe que je sois accepté en L3 ou pas, je ne sais absolument pas ce que je suis en train de faire de ma vie, j'ai aucun but précis en tête, j'ai 20 ans, pas de meuf, pucix, ni aucune passion réelle qui me fait sentir vivant pour de vrai et quand je vois le monde de merde dans lequel on vit ça donne vraiment pas envie d'essayer.
Cette fille à l'air de tenir à toi, tu es sur de ne rien vouloir tenter ?
Cette fille à l'air de tenir à toi, tu es sur de ne rien vouloir tenter ?
Le truc c'est que quand je l'ai rencontrée elle était en couple depuis 2 ans, et elle l'a quitté pour un autre avec lequel elle a été pendant 1 an par la suite (mais on n'était pas trop proches à ce moment là). Elle s'est faite cuck donc elle l'a quitté récemment mais j'ai un peu refoulé mes sentiments avec le temps en fait ce qui fait que j'ai rien tenté malgré les "multiples" trucs ambigus qui ont pu se passer. Si encore j'étais pas autant un fragile avec les meufs (et que j'étais pas pucix par extension) j'aurais sûrement tenté et ce même si elle était en couple. Là elle est enfin libre mais c'est trop tard selon moi
Le 03 mars 2018 à 23:11:10 Kayoz a écrit :
Cette fille à l'air de tenir à toi, tu es sur de ne rien vouloir tenter ?
Le truc c'est que quand je l'ai rencontrée elle était en couple depuis 2 ans, et elle l'a quitté pour un autre avec lequel elle a été pendant 1 an par la suite (mais on n'était pas trop proches à ce moment là). Elle s'est faite cuck donc elle l'a quitté récemment mais j'ai un peu refoulé mes sentiments avec le temps en fait ce qui fait que j'ai rien tenté malgré les "multiples" trucs ambigus qui ont pu se passer. Si encore j'étais pas autant un fragile avec les meufs (et que j'étais pas pucix par extension) j'aurais sûrement tenté et ce même si elle était en couple. Là elle est enfin libre mais c'est trop tard selon moi
C'est jamais trop tard à moins que tu le veuilles vraiment !
Le 04 mars 2018 à 02:09:54 Schtroumpfsodo a écrit :
C'est la premiere fois que t'es au fond du trou?
J'ai eu plusieurs phases.
Là je suis en bts comptabilité et je n'y vais même plus tellement ça me saoul...
Je vais tenter de faire une formation pour devenir Steward
Le 04 mars 2018 à 11:30:40 Paume2lavie a écrit :
Alors les kheys vous en êtes ou nveau orientation ?
Paces doublant. Je vais essayer de choper ergo ou pharma mais a mon avis c'est mort.
Si j'echoue, je pense tenter des concours paramedicaux l'année prochaine car je vois pas quoi faire d'autres. Bon étant asocial ça risque d'etre dur pour moi mais on verra bien
Le 04 mars 2018 à 11:31:26 0LuckInHardware a écrit :
Mérité pour avoir donner autant d'importance aux études
On nous bassine ça depuis la naissance, "fais de bonnes études sinon tu deviendras plombier (ou autre métier manuel) au smic et t'auras une vie de merde".
Et maintenant tu te rends compte que certains bac pro s'en sortent super bien au final
Le 04 mars 2018 à 11:33:44 Supminbou a écrit :
Le 04 mars 2018 à 11:30:40 Paume2lavie a écrit :
Alors les kheys vous en êtes ou nveau orientation ?Paces doublant. Je vais essayer de choper ergo ou pharma mais a mon avis c'est mort.
Si j'echoue, je pense tenter des concours paramedicaux l'année prochaine car je vois pas quoi faire d'autres. Bon étant asocial ça risque d'etre dur pour moi mais on verra bien
Bon courage mon khey, paces c'est pas facile
Le 04 mars 2018 à 11:35:56 Paume2lavie a écrit :
Le 04 mars 2018 à 11:33:44 Supminbou a écrit :
Le 04 mars 2018 à 11:30:40 Paume2lavie a écrit :
Alors les kheys vous en êtes ou nveau orientation ?Paces doublant. Je vais essayer de choper ergo ou pharma mais a mon avis c'est mort.
Si j'echoue, je pense tenter des concours paramedicaux l'année prochaine car je vois pas quoi faire d'autres. Bon étant asocial ça risque d'etre dur pour moi mais on verra bienBon courage mon khey, paces c'est pas facile
Merci
Le 04 mars 2018 à 11:34:01 Paume2lavie a écrit :
Le 04 mars 2018 à 11:31:26 0LuckInHardware a écrit :
Mérité pour avoir donner autant d'importance aux étudesOn nous bassine ça depuis la naissance, "fais de bonnes études sinon tu deviendras plombier (ou autre métier manuel) au smic et t'auras une vie de merde".
Et maintenant tu te rends compte que certains bac pro s'en sortent super bien au final
Perso j'aurais pas du tout aimé faire un métier manuel comme plombier. En fait je n'ai goût pour aucun métier.
Le 04 mars 2018 à 11:34:01 Paume2lavie a écrit :
Le 04 mars 2018 à 11:31:26 0LuckInHardware a écrit :
Mérité pour avoir donner autant d'importance aux étudesOn nous bassine ça depuis la naissance, "fais de bonnes études sinon tu deviendras plombier (ou autre métier manuel) au smic et t'auras une vie de merde".
Et maintenant tu te rends compte que certains bac pro s'en sortent super bien au final
Ouais c'est vrai, mais c'est pas faire des études qui te rendra heureux crois moi, le but dans la vie c'est d'être heureux pas de faire des études.
Le 04 mars 2018 à 11:38:58 0LuckInHardware a écrit :
Le 04 mars 2018 à 11:34:01 Paume2lavie a écrit :
Le 04 mars 2018 à 11:31:26 0LuckInHardware a écrit :
Mérité pour avoir donner autant d'importance aux étudesOn nous bassine ça depuis la naissance, "fais de bonnes études sinon tu deviendras plombier (ou autre métier manuel) au smic et t'auras une vie de merde".
Et maintenant tu te rends compte que certains bac pro s'en sortent super bien au finalOuais c'est vrai, mais c'est pas faire des études qui te rendra heureux crois moi, le but dans la vie c'est d'être heureux pas de faire des études.
This putain
Le 04 mars 2018 à 11:38:36 WasabiDeter a écrit :
Perso ca marrive de deprimer jai fait une l1 que jai rate car cest pas ce que je voulais je pensais que cetait autre chose (je me comprend) et la je suis dans une prepa ca me plais bien bcp de temps libre mais ca ma permis de prendre de la distance sur ma situation familiale meme si elle nest pas catastropgique javais besoin de prendre l'air et de la distance ca ma changé en quelques mois, si je rate le concours je le retenterais encore une fois mais je remercie mes parents qui me soutiennent a 100% dans ce que je fais meme si je reussi le concours il reste une zone dombre dans mon esprit qui me dit "et si tu naimais pas finalement"? Et ca, ca me met un bad timagine pas comment
Beaucoup de temps libre ?
Données du topic
- Auteur
- Comteblackula
- Date de création
- 1 mars 2018 à 18:51:18
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